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Temps de lecture estimé : 9 mn
19/03/14
Résumé:  Émois et fantasmes à Budapest.
Critères:  fh fbi vacances sauna fmast
Auteur : Doc75
Budapest

Mes vacances avec Fanny touchaient à leur fin. Le climat estival semblait pourtant continuer sur Budapest malgré les premières feuilles jaunies qui jonchaient déjà le sol. Fanny et moi aimions nous balader sur les rives du fleuve, sans objectif précis. Je marchais à côté d’elle pour mieux caresser ses petites fesses fermes et rebondies. Elle ne se plaignait d’ailleurs pas de ce geste et m’invitait souvent à le prolonger une fois à notre hôtel. J’aimais la vue de son petit cul docile et ferme, finement recouvert d’une petite culotte échancrée.


La veille, par un bel après-midi ensoleillé, nous avions profité des bienfaits d’un hammam de quartier. Tel un jeu prémédité, nous avions su nous retrouver, peu avant la fermeture, dans la même cabine d’essayage… étroite et peu éclairée.

Discrétion relative, excitation palpable, bruits étouffés… Mon érection était venue très vite. La jouissance aussi.


J’avais été comblé par ce fantasme enfin réalisé. Gobant mes couilles sans faire trop de bruit, Fanny en avait profité pour se frotter la chatte à l’aide de la pointe de ses doigts. Elle m’avait ensuite branlé à genoux sur le carrelage blanc des vestiaires. Comme dans un vulgaire porno, je l’avais incitée – à l’aide de mots crus – à bien me pomper la verge.

J’avais pu admirer le sous-vêtement bien ajusté sur l’arrondi de son arrière-train. D’un geste méthodique, elle pouvait suivre les traits de mon visage pour accélérer ou – au contraire – aspirer et me branloter plus subtilement. Debout, adossé à la porte en bois, j’avais rapidement éjaculé. De beaux gros jets crémeux sur sa petite bouche offerte. L’étroitesse de cette cabine vétuste avait contribué à nous exciter fortement.

Mais dans le râle salvateur qui avait suivi mon orgasme, il m’avait semblé entendre les pas d’une personne dans le couloir.


En sortant, la préposée au vestiaire nous avait jeté un regard plutôt ambigu à Fanny et moi. Difficile à interpréter. Mélange de désapprobation et de complicité. C’était une femme d’apparence autoritaire. Je lui donnais une quarantaine d’années, facile. Sa blouse blanche cachait de longues jambes et une poitrine généreuse. Tout émoustillé, j’imaginais qu’elle avait pu entendre nos ébats. Ma copine s’amusait de ce fantasme enfantin, mais finalement assez sage… Sa vie sexuelle semblait bien plus mature que la mienne.


Le soir, à l’hôtel, nous avions échangé quelques mots sur l’épisode écoulé.



Je restai sans voix. Fanny me passa la main dans les cheveux et continua, rêveuse :



Fanny voyait souvent dans les femmes qu’elle désirait des signes lesbiens, selon elle évidents.





Le lendemain.



Retour au hammam. La femme du vestiaire est toujours là. Souriante, elle échange même quelques phrases en allemand avec Fanny. Elle nous propose un massage dans le forfait, ce que nous acceptons. Avec un grand sourire, elle distribue les serviettes de bain. Fanny me dit que le massage viendra plus tard.


Au bout d’une heure passée dans le hammam. Nous nous dirigeons vers la salle de massage. Il s’agit de deux pièces contiguës. Fanny me précise qu’il y a aussi un masseur, mais que la femme du vestiaire exerce aussi le massage.



L’idée de savoir qu’un masseur allait donc s’occuper de Fanny me perturbait. Surtout qu’il arriva peu après dans la pièce. Baraqué, grand, avec un large buste… Fanny semblait aux anges et échangea quelques mots en allemand avec lui. Ils plaisantaient déjà.

Avec un regard complice, elle m’avertit :



La serviette autour de la taille, je m’allonge donc sur la table disposée au centre de la pièce. Sans être très luxueux, l’endroit est plutôt confortable. Une enceinte diffuse de vieux tubes des années 80 en sourdine.

Un peu gauche, je dévisage cette femme. Elle est assez jolie, et sa poitrine est bien généreuse, comme je l’avais observé la veille. D’un signe, elle me fait signe de m’allonger. Elle passe de l’huile sur mon dos et commence par de petits gestes souples, avec la paume de ses mains, pour me détendre. Puis elle me dit de rester sans bouger et elle s’éclipse.

Le masseur entre alors. « Déjà ? » pensai-je, un peu déçu. Je n’avais pas exactement compris le déroulement. Je commençais surtout à regretter la compagnie de cette femme.


Mon masseur est vêtu d’un ensemble en lin blanc, assez fin. On peut deviner sa musculature et son corps épilé. Le geste souple, il tient délicatement une fiole entre ses doigts. Le voici qui se prépare à m’enduire d’huile. D’une main, je le vois qui baisse l’éclairage. Nous nous retrouvons alors dans une ambiance plus apaisée.

Je sens alors ses grosses mains passer et repasser sur mon dos. Il pétrit la peau avec dextérité. Les muscles tressaillent et le geste se prolonge jusqu’au bas du dos. Je commence à vraiment me détendre. Finalement, je ne regrette pas cette alternance.


Ses mouvements se font plus forts, mais avec une grande douceur dans le dernier geste. J’ai l’impression d’être sculpté et remodelé par ses mains expertes. Il prolonge l’action sur mes jambes, mes épaules, triture mes mains, mes doigts pour me relaxer entièrement. Toujours sur le ventre, je pousse un soupir de soulagement ; il semble l’apprécier et me chuchote quelques mots que je ne comprends pas. Le temps s’écoule. Je le laisse maintenant me masser le bas du dos ; il passe et repasse lentement avec beaucoup d’application. La sensation est agréable. Je ne peux m’empêcher d’imaginer Fanny et la masseuse dans la pièce à côté. Peut-être que… Sûrement, même, connaissant Fanny… L’image de ces deux femmes s’adonnant aux plaisirs saphiques m’excite. J’imagine leurs seins s’entrechoquer au rythme de leur étreinte. Fanny n’a-t-elle pas succombé – deux ou trois fois – à des ébats lesbiens par le passé ?

Conjugué aux gestes sensuels du masseur sur mon corps, je sens pointer un début d’érection.



Une sensation de gêne me traverse l’esprit. Ce n’est pas l’endroit pour. Que va penser le masseur à la vue de cette bosse ? Il va croire qu’il m’excite, alors que non… Je fantasme juste sur les femmes. Je commence à stresser à cette idée. D’autant plus qu’il vient de replier ma petite serviette bleue qui recouvrait mon derrière. Celle-ci ne doit plus former qu’un court bandeau sur mes fesses. Ses gestes se font de plus en plus puissants sur mes dorsaux… Je vois désormais la finesse de ses pectoraux sous son petit haut. En cachette, je jette un furtif coup d’œil sur son postérieur galbé… Pas mal ! Avec un cul comme ça, Fanny a dû bien le mater ! Peut-être ont-ils…


Quelques gouttes de sueur coulent le long de son torse… C’est troublant. Je ne sais pas que faire. Va-t-il trop loin ? La paume de ses mains malaxe une partie de mes petites fesses… Dois-je protester ? Je soupire, j’ai bien envie de ne rien dire…


À ce moment-là, la porte s’ouvre. Fanny est là devant nous.



Elle ne termine pas sa phrase et semble observer la situation présente.



À ce moment-là, ma serviette glisse et une honorable érection apparaît sous les yeux de Fanny et du masseur. Ce dernier ne semble pas gêné de la situation…



Je n’ose pas répondre, car au fond de moi j’ai très envie de reprendre là où nous en étions. Je n’ose pas trop avouer à ma copine cette découverte de sensations nouvelles… Devant mon trouble apparent, le masseur lui dit quelque chose à voix basse. Fanny lui répond d’une voix douce et lui passe la main sur sa hanche. Je ne comprends pas leur discussion en allemand, mais Fanny s’éclipse et referme la porte, comme complice de la situation présente.


Nous voici seuls, lui et moi. Je n’ose pas croiser son regard. Je baisse même les yeux et j’ai le cœur qui bat. Je respire lentement et me recouche sur la table de massage. À ce moment-là, j’ai très envie de retrouver ses grosses mains sur mon fessier couvert d’huile. De les sentir glisser lentement et triturer mon derrière.


Je n’ai pas à attendre longtemps. Ses mains sont là. Le voici maintenant qui enlève entièrement ma serviette. Un réflexe pudique me fait serrer les fesses. Il semble s’amuser de cette réaction enfantine. Mon cul dénudé est à la merci de ses mains. Tout en tapotant mon postérieur d’une main, il fait couler un peu d’huile. Trop, même. Voici qu’un filet vient parcourir la raie de mes fesses rebondies. Je commence à gémir… Ma queue est bien dressée comme un mât sous mon ventre. Je ne sais que penser, alors je le laisse faire… Ses mains se promènent ; le voici qui écarte mes fesses. Je sens son doigt qui effleure mon petit trou. Ô, comme c’est bon, cette caresse !


Je suis dans une position incongrue. Fanny peut rentrer d’un instant à l’autre. Que dirait-elle en me voyant le cul offert avec un mec ? Je sais qu’elle est sexuellement assez open, mais quand même…


Lui semble calme. Peu démonstratif. Toujours appliqué. Il doit pourtant bien reluquer mon petit trou de pucelle. Il a sans doute envie de rentrer. Dois-je l’encourager ? Je bouge un peu mon cul en signe de satisfaction. Il semble expérimenté. « Tous les masseurs sont-ils homos ? Et moi, qu’est-ce qui me prend à tortiller du cul ? Que va dire ma copine si elle nous découvre ? » Je ne peux lutter face à ses caresses. Il y a un désir d’abandon aussi. J’ai envie de plus…

Je me cambre alors légèrement sur la table. Comme une nana, le cul bien en évidence. Comme pour lui signifier « Tu peux y aller, tu sais, je suis pas contre… ».

Le désire-t-il ? Je ne peux communiquer avec lui, seulement le laisser faire et lâcher prise…


Bien huilé, son majeur entre sans résistance dans mon petit conduit vierge. La sensation est divine. Il le laisse quelques secondes dans mon petit trou. J’apprécie cet instant. C’est maintenant lui qui gémit. Que veut-il ? Tout doucement, il me tourne sur la table. Ce mouvement libère ma biroute toute raide. Mon sexe brûle de désir.

Je lui laisse entrevoir mon sexe bien dressé sans honte. Va-t-il s’en emparer ? Oui. Il commence d’une main un léger va-et-vient, attentif à mes gémissements. Belle branlette. Je lui touche son poignet du bout des doigts. Sous sa main chaude et virile, je vais bientôt gicler. Il le devine, ralentit et enveloppe de sa main mes couilles brûlantes. Le geste est divin. J’ai juste le temps de caresser son torse que mon foutre sort. Je pousse alors un cri et éjacule sur son bras. Mon cœur bat fort, je suis en sueur. Je reste de longues secondes à regarder le plafond sans savoir quoi faire, quoi dire.


Je tourne la tête, et stupeur… J’aperçois Fanny, qui visiblement n’a rien perdu du spectacle.