n° 16075 | Fiche technique | 16757 caractères | 16757Temps de lecture estimé : 11 mn | 01/03/14 |
Résumé: J'emmène, par obligation, mon beau-frère en vacances. Sur place nous nous rendons compte qu'il a oublié sa tente. La cohabitation sera donc plus proche que je ne l'escomptais. | ||||
Critères: fh jeunes alliance grosseins vacances fdomine humilié(e) voir exhib noculotte fmast préservati init -inithf | ||||
Auteur : Nicolaquitaine Envoi mini-message |
Ah, les joies du camping ! Maintenant c’est, avant tout, la difficulté d’en trouver un qui accepte les tentes ! Mais bon, c’est fait. Réservation, ok. Tente, ok. Petites tenues sexy pour aguicher les mecs, ok. À moi l’aventure ! Ou presque…
Ce presque, c’est mon demi-frère, enfin le fils de la nouvelle copine de mon père. Un geek coincé. Rien pour moi. C’est à peine si on se dit bonjour quand on se croise dans les couloirs de la maison familiale. Mais quand le paternel m’a menacée de me couper les vivres si je ne l’emmenais pas, j’ai fini par accepter. J’imagine qu’il voulait s’en débarrasser afin de pouvoir s’accorder du bon temps avec sa pouffiasse. Alors j’ai embarqué l’indésirable dans ma voiture. Autant dire que le trajet a été très long ! Mais c’est fini. On est arrivés, on monte chacun notre tente, et basta, je ne veux plus en entendre parler du séjour !
Je n’ai plus qu’à partager mon igloo avec lui. Je le savais, j’aurais dû prendre la familiale, celle avec plusieurs chambres. Mais mon budget limité ne me permettait pas, j’ai acheté la simple trois places, avec une seule pièce.
Pour la peine, à lui de la monter, et de gonfler le matelas pneumatique. Il s’active de bonne grâce. Il faut dire que je n’ai pas le caractère facile et que je l’ai pourri comme c’est pas permis. Tout le camping a dû m’entendre hurler. Mais c’était mérité !
Il m’offre l’apéro au bar pour se faire pardonner. Il est peut-être moins con qu’il n’en a l’air. Tandis que je déguste mon gin-fizz, j’en profite pour mater les mecs aux alentours, cachée derrière mes lunettes de soleil. Il y en a des pas mal. Je crois que je vais me plaire ici. Et lui, qu’est-ce qu’il mate ? Je reporte mon attention sur le boulet qui m’accompagne et me rends compte que ses yeux font l’aller-retour entre mes guibolles et ma poitrine ! Le petit saligaud ! Je m’apprête à lui hurler dessus quand une idée me vient. Avec un sourire carnassier, je croise et décroise mes jambes. Je vais même jusqu’à m’éventer un peu avec ma jupe. Il est devenu tout rouge ! Afin de retenir le fou-rire qui me saisit, je bois une gorgée d’alcool, ce qui me permet de reprendre contenance.
Je pousse le bouchon un peu plus loin et tire légèrement sur mon décolleté, tout en faisant remarquer à quel point il fait chaud. Il bafouille. C’est trognon. Si ça se trouve, il est encore puceau !
On rentre à la tente, bien repus. Il m’a également offert le repas, histoire de s’excuser pour son oubli. Quel idiot ! Je me glisse la première à l’intérieur, ce qui lui offre une vue imprenable sur ma croupe. Je l’imagine comme le loup de Tex Avery, les yeux exorbités et la langue qui traîne au sol. Je saisis mes affaires de toilette, une courte robe de rechange. J’hésite devant mes sous-vêtements et décide finalement de me passer de culotte. Pas de soutien-gorge, avec ma poitrine opulente, ça serait peut-être de trop.
Je l’attends dehors. Il traîne. Je passe la tête par l’ouverture de notre abri et lui demande ce qu’il fout. Oh ! La vache ! Il tripotait un string tombé de mon sac pendant que je cherchais mes affaires. Je fais celle qui n’a rien vu et l’engueule simplement à propos de la douche. Pas le choix, obligé d’en prendre une, je ne tiens pas à partager ma tente avec un type qui pue le fennec. On se rend ensemble aux sanitaires, et juste avant d’entrer dans nos cabines respectives, je lui lâche un « Et pas de branlette sous la douche ! » bien senti. Sa tête va finir par exploser s’il continue de rougir comme ça. Une vraie tomate !
On se promène un peu, histoire de visiter le camping. Mais dès que le soleil commence à coucher, direction la tente : je suis crevée après cette journée de route. Il me laisse entrer le premier. Ça pourrait être de la galanterie, mais je suis certaine qu’il me reluque le cul. Je me retourne brièvement et lui râle dessus à propos de la serviette humide qu’il a laissé traîner. Je ne me trompais pas, il me mate. Je lui balance la serviette à la gueule.
Il a attendu d’être bien caché dans son sac de couchage pour retirer son bermuda. Il a peur que je vois son petit oiseau ? Pourtant, j’en ai vu bien d’autres. Pour ma part, je suis encore avec ma petite robe courte. Assise sur mon sac de couchage, je fouille dans mon sac à la recherche d’une tenue pour dormir. Je n’en avais pas prévue, j’étais certaine de pouvoir passer mes nuits nue, seule ou accompagnée.
Il bafouille et cherche dans son sac. Il en sort une chemise blanche. Je le remercie avec un grand sourire et glisse les jambes dans mon sac de couchage. Dos à lui, je prends ma robe par le bas et tire dessus afin de l’enlever par le haut. Je l’entends déglutir. A-t-il remarqué que je n’avais pas de culotte ? Sûrement. Et sa respiration s’accélère quand je dégrafe mon soutien-gorge. Je passe la chemise, lentement, amplifiant mes mouvements à l’extrême. Je suis un peu étriquée à l’intérieur, il faut dire que niveau carrure, ce n’est pas un champion. Je ferme quelques boutons, histoire de dire que je suis pudique et me retourne. Je lui demande si elle me va. Son expression me dit que oui. Je tire un peu dessus, la lisse sur le devant. J’ai l’impression que si je respire trop fort, elle va exploser. Lui aussi il pourrait, vu comme il est rouge. Un sourire aux lèvres, je m’allonge. Je lui souhaite bonne nuit. Ma main se glisse dans mon duvet et vient tâter ma chatte. Je suis trempée ! Si on m’avait dit que cette situation m’exciterait à ce point ! Je me tourne sur le côté et m’endors.
Le sol bouge. Ça m’a réveillé ! J’ouvre les yeux, sans autre mouvement. Ce n’est pas le sol qui bouge, mais le matelas gonflable. Il gémit. Il est en train de se branler, j’y crois pas ! Je me tourne, les yeux fermés. Il s’arrête. Ma respiration redevient régulière. Il recommence une fois rassuré sur mon sommeil. Très bien, il va voir, le petit cochon ! J’allume ma lampe de poche. Il stoppe net ses ébats. Je baille, me redresse et m’étire. Les bras bien écartés, je sens le tissu de sa chemise se tendre à en craquer sur ma poitrine. Je me tourne vers lui et lui demande, d’un murmure :
Il ne répond pas, mais on ne me la fait pas. J’insiste, il grogne un oui.
J’éclaire son visage. Il détourne les yeux, se met la main devant le visage pour se protéger. Il me répond que non, il n’a rien entendu. J’insiste, lui demande d’une petite voix de bien vouloir vérifier s’il n’y a personne. En bougonnant, il se met à quatre pattes, faisant attention à bien camoufler son bas-ventre. J’étouffe un rire. Il jette un coup d’œil dehors puis se rallonge.
Je le remercie de m’avoir rassurée. Tant qu’on est réveillé, autant discuter, faire connaissance. Il acquiesce, de mauvaise grâce. Je lui propose un jeu débile :
Il opine de la tête. Je commence.
J’y vais cash, et lui demande s’il est toujours puceau. Il bafouille, puis regarde en bas en opinant. À lui. Je choisis une action. Il a l’air bloqué. Toujours dur avec ce jeu, de savoir jusqu’où on peut aller dès le début. Je l’encourage à se lancer, à ne pas faire son timide.
Il me demande de sortir et de faire le tour de la tente. J’ai un arrêt. Prise à mon propre jeu. Rien que le fait de sortir de là, à quatre pattes, ça va lui dévoiler mon cul nu. Et avec sa chemise trop petite, si une personne passe dans l’allée au même moment, elle découvrira mes trésors intimes. J’hésite, puis m’exécute. Je rapproche mon duvet de la sortie, fais glisser la fermeture éclair et regarde dehors. Personne, ouf ! Je sors, lui dévoilant ma lune laiteuse. Je fais le tour de la tente, en faisant attention aux cordes qui la retienne puis je rentre. Je suis à quatre pattes devant lui, mes seins lourds tendent le tissu de la chemise en un décolleté profond. Ses yeux sont exorbités. Je me dépêche de rentrer, histoire que mes fesses ne restent pas trop longtemps à l’air. Je glisse les jambes dans mon sac de couchage. Il a l’air content de lui. Très bien.
Il me répond vérité, assuré de ne pas se mettre dans une position aussi délicate que la mienne précédemment. J’ai un petit sourire.
Son expression se fige. Il ne s’y attendait pas. Il bredouille un non. Je ne le crois pas et lui demande la preuve. Ce n’est pas compliqué, il a juste à rabattre son duvet. Vu qu’il fait sa tête de mule, je le fais. Son caleçon est totalement déformé par sa bite en érection.
À lui. Il bafouille, tellement gêné d’avoir été pris en faute qu’il en oublie de rabattre son sac de couchage. Je garde mes yeux pointés vers sa virilité. Il bande tellement que ça forme une auréole humide au niveau de son gland. Je passe ma langue sur mes lèvres. Il n’est pas mon genre, mais la situation me fait triper. Je choisis une nouvelle action. J’aime jouer avec le feu. Il me demande de déboutonner ma chemise, ce que je fais avec grâce, lentement, sensuellement. Il se mord la lèvre inférieure. Quand ma poitrine jaillit hors de son carcan de tissu, sa main se glisse sur sa queue. Je ne crois pas qu’il s’en soit rendu compte. Il est tout fébrile, le pauvre. Si ça continue, il va jouir comme ça. Je m’étire à nouveau, une fois que tous les boutons sont enlevés, avec un sourire de chatte. Mes seins, gros et lourds, lui sont totalement dévoilés, avec leurs larges aréoles brunes et leurs tétons érigés. À moi. Il reste bloqué sur vérité. Pas très actif, le gars. Pas grave, avec des mots, on peut faire grimper la température aussi bien qu’avec des gestes.
Mais quelle pivoine ! Il s’est immobilisé, n’ose plus respirer. Il s’est rendu compte que je l’avais surpris en train de se faire plaisir. Il est gêné, je le sens, je le vois. Ses yeux, qui ne quittaient pas mon corps errent maintenant partout dans la tente, sauf sur moi. Mais il n’y a pas d’échappatoire. Il bredouille, une fois de plus. Je n’ai pas compris, alors je me penche vers lui, je colle mon oreille à sa bouche. Ma main droite vient prendre appui entre ses jambes, dangereusement proche de sa verge érigée. Mes tétons dressés frôlent son bras.
Je m’amuse de cette situation. Ça m’excite follement. Ma main gauche vient glisser entre mes lèvres intimes plus qu’humides. Cette fois, je l’entends, j’entends son oui, rauque, timide. Je brise le charme et reprends ma place, sans cesser de lui sourire. À lui. Pendant qu’il reprend ses esprits, je fais mine de réajuster ma couche. Ma main reste sous le duvet et commence à s’activer lentement sur ma chatte trempée. Je suis en train de me caresser devant lui, et c’est à peine s’il s’en rend compte. J’ai envie de le sentir, dur, en moi. Quand il me pose la question fatidique, je réponds action, parce que toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire. Il halète. Il hésite. J’ai l’impression de pouvoir lire ses pensées : jusqu’où peut-il se permettre d’aller sans que je ne m’offusque et ne rompe notre petit jeu.
Sa voix est haletante, entrecoupée de désir. Il se mord les lèvres et fixe ma poitrine, les yeux grands ouverts. Je ressors ma main de sous le duvet et saisis mes globes fermes et généreux. Je les pétris devant lui, laissant une traînée de mouille sur ma peau laiteuse. Sa respiration est laborieuse, il se branle la queue à travers son caleçon. Je vais même jusqu’à glisser la langue sur mes tétons dressés par l’excitation. Tout en continuant à me caresser la poitrine, je lui pose la question, en donnant de petits coups de langue dans le vide.
La réponse a fusé, sans hésitation cette fois. Il est mûr. J’arrête mes mouvements, lui saisit la main avec laquelle il se masturbe. Il semble seulement se rendre compte à ce moment-là de ce qu’il faisait. Il est tout penaud, le pauvre. Je lui dis de regarder dans la poche de mon sac et d’y prendre ce qui s’y trouve. Il fouille et me regarde, l’air perdu. Je l’encourage à sortir ce qu’il a trouvé. Il tient une capote entre le pouce et l’index. Il bafouille.
Il regarde l’enveloppe brillante comme si c’était la première fois qu’il en voyait une. Il s’humecte les lèvres, rendues sèches par l’excitation, puis me pose la sempiternelle question. J’hésite à faire durer encore le jeu en répondant vérité cette fois-ci. Mais j’ai trop envie, j’ai le ventre en feu, je le veux en moi, je veux le dépuceler.
Il me regarde, assise en tailleur, le duvet ne cachant plus que mes mollets, la chemise ouverte. Il reluque mes seins aux tétons dressés de désir, ma chatte ouverte, uniquement couverte par le ticket de métro que forment mes poils pubien. Il est ridicule, son tee-shirt trop grand qui baille, son caleçon largement déformé par sa queue bandante et complètement trempé à l’endroit où son gland touche le tissu. Il tient à la main le préservatif enveloppé.
Je tends la main et saisis la capote. Je fais mine de m’éventer avec et lui demande, en ronronnant :
Il hésite, incapable de se décider. Très, bien je le fais pour lui. De mes ongles, je déchire l’emballage et prend l’anneau entre le pouce et l’index. Je lui ordonne de baisser son caleçon, ce qu’il fait immédiatement. Sa queue se dresse désormais à l’air libre. Pas très grosse, mais fine et longue. Je touche la peau si sensible à cet endroit-là. Sa bite a un spasme. J’adore ça, jouer avec les nerfs des mecs. Je pose la capote toute enroulée sur le bout de son gland et, après avoir pincé le réservoir, je la fais glisser le long de sa hampe dressée telle un obélisque. Une fois qu’elle est installée complètement, je laisse ma main à la base de son sexe. Je joue avec mon index et mon majeur, caressant ses couilles pleines. Je m’allonge sur le dos et l’attire à moi. J’écarte les jambes et le guide en moi.
Que c’est bon de sentir cette queue pleine de désir dans mon ventre trempé ! Comme j’en avais envie ! Il n’ose pas bouger, le timide. J’ondule des hanches, le faisant pénétrer entièrement dans mon antre brûlant !
Il crie, il jouit, et s’effondre sur mon épaule ! Le porc ! Et moi alors ? Je le repousse, il me regarde et me dit :
J’ai envie de le gifler. Tout ça pour ça ! Et moi alors ? Je vais être obligée de me contenter toute seule ? Je le lui fais remarquer. Il est tout penaud et s’extirpe de mon con.
Je crois bien que je vais être obligée de lui apprendre les bonnes manières, et que ça m’occupera le reste des vacances !