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07/03/14
Résumé:  L'été, des révisions, une fenêtre et une voisine, remuez le tout, il en sort...
Critères:  fplusag jeunes voisins fépilée hsoumis fdomine voir exhib noculotte fmast hmast nopéné
Auteur : Nicolaquitaine      Envoi mini-message
Révisions d'été

C’est l’été, et je suis bloqué dans mon petit appartement. Pas le choix, ayant raté mes partiels en juin il ne me reste plus qu’à bosser dur pour espérer les avoir en septembre. Sinon, au revoir la belle vie d’étudiant, mes parents me couperont les vivres. C’est dur, avec le temps splendide, de trouver la motivation suffisante pour me plonger dans ces cours arides. Je passe d’ailleurs plus de temps à la fenêtre, à fumer des clopes, que penché sur mes bouquins. De mon troisième étage, j’ai une vue imprenable sur la cour intérieure et sur les appartements en vis-à-vis. Rien de bien intéressant cependant.


Tiens, ça emménage juste en face de chez moi. Je mate un peu, rien de bien folichon, des déménageurs obéissant aux consignes d’une femme d’une quarantaine d’années, en tailleur strict malgré la chaleur. Nouvelle clope, nouveau matage. Ce qui est sympa avec cet appartement, c’est que, grâce à sa baie vitrée, j’ai une vue imprenable sur le salon-cuisine. Et comme il est en duplex je profite également de la vue sur la chambre. Pas encore de rideau, je peux laisser mon côté voyeur s’exprimer. Merde ! J’en ai fait tomber ma clope. Elle vient de sortir de la salle de bains, avec juste une serviette sur les cheveux. Elle est maintenant dans sa chambre, je ne la vois qu’à partir de la taille, mais ça vaut le coup ! Belle poitrine, enfin vue de loin. Elle se tourne, je me cache, de peur d’être pris pour un pervers. J’espère qu’elle ne m’a pas aperçu, sinon son premier réflexe sera de mettre des rideaux.


On joue à cache-cache. Enfin surtout moi ! Je la mate vivre sa vie dans son appartement. À priori, elle vit seule. Le spectacle du premier jour ne s’est pas reproduit. Peut-être m’a-t-elle pris en flagrant délit et fait-elle attention désormais, ou bien est-ce que je ne regarde pas quand il faut ? La vision de ses seins pleins me hante. Quand j’y repense, j’en ai des frissons.


Encore une journée improductive ! Quelle merde ces études ! Je retourne fumer une clope. C’est étrange, j’ai l’impression de fumer de plus en plus. Je jette un coup d’œil à l’appartement d’en face : bingo ! Elle est dans son salon et passe l’aspirateur. Et pas habillée n’importe comment ! Vêtue d’une nuisette mauve : je me régale. Ses longues jambes me sont dévoilées. Elle se penche, je peux admirer ses petites fesses uniquement vêtues de satin, du moins c’est ainsi que je l’imagine. J’ai le cœur qui bat à mille à l’heure, la gorge sèche. Je profite du spectacle.


Du pied elle éteint l’appareil puis relève la tête. Cette fois, pas de doute : elle m’a vu. Nos yeux se sont croisés. Elle fouille dans son sac et sort sur son balcon. J’ai l’impression qu’elle me fixe, tout en allumant sa cigarette. Je me sens mal à l’aise. Que faire ? Retourner me cacher dans mon appartement ? J’opte pour un timide coucou de la main. Elle me sourit, enfin il me semble, puis hoche la tête. Que veut-elle dire ? Dix minutes se passent, où nous nous observons de loin. Elle écrase son mégot dans un cendrier et rentre chez elle. Les volets se ferment. Rideau pour la soirée.


Le lendemain matin, j’ai mis mon réveil. Dès sept heures je suis à mon poste. J’ai même amené une table près de la fenêtre, de manière à pouvoir la guetter tout en bossant. Je ne suis pas très productif, mes pensées se dispersent entre ses jambes et ses seins. Les volets de sa chambre s’ouvrent. Elle porte une serviette autour de la poitrine. Elle jette un regard suffisamment long dans ma direction pour me faire comprendre qu’elle m’a vu. Elle se place dans un recoin, je ne la vois plus. Juste la serviette qui vole. Je déglutis. Elle avance dans mon champ de vision, vêtue d’un chemisier crème. Elle se laisse tomber en arrière, sûrement sur son lit. Et là… une jambe s’élève, puis se rabaisse. Elle lève les mains et fait glisser un bas, lentement, sur son pied, remonte sur son mollet et le long de sa jambe. Elle réplique le geste, à l’identique, pour la deuxième. Je suis tétanisé. Elle se relève et descend dans le salon, où les volets s’ouvrent en me dévoilant sa silhouette. Elle porte un tailleur, peut-être le même que lors de son déménagement. Elle m’ignore et vaque à ses occupations. Elle finit par sortir de chez elle. Ma clope s’est éteinte depuis longtemps, consumée toute seule entre mes doigts.


Quand elle rentre, je suis à mon poste, je n’ai pas bougé de la journée, tout obsédé par son image. Comme le matin, elle ne fait pas attention à moi. Ce n’est que lorsque que le ciel s’obscurcit que le spectacle commence. Elle réapparaît, vêtue de sa nuisette. Elle se baisse, dans son salon, et s’installe, debout, au milieu de la pièce. Elle commence à danser, lascivement, pour le plaisir de mes yeux. Elle se met de dos et glisse ses mains contre son corps tout en ondulant. Je ne sais combien de temps cela dure, mais je me sens totalement troublé. Elle s’arrête et se tourne vers moi. Elle fouille dans son sac et sort sur le balcon, une clope à la main. Elle s’appuie sur la rambarde et me regarde fixement. J’hésite. Puis me lance. Je monte sur ma table et commence à onduler à mon tour, comme si je dansais un slow. Emporté dans mon élan, j’ouvre ma chemisette, bouton par bouton, puis la lance derrière moi. Je me rends compte que j’ai fermé les yeux pendant ce temps, n’osant lui faire face, de peur de la voir s’en aller. Je m’arrête et les ouvre. Elle est toujours là, me regardant fixement. J’ai l’impression qu’elle sourit, mais ce n’est peut-être qu’une impression. Je ne peux distinguer son visage dans la pénombre de son balcon. Je vois le point rougeoyant de sa cigarette dans l’ombre de sa silhouette en contre-jour. Elle rentre et baisse les volets. Pile au moment où ils recouvrent sa taille, je la vois saisir sa nuisette par le bas et la relever ! J’en reste bouche bée. Elle ne portait pas de culotte, j’en suis certain. Et il m’a semblé, mais ce n’est peut-être que mon imagination, qu’elle était tout épilée ! Impossible de m’endormir après une telle vision.


Le lendemain matin, je profite à nouveau des charmes de ses jambes. Et elle m’ignore superbement, comme si la soirée de la veille n’avait été qu’un rêve. Je passe la journée à attendre son retour, qu’elle me fasse un signe. Comme la veille, ce n’est que le soir venu qu’elle semble se souvenir de ma présence. Cette fois, elle porte un peignoir, rose. Pas de spectacle aujourd’hui. Après avoir jeté un regard en ma direction, elle sort sur son balcon et me regarde fixement. Pas de cigarette. Elle a son téléphone en main. Mon sang ne fait qu’un tour, je sors le mien. Comment faire ? Je prends une feuille blanche et inscris mon numéro au marqueur. Je la lui montre. Elle rit. Et compose quelque chose. Ça sonne. Je regarde le smartphone dans ma main. Je n’ose pas y croire. Je décroche.


– Allo ?


Je bégaye, je suis sûr que je suis tout rouge. Elle me dit de venir, à une condition. C’est qu’une fois dans son immeuble, sur le palier de sa porte, je me mette nu avant de sonner à sa porte. J’acquiesce.


Je me précipite, je descends les marches quatre à quatre, je fais le tour du pâté de maison et sonne. La porte s’ouvre, je monte les escaliers. Une fois arrivé devant son palier, je reprends ma respiration et regarde autour de moi. Personne. J’écoute. Pas un bruit dans la cage. J’ôte ma chemise, mon bermuda, mon caleçon et mes chaussures. J’appuie sur la sonnette après avoir vérifié le numéro de l’appartement. Ce serait dommage de se tromper. La porte s’ouvre lentement. Je dois avoir l’air ridicule, tout nu, en tenant mes affaires dans mes bras. Elle est toujours vêtue de son peignoir. Elle est belle, avec ses cheveux châtains coupés au carré et ses yeux noisette. Elle me dévisage de haut en bas puis me sourit. Elle me fait signe d’entrer. J’obéis et pose mes affaires où elle me le dit, à côté de la porte. Je me sens emprunté tandis qu’elle referme la porte derrière moi.


– Un café ?


Sa voix rauque, sensuelle, me donne des frissons. J’acquiesce, sans un mot. La gorge nouée, j’ai l’impression d’être devenu muet. Elle passe devant moi, se rend vers le coin cuisine. Je n’ose plus l’observer, étrange pour quelqu’un qui a passé ces derniers jours à la mater sans vergogne. Elle semble s’en amuser. Elle ne se gêne pas, elle, pour me détailler. Je garde les mains devant mes attributs virils. J’ai l’impression que ma queue est devenue toute petite, que mes couilles se sont rétrécies, comme si je venais de sortir de l’eau glacée. Elle sert les cafés sur la table basse et s’assoit sur le canapé. Elle me désigne le pouf qui lui fait face. J’obéis.


Le silence me met mal à l’aise. Il semble l’amuser. Elle croise les jambes. Le peignoir glisse, dévoilant ses cuisses. Quand elle se penche pour prendre sa tasse, son décolleté s’ouvre et j’aperçois les contours de ses seins. Je ne sais plus où regarder. Elle boit, à petites gorgées. Ma peau est couverte de chair de poule malgré la chaleur ambiante. Elle me dit de boire. J’obéis, prenant ma tasse à deux mains. Elle a un regard gourmand, se passe la langue sur les lèvres, car, ce faisant, je dévoile ma queue qui reprend de sa splendeur.


– Debout !


Je me lève, tenant toujours ma tasse. Excité, je sens ma queue se gorger de sang. Elle s’avance, pose ses fesses au bord du canapé, et tend sa main. Elle caresse mes couilles. Je n’ose pas bouger. Elle me regarde dans les yeux et joue avec sa langue et ses lèvres. Elle saisit ma hampe et commence un lent va-et-vient. Je manque de défaillir ! Du bout du doigt, elle vient récolter la goutte qui perle au bout de mon gland et la porte à sa bouche. Tout en continuant de me branler, elle aspire son doigt, ne me quittant pas du regard. Je ne sais que dire. Elle cesse ses mouvements, me lâche et se lève. Elle me tourne autour, comme un chat devant une souris. Elle passe ses ongles sur ma peau, sur mes muscles. J’en ai des spasmes de plaisir.


Elle revient s’asseoir sur le canapé et ouvre son peignoir. Je ne sais plus où donner de la tête ! Ses seins, tétons dressés, me semblent moelleux à souhait. Son sexe glabre me donne envie d’y plonger tout entier. Elle fait courir ses mains sur son corps, se caresse les flancs, le ventre, les hanches. Elle me sourit et saisit ses seins à pleines mains. Je me mords les lèvres. Elle titille ses tétons puis leur donne, à chacun, un coup de langue. Elle écarte les cuisses, sensuellement. D’une main, elle entrouvre ses lèvres intimes et y plonge un doigt, qu’elle lèche ensuite, couvert de sa mouille. Je tends les mains vers elle. Elle me fait non de la tête. Je reste là à la regarder se caresser lentement, doucement. J’ai une vue imprenable sur son corps et sur ce qu’elle en fait. Je suis là, debout, la queue gonflée de plaisir, à moins d’un mètre d’une créature comme je n’en ai jamais imaginé dans mes fantasmes et je ne sais pas quoi faire ! Elle se lève à nouveau, sans cesser ses caresses. Son peignoir tombe à ses pieds, ornement devenu inutile. Elle tourne à nouveau autour de moi. Je sens son souffle sur ma nuque, ses tétons qui me frôlent le dos. Arrivée en face de moi, elle dépose un baiser dans mon cou. Ma queue touche sa cuisse, y déposant une large traînée de liquide séminal. J’ondule, me frottant contre elle comme un chien. Elle m’immobilise puis serre mon sexe dans sa main. Je gémis de plaisir. Tout en me branlant doucement, très lentement elle approche ses lèvres de mon oreille.


– Mets-toi à genoux !


Sa voix ne me laisse aucune échappatoire. J’obéis immédiatement. Elle a lâché ma queue et me prend la tête entre ses mains. Elle glisse ses doigts dans mes cheveux et approche mon visage de son sexe à nu, entièrement épilé. Je dépose un chaste baiser sur son mont de Vénus. C’est tout doux, si excitant ! Je darde ma langue, glisse sur ses lèvres si lisses. Elle est trempée, sûrement aussi excitée que moi. Je la lèche avec envie, découvre son goût, sucré. C’est si bon ! Je pose mes mains sur ses fesses, si fermes !

Elle ondule contre mon visage, guidant ma langue, se déhanche afin de me guider là où elle me veut. Ma langue remonte entre ses lèvres et trouve son bouton d’amour, son clitoris. Un petit cri lui échappe quand je le touche. Son corps entier frémit tandis que j’appuie mes caresses. Elle se plie en deux, ses seins frôlent ma tête, puis elle me repousse. Je tombe à la renverse, sans comprendre. Son pied vient soupeser mes couilles, puis glisse le long de ma hampe dressée vers le ciel. Cette caresse me rend dingue. Elle se penche sur moi, ses seins lourds viennent caresser mon front, mes joues et s’arrêtent juste à hauteur de ma bouche. Je ne sais à quel sein me vouer, ma langue, mes lèvres, vont de l’un à l’autre. Elle me les retire, s’assoit sur moi, le buste droit. Elle passe ses mains dans ses cheveux, les coiffe en arrière. Le mouvement fait tressauter sa poitrine, son regard me fait fondre, sa langue, qui humecte ses lèvres, me paraît chargée de promesse.


Elle pose ses mains sur mon torse et s’appuie dessus pour se reculer. Je sens son sexe lisse et trempé qui glisse sur mon ventre. Ma queue tressaute quand je la sens à quelques centimètres de moi. Ma respiration se transforme en halètements. Elle se penche et me murmure à l’oreille :


– Tu as des capotes ?


Je m’en veux, j’aurais dû m’en douter ! Je lui fais non de la tête. Elle a une petite moue de dépit, rapidement remplacée par une expression songeuse.


Avec un sourire gourmand, elle saisit ma queue gonflée. Elle se relève et la tire, m’obligeant à me lever, puis s’assoit sur le canapé. Elle prend ensuite ma main et la guide sur mon sexe érigé, me montrant comment me caresser. J’ai une vue imprenable sur son sexe grand ouvert quand elle ramène ses pieds sur l’assise afin de se mettre en tailleur. Sa main droite glisse entre ses lèvres béantes et ressort, couverte de mouille. Elle commence à caresser son clitoris devant mes yeux exorbités. Les doigts de sa main gauche écartent ses lèvres glabres, me laissant bénéficier du spectacle intime qu’elle m’offre. Ma main se crispe sur ma queue, je n’en peux plus, je me branle devant elle, offerte. Avec de petits gémissements de chatte, elle accélère ses caresses qui deviennent frénétiques. Je ne vaux pas mieux et éjacule en grognant. Mon sperme jaillit et s’écrase sur sa poitrine. Elle hurle au même moment. Je m’effondre à genoux puis m’allonge à terre, terrassé par le plaisir. Elle se relève et étale mon sperme sur ses seins. Cela m’achève, je ferme les yeux dans un sourire de satisfaction. Quand je les rouvre, elle se tient au-dessus de moi, jambes écartées. Elle se baisse, accroupie. Je sens ses fesses chaudes sur mes abdos. Elle se penche, ses tétons viennent frôler mon épaule. Sa bouche, ses lèvres, glissent sur ma joue et remontent jusqu’à mon oreille. Sa voix, rauque et suave me fait frissonner.


– N’oublie pas les capotes, la prochaine fois !


J’ai repris mes révisions, avec plus d’enthousiasme que jamais : hors de question que mes parents me coupent les vivres. Je ne veux pas quitter cet appartement avec son point de vue unique et cette voisine qui ne l’est pas moins.