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n° 16078Fiche technique22354 caractères22354
Temps de lecture estimé : 14 mn
03/03/14
Résumé:  Monique vient de subir un traumatisme psychologique et a des craintes lors des rencontres avec des hommes. Maintenant, ça va mieux !
Critères:  fh cadeau collègues complexe hotel lingerie -initfh
Auteur : Alainmichelais  (sauvetage psy ! après traumatisme lié à un décès familial)            Envoi mini-message
Sauvetage psy !

En 1973, jeune diplômé, j’obtiens un emploi dans une société proche de la frontière luxembourgeoise. Quelque temps après mon arrivée, je suis envoyé, ainsi que Monique jeune stagiaire, en stage au siège de la société, près de Nancy, à 120 km. Monique n’a pas de moyen de locomotion, je lui offre de l’emmener et l’avertis que je coucherai à Nancy. Elle est d’accord mais précise qu’elle a des problèmes financiers. Nous décidons donc de ne prendre qu’une seule chambre, à condition que je reste sérieux avec elle.


Pendant le trajet, j’apprends qu’elle est orpheline, sa mère étant décédée depuis peu en laissant quatre autres enfants. Monique est la plus âgée et elle s’occupe de ses frères et sœurs. Je comprends mieux ses problèmes et me mets à compatir avec sa douleur. La journée de travail est très intense, et, le soir nous trouvons un petit hôtel restaurant pas cher près du lieu de stage. Nous prenons rapidement possession de notre chambre et il est déjà l’heure du dîner. Après celui-ci, nous décidons de faire un petit tour dans Nancy.


Après notre sortie digestive, nous rentrons donc à l’hôtel, bien fatigués. Bises, chacun se couche. Avant de passer dans le cabinet de toilette, Monique sort de son sac sa tenue de nuit : magnifique pyjama short agrémenté de dentelles et j’observe une petite culotte. Bizarre. J’entends la douche… et je la vois revenir, magnifique dans sa tenue de nuit. Je m’aperçois que, sous son short, elle a enfilé sa petite culotte : sans doute ne fait-elle pas confiance à la promesse faite. Elle se couche et me souhaite bonne nuit en me disant qu’elle ne va pas tarder à s’endormir étant donné la journée chargée que nous avons eu et celle qui nous attend.


Je me douche et, à mon retour, elle dort déjà. J’hésite et, étant donné la chaleur de la chambre je ne garde que mon caleçon au lit. Je m’endors rapidement après avoir lui fait un bisou discret dans le cou. Dans la nuit, je me réveille et, surprise, je m’aperçois que Monique se retrouve lovée, nue contre moi. Mystère. Je l’enroule bien dans mon bras droit, ma main bien sur son sein et ma main gauche devient exploratrice. Je découvre qu’elle a conservé sa petite culotte, ce qui me confirme bien qu’elle tient à me faire respecter l’engagement pris. Malgré cela ma main gauche devient discrètement hardie et passe délicatement à l’intérieur de la culotte. Soupir, je ne veux pas réveiller Monique : Stop.


Je me rendors en pensant évoquer cela dans la discussion au réveil ! Plus tard, je me réveille de nouveau, ou plutôt je suis réveillé ! La situation a évolué : Monique n’a plus la petite culotte, enfin, et sa main se retrouve autour de mon sexe. C’est de plus en plus mystérieux, surtout qu’elle dort bien. Je fais encore évoluer la situation en faisant discrètement glisser le peu de vêtement qui me reste. Nous voilà donc enlacés, entièrement nus et surtout avec sa main autour de mon sexe… elle dort. Ma main gauche se déplace et mon index explore son sexe : quelle humidité. J’ai quelques doutes sur le sommeil. Pourtant, il a l’air réel. Je surveille la respiration de ma voisine : il correspond bien à un sommeil. Je me rendors dans la situation, difficilement.


Plus tard, quand je me réveille, les positions n’ont pas changé : ma main droite sur ses petits seins, mon index gauche dans sa mouille vaginale et sa main autour de mon sexe qu’elle a bien décalotté. Je suis surpris, mais elle a pris de l’avance ! Elle est déjà réveillée et attend ma réaction ! Elle m’explique tendrement qu’elle avait chaud ! Moi aussi ! Elle s’excuse d’avoir rompu « le pacte de confiance », etc. Quelle histoire ! Je caresse, elle caresse, ce n’était pas prévu. Ce qui l’est encore moins c’est la sonnerie du téléphone ! Il faut se préparer pour aller au travail…


Le plus fort c’est que je continue à croire qu’elle était sincère car nous en en avons reparlé dans la journée et, elle semblait être toute confuse. Pas moi ! Le soir après notre journée du travail, nous rentrons sans parler de notre expérience. Quelques jours après, j’ai la surprise de retrouver dans ma boîte aux lettres un courrier :


« J’ai bien aimé que tu respectes mon choix, merci, bises. »


Elle ne souhaite pas en parler quand nous nous rencontrons au travail ! Sachant qu’elle est seule et ne sort pas beaucoup de sa maison, je lui propose parfois de profiter de mes sorties touristiques dans la région : je visite souvent le samedi après-midi. Une journée, nous allons visiter Luxembourg, et là, elle s’arrête devant un magasin de lingerie fine et décide de rentrer en m’invitant à venir l’aider à choisir… Une tenue de nuit ! Sachant son anniversaire proche, je me permets de lui offrir celle qui lui plaît, à moi aussi !


Quelques semaines plus tard, lors d’un week-end prolongé, je prévois une sortie de trois jours dans la région : je lui propose alors de m’accompagner, sa réponse n’est pas immédiate mais finalement elle accepte, avec les mêmes conditions : respect de son intimité… très intime ! En précisant :



Nous partons donc le samedi matin en nous dirigeant vers la Lorraine. Toute la journée nous visitons la région. Le soir, je commence à être fatigué de ma cette journée de visites, de déplacements. Nous nous arrêtons dans un petit village après avoir aperçu un petit hôtel restaurant qui paraît sympathique. Monique se charge de demander une chambre : je préfère lui laisser l’initiative pour voir son attitude. Elle revient rapidement en m’informant qu’il n’y a pas de problème : nous prenons donc possession de la chambre. Un seul lit : elle n’avait pas changé la formule.


Un peu de repos et dîner, petite promenade et dodo. Monique semble vouloir procéder au même cérémonial. Je m’arrange alors pour inverser et je prends ma douche en premier. Je passe au lit quand elle prend sa douche. Mais cette fois, au lit, j’y vais entièrement nu. Monique revient de la douche et me fait admirer érotiquement la magnifique tenue. Mais, ô ravissement, elle passe au lit en enlevant la tenue et elle n’avait pas mis de petite culotte. Dans le lit, bisou, elle m’affirme qu’elle peut me faire confiance et qu’elle est rassurée. Pour me montrer cette confiance dit-elle, elle se love dans mes bras, prend ma main gauche et la place sur son intimité et surprise pousse mon index dans son sexe ! Je suis surpris et ma réaction le prouve. C’est alors qu’elle prend en charge mon sexe, l’enserre dans sa main et me dit fièrement : c’est comme cela que je veux dormir ! Ordre d’une femme, je ne discute pas.


Le matin, je me réveille le premier, elle dort calmement et m’a entièrement libéré. J’entreprends de la caresser langoureusement, en cherchant à éviter de la réveiller. Ma langue explore délicatement son corps, après les seins, je me dirige vers son sexe, et comme elle a les jambes écartées je n’ai pas de problèmes pour la lécher délicatement. Je sens qu’elle se réveille, j’entends des soupirs et je m’aperçois qu’elle serre les jambes, empêchant une trop grande exploration de son intimité : je dois reconnaître que ma langue était un peu profonde ! Et surprise, elle me dit :



Elle se lève et part sous la douche. Quand elle revient, elle s’excuse encore. Je comprends qu’il y a un problème chez elle mais n’en parle pas immédiatement.


Dans la journée, je le sens mal à l’aise. Dans l’après-midi, je lui parle en conduisant, en évitant d’évoquer le problème. Le soir, retour à l’hôtel, avant de passer au dîner, je décide de passer sous la douche, elle en fait de même ensuite. Nous nous préparons et passons à table, puis petite promenade avant de rejoindre l’hôtel. Nous regardons la télévision dans le salon de l’hôtel, mais fatigué, je m’endors et décide donc de monter me coucher. Nous montons donc dans la chambre et passons au lit, dans nos tenues habituelles de nuit, nus. C’est alors que j’ai la surprise de la voir venir dans mes bras, face à moi, et, toujours en s’excusant pour son comportement du matin ! J’en profite pour lancer la discussion et, elle se met à pleurer, sangloter. Je lui confirme que je continuerai à respecter notre décision initiale, mais que je souhaiterais avoir des explications.


Monique en revient au traumatisme subit lors du décès de sa mère et sur la charge qu’elle a avec ses frères et sœurs, elle me précise qu’elle en garde des troubles physiologiques et les pleurs redoublent. Je finis par savoir qu’elle en avait perdu ses règles, que le gynécologue ne voyait pas de solution proche. J’en conclus que le problème était aussi psychique et je lui en fais part en demandant si elle avait consulté un psy. Évidemment non ! Je la calme et avec la plus grande douceur possible je la caresse, principalement ses seins magnifiques qui me prouvent une excitation certaine. Je m’apprête à des caresses plus intimes quand je sens ses jambes se serrer, encore. Elle s’en excuse et les écarte. Malgré cela, je n’insiste pas. Elle tente alors de passer à l’action, en s’occupant de mon sexe qui, lui, ne demande que cela. Mais je vois bien qu’elle se force un peu. Je lui en fais la remarque mais elle me répond que j’étais tellement respectueux, qu’il fallait bien qu’elle fasse un effort. Ses caresses sont toutes pleines de douceur, mais prêt à jouir, je lui demande de cesser. J’ai la sensation qu’elle est contente qu’il en soit ainsi car je reçois un merveilleux bisou, comme elle ne m’en avait encore pas fait. Je tente une caresse intime, mais à nouveau, j’ai la sensation qu’elle se laisse faire juste pour me remercier, me faire plaisir. J’abandonne et, nous nous endormons, tendrement enlacés.


Le lendemain, nouvelle journée de tourisme, en évitant toute allusion de ma part aux événements de la veille. Le soir, en la déposant chez elle, je lui fais promettre de consulter un gynéco et un psy. Quelques semaines après, et suite à plusieurs demandes, elle m’affirme avoir pris un rendez-vous chez un psy, son médecin traitant et son gynéco lui confirmant qu’il y avait un problème psy. Je suis ravi par cette décision et je la conduis moi-même chez le psy. Je trouve qu’elle reste bien longtemps : trois quarts d’heure.


Quand elle sort, je m’aperçois qu’une fois de plus elle a pleuré. En effet, le psy lui avait dit que c’était relativement grave, qu’elle aurait dû être prise en charge plus rapidement et, qu’en conséquence la guérison sera lente. Apparemment elle a évoqué le problème avec moi et le psy lui a dit qu’il fallait que je ne m’offusque pas de ses réactions. Je m’aperçois qu’elle vient plus spontanément vers moi pour discuter de ses problèmes. Elle ne fait également que se confondre en remerciements, mon attitude permettant d’envisager de résoudre son problème. Elle sait que je vais bientôt quitter la région et souhaite faire une nouvelle expérience avec moi. L’aspect psychologique n’est pas encore régler, loin de là : ses propos le prouvent. Quant à l’aspect physiologique, je n’ose pas en parler, elle non plus ! Mais il est évident que le problème persiste.


Nous trouvons l’occasion trois semaines avant mon départ pour nous organiser un week-end touristique car elle ne souhaite pas que nous nous retrouvions dans notre ville, dans sa ville. Nous partons et cherchons à respecter le processus des autres week-ends. Le soir nous trouvons un petit hôtel restaurant pas cher, en campagne. Installation, dîner, petite promenade et nous sommes dans la chambre. Je me douche et part au lit, nu, devant elle. Elle passe au cabinet de toilette, ressort nue, et, souriante… enfin. Elle me rejoint dans le lit, se cale contre moi et commence une discussion concernant ses problèmes. Elle parle plus librement, je n’ai plus besoin de la questionner. Pendant ces instants, je caresse tendrement ses merveilleux seins. Lorsque je me dirige vers son sexe, elle continue à parler naturellement et ne serre plus les jambes. Quel progrès ! Elle prend mon sexe dans sa main et commence une douce masturbation… enfin… mais voilà, elle s’arrête de nouveau et me précise qu’elle a peur. Je lui indique que notre « convention » s’arrête avant ! Et les pleurs repartent !


Elle a peur, pas encore de règle, pas de contraception, le gynéco refuse pour l’instant. Manifestement, le blocage est encore présent. Elle s’aperçoit que je suis un peu déçu et reprend donc son activité autour de mon sexe, je n’en demande pas plus, et, enfin elle me conduit à une jouissance extrême. J’en profite pour lui signifier qu’afin de la remercier, j’aimerais lui offrir une tenue affriolante en guise de souvenir. Elle me précise que ce n’est pas son genre, mais que si cela doit me faire plaisir, elle la conservera bien précieusement.


Dans la semaine, un soir nous nous rendons à Luxembourg dans un magasin spécialisé en lingerie fine. Après avoir examiné plusieurs tenues, elle s’oriente vers trois tenues rouges. Le choix est difficile. La vendeuse nous précise que nous avons le temps de choisir et nous indique que nous pouvons utiliser la cabine d’essayage et elle nous y conduit. J’ai la possibilité d’entrer et la cabine est bien fermée. Monique se déshabille intégralement, sans complexe, pour me faire plaisir, précise-t-elle ! Elle enfile successivement chaque tenue, et, entre chaque changement, je crois assister à un vrai strip-tease artistique : il faut dire qu’elle a fait de la danse classique ! Elle semble y prendre un vif plaisir, chose que je peux vérifier par une tendre caresse vaginale ! J’ai la confirmation que cela va beaucoup mieux pour elle. Le choix est difficile, elle en profite par reprendre une des tenues déjà essayée puis nous nous fixons sur un modèle un peu plus foncé que les autres mais plus échancré et surtout à l’ouverture d’entre-jambe facile !


Le choix fait, nous rentrons chacun chez soi car elle doit s’occuper de sa famille. Elle me remercie juste et me demande si nous pourrions nous rencontrer, de nouveau, une nuit avant mon départ. Elle est plus confiante que les autres fois, mais quand même avec une certaine réserve. Nous en reparlons en début de semaine et elle est d’accord pour se libérer pendant le week-end. Elle me précise même qu’elle pense me faire une petite surprise, un petit cadeau


Nous partons donc faire du tourisme, cette fois-ci, en Allemagne, dans la vallée de la Moselle. La journée se passe bien, J’ai la chance d’avoir une charmante interprète : je ne parle pas allemand, Monique si ! Elle paraît détendue et me parle très librement de ses problèmes. La sortie avant mon départ lui avait été conseillée par le psy, mais elle trouvait qu’il était un peu trop tôt depuis le rétablissement de ses règles : enfin une bonne nouvelle. Je lui laisse le choix de l’hôtel : c’est elle qui peut traduire. Nous nous arrêtons dans une petite ville de la vallée de la Moselle, comme d’habitude, dîner, petite promenade en ville. Nous nous installons à l’écart, à la terrasse d’un bar, et discutons. Beaucoup de sujets sont abordés, mais surtout celui de ses problèmes personnels. Elle me met au courant des avis des spécialistes consultés, et, malicieusement, m’indique que je suis probablement, pour son cas, le meilleur spécialiste.


Elle me réaffirme qu’elle avait eu confiance et de nouveau m’en remercie. Pendant ses effusions, elle se penche, affalée sur moi, la tête sur mon épaule et parfois me distribue de tendres baisers. Son attitude a vraiment changé, d’autant plus que ma main s’est lancée dans une aventure sous sa jupe, mais elle porte un panty long, modèle très en vogue à cette époque.


La soirée est bien avancée quand nous rentrons à l’hôtel. Je prends ma douche en premier et je me couche. Elle se retire dans le cabinet de toilette et je la trouve bien longue. Elle réapparaît, resplendissante dans la magnifique tenue offerte précédemment, en précisant :



Elle s’assied sur le lit, nous discutons un peu. Je la caresse et elle me précise :



Si j’avais su j’aurais choisi un simple déshabillé, c’est plus facile à enlever ! Je dégage donc un premier sein et je m’aperçois que le téton est bien gonflé, bien excité : cela me semble bon signe ! Le second sein ne tarde pas et je lui fais de longues caresses, obtenant même des gémissements de plaisir. Il faut alors passer à une autre occupation, aller un peu plus bas ; et c’est souvent par-là que les problèmes se posaient. Elle semble pourtant vouloir en venir à des caresses plus précises. Elle m’aide même à enlever le reste de sa tenue, et pour cela elle s’assoit au bord du lit. Je fais glisser l’ensemble bien délicatement en caressant ses douces fesses musclées. Elle se retourne et, ô merveille, elle s’est entièrement épilée : c’était cela la surprise. J’avais évoqué un jour que j’aimais bien les femmes épilées et elle s’en rappelait ! Je ne dis pas dans quel état se trouve mon sexe !


Elle me caresse tendrement pendant que j’explore son intimité secrète qui, elle aussi, est dans un état caractéristique. Timidement, elle me demande si je veux bien essayer ce que nous n’avions pas encore fait. Elle s’étend entièrement sur le lit, les jambes grandes ouvertes. Je n’ai plus qu’à la pénétrer, chose que je me mets immédiatement à faire. J’essaye de le faire le plus délicatement possible, le plus lentement, le plus profondément et mes craintes sont dissipées : elle se laisse faire avec un sourire révélateur. Elle me précise :



Je la pompe doucement, longuement et je perçois sa satisfaction d’être enfin libérée. Elle a un premier orgasme non simulé, bien réel et me supplie de continuer le plus longtemps possible. Ce que je tente de faire mais, de mon côté je sens que je ne vais pas pouvoir continuer bien longtemps Nous faisons une petite pause, moi ancré bien profondément en elle. Elle gémit de plaisir et n’arrête pas de contracter son vagin de façon à me faire un massage ! Je ne peux résister longtemps à ce traitement et reprends donc quelques pompes avant de décharger en elle. La puissance de ma décharge la fait éclater d’un cri violent. Je reste bien enfoncé en elle et je tombe en somnolence ainsi. Quand j’émerge, elle me demande si je veux recommencer, et pour cela elle entreprend une caresse approfondie de mon pénis bien dégonflé ! Peine perdue, nous devons en rester là pour cette soirée fantastique. Le lendemain matin, après deux ou trois tendres caresses, nous décidons d’un commun d’en rester sur cette bonne sensation et, nous reprenons notre circuit-découverte.


Mais, mon départ est programmé ! J’ai loué une camionnette pour faire le déménagement. Deux copains sont venus aider pour charger la camionnette de façon à être prêt pour partir le lendemain matin. Monique arrive aussi. La camionnette prise à dix-huit heures est chargée vers vingt-et-une heure. J’ai prévu un dîner rapide pour mes amis, Monique ne veut pas rester car elle est vraiment fatiguée. En partant, elle me précise juste :



Vers minuit, les copains partis, je me trouve sous la douche, on sonne à ma porte ; je fais vite et Monique est là. Elle veut passer la nuit avec moi, mais je n’ai qu’un matelas pneumatique et des sacs de couchage. Pas de problème, elle a plein de courbatures, moi aussi. Nous nous dénudons et passons « au lit ». Effectivement elle semble avoir les muscles endoloris : je lui propose un massage. Je trouve l’huile de massage décontractante et fais un vrai massage pendant une heure. Elle est ravie, et, se laisse bien faire, surtout quand je masse des parties sensibles. Quand je décide d’arrêter le massage, elle écarte les jambes, m’enserre le cou, et, avec une force que je ne lui connaissais pas me plaque sur elle, en me disant, à ma surprise :



C’est la première fois que j’entends ce vocabulaire dans sa bouche. Je la pénètre donc doucement et, quand je suis bien profondément en elle, elle me dit :



C’est alors qu’elle se lance, en vrai gymnaste dans des mouvements impressionnants du bassin. Je maintiens la pression, mais dois la relâcher. Elle arrête de peur de me faire jouir immédiatement, puis reprend, et cela plusieurs fois. Elle veut vraiment profiter de mon sexe. Je ne peux tenir et explose en elle, elle me dit de rester le plus longtemps en elle et, m’enserre puissamment avec ses jambes. Je finis par m’endormir, et je suis surpris de la retrouver, au petit matin, en train de me serrer encore. Elle me précise que pendant mon sommeil, j’avais eu des érections, quelle m’avait provoquées et que cela avait été merveilleux pour elle. Je finis par me retirer, plus fatigué qu’avant de me coucher. Il faut que je parte faire les neuf heures de route.


Je pars satisfait car je m’aperçois qu’elle va vraiment mieux.