n° 16057 | Fiche technique | 43386 caractères | 43386Temps de lecture estimé : 26 mn | 17/02/14 |
Résumé: Oh oui, je suis une pauvre femme délaissée par mon méchant mari qui est toujours parti loin à cause de son métier de directeur. | ||||
Critères: fh grossexe piscine cunnilingu -humour -vengeance -occasion -extraconj -voisins | ||||
Auteur : Patrik (Carpe Diem Diemque) Envoi mini-message |
Ce petit texte sans prétention n’est absolument pas à prendre au premier degré…
Bonne lecture !
Oh oui, je suis une pauvre femme délaissée par mon méchant mari qui est toujours parti loin à cause de son métier de directeur. Je vous jure ! Nous ne sommes mariés que depuis six mois, mais je peux compter sur les doigts d’une seule main les semaines où il est resté avec moi. Encore heureux qu’il y ait les week-ends ! Et encore !
Bon, comme dirait ma top-modèle de copine, je ne vais quand même pas trop me plaindre, mon David est gentil avec moi. Un amour : il m’offre plein de voyages, de restaurants, de fleurs, plein plein de cadeaux, le plus beau étant une carte Golden avec plein de sous dessus. Et aussi ma petite voiture rouge, je l’aime bien, elle est choupinette à souhait ! Mais, n’empêche que je m’embête dans cette grande maison toute récente à six chambres plus le bureau. J’ai beau avoir trois salles de bain et des tonnes de maquillage, des armoires remplies de vêtements plus ou moins coquins ou sexy, mis à part les femmes de ménage et la cuisinière, ma maison est vide. Encore heureux que Bichon soit là, il est trop trognon, mon caniche nain !
Pourtant, David pourrait faire un effort ! Ce n’est pas parce qu’il dirige beaucoup d’entreprises qu’il ne doit pas m’entreprendre, moi ! C’est vrai, quoi ! J’ai tout ce qu’il faut, là où il faut ! Je suis quand même une belle - pardon - une splendide blonde aux yeux bleus, avec des mensurations hollywoodiennes et plein de conversation ! Je suis en effet incollable sur tout ce qui concerne la mode, les bijoux et les stars. C’est pourtant extraordinairement fantastique que je sache tout ça ! Lui, il n’a que des mots du genre « gestion », « opportunité », « cash-flow » et j’en passe. Est-ce que, moi, je dis des choses aussi ennuyeuses que ça ? Non ! À la place, il pourrait me parler de mes beaux yeux couleur azur, de ma bouche rose et pulpeuse, de mon décolleté vertigineux et plein d’autres choses nettement plus intéressantes que ses « charges » ou ses « impôts ».
Bref, hier soir, David est parti en Russie afin de décrocher un gros contrat. J’espère qu’il l’aura, son fichu morceau de papier, surtout depuis le temps qu’il m’en parle. Ce que j’ai surtout retenu dans l’histoire est qu’il m’emmènera ensuite en croisière, une fois que les Russes auront signé, car il y en a pour un gros paquet de fric ! En parlant de paquet, ça va faire un certain temps que je n’ai pas profité du sien, de paquet !
Bon, je vais aller faire un petit tour dehors, marcher me fera du bien, de plus, ça raffermit mieux encore le galbe de mes longues jambes.
Y a pas à dire, plus je me regarde dans la glace, plus je me dis que je ne suis absolument pas un mec moche. Je fais de la muscu depuis dix ans à présent et j’ai un corps achtement bien fichu. C’est vrai que je suis un piège à filles, de ma voiture de sport à mon sourire ravageur.
Père et Mère ont eu la malheureuse idée d’aller se crasher en avion, il y a cinq ans de ça. La chose bien dans ce malheur, c’est que le cousin Édouard a tout pris en main. Il est diplômé de Cambridge et d’autres endroits, d’ailleurs le mur derrière son bureau est tapissé de cadres divers ; bref, il s’y connaît en gros sous, et c’est le principal. Je lui laisse la direction si ça l’amuse : du moment, que je touche ma petite rente, le reste, je m’en fiche.
Petite… c’est vite dit. Je gagne un bon salaire, plus les dividendes et les jetons lors des conseils d’administration. Rien que les jetons, ça me paye mes voitures de sport. Ah, merde, j’aurais pas dû penser à ça !
Je crois que je vais aller faire quelques longueurs dans la piscine, ça me détendra, surtout depuis que ce salopard de John-Mickael m’a piqué sous mon nez la dernière corvette ! Attends un peu, toi, je te garde un chien de ma chienne !
De plus, ma dernière conquête est une idiote de première ! Mon Dieu qu’elle est conne ! Mais qu’elle est canon, surtout les nichons ! Mais qu’elle est conne de chez conne ! Mais comme disait le poète : pour l’amour, on ne demande pas aux filles d’avoir inventé la poudre. C’est un beau petit lot, elle fait saliver la plupart de mes amis ; au lit, elle est potable, mais j’ai eu nettement mieux… Surtout cette Mexicaine ! Houla, c’était de la dynamite, de la vraie de vraie, cette nana ! Et dire que j’ai fait la connerie de la laisser partir ! J’aurais dû lui mettre la bague au doigt ; c’est d’ailleurs ce qu’a fait ce magnat du plomb ou du zinc quand ils se sont rencontrés à l’ambassade. Elle lui a même fait ensuite un gosse dans la foulée ! Une sacrée opportunité qui m’est passée sous le nez : elle avait tout ce qu’il fallait, un physique de rêve, une imagination débridée au lit, sportive, du chien, et de la conversation…
Ce qui est nettement moins le cas de ma dernière conne-quête ! Va falloir que je songe à me débarrasser d’elle. Surtout que certains de mes copains aimeraient bien la mettre dans leur lit. Il y a même Arthus qui m’a proposé son yacht en échange ! Il est mordu, ce type, à donf ! Je me demande si je ne vais pas faire monter les enchères… Pas con, comme idée…
Dans le couloir, je passe devant un grand miroir. Oui, décidément, je suis un beau mec. La boméquitude, c’est moi incarné. J’ai d’ailleurs déposé le nom quand j’ai lancé une ligne de vêtements et un parfum.
Ah ! tiens, on dirait que ma charmante voisine pointe le bout de ses seins dehors ! Comme j’ai du temps à perdre, je vais aller lui dire un petit coucou.
Pour sortir de chez soi, enfin du cottage, il faut quand même du temps. Ici, c’est un petit village sous haute surveillance avec un mur d’enceinte et des vigiles partout. Une véritable oasis dans laquelle on entre que si, et seulement si, on montre patte blanche. Et puis, tout est nickel ici, pas un papier qui traîne, pas une crotte de chien non plus.
Il y a des manucures, des coiffeuses, des épiceries fines, avec un petit centre commercial dans lequel je m’approvisionne en champagne et dentelles. J’aime le champagne, c’est bon et léger avec ses petites bulles ! Et j’adore les dentelles, ça me va si bien ! Faudra que je demande à ma copine de me pistonner dans la mode, ça me plairait bien de poser en dentelles ! Comme ça, d’autres types profiteraient de mes charmes et les apprécieraient mieux que mon David de mari !
Finalement, ce n’est pas une mauvaise idée ! De plus, ça me ferait même un peu d’argent de poche pour aller m’offrir un séjour de remise en forme et chirurgie esthétique ! J’ai quand même deux ou trois petites choses à modifier, même si je suis déjà presque parfaite ainsi. Et qui sait, un producteur pourrait même me contacter pour un petit rôle dans « Amour, Notoriété et Business » ou dans « Femmes au Foyer Eprouvées » ? Oh oui, ça m’irait bien, et puis même que… oh oui, ma série à moi toute seule, les flashes, les journalistes, la Une dans « Repère de Regard » ou dans « Intronisation VIP » ! Ah si un producteur…
Ma voisine est une jolie poulette, rien à jeter, ou si peu pour ceux qui sont difficiles. C’est un beau petit lot, dont ne profite pas beaucoup le mari, je l’ai rarement vu par ici. Sans doute un financier ou un patron d’industrie, un drogué du travail. Comme mon cousin Édouard.
Comme de coutume, ma poulette de voisine n’a pas grand-chose sur le dos, mais je ne vais pas m’en plaindre ! Surtout pas ! J’ai toujours eu droit à une vue imprenable sur ses longues jambes, parfois son nombril orné d’un bijou qui change presque chaque semaine, et je ne parlerai pas de son décolleté ! C’est monts et merveilles !
Non, non, je ne vais certainement pas me plaindre !
Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai comme l’impression que je pourrais… Oui, oui, oui, je parie que si je m’y prends bien, je mets ma pulpeuse voisine dans mon lit d’ici peu de temps. J’ai l’impression que l’absence du mari m’aidera beaucoup dans ma chasse ! Ah, ces maris partis au loin ou trop longtemps, s’ils n’existaient pas, il faudrait les inventer ! Car ma propre expérience des femmes m’a appris que les délaissées sont souvent les plus faciles à conquérir et aussi les plus chaudes…
Et puis, comme je suis un beau mec, avec tout ce qu’il faut comme il faut, là où il faut, je suis de la dynamite, avec une longue mèche !
Ah ! tiens, mon voisin est là. Lui au moins, il resterait auprès de sa femme, s’il en avait une ! Car Monsieur collectionne les filles, au moins une fois par mois, il a une nouvelle copine, et visiblement, il mange à tous les râteliers : petite, grande, blonde, brune et j’en passe.
Un peu Donjuan sur les bords, mais il parle bien, il présente bien, et il écoute bien ! Pas comme mon David à moi qui a toujours les yeux rivés sur ses fichus cours de bourse ! Ses yeux, c’est sur moi qu’ils devraient être rivés ! Et sa bourse, c’est avec moi qu’il devrait la vider !
Passons ! Je vais aller faire un brin de causette avec mon mignon voisin, ça me changera un peu les idées ! Et vu comment parfois il me reluque, j’aurais au moins la satisfaction d’être appréciée par quelqu’un !
Que j’ai mal au cœur ! Cette grande pouffiasse me presse sur ses nichons, et vas-y que ça ballotte, et vas-y que ça tangue ! Beuark ! Si ça continue, je vais finir par vomir dans son décolleté !
Ah, mes deux décérébrés vont faire causette ! J’espère qu’elle va me poser au sol, car la dernière fois, elle a minaudé devant ce grand con en se servant littéralement de moi comme foulard !
Et vas-y que je te raconte des histoires du temps qu’il fait ! Gnagnagna le soleil, gnagnagna le vent ! Mais on s’en fout du temps qu’il fait, il fait toujours beau dans ce coin à la con ! La seule pluie que je connaisse, c’est quand ils arrosent les pelouses ! Jamais, je n’ai pu aller me rouler dans l’herbe ou dans la boue, jamais ! Pays de cons, habité par des cons et des connes !
Pfff, et ça commence, ça minaude, ça fait sa petite fille devant le bellâtre ! T’as trente ans dépassés, ma vieille, t’as plus les moyens de passer pour une ado attardée, même si tu t’habilles comme un sac à patates troué ! Et je jacasse de tout et de rien ! Elle me saoule ! Elle est tellement chiante, cette maîtresse décervelée, que parfois j’ai des envies de suicide dans la cuvette des toilettes ! Je comprends mieux pourquoi elle consomme tant d’animaux de compagnie, je suis quand même Bichon XIII ! Treize, comme le nombre porte-malheur ! Ah, si seulement c’était vrai que je pouvais lui porter malheur, qu’elle se casse une jambe, ça me ferait des vacances !
Mais, j’y songe : comment cette conne a pu avoir douze autres Bichons (quel manque d’originalité dans les noms !) avant moi ? Elle les bouffe ou quoi ? Ou elle les rend totalement neurasthéniques qu’ils préfèrent la mort à continuer de vivre ainsi avec elle ? Il va falloir que je fasse attention, moi !
Et ça n’en finit pas !
Je ne sais pas pourquoi, mais on dirait que je tiens le bon bout avec elle ! Je vais tenter de pousser un peu mon avantage, on verra bien ce que ça donnera ! Qui ne risque rien n’a rien, n’est-ce pas ?
Go, mon Andy, go !
Eh bien, ça a l’air de fonctionner ! Elle me semble plutôt réceptive, la voisine. Va-t-y voir que je vais me la mettre dans mon plumard d’ici peu, qui sait ! Oui, oui, oui, y’a moyen, je la sens bien, là ! Vas-y mon Andy, tu vas y arriver !
Vas-y, Andy, vas-y, c’est du tout bon !
N’empêche que son fichu clébard miniature me gâche la vue sur son décolleté ! Faut que je fasse quelque chose à ce sujet, et vite !
Ah mon Dieu, tu existes ! Maintenant, j’en suis certain ! Enfin, je ne suis plus dans les pattes de cette conasse ! Ce grand con remonte dans mon estime, il m’a ôté du coussin à nichons pour me poser par terre ! Enfin, je sens l’herbe sous mes pattes à moi ! Waow que ça fait du bien !
Eh quoi, grognasse, tu as fini de me reluquer comme ça ? J’ai bien le droit de me rouler dans l’herbe, non ?
Il remonte vraiment dans mon estime, le Andy ! Oui, oui, continue ton numéro à la blondasse, détourne l’attention de la crétine. Ça va durer combien de temps ? Cinq minutes, un quart d’heure, peu importe, c’est toujours ça de pris !
Rhaaa lovely, que c’est boooon de se traîner sur le ventre ! So good ! Sur le carrelage, c’est nul, mais ici dans l’herbe, c’est le nonos intégral !
Mon Bichon, il se comporte bizarrement ! Il va falloir que je le lave quand je rentrerai, il va être plein d’herbe partout !
Revenons à nos moutons, à Andy. J’aime bien quand il me cause comme ça ! Au moins, il sait parler aux femmes, lui ! C’est pas comme un certain David de ma connaissance ! Et puis, c’est vrai qu’il est bien bâti, ce Andy ! Un sourire craquant, des yeux d’enfer, une gueule d’ange, des mains toutes fines, des beaux biceps, un beau petit cul bien moulé ! Je parie même qu’il doit avoir une sacrée tablette de chocolat sous le t-shirt ! Et… eh ?
Et… oui ! J’ai pas rêvé : un beau paquet dans le pantalon ! Je n’avais pas remarqué cette bosse tout à l’heure ! Non pas une bosse, une belle barre ! Mais… mais c’est qu’il bande, ce petit cochon !
J’aime bien quand les hommes ont la trique pour moi, ça me rassure au sujet de mon sex-appeal ! Attends un peu que je regarde mieux… il a un sacré morceau dans le pantalon, enfin, le short, le voisin… je me demande bien ce que ça pourrait faire comme effet en bouche ou dans la foufoune ! Mine de rien, je ne demande qu’à essayer, c’est une bonne façon de passer le temps…
Waaa que c’est bon, l’herbe ! C’est nettement meilleur que la moquette ! Et surtout que le carrelage ! Oh yes, il y a un Dieu là-haut pour avoir inventé pareille chose !
Hein euh quoi ? Quoi qu’il y a encore ? Qu’est-ce qu’elle me veut, la blondasse ?
Eeeh, c’est quoi ce truc ? Une voiture de golf qui me fonce dessus ? Foutu machin électrique silencieux qu’on n’entend pas venir !
Non, pas par là, ducon ! Dégage ! Kaïïïk !
Et merde ! Me voilà bien, moi ! Encore heureux que j’ai pu rattraper la voisine au vol tandis qu’elle tombait dans les pommes !
Pourvu que ce satané clébard soit encore vivant, sinon… Toujours est-il que j’ai ma voisine dans les bras, mais ce n’est pas tout à fait comme ça que j’envisageais les choses ! Et l’autre petit con boutonneux, il attend quoi ?
Peu de temps après, le chien, toujours sonné, est affalé sur un coussin, et ma voisine est allongée sur mon lit. Tu tiens le bon bout, mon Andy, si tu t’y prends bien, elle est à toi ! Faudra se la jouer finement et hop, l’affaire sera dans le sac ! Yeah !
Ah, on dirait que le Bichon à sa maîtresse va mieux, il vient de bouger, on dirait un bébé qui émerge de son sommeil. OK, pas de problème, il arrive même à se redresser sur ses pattes.
Kaïk kaïk kaïk ! Ah, je l’ai bien senti passé ! J’ai mal partout de la truffe à la queue, mais on dirait que je n’ai rien de cassé ! Tant mieux !
Bon, je suis où, là ? Ah ! tiens, la connasse est sur le lit, dans les pommes, ça ne m’étonne pas. Le beau gosse est là, lui aussi. Vu la déco et les appareils de musculation, ça doit être sa chambre. Quelque chose me dit que ma maîtresse va vivre une expérience amusante dans quelque temps ! Et quelque chose me dit aussi que je serai aux premières loges !
Pourquoi cet abruti me regarde comme ça avec un sourire béat ?
Et bien mon petit père, tu vas m’être utile ! Ne bouge pas trop ! Et reste bien sagement sur ton coussin ! Comment dire ça en langage pour chien ?
Ça va, il a l’air de comprendre, le chien. Bon, ce n’est pas tout ça mais il faut que je m’occupe de ta maîtresse, et bien m’occuper d’elle !
Bon, ce n’est pas tout ça, je fais quoi avec la voisine qui est toujours dans les pommes ? Il faut bien que je la réveille ! C’est frustrant d’avoir une si belle gonzesse dans son plumard et ne pas en profiter ! Quoique… à bien y réfléchir…
Je vais tenter une expérience, on verra comment elle réagit…
Je pose mon doigt sur son sein… c’est achtement moelleux ! Je tente deux doigts… toujours rien, sauf une certaine satisfaction pour moi. Bon, je m’enhardis dans son décolleté, sa peau est très douce, une peau de bébé ! Tâtons ça mieux… pas mal, pas mal ! Ah, tiens, on dirait que c’est du naturel ! Au point où j’en suis, allons-y de bon cœur, je presse à pleine main son globe tout savoureux… Eh si, ah ben shit, c’est du naturel ! Ça me change de toutes ces filles regonflées !
Tiens, tiens, on dirait bien que ses tétons se dressent sous le tissu ! J’ai une envie folle d’aller les dénuder mais je ne pense pas que ce soit une bonne idée ! Déjà que j’ai pu te la peloter sans choper une baffe, c’est déjà pas mal !
Ah, bullshit de mierda de kuso ! C’est pas possible, ce genre de situation ! Une gonzesse pareille dans son lit et devoir rester là les bras ballants ! Bien que mes doigts en aient déjà un peu profité…
Tiens, une idée : je vais me la jouer prince charmant avec un doux baiser sur ses lèvres toutes roses ! Bonne idée ! J’ai toujours de bonnes idées ! Ne suis-je pas la boméquitude incarnée ?
Et hop, petit bisou sur ses lèvres offertes ! Lààà…
Hummm ! C’est tout sucré que j’en mangerais ! Ah, on dirait que j’ai réussi mon coup, elle ouvre un œil…
Où… où suis-je ? C’est où, ici ? Je ne connais pas…
J’étais en train de faire un beau rêve, genre Blanche-Neige, un jour mon Prince viendra, avec le bisou, version moderne car mon Prince me tripatouillait joyeusement, et j’aime qu’on me tripatouille allègrement !
Ah ! tiens, mon voisin est agenouillé sur le lit à côté de moi… Je dois être chez lui… Ah oui, je me suis évanouie quand…
Qu’est-ce qu’elle a à me reluquer, elle ne m’a jamais vu ? Mes quatre pattes, qu’il dit l’autre ; bien oui, j’en ai quatre, andouille ! Je ne vais quand même pas m’amputer pour n’en avoir que deux comme vous, bipèdes ignares !
Comme ma bondasse tremble, le Andy en profite pour la serrer contre lui. Il n’en perd pas une, celui-là ! Et elle se laisse aller sans souci. Je reconnais que mon maître n’est pas un grand spécialiste des femmes. Causez-lui affaires et gros sous, il démarre au quart de tour. Par contre, avec l’autre sexe, il est moins doué.
Mais c’est qu’il la câline, la main dans le dos ! Il ne reste pas inactif, ni les bras croisés ! Et la blondasse qui se laisse faire… Bon, je ne peux pas lui jeter la pierre, vu l’amateurisme de son mari dans le domaine. À bien y regarder, c’est vrai que le Andy et la Paméla étaient plutôt faits pour être ensemble… Mais bon…
Et à présent, joue contre joue, ben voyons ! Je sens que je vais aller m’allonger sur le coussin, il risque d’y avoir du spectacle !
Et hop, c’est reparti pour un tour, joue contre joue, il ne manque plus que la musique pour faire un slow ! Et la boule à facette ! Ah non, elle est là, au-dessus de ma tête ! Une boule à facettes dans une chambre ? Faut pas demander !
Elle se laisse faire, et il en profite, ses mains s’aventurent câlines, une dans le dos et l’autre sur le ventre. Amusé par la tournure des événements, je pose mon museau sur mes pattes, afin de mieux profiter de mon film en exclu mondiale !
Oh oh ! La main du ventre remonte, petit à petit ! Ira, ira-t-y pas ? Réponse dans quelques instants ! Ira… oui, non ? Si ! Bingo ! Il lui a capturé par-dessous la base du sein, elle ne semble pas trop protester, pas du tout. Alors, il y va posément, il lui saisit à présent tout le sein qu’il câline sans vergogne ! Eh bé, ça va vite quand même !
Si je ne dis pas de conneries, la suite, c’est le bisou…
Bingo et re-bingo ! Ils s’embrassent, elle jette ses fins bras autour de son cou et répond allègrement à son avide attente. Étant en terrain conquis, Andy se fait vorace, accapareur, possessif. Et c’est à présent le big bisou dans toute sa splendeur telenovela ! Et ça dure, et ça dure !
Ah zut, ils se décollent ; vu la tête du Andy, il aurait préféré que ça dure un peu plus. De ses doigts, la Paméla, assez troublée, se remet en place les cheveux. Du coup, il se redresse, restant agenouillé sur le lit, sans la quitter des yeux, sans rien dire, jouant fair-play, du moins, en apparence. Tiens, tiens, on dirait qu’elle regarde fixement quelque chose entre les jambes de l’autre… De l’action en perspective ?
Waow, quel morceau son truc ! Et en plus, il bande comme un taureau sous viagra ! Oh tant pis, faut que je sache ce que ça fait ! Attends un peu, mon gaillard, je vais savoir ça tout de suite. Je glisse doucement vers toi, ou plutôt, je glisse doucement vers ta barre qui tend impudiquement le tissu. Voilaaa, j’y suis… Et hop, je te lui baisse son short et… Oh !
Oh purée de belle queue qu’il a, ce foutu bandard !
Oh que c’est pas possible d’avoir une aussi belle queue bien montée et nervurée comme ça !
C’est du réel de chez vrai ou c’est une prothèse plastok qu’il a dans le caleçon ? On lui a greffé une pine africaine ou quoi ? Non, c’est pas ça, elle est trop blanche pour cela. Quoique, les bonnes grosses queues noires, c’est souvent une légende surfaite, j’en ai su quelque chose quand j’étais pom-pom girl ! Enfin, pas toujours, mais il faut en abaisser des slips pour en avoir une belle sous le nez !
Putréfaille, c’est tellement gros que mes doigts ont du mal à en faire le tour ! Oh my God, qu’est-ce que ça doit être quand tout ce machin entre dans la foufoune ! Et aussi dans le trou du cul ! Oh my God, quelles idées j’ai là !
Oh et puis zut, au point où j’en suis, je me lance dare-dare sur son dard !
Waow, quelle bouche qu’elle a, cette belle cochonne de voisine ! Oh, quelle langue, elle est douée, cette petite vicieuse ! Elle va me faire regretter de ne pas lui avoir sauté dessus plus tôt, dès son arrivée dans la maison d’à côté, il y a quelques semaines !
Houlala ! Oui, quelle bouche ! Quelle langue ! Si elle continue comme ça, je vais avoir de sérieux problèmes à rester zen ! Et en plus, les gorges profondes, elle connaît ! Je regrette déjà de ne pas lui avoir sauté dessus plus tôt !
Achtement douée ! Ai-je trouvé la remplaçante de ma Mexicaine adorée ? Si oui, c’est dommage que cette suceuse d’enfer soit déjà mariée ! Bah, au moins, elle ne m’enquiquinera pas trop et elle ne sera pas trop sur mon dos. C’est plutôt elle que je vais mettre sur le dos, gambettes en l’air, pour aller la tringler en beauté de long en large et surtout bien profond !
Waow, ça s’échauffe, cette fois ! Et je suis aux premières loges ! La sexualité des humains m’a toujours amusé, ils ont l’art de faire nettement compliqué là où nous faisons simple comme bonjour ! Chez nous, les canins, on se renifle l’arrière-train et en fonction de ce qu’on y sent, on passe à l’action ou on passe ailleurs ! C’est pourtant simple, non ?
Néanmoins, ces fichus humains font aussi compliqué dans leurs poses, et c’est là que, je le reconnais, ça peut devenir amusant. Dommage qu’ils n’aient pas de petites ailes, ça serait encore plus acrobatique !
La séance sucette du bas est terminée, ils sont en train de se lécher le museau à qui mieux mieux ! Le museau, je me comprends ! Je suis épaté de la dextérité qu’ils ont à enlever leurs vêtements tout en ayant leurs lèvres soudées ainsi ! En un rien de temps, ils sont à présent nus tous les deux… Il faut dire que nous ne sommes pas chez les Esquimaux (les Inuits, comme il faut dire maintenant), et que mes deux zozos n’avaient pas trente-six couches de vêtements à enlever !
Ah, le culturiste quitte la bouche de ma blondasse de maîtresse pour le cou. Elle émet alors des drôles de bruits que je lui ai rarement entendus, puis il s’égare entre les seins offerts aux tétons bien élancés vers le plafond. Tétons qu’il capture d’une bouche avide, ce qui fait émettre encore plus de sons incongrus de la part de ma maîtresse qui est devenue aussi la sienne, si j’ai bien compris les mœurs de ces bipèdes.
Après quelques agaceries fort appréciées de Madame, Andy décide d’aller de se préparer à attaquer le plat de résistance sans trop attendre : il glisse vers le pubis glabre pour s’en aller savourer le goût, puis, ceci fait durant quelques secondes, il glisse sa langue taquine dans la fente déjà bien luisante. Le résultat ne se fait pas attendre, ma maîtresse part illico dans une longue mélopée fort musicale tandis qu’elle est léchée avec application et dextérité. Et à prime vue, Andy sait très bien jouer du petit bouton rose niché dans son alcôve !
Il n’y a pas à dire, les dialogues sont le top du top, mais je crois avoir compris que les humains ne savent pas faire deux choses en même temps : réfléchir et faire l’amour. Ceci dit, avec ma connasse de maîtresse, il ne fallait pas s’attendre à du Ronsard !
Mais oui, Ducon, elle aime ça ! Ça s’entend, non ? Et même un peu trop ! Nous, les canins, nous avons les oreilles sensibles aux sons aigus, et là, elle y va de bon cœur ! D’abord la sirène des pompiers, puis ces cris stridents et stressants ! Encore heureux que ce ne soit pas une HLM ici, tous les étages auraient été au courant de ce qui se passe chez Andy ! Et même les blocs voisins !
Soudain, c’est l’explosion ! Pamela hurle littéralement de plaisir ! À en faire péter les verres en cristal, s’il y en a dans le secteur ! C’est atroce, ça me vrille les oreilles ! Andy l’achève de quelques coups de langue bien placés, tandis qu’elle s’agite en soubresauts divers, telle une poupée désarticulée…
Alors qu’elle s’apaise tant bien que mal de cette jouissance niagaresque, lui, il se redresse sur les genoux, la surplombant avec son gourdin bien membré. Gourdin ou batte de base-ball ? Bonne question ! Il la regarde avec convoitise tandis qu’elle gémit doucement, les yeux clos, puis, sans préavis, jetant ses mains de part et d’autre du buste de ma maîtresse, il entreprend d’investir sa grotte largement acquise et détrempée, ce qui facilite le coulissement, car il est vrai que le culturiste ne l’a pas petite !
Oh mon Dieu, my God, Dios mío ! Mais c’est qu’il est en train de tout me mettre ! Mais, mais comment diable tout son big maouss costaud de truc peut entrer en moi comme ça, comme une lettre à la poste ?
Ah, quelle chaudasse de chez chaudasse ! Je vais te la ramoner illico au septième ciel, te la tringler à te faire cramer la chatte, te l’astiquer à en devenir luisante comme la lune que je ne vais pas t’oublier de décrasser, te la zigziguer en long, en large et en travers, te la lessiver jusqu’à ce qu’elle soit flasque de plaisir et de foutre, te la… Ah non ! Non !
Purée, comme ils disent, les humains, ils y vont de bon cœur, mes deux zozos ! Et vas-y que je te lime, que je te pistonne, que je te tringle, que je gémis, que je hulule, que je glapis, que je te fasse des nœuds avec les jambes et les bras, et j’en passe ! Et après, c’est sur nous, la belle gent canine, qu’ils balancent des seaux d’eau glaciale !
Franchement, y a pas à dire, le real life, c’est nettement mieux que n’importe quel film, même sur grand écran ! Surtout quand on est aux premières loges ! Ah ! tiens, un truc que je ne connaissais pas, ma culture personnelle s’enrichit, même si en tant que canin, je ne peux pas toujours tout exploiter par la suite !
Mais voilà, les meilleures choses ont une fin… Enfin, ça dépend pour qui…
Alors que ça devenait très croquignolesque entre ces deux-là, la porte s’est ouverte brutalement, et comme dans les mauvaises pièces de théâtre, le mari, David, s’est pointé !
Sa belle légitime (qui est ma connasse de maîtresse) a eu juste le temps de lancer un « Ciel, mon mari ! ». Quel manque d’imagination ! Le Andy a fait encore plus simple et économique, il a juste grogné un truc dans le genre « Hé ! ». Et pan pan, le mari a tiré dans le tas ! Et comme il avait fait l’armée avec un certain grade, avec en plus la faible distance entre lui et le lit, il n’a pas loupé son coup (de feu) !
Ce fut évidemment un beau scandale, aussi bien chez les bonnes gens, les play-boys du coin et les trop jeunes femmes mariées aux un peu trop vieux. Mais pour diverses raisons. Comme le tribunal était composé plutôt de vertueux en façade et de deux donzelles appétissantes qui louchaient déjà sur le jeune veuf pas trop vieux, mon maître s’en est sorti avec les honneurs et sous les ovations des maris du coin qui rêvaient sans doute de faire la même chose mais qui n’osaient pas. Enfin, pas encore, car l’heureux dénouement pourrait leur donner des idées de passage à l’acte…
Trois ou quatre semaines plus tard après la fin du procès, nous sommes sur la terrasse de la maison. Je me repose béatement sur mon coussin préféré, à l’ombre, avec une petite brise très agréable. Mon maître reçoit un type que je ne connais pas, un certain Édouard.
Et ils trinquent joyeusement.
Sourire aux lèvres, David relève son verre :
Au même instant, une splendide rousse et une magnifique brune peu vêtues traversent la terrasse, adressant un petit coucou de la main aux deux hommes. Ébahi, Édouard dévore littéralement du regard les deux admirables créatures aux formes parfaites aux hanches dandinant sur des longues jambes irréprochables. Une fois, les deux jeunes femmes au bord de la piscine, prestement, il se tourne vers son hôte, lui demandant :
Interloqué, Édouard marque un petit temps d’arrêt avant de répondre :
David boit une gorgée :
Fébrile, les mains tremblantes, Édouard pâlit aussitôt, de grosses gouttes perlent sur son front et ses tempes dégarnies :
Les deux créatures s’approchent tout en ondulation vers les deux hommes, dont un est proche de l’apoplexie, au grand amusement de l’autre !
Dès que la brune est proche de lui, David lui capture sans gêne la jambe et l’attire à lui :
Faible surface couverte qui met d’autant plus en relief les monts et merveilles de ces deux splendides créatures aux chairs trop appétissantes, le visage d’un ange et le corps d’une porn-star. Bref tout un programme !
Tania fait mine de s’offusquer quand la main baladeuse de son amant s’égare sur ses fesses offertes, sous le sourire complice de sa cousine et les yeux écarquillés d’Édouard qui avale alors la moitié de son verre pour se donner une contenance.
Caressant toujours le postérieur de sa compagne, David, nonchalamment, propose :
Puis il se tourne vers Édouard :
Puis il marque ses dires d’une petite fessée qui claque sur la fesse rebondie. Ce qui fait glousser Tania, sous l’œil amusé d’Audrey et la langue pendante d’Édouard.
Puis, faisant à présent admirer leurs fesses appétissantes en un tangage d’enfer qui laisse présager bien des choses lors des relations rapprochées homme-femme, elles retournent vers la piscine dans laquelle elles se baignent bientôt, humides, luisantes, sous l’œil égrillard des hommes qui les contemplent.
Moi, j’en ai un peu assez de tout ça, j’ai comme une envie d’aller me rouler un peu dans l’herbe. Je quitte mon coussin, je passe sous la table de jardin, puis je longe la piscine où s’ébattent les deux belles créatures agrippées au rebord, l’une à côté de l’autre, chuchotantes.
Secouant sa tête rousse, Audrey boude un peu :