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Temps de lecture estimé : 15 mn
02/04/14
Résumé:  Léa ose découvrir la soumission avec un homme qu'elle ne connaît que par correspondance. Leurs premiers instants d'un long week-end.
Critères:  fffh inconnu fsoumise sm init
Auteur : Domibec  (ledemondemidi.canalblog.com)            Envoi mini-message

Série : Le week-end expérimental de Léa

Chapitre 01 / 06
Première rencontre

Gare du Nord ; à l’entrée du quai 9, elle est là depuis presque une demi-heure. Dans la position et la tenue que Wilfried lui a demandées dans son dernier mail. Elle n’avait pas osé protester et s’était lancée à l’eau, la gorge un peu serrée, un nœud dans l’estomac… Elle aurait pu dire non et mettre un terme à ce long dialogue virtuel. Mais en même temps elle l’avait voulu, elle lui avait tendu la perche… Elle avait envie de vivre cette expérience. Elle avait envie de vivre autre chose. La voilà au pied du mur.


Léa est une jolie jeune femme de 28 ans. Plutôt grande, fine, avec de belles formes. Elle est fière de son corps, de ses seins bien fermes, de ses fesses rondes et fermes également, de ses longues cuisses fines mais musclées… Elle l’entretient, ce corps, passe du temps devant la glace à coiffer sa longue chevelure brune, à s’épiler le plus parfaitement possible sous les bras et autour du sexe. Et régulièrement, deux ou trois fois par semaine, elle fait un footing autour du Vieux Port et dans les jardins du Pharo, à Marseille, sa ville où elle habite depuis sa plus tendre enfance. Le soleil méridional lui a donné un joli teint bronzé. Dès les beaux jours, elle passe tous les soirs sur la plage.


Elle vit seule, ne voulant pas s’aliéner pour un homme ou une femme. Elle veut rester libre. Et elle en profite à plein, ne se privant pas de quelques aventures avec des hommes, et parfois avec des femmes. Elle aime jouir de son corps et quand, pour un soir, elle ne trouve pas chaussure à son pied, elle sait se débrouiller seule.


Depuis quelques mois, cela lui arrive de plus en plus souvent de se retrouver seule. Elle a commencé à en avoir assez de ces hommes qui cherchent essentiellement à tirer leur propre jouissance de son corps à elle. Elle cherche autre chose, veut pousser ses limites plus loin, sortir d’une espèce de routine… C’est pour cela qu’elle s’est inscrite il y a 6 mois sur un site de rencontre. Et assez vite, elle a noué des liens avec Wilfried. Petit à petit, la confiance s’est établie entre eux… Chaque jour, ils se sont envoyé au moins un message… Mais toujours, il a voulu garder une certaine distance, l’appelle « Mademoiselle » malgré ses demandes pour qu’il l’appelle Léa, et il a toujours refusé le « tu » entre eux…


Elle lui parle de son travail qui la passionne, mais surtout de ses aventures et de ses insatisfactions sexuelles… De lui, elle ne sait pas grand-chose. Il se dit artiste et a presque 50 ans. Plus de 20 ans de plus qu’elle, ce qui ne leur déplaît pas, ni à lui, ni à elle. Il parle de ses soirées libertines, et beaucoup des femmes qu’il a eues comme soumises… Cela a ouvert des horizons nouveaux à Léa qui le lui a dit… Elle avait envie d’essayer la soumission. Ils ont commencé à parler de se rencontrer… Mais il y avait la distance et le manque de disponibilité de Léa, très prise par son travail dans un cabinet d’architectes.

Dernièrement, un des projets qu’elle a proposé pour la reconstruction d’un quartier a été retenu. Alors, généreusement, son patron lui a accordé un long week-end du jeudi soir au mardi matin.

C’est ainsi qu’elle se retrouve ce vendredi de début juillet en milieu d’après-midi là où Wilfried lui a donné rendez-vous. À l’entrée du quai 9.


Elle a scrupuleusement respecté les consignes : elle n’a aucun bagage, sinon un petit sac à main ; elle porte une robe légère à fines bretelles qui lui arrive à mi-cuisses. Boutonnée devant, mais – toujours selon les consignes – les boutons du haut, jusque sous les seins, ne sont pas attachés. En arrivant à la gare du Nord, toujours comme demandé, elle est passée par les toilettes pour enlever soutien-gorge et petite culotte qu’elle a fourrés dans son sac. Elle attend debout, les jambes légèrement écartées, les mains derrière le dos…


Elle attend depuis une demi-heure et commence à se demander sérieusement si elle n’a pas été manipulée… Et s’il ne venait pas ! Et si depuis le début il s’était moqué d’elle ! Peut-être l’observe-t-il depuis un moment… Elle cherche à deviner qui ce pourrait être en scrutant les hommes… Il y a tant d’hommes qui la regardent ! C’est vrai que dans cette tenue et dans cette attitude, elle ne peut que provoquer leurs regards concupiscents !

Son téléphone sonne. Elle hésite et finit par le prendre. « Appelant inconnu » indique l’écran. Elle décroche.



Cette voix. Grave, chaleureuse, presqu’enjouée… Enfin ! Un signe de lui…



Elle regarde autour d’elle qui ce peut être.



Et il raccroche.


Léa a trouvé sans trop de difficultés le lieu de rendez-vous. Elle a trouvé le bandeau ; mais, avant de se le mettre, elle a regardé la chambre occupée essentiellement par un grand lit dont le drap de dessus et la couverture étaient repliés au pied. Face au lit, légèrement de biais, dans un coin, sous la fenêtre, un gros fauteuil en cuir. À côté, une commode. C’est tout. Un sol recouvert d’une épaisse moquette. Dans le fond, une porte ouverte sur une salle de bain dont elle aperçoit une grande douche vitrée. Mais elle devine tout de suite une pièce consacrée aux plaisirs de l’amour. Sur les murs, toute une série de photos, d’estampes, de gravures montrant des hommes et des femmes nus, des couples hétéros ou homos enlacés, des scènes d’orgie… Et sur les murs face au lit et face à la fenêtre, de grands miroirs de même que – et cela émoustille encore davantage Léa – sur le plafond. Elle a toujours eu envie de se regarder faire l’amour…

Mais elle ne prend pas le temps de regarder davantage. Elle veut – elle doit – être prête quand Wilfried arrivera. Dans 30 secondes ou dans… une heure, elle l’ignore !

Elle se positionne donc face au fauteuil, écarte les jambes et s’attache solidement le bandeau. Elle met ses mains derrière le dos et commence l’attente…


Elle n’attend pas plus de 10 minutes. La porte s’ouvre et elle sent quelqu’un entrer dans la pièce. Elle sent aussi – et cela l’inquiète un peu – qu’il n’est pas seul… Pas un mot n’est dit. Elle entend ce quelqu’un s’asseoir dans le fauteuil face à elle. Elle n’entend rien de l’autre personne. Se serait-elle trompée ? Serait-il seul ? Un long silence. Elle se sent observée…



Elle se retourne. Nouveau silence.



Elle s’exécute… Elle sent le bas de sa robe qui remonte jusque sous ses fesses. Elle sait que du fond de son fauteuil, l’homme a une vue majestueuse sur ses fesses et sur son sexe… Cela l’excite de s’exhiber ainsi face à cet inconnu qui ne l’est pas tant que ça…



Ce qu’elle fait avec une certaine appréhension. Elle ne peut retenir un léger frisson. Pourtant, il ne fait pas froid. Et elle se sent même rougir…



Elle entend Wilfried se redresser sur son siège… Et voilà le premier contact physique. Une main se saisit d’une fesse qu’elle commence à pétrir doucement… L’autre se pose sur sa cuisse. Ces mains sont massives mais douces aussi. Rien de brutal dans ce geste de possession… La main sur la cuisse remonte doucement, et sans aucun préalable un doigt pénètre son fourreau. Sans aucune difficulté… Mais elle ne peut retenir un petit cri à la fois de surprise… et de bien-être… L’autre main glisse le long du sillon, écarte les lobes, et immédiatement un doigt pénètre son anus… Nouveau petit cri, cette fois de douleur… Elle veut retirer ce doigt inquisiteur et indiscret mais Wilfried la retient d’un « Tttttt – Ne bougez pas… ».

Les deux doigts s’agitent dans son intérieur, se rejoignent à travers la fine cloison… Le pouce de la main qui est devant trouve son clitoris, qu’il fait doucement rouler…


Léa n’est pas insensible à ces caresses. Au contraire, même. Elle sent une certaine jouissance monter. Sa respiration s’accélère. Elle se laisse aller. Ce n’est pas du tout désagréable de se laisser ainsi prendre en étant parfaitement passive… Elle s’abandonne… La jouissance monte… quand soudain Wilfried retire ses doigts.



Nouveau silence… Wilfried se recale dans son fauteuil… Léa cherche à calmer sa respiration. Elle est déçue et presqu’en colère intérieurement. L’orgasme était si proche…



Léa est partagée entre dire sa colère, la honte de se masturber ainsi devant cet inconnu qu’elle n’a même pas vu encore, et l’envie d’achever le travail que Wilfried a si bien commencé… Elle hésite. La situation lui semble grotesque : nue, jambes écartées, devant cet homme qui lui demande de se caresser. Mais après tout, elle l’a voulu ; elle avait été prévenue qu’il lui faudrait dépasser des limites, surmonter des réticences…


Alors doucement elle glisse ses mains vers l’avant. Presque timidement, elle cherche d’un doigt son clitoris, écarte ses lèvres de son autre main… Délicatement, imperceptiblement, elle commence à se caresser… Mais elle éveille de nouveau son extrême sensibilité encore en alerte après les caresses de l’homme. Ses caresses, ses gestes deviennent plus précis. Elle se lâche, oublie où elle est, en tire même un certain plaisir… Jouir. Elle veut jouir. Elle n’est plus tendue que vers cette jouissance qui ne tarde pas à monter… Elle se contorsionne, elle se caresse d’une main les seins, le ventre, les fesses tandis que l’autre s’agite à l’entrée de son puits d’amour… La tension monte. Un vertige la saisit. Elle manque tomber mais veut garder la position exigée ; pour cela, elle bande tous ses muscles. Enfin, elle jouit. Profondément. Intensément…


Léa se calme. Elle reprend conscience de la situation. Elle ne sait plus comment se mettre. Doit-elle remettre ses mains derrière le dos ? Peut-elle bouger ?

Wilfried se lève, met son bras autour de ses épaules, se saisit de sa main qui s’est tant agitée et la lui fait porter à sa bouche, lui faisant lécher chacun de ses doigts chargés de sa cyprine… Puis il la serre contre lui, lui caresse tout le corps avec beaucoup de tendresse et de douceur… Enfin ! Léa apprécie cette étreinte. Elle sent le tissu d’une chemise, la toile du pantalon.

Doucement, la main posée sur sa fesse, Wilfried la dirige vers le lit…



Léa s’exécute, se demandant ce qui va lui arriver maintenant. Ce n’est donc pas fini ? Il ne lui enlève toujours pas le bandeau ? Elle ose le lui demander…



Elle l’entend ouvrir un tiroir ; de la commode, sans doute. Puis il se saisit d’un pied qu’il attache avec un ruban ou un foulard au pied du lit. Puis c’est le tour de l’autre pied, puis d’une main, puis de l’autre main. La voici écartelée, attachée sur le lit, le bassin soulevé par le coussin sous ses reins.



Léa se demande ce qu’il attend d’elle. « À moi de jouer ? Que veut-il que je fasse ? »

Mais elle ne se pose pas longtemps la question. Elle sent un poids qui monte sur le lit. Ce n’est pas lui… Léa avait oublié qu’elle avait eu l’impression qu’une autre personne entrait avec lui dans la chambre. Cette personne s’est faite très discrète jusqu’à maintenant.

Elle se met à califourchon sur le corps de Léa. Léa comprend qu’il s’agit d’une femme. Une femme fine, même. Elle sent le contact de ses jambes contre ses hanches… Deux mains se saisissent de ses seins, les caressent, les contournent, jouent avec les tétons… Les doigts sont fins, longs, doux… Léa pousse un profond soupir de contentement. Elle est bien… Elle se livre entièrement aux doigts de cette femme… Qui est cette femme ? Comment est-elle ? Elle parierait qu’elle est plutôt jeune, mais rien ne lui permet de l’affirmer…


Les mains continuent de caresser la poitrine de Léa puis glissent sur le côté, sur le ventre, remontent aux seins, poursuivent le long des bras… Pour ce faire, la femme doit se pencher en avant et Léa sent son souffle sur son visage… Et les mains redescendent, légères… Puis remontent sur les seins. La femme descend son bassin. Elle se met à frotter son sexe ouvert par sa position contre le sommet du mont de Vénus glabre de Léa, qui en ressent l’humidité. Que cette caresse est douce, agréable… Elle donne des coups de hanches pour renforcer le contact…


Au bout d’un moment, la douce inconnue change de position et s’agenouille entre les jambes ouvertes de Léa. Elle enveloppe une cuisse de ses deux mains, la caresse longuement du genou à l’aine, se gardant bien d’effleurer le sexe béant de Léa. Puis les mains passent doucement sur l’autre cuisse, l’une passant au ras des fesses, l’autre sur le pubis, et longuement elles caressent, vont et viennent de haut en bas… Léa frissonne de plaisir… et d’envie. Elle voudrait tant que ces mains se posent sur son sexe, jouent avec son clitoris, que ces doigts la pénètrent… Mais la femme joue de ne pas lui procurer tout de suite ce plaisir attendu…


Maintenant, elle a posé ses deux mains sur les aines. Les pouces descendent le long du pli entre le périnée et le haut de la cuisse, puis reviennent en haut juste au début de la fente… Léa donne des coups de reins pour accentuer le contact, mais la femme retire ses mains pour les reposer…

Léa suinte de désir. Elle s’agace de devoir tant attendre. Un véritable supplice…


La femme se glisse à plat-ventre… Léa sent maintenant son souffle sur son sexe… Souffle que la tortionnaire dirige vers son bouton magique… Et elle donne un léger coup de langue du bas en haut du sexe, si léger, comme une plume… Léa geint… Encore… Mais la femme le lui refuse. Elle se redresse, colle son genou contre l’antre ouvert et se penche vers le visage de Léa. Ses seins effleurent les siens. Elle colle ses lèvres aux lèvres de Léa qui ouvre la bouche pour l’accueillir… La langue pénètre, les langues s’emmêlent. Léa voudrait prendre cette femme par le cou, la serrer contre elle, accentuer cette pression entre leurs seins… Mais elle ne peut que donner des coups de reins, appuyer le plus qu’elle peut son sexe contre le genou…


La femme change à nouveau de position… Elle se met tête-bêche, son propre sexe à hauteur du visage de Léa qui redresse la tête, essaie de plonger, en aveugle, sa langue dans le con offert à elle. Elle sent son odeur, arrive à tirer du bout de la langue une goutte de la liqueur…

La femme glisse ses mains sous les fesses et plonge la tête entre les cuisses de Léa… Et, enfin, elle consent à créer le contact avec le sexe dégoulinant de désir… Entre ses lèvres, elle pince le clito ; la langue pénètre les muqueuses, fouaille, va-et-vient…

Léa se raidit et jouit intensément sous la caresse…



La femme descend du lit… Léa est frustrée de ne rien voir, de ne pas voir le visage de cette femme qui lui a procuré un tel plaisir… Son souffle se calme ; mais en face du lit, vers le fauteuil, elle entend la femme qui, elle, respire de plus en plus fort, geint… Wilfried l’a-t-il pénétrée ? Font-ils l’amour ? Elle n’entend rien venant de Wilfried, sinon le craquement rythmé du cuir… Ou bien alors il la masturbe…

Rapidement, la femme pousse des petits cris plaintifs… Puis un énorme soupir… Elle jouit… Longuement…



Léa entend le fauteuil qui grince davantage. Wilfried se lève. Elle sent un poids monter sur le lit ; Wilfried se glisse entre ses deux cuisses ouvertes, se tient dressé sur ses deux bras de part et d’autre du corps le Léa. Elle se rend compte que maintenant il est nu. Et sans plus de préliminaires, il enfonce son sexe au plus profond de son con. Léa pousse un petit cri de surprise… et de nouveau plaisir. Il commence ses mouvements de va-et-vient, variant l’amplitude de ses mouvements, le rythme… Une nouvelle fois, Léa sent le plaisir monter, le vertige la prendre… La respiration de Wilfried devient aussi plus forte, plus rapide… Elle sent le sexe gonfler en elle ; elle serre ses muqueuses comme pour le retenir… Wilfried pousse un râle et elle sent un premier jet puissant au fond d’elle… Alors elle est de nouveau prise dans la tourmente et ils jouissent ensemble…


Lorsque c’est terminé, il reste un long moment en elle encore, toujours dressé sur ses bras, comme pour ne pas l’écraser… Mais pas un mot, pas un baiser… Au bout d’un moment, il finit par dire :



Léa ne sait quoi dire, quoi faire. Et elle repense à ce « merci » dit par la femme tout à l’heure après sa jouissance.



Il se retire et descend du lit. Aux bruits que Léa entend, elle comprend qu’il est en train de se rhabiller. Puis elle l’entend aller vers la porte, l’ouvrir.



Et la porte se referme… Des mains délivrent un pied, puis l’autre. La femme va à la tête du lit, libère une main. Comme si elle le faisait exprès, elle prend le temps de faire le tour du lit pour libérer l’autre main. Léa fait le geste d’ôter son bandeau. Doucement, la femme retient son geste.



Léa aime ce tutoiement… Mais elle a hâte de voir le visage de cette femme. Celle-ci monte sur le lit, se remet à califourchon au-dessus du corps et joint de nouveau ses lèvres aux lèvres de Léa… Elles s’embrassent intensément ; et cette fois, même si elle ne la voit pas encore, Léa peut prendre ce corps contre le sien… Elle le serre, le caresse. Elle caresse les seins, des seins pas trop gros, en forme de poires, bien fermes… Presque des seins d’adolescente… Ses mains glissent sur le dos… Les côtes sont palpables… Elle atteint les fesses bien rondes, bien fermes elles aussi…


Tout à coup, le bandeau est enlevé… Et elle la voit. En fait, une très jeune fille ; 18-19 ans au grand maximum. Un visage d’ange sous ses cheveux noirs coupés courts à la garçonne…

Elle la fait rouler sur le côté. Elles se font face, jambes emmêlées, bras autour des corps. Seins contre seins. Cuisses contre pubis… Les mains glissent sur le corps de l’autre… Leurs lèvres se rejoignent de nouveau…

Ce n’est pas la première fois que Léa se retrouve dans cette position avec une autre femme. Elle a eu plusieurs expériences lesbiennes… Mais elle n’a jamais serré contre elle un corps aussi jeune. Et elle repense au plaisir que cette jeune fille lui a offert tout à l’heure avec beaucoup de savoir-faire.


La jeune femme fait s’allonger Léa, lui fait écarter légèrement les jambes. Sa main glisse sur le ventre, le pubis, et les doigts plongent dans le con de Léa… Ils se chargent du sperme que Wilfried a laissé tout à l’heure, ressortent. Elle porte ses doigts à sa bouche et les lèche, les suce un par un avec délectation. Elle les replonge dans le sexe ouvert et dégoulinant du mélange de sperme et de cyprine et, cette fois, les offre à la bouche de Léa…



Tout en parlant, elles se caressent mutuellement, s’embrassent, se regardent dans les yeux…

Léa glisse sa main vers le sexe d’Anne et commence à la masturber. Anne se laisse faire un temps, ferme les yeux pour goûter l’instant… Mais soudain, elle repousse doucement la main de Léa…




À suivre…