Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16110Fiche technique29574 caractères29574
Temps de lecture estimé : 17 mn
24/03/14
Résumé:  Marie, ma copine, affole deux jeunes hommes avant de me combler de plaisirs.
Critères:  fhhh fête amour voir noculotte lingerie cunnilingu anulingus pénétratio fsodo jeu
Auteur : Rigolletto  (édoniste...)      Envoi mini-message
Ma chérie nous embrase...

Le repas traînait en longueur.


Nous étions avec ma chérie chez des amis que nous apprécions beaucoup mais franchement je m’ennuyais ferme. Je n’avais qu’une seule envie, me retrouver seul avec ma belle pour la couvrir de baisers. Elle portait sa petite jupe en cuir noir et tissu avec un petit haut à bretelles. Bref, elle était superbe et me faisait beaucoup d’effet, comme toujours.

Depuis bientôt une heure, j’avais ma main droite entre ses cuisses. Elle m’avait fait le plaisir de mettre le porte-jarretelles que je lui avais offert pour son anniversaire et mon petit doigt caressait doucement le haut nu de ses cuisses.

Mon copain me regardait d’un œil amusé, car nous étions assez complices sur les choses du sexe avec nos compagnes respectives.


Leur fils et son copain Paul ou Pierre, je ne sais plus, avaient déjà quitté la table et étaient collés à leur PS3. Il me semblait que nous avions commencé ce repas l’année dernière et je les aurais rejoints sans les charmes de ma fiancée, Marie qui parlait boulot avec sa copine, en sirotant un vin blanc excellent.

Après les cafés, Sandrine notre hôtesse s’excusa et fila se coucher à cause d’une journée de boulot particulièrement chargée et d’un mal de tête persistant. Je me réjouissais de ce forfait en me disant que c’était l’occasion idéale pour s’éclipser, surtout qu’Oscar, en chef d’entreprise investi à fond dans son travail, avait une conférence téléphonique avec des collaborateurs à l’autre bout du monde.


Seule ma copine n’avait pas envie de terminer cette soirée aussi tristement et demanda à ce qu’on mette un peu de musique pour danser.

Mon pote est un piètre danseur mais a une installation sono assez bluffante. Il fut ravi de nous faire profiter de la qualité HD de ses baffles d’une marque célèbre. La maison était grande et Sandrine avait un sommeil de plomb. La musique démarra et nous voilà à gigoter dans le salon, du mieux possible.

Les deux garçons sur leur canapé, regardaient les trois adultes se trémousser sur Abba d’un air moqueur, sauf quand leur regard se portait sur le corps de Marie qui était un peu pompette. Et quand ma chérie est pompette, elle est très sensuelle. Sa danse était donc assez chaloupée et elle se déhanchait d’une manière que je trouvais suggestive à souhait. Je savais, par des confidences de son père et par Mattéo lui-même (son fils), que du haut de ses dix-sept ans et de son mètre quatre-vingts, il la trouvait très belle. Il m’avait même dit un jour, moitié déconnant, moitié sérieux que c’était une belle « MILF » (Mother I’d Like to Fuck) : le message était explicite.


Me posant près de la table pour boire un verre d’eau, je remarquais effectivement que les garçons regardaient de moins en moins leur écran et que mon copain appréciait aussi cette magnifique blonde d’un mètre soixante-dix qui ondulait près de lui.

Les garçons avaient un peu le même regard que celui qu’ils avaient eu un mois avant à la plage, lorsque Marie avait ôté son haut de maillot pour éviter les marques de bretelles. Je m’étais alors mis à lui caresser délicatement le dos sous les rayons ardents du soleil de juillet et les regards de ces jeunes hommes plein d’hormones m’avaient eu l’air tout aussi ardents.


Avec tous ces admirateurs, j’eus l’idée de convaincre ma chérie de jouer à Pretty woman, un peu plus. L’après-midi, je l’avais accompagnée (sous condition de forte récompense en nature le soir) faire les boutiques. Elle avait acheté un kilt, au-dessus du genou et sexy. Rien de vulgaire mais sexy. Le porter avec le porte-jarretelles était assez osé, mais je devinais dans l’attitude enjouée et un peu enivrée de ma belle, que je pouvais la convaincre.

Je retournais donc danser et me faisant très câlin. Des bisous, de petites caresses, des frottements, bref tout ce qu’il fallait pour lui faire comprendre que je la trouvais superbe en cet instant et très désirable.


Puis, je lui glissais à l’oreille que je voulais la voir danser avec son nouvel achat. Elle réfléchit un moment puis me demanda, quasiment déjà acquise à l’idée :



Puis je dis tout haut, à la cantonade :



Sans trop comprendre, les trois hommes en présence acquiescèrent, percevant malgré tout qu’il y aura matière à apprécier un joli spectacle.

Finalement assez contente et un sourire mutin aux lèvres, Marie récupéra le sac en papier contenant le petit bout de tissu et revint cinq minutes après, changée et les joues un peu rosies. Elle avait sans doute mieux réalisé, en enlevant l’autre jupe que la présence du porte-jarretelles donnait un côté très coquin à l’ensemble, même si ce n’était pas visible.


Ce fut alors un concert de louanges et de gentils quolibets et la danse reprit, plus sage que précédemment. Elle savait pertinemment le spectacle très érotique qu’elle donnerait si son kilt se mettait à voler. Mais je la suspectais d’être un peu grisée par ce risque. À moins que ce soit moi qui étais terriblement excité par l’idée qu’elle puisse « malencontreusement » révéler à ces trois mâles, le fait qu’elle portait un porte-jarretelles.

Après vingt minutes de danses diverses, mon copain prit congé vers son antre (son bureau où il travaille presque plus qu’au bureau…) et je me posais sur une chaise, boire un autre verre d’eau.

Nous étions seuls dans le salon avec les deux garçons. Marie vint alors s’asseoir sur mes genoux pour boire, elle aussi, une petite gorgée de vin blanc. En croisant les jambes comme elle le faisait, je savais que Mattéo et Pierre avaient une chance certaine d’apercevoir les dessous sexy. Or je connaissais les garçons de cet âge et je savais pertinemment que voir sous ce kilt était leur seule idée depuis le changement de tenue.

Le plus naturellement possible, j’en fis part à la principale intéressée qui me répondit :



Je guettais sa réaction.



Je souriais intérieurement.


Je savais que l’inverse était vrai. Marie trouvait que Pierre était très charmant et j’étais d’accord avec elle. Sur la même plage que j’évoquais plus tôt, elle avait remarqué sa musculature bien plus développée que le fils de nos copains, son ventre plat et musclé et son aplomb un peu surjoué qui lui faisait paraître bien plus que dix-sept ans.



Je mettais alors sur la sono, un morceau plus récent et entraînais ma belle sur la piste de danse improvisée, bien en vue des deux mateurs. De nouveau, je me fis très câlin et amoureux. Je la prenais dans mes bras, lui faisais des bisous dans le cou, et l’entraînais à suivre mes hanches dans des mouvements assez lascifs. De temps en temps, je regardais les deux garçons, qui faisaient maintenant vraiment semblant de jouer à leur jeu. D’abord un peu gênés de croiser mon regard quand le leur était posé sur le cul de ma Marie, ils nous regardaient de plus en plus ostensiblement. Marie dut bien reconnaître qu’elle ne les laissait pas indifférents.


Il faut dire que les mouvements de ma chérie étaient de plus en plus décontractés et que le kilt remontait plus que tout à l’heure. La situation m’excitait beaucoup, je bandais ferme et je frottais deux ou trois fois mon sexe sur ces fesses à peine protégées. Je savais que ce contact allait exciter Marie qui adorait me sentir bander comme un taureau devant ses atours aguicheurs. Effectivement, dès qu’elle sentit ma raideur, ses mouvements se firent encore plus lascifs et les yeux de nos spectateurs encore plus attentifs.


J’étais à peu près certain maintenant qu’ils avaient vu et compris que ma douce portait un porte-jarretelles. De manière volontaire, quand je me collais dans son dos pour bien lui faire sentir mon érection, je me débrouillais aussi pour que mes mouvements partent de suffisamment bas pour relever assez le bord de sa jupe. Ce que je ne savais pas c’était si elle en avait conscience ou pas. J’en étais presque persuadé mais je ne voulais pas briser la magie de l’instant en lui posant la question. En tous les cas, je n’étais pas le seul à bander si j’en croyais les tortillements de nos jeunes adolescents pour masquer la bosse qui poussait fièrement dans leurs pantalons trop larges.


Je décidais de passer à la vitesse supérieure en les invitant à danser.



Un rire forcé et gras ponctua ce trait d’humour imparable. Mais j’avais une alliée de charme. Après un clin d’œil à ma copine nous prîmes chacun un ado par la main pour le traîner au milieu du salon. Bizarrement ce fut Pierre qu’elle entraîna, au prix d’un effort certain, vu la carrure du bonhomme. Comme elle dut se pencher pour lui prendre le bras, il en profita pour plonger ses yeux dans son décolleté, ce que comprenais aisément.

Après un peu de gêne tout adolescente, nous voilà tous les quatre à se dandiner sur la musique. Toujours aussi tendre avec ma promise, je la poussais régulièrement à danser près des jeunes mâles, de plus en plus chaleureux mais encore pleins d’un respect fort civil. Ce qu’elle faisait le plus naturellement du monde, toute au plaisir de la danse et des regards admirateurs portés sur elle.

Pour ma part, je bandais toujours dur comme du bois et je ne ratais pas une occasion pour allumer Marie en frottant cette queue érigée dont je connais le pouvoir aphrodisiaque sur sa libido.


De temps en temps, elle se retrouvait dos à l’un ou l’autre des garçons et je me demandais si elle sentait aussi leurs érections. Vu leur âge et leurs vêtements, je me demandais en fait comment il pouvait en être autrement.

De son côté, j’étais sûr qu’elle mouillait déjà et je rêvais d’enfouir mes doigts profondément dans sa chatte qu’elle avait humide assez rapidement. Cette idée en amena une autre, la faire danser un slow avec l’un des deux beaux jeunes hommes qui la mangeaient des yeux mais avant cela lui enlever sa culotte. Petit jeu auquel nous nous adonnions de temps en temps.

Profitant d’un moment où elle était collée à moi je lui glisse à l’oreille :



Les yeux brillants qui accompagnèrent le sourire de ma chérie l’exemptèrent de toute réponse.

Pour sceller son accord je l’embrassais langoureusement et profondément sous les yeux envieux de nos deux compagnons. L’attirant à l’écart derrière le comptoir de la cuisine ouverte, je prolongeais ce baiser le plus sensuellement possible en glissant amoureusement mes mains sous son kilt pour lui caresser les fesses. Ma manœuvre n’était pas visible du salon et elle se laissa faire avec bonheur et tendresse.

Lentement je la retournais face au salon mais toujours derrière le bar de la cuisine et lançais à l’attention des jeunes :



Un petit coup de coude de la belle ponctua ma phrase mais la réponse immédiate de Pierre la rassura sur son sex-appeal.



Je glissais alors mes doigts sous le bord de sa culotte et tirais doucement vers le bas en chuchotant à l’oreille de Marie : « Gagné ».



Mais le sous-vêtement était déjà à mi-cuisses et si elle voulait rester discrète sur ce qui se passait sous sa jupe, elle ne pouvait pas le remonter.



D’un mouvement sec, je faisais tomber la culotte à ses pieds et elle n’eut d’autre choix que de s’en débarrasser d’un petit coup de pied un peu rageur. Je collais mon érection plus présente que jamais sur ses fesses en la rassurant.



Prenant la belle par la main, je l’entraînais sans plus attendre dans le salon où la température avait monté d’un cran. Avaient-ils compris que Marie avait à présent les fesses nues sous son kilt ? En tous les cas, elle et moi le savions et cela suffisait à tendre encore davantage ma queue, si cela était possible. Je mis sur l’ordinateur alimentant la sono un slow brésilien très sensuel que Marie adorait et prenant ma belle dans mes bras, toujours derrière elle ma queue pressée contre ses fesses, je l’amenais doucement à son cavalier au rythme de la musique qui démarrait. Je sentais qu’elle aussi, un peu grisée par le vin blanc, était troublée par tout ça. Pierre attendait sa cavalière les yeux brillants d’excitation et la bosse qui ornait son jean trop large ne pouvait plus guère être ignorée.


Le couple ainsi formé commença à danser sagement, assez éloignés l’un de l’autre mais Pierre dansait mieux que ce que l’on aurait pu imaginer. Petit à petit, avec des mouvements chaloupés et quelques passes élégantes, il se colla de plus en plus à ma chérie qui se laissa faire avec un plaisir évident. Les mains de Pierre, d’abord timides, se posèrent sur son corps ondulant de sa cavalière et au fil des secondes passèrent avec naturel étonnant du dos de sa cavalière à sa taille, puis sur sa chute de reins. Au rythme de la musique, il prenait de plus en plus d’assurance, jusqu’à caresser l’air de rien le haut de ses fesses. À ce moment-là, je me disais qu’il devait sentir sous le tissu, le porte-jarretelles sans savoir que celui-ci était le dernier rempart protégeant l’intimité de Marie sous le kilt. Dans le rythme, il colla progressivement ses hanches aux siennes et commença à imprimer à son bassin un mouvement de moins en moins décent. Je voyais que ma belle était très troublée par ce contact, elle devait forcément sentir son érection contre son sexe qui, comme ses fesses, était facilement accessible. Dans un mouvement élégant elle essaya de s’écarter un peu de Pierre, pour contenir ses ardeurs ou calmer les siennes, mais ce dernier la fit alors tourner sur elle-même, révélant le haut de ses bas à Mattéo et moi et en profita pour se coller langoureusement à son dos, tout en continuant le slow. Il devait maintenant presser son sexe, sûrement gonflé à bloc, sur ses fesses comme moi tout à l’heure. Marie regarda dans ma direction, une interrogation gênée dans les yeux et devant mon sourire aimant et rassurant sembla s’abandonner au plaisir que lui procurait l’hommage viril et plein de sève bouillonnante, qui était fait à sa beauté.


Un slow, même un peu sensuel ne prêtait pas à conséquence et il était finalement très agréable de danser et d’être désirée ainsi par beau jeune homme et surtout en même temps par son chéri qui la dévorait du regard comme s’il allait la violer sur le canapé. Elle ferma les yeux et se laissa emporter par la musique, les sensations et l’image de son homme lui faisant l’amour passionnément.


Les mouvements des danseurs devinrent du coup plus sensuels. Les mains du jeune garçon étaient maintenant sur ses hanches, puis sur son ventre, parfois légèrement glissées sous son débardeur dont les bretelles tombaient sur ses bras. Sa bouche frôlait la nuque de sa proie qui devait sentir son souffle dans son cou et dont j’imaginais avec délice l’état d’excitation me souvenant combien elle adorait être embrassée à cet endroit quand je la prenais par derrière, couché contre elle.

Le slow se termina fut remplacé par un autre. À ma surprise, Marie se retourna le plus naturellement du monde, toujours les yeux fermés, sans donner aucun signe de vouloir s’arrêter. Elle s’approcha de nouveau du garçon et d’elle-même, encastra ses hanches dans les siennes pour un nouveau tour de piste. Ils étaient maintenant étroitement enlacés et bougeaient à l’unisson d’une manière très fluide et lascive. Je me demandais comment ce moment très érotique allait pouvoir se terminer autrement que par un baiser, personnellement je n’y aurais pas résisté.


Les mains du « jeune homme » se posaient maintenant franchement sur le haut de ses fesses, sauf quand elles glissaient parfois dans son dos, sous le petit haut, au contact de sa peau. Les mains de la douce tenaient fermement ses larges épaules, sa tête dans son cou. Les bretelles du débardeur, qu’elle n’avait pas relevées, laissaient apparaître un soutien-gorge en dentelle noire dont le contenu aurait sûrement eu beaucoup de plaisir à être malaxé, peut-être par ces mains juvéniles ou par d’autres plus expérimentées. Sans nul doute que sans ma présence il aurait essayé mais en l’occurrence j’étais là et les douces caresses qu’il lui prodiguait s’arrêtaient sur le côté de sa magnifique poitrine que je voyais frémir. Sa tête blottie au creux de son épaule, je crus un instant qu’elle déposerait, en guise de « cerise sur le cadeau », un doux baiser sur cette peau jeune et souple alors que leurs hanches se collaient de manière encore plus étroite.

Les caresses du jeune homme se faisaient imperceptiblement plus pressantes et je devinais que son cœur, à lui, pour le moins, s’emballait au rythme du sang qui devait battre dans sa queue, comme il battait dans la mienne. Sa main se posa un moment sur la fesse de Marie et la pétrit délicatement, sans qu’elle s’y oppose, avant de reprendre son ballet au creux de ses reins.


À la fin du second slow, estimant que nous frôlions le « détournement de mineur », je m’approchais tendrement de ma douce par derrière. Je dansais un court moment contre elle, à leur rythme. Elle était prise en sandwich entre deux désirs, deux hommes qui bandaient pour elle. J’embrassais son cou et caressais ses fesses pour chasser les mains à peine pubères que j’estimais devoir maintenant quitter les lieux, puis je brisais calmement le charme :



Marie sembla se réveiller d’un songe et se retourna pour se blottir contre moi. Un instant je crus que Pierre allait se coller derrière elle mais il n’en fit rien et lui aussi un peu groggy, il s’affala sur le canapé avec une magnifique tente au niveau de sa braguette.

Marie m’embrassa alors d’abord doucement puis sa langue envahit ma bouche sans équivoque. Elle avait très envie de faire l’amour, maintenant, je le sentais et moi aussi je mourais de l’envie de la prendre.


Sans réfléchir je la guidais vers l’arrière-cuisine et repris notre baiser profond et passionné. Je pétris enfin ses seins qui ne demandaient que ça et rapidement mes mains plongèrent sous son kilt. Sa chatte était littéralement trempée de désir et elle gémit dès que je la pénétrais avec mes doigts. Mais je connaissais ma chérie et je savais qu’en ce moment elle voulait que ce soit ma queue qui la pénètre. Vite et fort. Elle devait même en avoir envie depuis un moment tellement son sexe était gonflé et brûlant. Et moi aussi j’en mourais d’envie.

Je sortis alors mon membre douloureux de bander depuis une heure et la collant contre le mur, la pénétrais profondément en lui soulevant une de ses jambes gainées de nylon. Je la baisais fort et violemment, puis ralentis la cadence pour accélérer de nouveau. Une main sur son cou pour assurer la profondeur de mes coups de boutoir et une sous sa cuisse, je maîtrisais ma propre excitation pour la mener au plaisir. Je sentais son sexe se contracter sur le mien de plus en plus fort et voyais son plaisir monter vers l’orgasme.

Un instant, je crus percevoir une présence dans la cuisine par la porte restée entrouverte mais les gémissements croissants de mon amour me détournèrent immédiatement de toute autre considération. Je prenais mon pied à pilonner profondément ce sexe brûlant qui approchait de l’extase. Ma queue était dure comme de l’acier et Marie appuya ses mains sur mes fesses pour la sentir encore plus profondément en elle, tout en mettant son autre jambe autour de moi. Poussant de plus belle mon membre au fond de sa chatte, mes mains agrippées à ses fesses, je la sentis partir dans un orgasme libérateur qui inonda ma hampe d’un liquide brûlant…

Je restais un moment planté dans son sexe pour la laisser profiter des dernières ondes de plaisir qui s’évanouissaient doucement. Quand elle rouvrit les yeux son baiser fut plein d’amour et de tendresse. Mais j’avais encore envie d’elle et d’une autre façon.


Je me saisis d’une serviette propre et en fis un bandeau.



Docilement et avec un petit sourire, elle se tourna lentement et je nouais mon bandeau improvisé sur ses yeux.

Je commençais par mordiller sa nuque. Elle adorait vraiment cela et je vis la chair de poule naître dans son dos. Je baissais les bretelles de son soutien-gorge pour continuer mes baisers avant de lui enlever complètement. Ses seins étaient magnifiques, lourds et sensuels. Je les caressais à pleine main pour en apprécier toute la beauté et la chaleur. Puis mes baisers descendirent le long de sa colonne vertébrale alors qu’elle appuyait ses mains contre le mur. Arrivé à ses fesses, je relevais le kilt et embrassais ces globes tellement érotiques. J’adorais son cul et pouvais passer des heures à le manger de toutes les manières possibles. Elle se cambra de manière très provocante en écartant les jambes pour me laisser un accès total à son sexe. Je savais qu’elle appréciait d’être léchée dans cette position et j’aimais encore plus ça qu’elle, je crois. Mais vu où nous étions, je savais aussi qu’elle ne me laisserait pas la dévorer pendant des heures. Ce qui tombait très bien car j’avais maintenant un besoin impérieux de jouir et je voulais le faire dans son cul sublime. Mes coups de langue alternaient entre son sexe et son anus, ce qu’elle aimait beaucoup même si elle n’osait le dire.

De nouveau, il me sembla percevoir du bruit dans la cuisine et Marie tourna aussi légèrement la tête sans toutefois enlever son bandeau ou faire une quelconque remarque.

Je décidais d’en profiter pour un dernier jeu érotique. Me relevant je lui glissais à l’oreille :



Je m’éloignais sans bruit, pour revenir rapidement lui chuchoter :



Un court instant plus tard, les caresses reprirent. Des mains sur ses fesses, des baisers sur sa nuque puis encore des baisers sur son sexe. Tout cela était délicieux mais Marie avait une sensation bizarre… même pas vraiment une sensation… une espèce de gêne…

Bien évidemment, Marie savait que son chéri n’aurait jamais laissé quelqu’un d’autre l’approcher en cet instant. Jaloux comme il était elle s’était même étonnée de son idée de cadeau. Elle devait reconnaître qu’elle avait été troublée, voire excitée pour être franche, par le petit jeu de « slow écossais » avec Pierre. Mais même si elle savait que les jeunes n’étaient pas loin et sûrement très conscients de ce qui se passait dans l’arrière-cuisine, même si elle avait bien senti le désir du jeune homme, jamais son Fred ne le laisserait…


Au moment où le doute allait prendre le dessus et où elle allait enlever son bandeau, la queue brûlante et dure comme de la pierre pénétra de nouveau son sexe et arrêta net sa réflexion. Son mouvement était ample et fort comme il aimait faire et comme elle aimait qu’il fasse. Elle s’attendait à ce qu’il la sodomise mais c’est très bon comme ça aussi. Il posa ses mains sur ses hanches et commença à la pilonner plus fortement encore. Elle le sentait gros et dur comme rarement et se laissait embrocher avec délice. Décidément la situation avait vraiment beaucoup excité son chéri. Il faisait claquer ses hanches contre ses fesses comme un bûcheron et semblait vouloir la clouer contre le mur. Elle adorait ça !


Un instant, le plaisir monta tellement qu’elle faillit jouir et elle crut que son chéri avait joui lui aussi avant de pouvoir profiter de ses fesses. Lentement, le membre se retira de son sexe et il y eut comme un moment de flottement avant qu’elle sente de nouveau une pression sur son anus cette fois. Le désir qu’il avait d’elle était toujours intact et son sexe était toujours raide et conquérant. Doucement mais d’une poussée franche, il s’enfonça dans ses reins. L’excitation de toute cette soirée et son précédent orgasme rendit cette pénétration délicieuse, bien meilleure que souvent, elle devait l’admettre. Elle poussa ses fesses pour aller à la rencontre de cette queue proche de l’explosion. Les deux mains agrippées à ces superbes seins, il reprit un rythme de hussard et elle le sentit concentré sur sa propre jouissance uniquement. Il était décidé à jouir dans son cul, maintenant. Arrachant son bandeau, elle se cambra encore davantage et tourna la tête pour voir son homme prendre son pied et se répandre en elle dans un grognement bestial de plaisir et plusieurs spasmes ravageurs. Après cette petite mort exquise, il se retira doucement et l’embrassa et l’embrassa et l’embrassa encore et encore…


Rhabillés et à peine remis de nos émotions, nous sommes retournés au salon qui était vide. Les garçons avaient dû aller se coucher. Rapidement, nous passâmes dire au revoir à notre ami qui était concentré sur son meeting, les écouteurs sur les oreilles, sourd à tout ce qui s’était passé.


De retour à la maison, c’est avec beaucoup de tendresse et d’amour que j’embrassais longuement encore le corps superbe de mon amour qui m’avait donné tellement de plaisir puis nous nous sommes endormis, dans les bras l’un de l’autre, nos cœurs plein de « Je t’aime »…