Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16113Fiche technique18507 caractères18507
3370
Temps de lecture estimé : 14 mn
27/03/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Homme ou femme, texte à lire selon ses envies.
Critères:  fh hh hhh fhh couleurs grossexe train fsoumise hsoumis intermast fsodo hsodo aventure -héros
Auteur : Nicolas 2
Un tramway nommé désir

– 1 – Fin du travail. Je rentre comme d’hab par le tramway. Comme d’habitude, il va être bondé à cette heure d’affluence. On va se retrouver comme des sardines sans huile dans cette grosse boîte. Cette hyper proximité me met mal à l’aise mais ne me déplaît pas. Les odeurs ne sont pas toujours agréables, mais les corps serrés qui se frottent provoquent toujours en moi une petite étincelle de désir. Le tramway arrive comme prévu plein à craquer. Une vingtaine de personnes en descendent, une trentaine pensent y pénétrer. Les gens sortis, on s’engouffre en jouant des coudes. Je me retrouve au milieu de la rame face au composteur ; des personnes entrent encore dernière moi, empêchant tout mouvement possible. Dans les vitres en face, je vois derrière moi un Black de dos. Je sens son fessier musclé contre le mien. Le tramway démarre et je me perds dans des pensées érotiques. Je me surprends à onduler du bassin ; j’arrête vite mes mouvements avant que mes voisins ne s’en rendent compte. A priori, c’est passé inaperçu ; je repars dans mes pensées en fermant les yeux. Je ressens un mouvement dans le bas de mon dos : le fessier du grand Black répond à ce qu’il a pris pour des avances. Je sens ses fesses se contracter, se relâcher, monter, descendre, venir se frotter aux miennes.


=> J’ai beau me dire que c’est involontaire de sa part, je sens le feu monter en moi : je vais au 2.

=> Je ne veux pas qu’il y ait de malentendu et je profite du prochain arrêt et du mouvement de foule pour changer de place et m’adosser à la porte en face de l’entrée : je vais au 3.




– 2 – Je réponds timidement à ses avances en reculant mes fesses. Il répond à son tour et les mouvements s’amplifient, mais un arrêt l’oblige à sortir pour laisser passer. Il revient se mettre à la même place, si ce n’est qu’il est désormais dans l’autre sens. Je vois désormais son visage dans le reflet de la porte vitrée : un beau Black à la tête rasée. Les gens entrant le forcent à venir se coller contre moi ; il me regarde avec un grand sourire, comme pour s’excuser. Je sens désormais autre chose venir buter contre mes fesses. Son sexe a l’air dur ; je referme les yeux et imagine son visage, son corps et son sexe en action. Naturellement, mes fesses reculent pour venir compresser et mieux sentir mon partenaire. Je sens les mouvements de va-et-vient devenir de plus en plus francs. Ses mains s’enhardissent sur mes hanches pour me coller encore plus à lui. Le doute n’est plus possible. Une de ses mains descend sur mon sexe et commence à le caresser. Nos va-et-vient sont lents et amples pour éviter d’attirer les regards. Mais l’envie est là ; à mon tour, je fais passer une main entre nos corps pour venir caresser sa queue. Elle est longue, trapue et bien dure : appétissante ! Je commence les va-et-vient le long de sa queue au rythme de ses doigts sur mon sexe. Un arrêt vient à nouveau couper court à nos activités, nous obligeant tous les deux à sortir. On se regarde sur le quai, souriant comme si de rien était. On rentre à nouveau, faisant tout pour se retrouver à nouveau collés l’un à l’autre. Je suis désormais adossée à la porte en face de l’entrée. Il vient se positionner devant moi, m’offrant son postérieur.


=> Je suis un homme : je vais au 4.

=> Je suis une femme : je vais au 5.




– 3 – On se fait désormais face à face à distance. Lorsque nos regards se croisent, il passe sa langue sur ses lèvres, me confirmant si besoin que ses gestes n’étaient pas involontaires. Ce petit jeu continue jusqu’au prochain arrêt où il est obligé de sortir. Il rentre en faisant en sorte de se retrouver à nouveau collé à moi. Il vient se positionner devant moi, m’offrant son postérieur.


=> Je suis un homme : je vais au 4.

=> Je suis une femme : je vais au 5.




– 4 – Je sens désormais ses fesses contre mon sexe. Les va-et-vient reprennent timidement et s’amplifient dès que la rame démarre. Mon sexe se tend irrémédiablement ; je lui fais comprendre mon désir en prenant ses hanches et en le collant à moi. Ses fesses viennent écraser ma queue, me faisant aussi comprendre son envie.


=> Je vais au 6.




– 5 – Les va-et-vient reprennent timidement et s’amplifient dès que la rame démarre. Je sens ses fesses rebondies se contracter, simulant le coït. Mes mains se sentent inexorablement attirées par ce postérieur musclé. Je pose une main sur une fesse, provoquant immédiatement une réaction de sa part. Je sens ses fesses se contracter ; je les imagine en pleine action. Une chaleur monte de mon entrejambe. J’ai envie de sexe, de toucher sa queue bien raide.


=> Je vais au 6.




– 6 – Je glisse ma main sur son jean pour trouver sa queue bien dure que je caresse immédiatement. Il m’aide en dégrafant ses boutons de jean. Ma main pénètre l’antre de la bête. Je trouve l’objet de mon désir ; mes doigts glissent sur son boxer le long de sa tige, provoquant des spasmes. Le rythme de ses fesses s’accorde avec les caresses de ma main. L’annonce du prochain arrêt stoppe ses mouvements. Il retire discrètement ma main, referme son jean, se retourne et me dit simplement « Suis-moi. », puis il sort dès la rame arrêtée.


=> Ne pouvant m’arrêter là, je sors aussi : je vais au 7.

=> Ayant déjà pris beaucoup de plaisir et ne voulant pas aller plus loin pour garder la magie du moment : je vais au 17.




– 7 – Il a déjà pris une vingtaine de mètres d’avance, ce qui ne pourra éveiller les soupçons quant à ma « filature ». Il marche sur une centaine de mètres et entre dans un immeuble ; quelques secondes plus tard, j’y pénètre à mon tour. Devant moi, un escalier sur le côté et un long couloir menant à une cour où une porte est en train de se fermer. Je me dirige vers la cour moins éclairée que l’entrée et ouvre la deuxième porte, qui donne sur un autre couloir encore beaucoup plus sombre. J’y pénètre quasiment dans l’obscurité totale ; je fais quelques pas et m’arrête, ne discernant plus rien. Je sens un mouvement dans mon dos, un souffle sur ma nuque. Des doigts se posent sur mes avant-bras, glissent de haut en bas, me provoquant des frissons. Ses mains remontent le long de mes bras, passent sur mes épaules, massent brièvement ma nuque, descendent le long de ma colonne, font le tour de mes hanches pour venir dégrafer mon jean. Il le fait glisser à mi-cuisses et me chuchote à l’oreille : « Mets-toi à genoux… ». Sentant la chaleur en moi monter à cette situation de soumission, je m’exécute. Je me retrouve à quatre pattes dans le noir, les fesses offertes…


=> J’ai envie qu’il me prenne comme une bête : je vais au 9.

=> J’ai envie d’être une chose et que ça dure longtemps : je vais au 8.




– 8 – Je sens une présence devant moi. Une main vient se poser sur ma tête tandis qu’une queue vient taper mon visage, cherchant ma bouche. J’ouvre mes lèvres et attrape le morceau de chair. Des mains se posent sur mes oreilles et les va-et-vient commencent. Il me baise la bouche, me provoquant des haut-le-cœur. Au comble de l’excitation, je ne me rends pas compte tout de suite qu’une deuxième personne vient s’occuper de moi. Une langue puis un doigt viennent jouer avec mon anus, bien vite remplacés par du plus conséquent. Un sexe me pénètre et je redouble d’efforts pour en avaler un autre. Je suis une chose, un objet sexuel entre deux braquemarts, et j’aime ça. Les va-et-vient s’intensifient des deux côtés, amplifiant mon plaisir. Mon partenaire anal est a priori bien moins membré que mon voisin de tramway, mais il sait y faire : il est tout en douceur, et à entendre ses râles, il prend vraiment son pied. Mon autre partenaire, qui me semble être mon grand Black, continue lui à me défoncer la bouche tout en m’insultant. Il me présente sa queue, ses bourses ; j’avale, je lèche, je prends mon pied avec ce double traitement. Les va-et-vient dans mon cul s’accélèrent et, dans un ultime aller, je sens tout son corps se raidir, synonyme de sa jouissance. Il se retire au bout de quelques secondes, laissant mon anus sur sa faim. N’étant pas arrivé à ma jouissance, je continue de pomper de plus belle et, entre deux succions, je lui ordonne de venir me défoncer le cul.




– 9 – Sa réaction ne se fait pas attendre. Je le sens se positionner derrière moi et sa langue venir se loger dans ma raie. Il humecte ma rondelle en me claquant les fesses. Ces mini préparatifs passés, je sens déjà son sexe tendu venir coulisser entre mes fesses. Deux ou trois allers-retours simplement, et le voilà qui vient forcer mon sphincter. Les insultes dont il me gratifie ne font que me surexciter. Je me sens effectivement chienne et je recule mes fesses pour venir le contenter. Sa queue coulisse en moi dans un râle de plaisir. Même pas le temps d’apprécier que ses mains viennent prendre mes hanches. Il commence un va-et-vient frénétique, me ramonant littéralement le cul. Les insultes fusent, et au comble de l’excitation je l’encourage à continuer, pire, à redoubler d’efforts. Au bout de cinq minutes de ce traitement inhumain, je sens son sexe se figer en moi, ses mains empoigner mes hanches et, dans un dernier râle guttural, j’imagine son sperme jaillir en moi. Cela provoque immédiatement mon orgasme et je jouis à mon tour.




Version unisexe



– 10 – Fin du travail. Je rentre comme d’hab par le tramway. Comme d’habitude il va être bondé à cette heure d’affluence. On va se retrouver comme des sardines sans huile dans cette grosse boîte. Cette hyper proximité me met mal à l’aise mais ne me déplaît pas. Les odeurs ne sont pas toujours agréables, mais les corps serrés qui se frottent provoquent toujours en moi une petite étincelle de désir. Le tramway arrive comme prévu plein à craquer. Une vingtaine de personnes en descendent, une trentaine pensent y pénétrer. Les gens sortis, on s’engouffre en jouant des coudes. Je me retrouve au milieu de la rame face au composteur ; des personnes entrent encore dernière moi, empêchant tout mouvement possible. Dans les vitres en face, je vois derrière moi un Black de dos. Je sens son fessier musclé contre le mien. Le tramway démarre et je me perds dans des pensées érotiques. Je me surprends à onduler du bassin, mais j’arrête vite mes mouvements avant que mes voisins ne s’en rendent compte. A priori, c’est passé inaperçu ; je repars dans mes pensées en fermant les yeux. Je ressens un mouvement dans le bas de mon dos : le fessier du grand Black répond à ce qu’il a pris pour des avances. Je sens ses fesses se contracter, se relâcher, monter, descendre, venir se frotter aux miennes.


=> J’ai beau me dire que c’est involontaire de sa part, je sens le feu monter en moi : je vais au 11.

=> Je ne veux pas qu’il y ait de malentendu, et je profite du prochain arrêt et du mouvement de foule pour changer de place et m’adosser à la porte en face de l’entrée : je vais au 12.




– 11 – Je réponds timidement à ses avances en reculant mes fesses. Il répond à son tour, et les mouvements s’amplifient ; mais un arrêt l’oblige à sortir pour laisser passer. Il revient se mettre à la même place, si ce n’est qu’il est désormais dans l’autre sens. Je vois désormais son visage dans le reflet de la porte vitrée : un beau Black à la tête rasée. Les gens entrant le forcent à venir se coller contre moi ; il me regarde avec un grand sourire, comme pour s’excuser. Je sens désormais autre chose venir buter contre mes fesses. Son sexe à l’air dur ; je referme les yeux et imagine son visage, son corps et son sexe en action. Naturellement, mes fesses reculent pour venir compresser et mieux sentir mon partenaire. Je sens les mouvements de va-et-vient devenir de plus en plus francs. Ses mains s’enhardissent sur mes hanches pour me coller encore plus à lui. Le doute n’est plus possible. Une de ses mains descend sur mon sexe et commence à le caresser. Nos va-et-vient sont lents et amples pour éviter d’attirer les regards. Mais l’envie est là ; à mon tour, je fais passer une main entre nos corps pour venir caresser sa queue. Elle est longue, trapue est bien dure : appétissante ! Je commence les va-et-vient le long de sa queue au rythme de ses doigts sur mon sexe. Un arrêt vient à nouveau couper court à nos activités, nous obligeant tous les deux à sortir. On se regarde sur le quai, souriant comme si de rien n’était. On rentre à nouveau, faisant tout pour se retrouver à nouveau collés l’un à l’autre. Je me retrouve désormais dos à la porte, en face de l’entrée. Il vient se positionner devant moi, m’offrant son postérieur.


=> Je vais au 13.




– 12 – On se fait désormais face à face à distance. Lorsque nos regards se croisent, il passe sa langue sur ses lèvres, me confirmant si besoin était que ses gestes n’étaient pas involontaires. Ce petit jeu continue jusqu’au prochain arrêt, où il est obligé de sortir. Il rentre, en faisant en sorte de se retrouver à nouveau collé à moi. Il vient se positionner devant moi, m’offrant son postérieur.




– 13 – Les va-et-vient reprennent timidement et s’amplifient dès que la rame démarre. Je sens ses fesses rebondies se contracter, simulant le coït. Mes mains se sentent inexorablement attirées par ce postérieur musclé. Je pose une main sur une fesse, provoquant immédiatement une réaction de sa part. Je sens ses fesses se contracter ; je les imagine en pleine action. Une chaleur monte de mon entrejambe. J’ai envie de sexe, de toucher sa queue bien raide. Je glisse ma main sur son jean pour trouver sa queue bien dure, que je caresse immédiatement. Il m’aide en dégrafant ses boutons de jean. Ma main pénètre l’antre de la bête. Je trouve l’objet de mon désir ; mes doigts glissent sur son boxer le long de sa tige, provoquant des spasmes. Le rythme de ses fesses s’accorde avec les caresses de ma main. L’annonce du prochain arrêt stoppe ses mouvements. Il retire discrètement ma main, referme son jean, se retourne et me dit simplement « Suis-moi. », puis il sort dès la rame arrêtée.


=> Ne pouvant m’arrêter là, je sors aussi : je vais au 14.

=> Ayant déjà pris beaucoup de plaisir et ne voulant pas aller plus loin pour garder la magie du moment : je vais au 17.




– 14 – Il a déjà pris une vingtaine de mètres d’avance, ce qui ne pourra éveiller les soupçons quant à ma « filature ». Il marche sur une centaine de mètres et entre dans un immeuble ; quelques secondes plus tard, j’y pénètre à mon tour. Devant moi, un escalier sur le côté et un long couloir menant à une cour où une porte est en train de se fermer. Je me dirige vers la cour moins éclairée que l’entrée et ouvre la deuxième porte, qui donne sur un autre couloir encore beaucoup plus sombre. J’y pénètre quasiment dans l’obscurité totale ; je fais quelques pas et m’arrête, ne discernant plus rien. Je sens un mouvement dans mon dos, un souffle sur ma nuque. Des doigts se posent sur mes avant-bras, glissent de haut en bas, me provoquant des frissons. Ses mains remontent le long de mes bras, passent sur mes épaules, massent brièvement ma nuque, descendent le long de ma colonne, font le tour de mes hanches pour venir dégrafer mon jean. Il le fait glisser à mi-cuisses et me chuchote à l’oreille : « Mets-toi à genoux… ». Sentant la chaleur en moi monter à cette situation de soumission, je m’exécute. Je me retrouve à quatre pattes dans le noir, les fesses offertes…


=> J’ai envie d’être une chose et que ça dure longtemps : je vais au 15.

=> J’ai envie qu’il me prenne comme une bête : je vais au 16.




– 15 – Je sens une présence devant moi. Une main vient se poser sur ma tête tandis qu’une queue vient taper mon visage, cherchant ma bouche. J’ouvre mes lèvres et attrape le morceau de chair. Des mains se posent sur mes oreilles et les va-et-vient commencent. Il me baise la bouche, me provoquant des haut-le-cœur. Au comble de l’excitation, je ne me rends pas compte tout de suite qu’une deuxième personne vient s’occuper de moi. Une langue, puis un doigt viennent jouer avec mon anus, bien vite remplacés par du plus conséquent. Un sexe me pénètre et je redouble d’efforts pour en avaler un autre. Je suis une chose, un objet sexuel entre deux braquemarts, et j’aime ça. Les va-et-vient s’intensifient des deux côtés, amplifiant mon plaisir. Mon partenaire anal est a priori bien moins membré que mon voisin de tramway, mais il sait y faire : il est tout en douceur et, à entendre ses râles, il prend vraiment son pied. Mon autre partenaire qui me semble être mon grand Black continue, lui, à me défoncer la bouche tout en m’insultant. Il me présente sa queue, ses bourses ; j’avale, je lèche, je prends mon pied avec ce double traitement. Les va-et-vient dans mon cul s’accélèrent et, dans un ultime aller, je sens tout son corps se raidir, synonyme de sa jouissance. Il se retire au bout de quelques secondes, laissant mon anus sur sa faim. N’étant pas arrivé à ma jouissance, je continue de pomper de plus belle et, entre deux succions, je lui ordonne de venir me défoncer le cul.




– 16 – Sa réaction ne se fait pas attendre. Je le sens se positionner derrière moi et sa langue venir se loger dans ma raie. Il humecte ma rondelle en me claquant les fesses. Ces mini préparatifs passés, je sens déjà son sexe tendu venir coulisser entre mes fesses. Deux ou trois allers-retours simplement, et le voilà qui vient forcer mon sphincter. Les insultes dont il me gratifie ne font que me surexciter. Je me sens effectivement chienne et je recule mes fesses pour venir le contenter. Sa queue coulisse en moi dans un râle de plaisir. Même pas le temps d’apprécier que ses mains viennent prendre mes hanches. Il commence un va-et-vient frénétique, me ramonant littéralement le cul. Les insultes fusent, et au comble de l’excitation je l’encourage à continuer, pire, à redoubler d’efforts. Au bout de cinq minutes de ce traitement inhumain, je sens son sexe se figer en moi, ses mains empoigner mes hanches et, dans un dernier râle guttural, j’imagine son sperme jaillir en moi. Cela provoque immédiatement mon orgasme et je jouis à mon tour.

Au bout de quelques instants, j’entends des pas, puis la porte s’ouvrir derrière moi ; puis plus rien. Je reprends mes esprits, me relève, me rhabille au bon moment car la lumière s’allume d’un coup. À la limite de l’aveuglement, je mets quelques secondes à m’habituer et je découvre sur le sol deux capotes bien remplies. Je les saisis, les mets à la poubelle et ressors, car j’entends des voix approcher. Me revoilà dans la rue.




– 17 – En rentrant chez moi, je repense à tout ce qui vient de se passer. Ces portes qui viennent de s’ouvrir sur mes fantasmes laissant entrevoir de nouvelles rencontres avec de beaux inconnus. Désormais, mes trajets en tramway ne seront plus jamais les mêmes.