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Temps de lecture estimé : 30 mn
04/03/14
Résumé:  Maître est debout, vêtu de noir de la tête aux pieds, ce qui fait contraste avec sa chevelure blanche. Agenouillée à ses côtés, garnie de bas autofixants à motifs, court bustier à seins nus, moi, sa soumise, j'attends, laisse au cou.
Critères:  fhh fsoumise hdomine fellation sandwich fdanus fsodo jeu aliments fouetfesse -couple+h -fsoumisah
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message

Série : MMS - Maître Monsieur Soumise

Chapitre 01 / 04
Soirée sensuelle pour soumise sexuelle

MMS - Maître Monsieur Soumise - 1


Soirée sensuelle pour soumise sexuelle




Trois protagonistes :



Les divers épisodes de cette série peuvent être consultés indépendamment.






Accueil



Maître est debout, vêtu de noir de la tête aux pieds, ce qui fait contraste avec sa chevelure blanche. Agenouillée à ses côtés, garnie de bas autofixants à motifs, court bustier à seins nus, moi, sa soumise, j’attends, laisse au cou. Monsieur, qui vient juste d’arriver, regarde le spectacle, et surtout me regarde, moi ; son regard dit nettement que je suis, selon lui, une appétissante femme obéissante et docile.



Connaissant mes usages, traînant ma laisse métallique derrière moi, c’est à quatre pattes que je m’approche de Monsieur qui me regarde avec attention arriver jusqu’à lui. Arrivée à ses chaussures, j’incline la tête pour venir déposer un baiser d’hommage sur chaque pied. Puis, agenouillée à nouveau, j’attends les autres ordres. C’est mon Maître qui prend la parole en premier :



Docile, je ramasse la poignée de la laisse et je la donne à mon nouveau Dominant qui me promène ensuite un peu dans le salon, mes genoux et mes paumes sur le carrelage plutôt froid. J’espère ne pas ruiner mes bas, vu le prix que ça coûte ! Alors que Monsieur fait mine de s’asseoir, Maître l’arrête d’un geste de la main :



Aplatissant mes seins sur le sol, toujours agenouillée, cul en l’air, de mes mains, tournant le dos aux hommes, j’écarte mes fesses, révélant un gros rosebud à l’œil rouge sang. Assurément, Monsieur apprécie :



Puis se tournant vers son hôte, mon Maître :



Je sais que ce n’est pas le petit modèle : j’ai eu un peu de peine à le mettre, aidée par une dose copieuse de lubrifiant ! Je reste figée dans ma position humiliante, mes seins sur le carrelage froid, les deux hommes continuant de deviser :



Maître répond d’une façon que je trouve sardonique :



Puis s’adressant à moi, toujours prosternée au sol :



Tandis que je m’éloigne d’eux sous leurs regards intéressés, ceux-ci s’assoient dans le grand canapé. Se tournant vers son voisin, l’invité demande :



Puis je reviens, un plateau chargé dans les mains. Je demande ce que mes deux Dominants veulent boire ; je les sers avec diligence et humilité. Puis je dispose les biscuits apéritifs à portée de main. Enfin, je repars pour revenir avec ma gamelle en alu : il ne fallait surtout pas mélanger mes affaires avec celles de mes Maîtres ! Je la pose à côté de moi. Ceci fait, je m’agenouille de l’autre côté de la table de salon, puis j’attends, paumes vers le haut, posées sur mes genoux. Monsieur est admiratif :



Mon Maître sourit, il me dévisage puis me lance :



Sans mot dire, il tend la main pour saisir une bouteille de soda, puis à bout de bras, il remplit ma gamelle, éclaboussant un peu à côté. Le visage neutre, il repose la bouteille qu’il revisse et ordonne :



Monsieur intervient, demandant, presque en catimini :



Mon Maître se penche sur son invité, et lui murmure quelques mots que je ne comprends pas. Je vois ce dernier hocher de la tête puis lâcher :



À ces mots, je me penche et je lape ma gamelle pour me désaltérer, telle la petite chienne que je suis. Puis, obéissante, je nettoie de ma langue le carrelage sous l’œil admiratif de Monsieur. Comme ce n’est pas évident, le pourtour de ma bouche et mon menton sont maculés.



J’obéis, me tenant toujours agenouillée aux pieds de Maître. Lançant le bras, il prend quelques biscuits apéritifs et les présente à mes lèvres. J’ouvre aussitôt la bouche ; il dépose délicatement la nourriture sur ma langue. De son autre main, il joue avec un sein. Il convie Monsieur à faire de même ; celui-ci s’exécute tout de suite, ses doigts palpant mes chairs, profitant de la mollesse de mon sein.


Puis Maître entreprend de me donner à nouveau la becquée. Il répète ensuite l’opération plusieurs fois, jusqu’à ce que je secoue un peu la tête. Mais le pelotage de mes seins ne s’arrêtera pas, ces messieurs ayant bien décidé de profiter de moi. Je ne peux leur donner tort : ne suis-je pas à présent à eux ?


Il y aura ainsi quelques petits jeux pour se mettre dans le bain, si je puis le dire ainsi… Des petits jeux, rien de réellement consistant…




Premier Gage



Assise sur un pouf rouge près de la cheminée, j’attends la suite des événements. L’apéritif fini, les deux Dominants discutent visiblement de la suite à donner. Tout en les regardant, je souris, me doutant bien qu’ils vont se faire un plaisir de passer à la vitesse supérieure, me soumettre encore un peu plus.


Maître s’empare d’une feuille de papier qu’il divise en douze grandes cases réparties en deux colonnes sur six lignes, il barre la première puis il numérote les autres de deux à douze. Puis il fait de même avec une autre feuille qu’il tend à notre invité. Monsieur est intrigué. Mon Maître explique :



Ces mots me font frémir. Mon Maître poursuit :



Déjà mon Maître remplit sa feuille ; Monsieur jette de temps en temps un coup d’œil. Visiblement, ça lui donne des idées. À un moment donné, il fait voir sa feuille à Maître qui lui répond sereinement :



Il ne faut pas demander ! Mon Maître aime le hasard plus ou moins contrôlé, il peut ainsi ignoblement se défausser sur la "Divine Providence" comme il dit par cynisme !



Maître pose sa feuille sur la table basse, puis il se tourne vers moi et ordonne :



Je saisis les dés ; je ne vois pas très bien ce qui est marqué sur la feuille de Maître, c’est trop mal écrit. Je me demande même si c’est écrit en français ! Les dés roulent et indiquent un total de dix. Maître regarde sa feuille et énonce :



Sitôt dit, Maître me place au milieu du salon, me faisant mettre les mains sur la tête afin de bien dégager ma poitrine et la mettre en valeur. Puis, délicatement, il flatte mes tétons qui se dressent presque illico. Je distingue un net sourire de satisfaction sur ses lèvres. Il joue avec mes seins, les soupèse, les caresse, en pince délicatement les tétons. Puis se tournant vers notre invité, il lance :



Inutile de le dire deux fois à Monsieur ! Peu après, ce sont quatre mains qui me palpent, qui me caressent, qui tâtent l’élasticité de mes douces masses. J’aime que l’on profite de moi ainsi, me savoir désirable et désirée.


C’est alors un festival de pincements, d’étirements, de broyages, mais aussi de caresses, de baisers et de lècheries. Comme une coquille de noix dans un torrent de désirs, je me laisse balloter, profitant de ces convoitises qui s’exercent sur moi et dans la chair blanche de mes seins malmenés.


Monsieur étire un de mes mamelons ; veut-il en tester l’élasticité ? Et jusqu’où ? Maître est moins tyrannique : il se contente de mordiller son téton, enfin le mien… Moi, j’ai toujours les mains sur la tête, offerte à l’appétit de ces hommes qui n’en ont jamais assez, je suis souvent bien placée pour le savoir : dévoilez-leur un bout de décolleté, ils voudront toute la poitrine, puis le corps complet ! Sans parler de faire l’amour par tous les trous ! Encore heureux que Maître ne sache pas lire dans mes pensées impures ; j’aurais droit à des tas de punitions pour irrespect !


J’évacue ces pensées indignes d’une bonne soumise dévouée à ses Maîtres.


Ceux-ci me malaxent posément les seins, cherchant à les modeler à leur guise, et leurs desseins me semblent esthétiquement curieux… N’empêche qu’ils y vont de bon cœur ; mes seins travaillent, c’est certain !


Soudain, sans prévenir, Maître lâche mon sein qui retombe mollement et en tressaillant. Sensation singulière ! Puis, amusé, il recommence plusieurs fois ! Décidément, je suis leur objet ! Et maintenant, c’est Monsieur qui fait de même ! Ils s’amusent tous les deux à tester la souplesse ainsi que les rebonds de mes masses sensibles !


Puis, pour me consoler, j’ai droit à un énorme bisou très appuyé sur mes deux mamelons, avec tétée comme pour les bébés… Ce premier gage, ce travail des seins aura été finalement assez facile et pas trop rude. Une bonne mise en bouche, comme l’a si bien dit Maître, qui ne déteste les jeux de "maux" !


Maître et Monsieur s’éloignent de moi. Ouf, mes seins peuvent enfin se reposer ! Mes bras aussi !




Deuxième Gage



C’est au tour de l’autre feuille, celle de Monsieur. Je me masse fugacement les bras puis je prends les dés. Ceux-ci roulent à nouveau puis s’immobilisent après une certaine course contre un verre. Cinq et un, six. Monsieur annonce, l’air gourmand :



Je réfléchis ; je fais, je ne fais pas ? Pour une entrée en matière, ce serait assez bien. Durant ce temps, mon Maître s’esclaffe :



Il est tout fébrile ; il s’installe dans le canapé :



Agenouillée entre les jambes de Monsieur qui est confortablement installé sur le canapé, attentionnée, je m’active à présent autour du gourdin de chair qui m’est offert. Avec application, ma langue trace de longs sillons de salive le long de la tige frémissante.


Tandis que j’honore de mes lèvres notre invité, Maître joue du martinet sur mes fesses, d’abord délicatement, puis de plus en plus fortement. Néanmoins, il veille à ce que les coups portés restent d’égale intensité ou soient légèrement progressifs afin de ne pas me surprendre, moi sa dévouée soumise, ce qui pourrait avoir des conséquences fâcheuses pour celui que j’ai en bouche !


Monsieur est aux anges ! Moi, je m’applique du mieux que je peux, et il a l’air de beaucoup apprécier. Il serre même les poings et les dents. Soudain, il repousse ma tête. Intriguée, je reste suspendue ; Maître questionne :



S’approchant de lui, Maître, martinet en main, demande :



Je reprends en bouche cette tige frémissante dont le bout perle déjà de quelques gouttes de sperme, et sensuellement, ma langue caresse le gland prêt à tout lâcher. Je sens un petit raidissement de la part de Monsieur ; je pense qu’il est mûr, alors j’enfourne posément son sexe pour le pistonner vicieusement. Le résultat ne se fait pas attendre : il décharge dans ma bouche, par petites pulsations tandis que j’avale tout, en bonne soumise consciencieuse.


Il se vide en moi par petites saccades, sa tige mollissant entre mes lèvres. Je le nettoie comme il se doit jusqu’à ce qu’il soit complètement flasque. Ma mission terminée, je me recule un peu, puis je dis d’une voix douce, en m’inclinant :



Fatigué, épuisé, il ne répond pas, il fait juste un geste, mais j’ai compris qu’il avait beaucoup aimé ce petit traitement buccal.




Troisième Gage



Quelques minutes plus tard, Monsieur a récupéré ; il vient de finir son verre pour mieux revenir dans la course. Hochant de la tête, il s’adresse à Maître :



Maître caresse ma joue ; j’aime beaucoup ! Ce faisant, il change de sujet :



Je m’empare des dés que je lance sur la table basse. À nouveau, cinq et un, total six. Maître consulte sa feuille :



Je prends le cinq ; il roule longuement et s’immobilise sur le un. Double un ; total : deux. J’ai comme une appréhension. Doctement, un zeste amusé, Maître dit :



Durant la conversation, Monsieur jette un coup d’œil sur la feuille de Maître. Découvrant le gage, il plisse des yeux :



Un bref silence ; c’est Monsieur qui parle le premier :



Je m’agite un peu, me dandinant sur place. Voyant mon manège, Maître me donne la parole :



Monsieur intervient en chuchotant, mais comme mon ouïe est bonne, je l’entends :



Peu après, je suis en position sur les deux poufs, mes fesses vers les hommes, à présent installés dans le canapé. Je me penche, offrant le rosebud à leurs regards, un bras sur l’assise de la chaise. J’espère ne pas me casser la figure !



De ma main libre, j’agrippe la rondelle du rosebud et j’essaie de tirer dessus pour extirper ce gros objet de mon fondement. Mais celui-ci résiste ! Il faut dire que ça n’a pas été évident de le loger là ! Je souffle un bon coup et je recommence. Je sens nettement l’engin coulisser en moi, mais toujours impossible qu’il sorte !



Après deux autres tentatives, enfin, le rosebud s’extirpe de l’étroit canal dans lequel il était calé. Le moins que je puisse dire, c’est que je l’ai senti passer ! On me l’enlève des mains, mon Maître sans doute. Je l’entends le poser sur la table. Monsieur s’exclame :



Je ne pouvais pas me permettre la honte de laisser des traces incongrues sur ce rosebud devant notre invité ! Soudain, je sens que s’introduit en moi quelque chose de plus mou et de chaud. Je reconnais sans problème le mandrin de mon Maître ; il adore passer par l’entrée des artistes et ne s’en prive pas. Je me penche un peu plus pour lui faciliter la tâche.



Je fais comme il dit, remuant du popotin pour faciliter son intrusion en moi. Je réalise que je me fais enculer devant un autre homme qui adorerait prendre la place de mon Maître ! Étonnamment, ça rentre tout seul ! Le rosebud aurait-il ouvert de beaucoup mes sphincters ? Comme s’il lisait en moi, Maître explique :



Et le pistonnage commence !


D’abord lentement, mais posément. Puis il s’accélère sans pitié. J’aime être prise ainsi, brutalement, bestialement. J’aime aussi la douceur et la tendresse, mais j’aime alterner.


Pour l’instant, je sens nettement une chose intrusive s’enfoncer en moi, me combler, m’envahir. Maître me prend bestialement, comme si j’étais sa simple poupée, sa chose. Oui, je suis sa chose, j’aime être sa chose quand il dispose de moi telle un objet. J’aimerais pouvoir voir la tête de Monsieur…


Soudain, après un violent coup de reins, me saisissant fortement le bassin, il éjacule en grognant, se libérant sans complexe dans mon trou sombre. Après une brève pause, il se retire sans façon. Vacillant un peu, il me redonne le rosebud que Monsieur a enduit sommairement de lubrifiant.



Je m’exécute. À ma grande surprise, il entre tout seul, ou presque. Tout au plus ai-je dû forcer un peu pour que le gros œuf de métal franchisse ma rondelle qui doit être très dilatée !


Je tâte un peu pour voir s’il est bien mis en place. C’est à ce moment que Maître me présente son sexe encore un peu raide mais poisseux. Sans hésiter, j’ouvre la bouche pour l’accueillir entre mes lèvres, tandis que ma langue le câline doucement et tendrement. Une ou deux minutes s’écoulent ainsi. Peut-être plus, je ne sais pas… Soudain, j’entends Maître dire :



Moi, toute fière, je continue de servir mon Maître…




Collation



Nous prenons une petite collation sous la forme d’une pizza puisque nous avons un four spécial pour en faire. Tandis que je m’affaire, fesses et seins à l’air pour le plaisir des yeux, les hommes discutent.


Quelques minutes plus tard, la première pizza est cuite. Je l’apporte à table, la découpe et sers chacun des hommes. Maître en profite pour me caresser les fesses quand je le sers ; Monsieur fait de même ensuite. Ceci fait, je me poste à côté de la table. J’attends que Maître me dise de m’asseoir et de manger. Ça donne faim de sentir cette odeur !



Je me demande bien pourquoi. Peu après, je reviens avec le carton rond. Mon Maître s’en saisit puis le pose par terre :



Deux minutes plus tard, je suis à quatre pattes entre les deux hommes assis à tenter de manger ma pizza tant bien que mal ! Ce faisant, je dandine du cul, ce qui amuse ces messieurs qui ne se privent pas de flatter mes fesses offertes. Au bout d’un certain temps, je réussis à finir mon assiette, mais au prix d’un barbouillage de ma figure, ce qui amuse à nouveau ces messieurs. Maître me dit alors :



Je me demande bien quelle va être la suite ! À ma grande surprise, Maître prend sa serviette qu’il humecte avec l’eau de table puis, avec douceur, il me débarbouille. Honnêtement, je m’attendais à bien autre chose ! Mais j’adore quand il est aux petits soins avec moi !


Nous avons tous fini notre morceau de pizza, puis la suivante que j’ai pu manger normalement, ce qui est quand même plus pratique ! Ce fut dix minutes de parenthèse dans notre jeu commun, dix minutes "vanille". Puis Maître se tourne vers notre invité :



Maître se tourne vers moi. À son expression, je comprends tout de suite que la parenthèse se referme, que le jeu recommence :



Après être allée les chercher dans le garde-manger, j’en pose une devant chaque homme, puis une à ma place. Et j’attends, car je me doute bien de quelque chose ! La confirmation arrive presque immédiatement de la bouche de Maître :



Marc intervient :



Coupe en main, je glisse sous la table. Maître s’approche du bord de sa chaise pour me faciliter les choses. D’ailleurs, ce sont ses choses à lui que je révèle peu après à la lumière tamisée du dessous de la table. Puis, conformément à sa demande, je trempe son sexe encore un peu mou dans la coupe de crème et je déguste suavement. Quelque temps après, il devient de plus en plus difficile de faire baigner cette tige de plus en plus rigide dans ma coupe. Alors j’inverse la manœuvre en faisant couler un peu de crème sur le gland écarlate. Maître frémit ; il ne devait pas s’attendre à ça ! Devant cette belle sucette crémeuse, je n’hésite pas : je la déguste sensuellement, jouant vicieusement de ma langue autour de sa tige, de ses recoins, de ses veines palpitantes ! Je sens bien que Maître fait des efforts pour résister, ce qui m’amuse beaucoup et me fait plaisir qu’il ne soit pas insensible à mes caresses buccales.


Je décide de mélanger sa crème à ma crème. Je capture ses boules soyeuses que je masse délicatement, tandis que je joue du bout de la langue le long de son frein. Puis je m’attaque à sa tige frissonnante avant de recouvrir son gland de mes lèvres pour le cajoler.


Délaissant la bite de Maître, je capture un peu de crème dans ma bouche, puis j’enfourne à nouveau la queue frémissante que je pompe fermement. Le résultat ne se fait pas attendre : un premier jet vient se mélanger à la crème que j’ai en bouche. La tige vibre entre mes dents, lâchant diverses salves. Je ne peux empêcher une fuite le long de sa verge. Pour limiter les dégâts, je me décide à tout avaler.


Après l’avoir consciencieusement nettoyé de haut en bas et aussi sur ses testicules à présent vidés, après un dernier baiser appuyé sur son gland, je l’abandonne pour m’occuper de son voisin.


Je crois avoir entendu un soupir de soulagement…


Monsieur m’attend fermement, bite déjà bien raide, ce qui ne fait pas mes affaires. Néanmoins, j’arrive à la fléchir du bout des doigts pour qu’elle trempe dans ma crème, ce qui entraîne une réaction d’assouplissement qui m’aide beaucoup ! Sitôt maculée, je me fais un plaisir d’ôter la crème à ma façon, c’est-à-dire assez vicieusement. Monsieur a voulu une soumise sexuelle ? Il va avoir une soumise sexuelle !


Ça va faire déjà quelques allers et retours que je pratique, et à chaque fois, je vois bien que cette verge est de plus en plus raide, ce dont je me réjouis ! La crème diminue dans ma coupe ; alors, vu ce qu’il reste, je la renverse sur cette colonne de chair chaude afin de pouvoir déguster ce qu’il en reste. Comme Maître, il sursaute. Je donnerai cher pour voir leurs visages à tous les deux !


Pour me venger, je commence une splendide fellation vicieuse, comme j’aime en faire ! Je joue de mes lèvres sur sa tige frémissante, déposant mille baisers de feu sur cette peau si ténue et palpitante tandis que je masse doucement ses testicules que j’ai réussi à extirper de leur niche.


Je sens des petits tremblements dans la verge que je câline. Ma langue cueille même une goutte de sperme dans le méat humide. Mais je sens bien que Monsieur résiste, qu’il veut en profiter, même si ça lui coûte ! Alors j’entame une série de pompages en règle, aspirant bien son bout dès que je peux, tandis que mes doigts astiquent la base de sa tige, faisant coulisser la fine peau, palpant les veines palpitantes.


Ma bouche fatigue, je sens que je vais finir par avoir une crampe à la mâchoire si ça continue trop longtemps ainsi ! Je sais bien que Monsieur se retient du mieux qu’il peut, mais je finirai par lui faire cracher tout son jus ! Alors je joue le tout pour le tout : je me positionne légèrement en surplomb par rapport à cette bite qui ne veut rien lâcher, puis posément, je fais glisser délicatement sa tige dans ma bouche, la caressant suavement de mes lèvres en arrondi parfait. Son gland glisse sur ma langue puis s’aventure encore plus loin. Je repositionne ma bouche, je fais un effort sur moi-même pour bloquer mon réflexe quand son gland frôle ma luette. Puis avec fermeté, je fais coulisser sa queue dans ma gorge ; elle part se nicher dans mon œsophage. Puis graduellement, je ressors son mandrin tout entier jusqu’à l’orée de mes lèvres humides qui enserrent son gland, pour mieux l’avaler à nouveau, allant cette fois-ci encore plus loin dans cette gorge profonde !


Le résultat ne se fait pas attendre : enfin, il éjacule sans retenue ! Que ne faut-il pas faire pour avoir satisfaction ! Les salves se succèdent les unes aux autres, remplissant sans répit ma bouche, Monsieur semblant se vider de plusieurs années d’abstinence… J’avale sans hésitation tout ce sperme chaud et poisseux, récompense de ma dévotion.




Quatrième Gage



Je suis ressortie à quatre pattes du dessous de la table. Monsieur semble absent, Maître est dans de meilleures dispositions ; il a eu le temps de récupérer.



Petite parenthèse vanille, ce qui va me faire du bien. Nous bavardons de tout et de rien, comme si de rien n’était, comme trois personnes dans la vie de tous les jours, si ce n’est que j’ai les seins nus et un collier autour du cou.


Puis c’est la reprise du jeu avec les gages, le dernier. Du moins, c’est ce qu’a dit Maître tout à l’heure. J’espère que ça ne va pas être encore une fellation, car la routine dans ce genre d’exercice, ce n’est pas bien ! Et je crois avoir ma dose de sperme pour la soirée ! Le problème, c’est qu’il s’agit du gage de Monsieur, et je sais qu’il adore avoir son sexe dans la bouche des dames…



Maître me rappelle à l’ordre. Gourgandine ? C’est bien la première fois qu’il m’appelle ainsi ! De la variété en effet… Je lance les dés et je tombe sur un double-six ! Après un double-un, j’ai droit à l’autre. Qu’est-ce que ça va être ?



Maître se tourne vers Monsieur et lui demande :



Ah, faut pas demander ! Quoique, ce qui est hot pour l’un est parfois soft pour l’autre… J’attends donc la suite des événements, me demandant à quelle sauce je vais être à présent mangée ! Papier en main, Monsieur édicte :



Curieusement, c’est Maître qui répond :



Je me tourne à nouveau vers notre invité :



Je souris intérieurement : en réalité, ce gage, c’est pour qu’il ait le plaisir de me baiser, dans le bon sens du terme. Il aurait même volontiers exploré mon petit trou du cul si Maître n’y avait pas mis en quelque sorte un bouchon. Je peux dire non et relancer un dé. Même si je suis une soumise, j’ai quand même un minimum de libre-arbitre ; je reconnais bien là le style de Maître et sa façon ludique de voir les choses et de me faire participer à ma propre déchéance !



Quelques temps après, je reviens avec un plateau contenant ce qu’il fallait. J’ai tout de suite remarqué que Monsieur n’avait plus de pantalon, ni de slip ou de caleçon, et qu’il m’attendait visiblement, queue bien dressée vers le plafond ! Je fais comme si de rien n’était ; je sers le café et je mets ma tasse près de celle de Monsieur.



Je me glisse entre lui et la table. Puis, sereinement, je m’assois lentement sur Monsieur, lui laissant ainsi le temps bien viser. Ce qu’il accomplit visiblement sans problème, car c’est sans effort que je sens un pieu de chair coulisser entre mes lèvres intimes. Son mandrin s’enfonce en moi facilement, sans effort. Il faut dire que tous ces événements m’ont plutôt mouillée, ce qui facilite les choses, non, la chose…


Puis j’arrive au bout, si je puis le dire comme ça… Je suis à présent assise sur les cuisses nues de Monsieur, bien enfichée sur sa tige bien raide. Je sens bien qu’il ne faudrait pas que je remue longtemps mon petit cul pour déclencher un feu d’artifice humide ! Donc je fais plutôt attention à mes mouvements quand je bois mon café. C’est vrai que c’est un peu étrange comme situation, de boire son café avec une sorte de grosse cuillère plus bas ! Étrange, mais pas désagréable en ce qui me concerne. À l’air amusé de Maître, je pense que Monsieur doit avoir quelques soucis de self-control !



Et je reste assise, toujours empalée. Mal positionnée, je remue un peu des fesses pour mieux me caler. Monsieur plaque ses mains sur mon bassin pour m’empêcher de bouger !



Je me lève, me libérant de cette queue envahissante. Du coin de l’œil, je vois bien que Monsieur transpire, et que ce n’est pas la chaleur de la pièce qui le met dans cet état. Se levant à son tour, il se tient raide comme un piquet, tout comme son gourdin. Il ne va quand même pas me demander de le sucer une fois de plus ?


Non, il s’éloigne pour s’installer dans le canapé.



Comme ordonné, j’enjambe Monsieur, m’agenouillant par-dessus ses cuisses, le surplombant. Il doit avoir une belle double vue sur le dessous de mes seins et sur ma chatte ! Plus pour très longtemps, puisqu’à nouveau je m’abaisse sur son sexe qu’il guide de ses doigts. Déjà son gland passe ma porte avant de disparaître dans mes profondeurs humides ! Je vois Monsieur suivre avec intérêt l’engloutissement de sa verge, centimètre après centimètre, entre mes lèvres intimes tandis que je m’assieds. Et comme tout a une fin, elle est à présent hors de sa vue, complètement en moi, bien au chaud.



Ce fut une réponse diplomatique. Pour être franche, oui, ça me fait du bien, mais pas autant que si c’avait été mon Maître. Somme toute, Monsieur ne me déplaît pas, mais quand même pas à la folie. Je suis bien calée sur lui, je le sens bien moi, ni trop peu, ni pas assez. De son côté, il s’enhardit, me caressant délicatement, presque tendrement, les seins, ce qui me fait vraiment du bien. Puis soudain, il s’arrête net, se mordant les lèvres, visiblement sujet à une poussée de désir jaillissant. Du coup, nous restons tous les deux immobiles, lui comme moi. Puis, je me soulève un peu pour m’asseoir sur lui autrement, mieux installée, mieux calée. Et visiblement, cette nouvelle position lui convient aussi.


Toujours agenouillée, je suis à présent fichée bien profondément sur le mandrin de Monsieur, en amazone, ce qui n’est pourtant pas une position de soumise. Soudain, une main impérative dans mon dos m’ordonne de me coucher, ce que je fais, mes tétons effleurant les poils du torse de notre invité.



Mes seins viennent s’écraser sur la large poitrine de notre invité, qui apprécie ce contact. Je me demande bien pourquoi cette position. J’ai la réponse très vite : je sens une main s’en prendre à mon rosebud ; je m’exclame :



Je préfère me taire. En un rien de temps, Maître ôte mon bijou puis ordonne :



Et je m’exécute en bonne soumise docile que je suis, Monsieur m’aidant beaucoup. Cette nouvelle disposition lui permet d’être encore mieux fiché en moi, et aussi de bénéficier encore plus de mes seins ! Peu après, sans préambule, je suis investie par un membre masculin que je connais bien. Il épouse parfaitement mon conduit intime et me donne toujours cet étrange plaisir, mélange de réel plaisir, de faible douleur et d’avilissement…


J’ai découvert assez tardivement avec Maître que j’aimais qu’on me sodomise, qu’on me prenne ainsi, dans ce tube tabou pourtant pas vraiment fait pour ce genre d’entrée. Puis j’ai ensuite découvert que j’adorais être pistonnée comme la dernière des traînées, de sentir un intrus me labourer le fion, et de continuer à le ressentir longtemps après qu’il se soit retiré !


Plus tard, Maître offrit ma rondelle à d’autres queues soigneusement sélectionnées. Pas beaucoup, mais bien choisies, car elles me donnèrent alors ce plaisir que j’attendais. Extase parfois un peu différente, mais extase quand même !


Je sais pourtant que pour certains de ces hommes choisis, je ne suis qu’une chose qu’on rabaisse car c’est moi le trou et eux la queue. Mais j’éprouve une grande satisfaction de déclencher ce type de plaisir chez un homme, et qu’il me le prouve en me remplissant, en se vidant, peu importe le trou en question.


Ma mère, si militante féministe, s’en retourne sans doute dans sa tombe… Désolée, maman, si je prends mon pied de la sorte, et pas que de cette façon ! Il y a bien d’autres sévices que j’adore, hélas pour toi, et tant mieux pour moi !



Et Maître commence son pistonnage. Je suis à présent investie par deux sexes en moi, un devant, un derrière, embrochée. Cette simple idée me procure cette grande chaleur dans mon ventre, cette grande chaleur que j’aime tant !


Soudain, je me souviens de ces vers célèbres :


Regrettant mon amour et votre fier dédain.

Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain :

Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie.


Oui, je profite, là maintenant, tout de suite ; Maître profite sans retenue de moi, Monsieur aussi, et les roses sont à la fois si douces et épineuses !


Les deux hommes s’agitent en même temps, coulissant en moi sans vergogne, s’étant synchronisés. Ça me fait tout drôle d’être prise en double, même si ce n’est pourtant la première fois ; mais avoir mes sensations jumelées me fait plein de choses ! Et pas des moindres, car être assaillie comme ça, c’est divin ! Mon ventre plaqué sur le ventre de Monsieur, mes seins écrasés, le ventre de mon Maître dans le creux de mes reins, et ces deux queues qui coulissent, qui exigent, qui me prennent. Pour mieux les sentir, je me relève sur les coudes, tête rejetée en arrière, cou tendu. Opportuniste, Monsieur s’empare avidement de mes seins ainsi libérés et me les malaxe à pleines mains, ses doigts entrés dans ma chair douce et tendre.


Nous ne sommes plus qu’une masse de chair, haletante, suante ; trois corps à la recherche d’un mutuel plaisir, profitant de chaque instant, chaque seconde. Les doigts de Monsieur se font de plus en plus agressifs, je le sens prêt à exploser. Maître agrippe mes cheveux, m’obligeant à me cabrer encore plus ; il me veut, il veut lui aussi me remplir à nouveau, faire en sorte que je déborde, moi, sa poupée, sa chose !


Moi, je me laisse porter par toutes ces sensations : être désirée, être humiliée, être investie, servir de chose, de défouloir à fantasmes, de vide-couilles… peu importe : j’aime, j’adore, j’en raffole ! J’attends, fébrile, le moment ultime où je perdrai pied, où je ne serai plus rien, où je décollerai, où je serai morte, ailleurs, flottante, remplie et apaisée…


Un premier cri… un second…


Un tourbillon me déchire le ventre, une source chaude emplit mes entrailles, me secouant de mille frissons ; je ne sais plus ce que je dis, je subis, je suis ballotée, envahie, saccagée, détruite, anéantie ! Je sais que je renaîtrai toute pure et innocente ! Mais en attendant cette nouvelle aube, je suis plongée dans les ténèbres avilissantes, empalée sur deux fers rouges, seins meurtris, tête renversée et je hurle sans retenue mon plaisir !




Repos bien mérité



Allongée nue au milieu du grand lit tout en ayant gardé mes bas, encadrée par les deux hommes, je m’endors petit à petit. Après me l’avoir remis juste après s’être retiré de moi, Maître a exigé que je garde toute la nuit le rosebud et son sperme en moi. Je sens quelque part sa présence en moi, aidée par la lourdeur de cet œuf métallique qui reste rivé entre mes fesses.


J’ai encore en bouche le goût de leur sperme, quand fatiguée, j’ai eu en bouche les sexes flasques des hommes à moitié endormis et que je les ai nettoyés tendrement, tels des bébés, mes petits bébés.


Un sexe dans chaque main, je branle doucement mes deux Dominants. Ce fut une belle séance ; je suis capable d’être une bonne soumise sexuelle, à condition que ce ne soit pas avec n’importe qui. Il est vrai que je connaissais déjà un peu Monsieur : il était venu, il y a quelques semaines, et nous avons aussi entre-temps joué par webcams interposées.


Maître en profite pour me masturber délicatement du bout des doigts, ceux-ci s’aventurant éhontément dans ma fente bien humide, taquinant lascivement mon petit bouton rose. Je pense ne plus pouvoir jouir, je suis trop fatiguée pour ça ; mais ça fait du bien, beaucoup de bien ! Monsieur caresse mon ventre et mon sein gauche dont il titille souvent le mamelon dressé.


Je ne sais jusqu’où je vais tenir comme ça avec ces deux queues toutes chaudes et raides entre mes doigts ; mes yeux se ferment doucement, mon corps bercé par ces diverses caresses sensuelles et sexuelles. Demain matin, le jeu continuera, sans doute jusqu’au soir. J’aime jouer, être une soumise sexuelle ou pas, jouer les petits choses soi-disant contrainte à assouvir les fantasmes pervers des hommes en rut ! Ça m’amuse d’être à la fois humiliée et d’avoir ce tel pouvoir…


Demain, je vais me lever la première afin de réveiller de ma bouche Maître et Monsieur : ce sera une bonne introduction en matière pour commencer cette nouvelle journée…