n° 16080 | Fiche technique | 8115 caractères | 8115Temps de lecture estimé : 6 mn | 04/03/14 |
Résumé: Deux couples... un gîte... Jusqu'où une histoire vécue est-elle pour autant vraie ? Et ce fut le réel point de départ de notre libertinage. | ||||
Critères: fh ff 2couples grp copains campagne facial fellation pénétratio fsodo partouze | ||||
Auteur : Otaries |
C’était il y a un moment déjà… Nous étions jeunes et beaux, et insouciants parfois.
Le début du nouveau siècle, le défi de n’avoir nul tabou, l’exploration des sens, l’expérience des limites. Nous étions pourtant sûrs d’en avoir, elles tombèrent l’une après l’autre… Toutes ? Non, jamais toutes… n’avons qu’une vie…
Nous étions donc deux couples libertins, en week-end loin de tout. Je me croyais jeune libre et libéré, et que ma miss joyeusement contrainte me suivait, pour faire comme, pour faire cool, pour se faire du bien aussi. Je découvris, ce fameux week-end, que couve en tout homme un pâle feu… et que seules les femmes n’ont nulle limite quand elles se lâchent…
Nous étions donc deux couples, Moi et ma femme, Luc et Léa. Nous sortions tous les quatre ensemble depuis quelques mois. Mangions ensemble, baisions ensemble, vivions presque à 4. Puis il y eut ce week-end…
Un peu de route. Un peu de montagne. Du vert, des bois. Un gîte isolé. Un grand gîte. Plusieurs chambres mais nous n’en choisîmes qu’une seule, avec un grand lit. Pourquoi deux lits quand on tient tous dans un seul ? Et une journée… la journée où je découvris vraiment ma femme.
C’était l’heure de la sieste. Eh oui ! quand on dort si peu la nuit, il faut bien récupérer un peu. Je me réveille sur un canapé. Je ne trouve personne sinon Léa qui dort elle aussi sur un autre canapé. Ni ma femme, ni Luc. Je fouille la maison. Rien. Quand j’entends un bruit dans la salle de bain… j’ouvre, et dans un bain de mousse, je vois ma miss branlant la belle queue de Luc entre ses seins, un doigt dans l’anus de mister, en lui répétant instamment de gicler sur elle. Mais je vois surtout les yeux presque vitreux de ma douce, comme possédée par son envie de sexe. Je bande immédiatement, mais je les laisse à leur jeu, sentant que cette jouissance leur appartient.
Je redescends, prends une guitare et me change les idées sur quelques accords, tout en regardant Léa se réveiller peu à peu. Cela dure… au moins une heure après, c’est à deux que nous nous rendons dans la salle de bains, car les cris ne font que redoubler. Nous ouvrons la porte, et là, voilà ma miss en levrette hurlant à la mort en se faisant défoncer :
L’eau jaillit de la baignoire, éclaboussant toute la salle de bains, mais qu’importe. Je n’avais jamais vu ma femme dans cet état-là… mais je n’étais pas jaloux. Je venais juste de comprendre à quoi correspondait l’échangisme pour elle : faire avec d’autres ce qu’elle n’oserait jamais dire ou faire avec moi, baiser, encore baiser… et non faire l’amour !
Je me mets à bander sans rémission… Heureusement Léa est là, et nous nous lâchons dans une chambre. Léa suce divinement et se donne sans retenue. Cela suffit grandement à mon bonheur, pendant que ma femme continue le nettoyage de la salle de bains aux grandes eaux. 2+2 en chambre séparée cela s’appelle dans le petit vocable libéré. Et cela a parfois du bon.
Quand nous eûmes fini notre affaire, il n’y avait plus de bruit dans la salle de bain. Il n’y avait même plus de bruit dans la maison. Léa est allée bronzer nue dans le jardin, et moi, curieux, jaloux peut-être un peu, je suis parti à la recherche de ma femme. Ni dans une chambre, ni dans la maison, ni dans le jardin. Partis ?
C’est alors que… il y avait une grange qui servait de garage. Étaient-ils partis avec la voiture ? S’étaient-ils enfuis ? Un peu inquiet, je m’y dirige, jusqu’à entendre à nouveau des cris. Je m’approche de la porte entrouverte. Ma femme est bien là, allongée sur une table de ping-pong, la tête prise dans le filet, à prononcer paroles et cris inintelligibles. Luc est au-dessus d’elle et la pilonne comme jamais je n’aurais osé le faire. La table menace de tomber à chaque coup de reins, et ma miss hurle de plus belle.
Luc n’a pourtant pas une queue plus large ni plus longue que la mienne mais il tape de toutes ses forces, la plaquant sur la table à chaque coup de reins, et la soulevant ensuite pour mieux la replaquer. C’est beau et troublant. Puis la position me met comme un doute. J’entre doucement, et ils ne font même pas attention à moi. Je fais le tour de la table… et je vois : Luc sodomise ma femme. Il l’encule, non ! Il lui éclate le cul comme jamais je n’ai pu l’imaginer. Sa queue entre et sort de toute sa longueur à chaque coup de boutoir. Et ma femme hurle, en redemande : « ô putain ! » répète-t-elle à l’envi, injure suprême pour la belle féministe en temps de paix.
Mais là, la bataille fait rage. Pire encore, je viens de le remarquer, Luc n’a pas de capote. J’avais confiance en eux, mais tout de même…
Ma femme entrouvre les yeux. M’aperçoit-elle ? Ses yeux sont encore une fois vitreux, ailleurs et encore plus loin que cela, comme noyés de plaisir. C’est la lutte finale, Luc va-et-vient comme possédé. Il veut sortir du cul de ma femme, mais celle-ci s’emboîte sur lui en le collant au plus près tout en hurlant :
Alors Luc se déverse comme jamais, hurlant comme un fou, traitant ma femme de chienne et de salope. Ma miss a tout pris dans ses entrailles en braillant elle aussi. Et moi j’ai tout regardé. Léa s’est jointe à mes côtés. Elle me branle tout doucement en murmurant :
Puis il décule et le sperme s’écoule tout doucement des fesses de ma douce. Ma miss ouvre enfin les yeux, nous regarde sans étonnement et nous demande de nettoyer la queue de son amant avec Léa. Et nous obéissons, comme fascinés par la bestialité de la scène. Moi qui n’avais jamais imaginé sucer le moindre chibre, je partage la queue souillée avec une autre langue, puis nous nous embrassons. Ma femme n’en a pas fini avec nous. Elle se lève et nous présente la béance de son cul, l’ouvrant de ses deux mains posées sur son fessier. Sans un mot, nous comprenons avec Léa et nous nous exécutons. C’était hard, c’était cru, c’était bon, c’était cochon, c’était totalement incorrect mais nous avions confiance en nous. Cela nous a même tellement excités que nous avons tous remis le couvert sur la table de ping-pong. Et j’y ai sodomisé ma mie, encore une fois. Et nul ne peut imaginer le plaisir qui fut le nôtre de briser ce dangereux interdit. La place était encore chaude, poisseuse du sperme de Luc, et je m’y suis mélangé jusqu’à confondre nos jus dans le magnifique cul de ma douce qui remua comme jamais, m’aspirant sans relâche, ne recherchant qu’une chose : que je jouisse à mon tour en elle.
Puis elle s’est levée, est sortie de ce hangar, a traversé le jardin nue en remuant des hanches, dégoulinante de sueur et du reste. Léa l’a rattrapée en courant et l’a embrassée d’un baiser langoureux. Elles ont filé vers la maison pour une douche commune. Avec Luc, nous nous endormions presque quand elles sont réapparues, l’air mutin, vêtues d’un paréo, les joues roses des filles pas raisonnables qui ont fait des bêtises sans avoir besoin des hommes. Elles nous ont embrassés chacune à son tour. C’était doux. C’était bon. C’était un de ses moments comme on en vit si peu et qu’on laisse filer car on se fout du lendemain. Luc et Léa ne sont plus ensemble. Nous oui. Allez savoir ce que réserve le destin…
Ce fut notre seule expérience de sperme extrême, car cela nécessite du temps et de la confiance… et ce n’est pas si courant dans le libertinage. Sinon, nous nous protégeons systématiquement, mais ce jour-là, avec ce couple-là… Ainsi soit-il. Et nul ne le regretta.