n° 16139 | Fiche technique | 31223 caractères | 31223Temps de lecture estimé : 18 mn | 08/04/14 corrigé 10/06/21 |
Résumé: Trouver une fille aussi belle, c'est une chance. Mais pouvoir l'inviter chez soi, c'est extraordinaire. | ||||
Critères: vacances plage amour fellation cunnilingu pénétratio fsodo | ||||
Auteur : Bertrand D Envoi mini-message |
Sur la plage blanche surchauffée, à l’ombre de son parasol, Norbert se réveille de sa sieste, se retourne sur le ventre. Il est quatre heures, le soleil est encore brûlant. Devant ses yeux, une femme, du moins il semble, compte tenu de la finesse des pieds et surtout de la vue qu’il a entre les jambes entrouvertes. Pas de proéminence au confluent des cuisses et deux dômes de chair surmontés d’un bouton un peu plus haut. Même vue de dessous, il devine une jolie fille.
Que faire, se soulever pour la voir ? Ce ne serait pas très élégant de ma part, et puis, j’ai la flemme.
Tiens, elle se redresse, assise, examine les alentours. En effet, c’est un joli morceau, du moins la partie qu’on aperçoit c’est-à-dire un visage régulier et surtout des seins nus. Elle semble confrontée à un problème dont elle ne trouve pas la solution. Ses lunettes noires s’immobilisent face au visage de son admirateur.
Elle se dresse, bon dieu qu’elle est belle ! Grande, mince, bronzée, un visage magnifique, un cul exceptionnel, en plus des seins lourds mais fermes. Vingt-cinq, trente ans, un âge qui me conviendrait bien.
Elle avance lentement, d’un pas naturel, comme un mannequin sur un podium. Les têtes pivotent devant ce spectacle magnifique, les mâles aux alentours se redressent admiratifs et excités, la gent féminine témoigne de sentiments contradictoires allant de l’envie à la jalousie.
L’eau doit être vraiment bonne, elle est partie depuis près d’une demi-heure. Enfin, la voilà. De face aussi, elle est superbe.
Norbert part en foulées légères, afin d’avoir l’air sportif.
Dix minutes plus tard, il revient. L’inconnue est toujours exposée, au risque de prendre un coup de soleil.
Quelques minutes plus tard, ils se retrouvent allongés côte à côte, de part et d’autre du mât. Ils échangent quelques phrases banales, sur le temps, la saison. Mais surtout profitent de ce moment de délassement.
Elle est vraiment belle, j’aimerais la photographier.
Ils ont continué la conversation sur ce sujet, Norbert cherchant à conserver cette beauté à ses côtés le plus longtemps possible.
Elle sourit devant cette remarque.
Elle enfile une robe de plage. Le trajet vers le bistrot est assez court. En entrant, Norbert dépose son parasol dans un coin, près du comptoir. Le patron lui sourit.
Franchissant une porte dissimulée derrière un rideau de perles de bois, ils accèdent à une grande pièce fraîche, s’ouvrant sur une cour ombragée. Quelques retraités jouent aux cartes dans un coin. D’autres tables sont occupées par des couples.
Le patron est venu prendre leur commande.
Quelques minutes après, le patron revient avec les consommations, suivi d’un couple de personnes dans la cinquantaine.
Immédiatement, l’homme voyant quelqu’un qui peut le comprendre, débite à toute vitesse une phrase que Norbert n’a pas le temps de saisir entièrement. Il se prépare à leur dire de parler moins vite. Mais, surprise, sa compagne, répond au couple à la même cadence et avec le même accent.
L’Américaine lâche une rafale de mots que Norbert ne parvient toujours pas à saisir.
Les consommations sont arrivées, et la conversation en américain a repris. Peggy traduit au fur et à mesure à son compagnon. Les touristes sont intarissables, depuis une semaine qu’ils ont des difficultés à se faire comprendre, ils se rattrapent.
Les consommations ont été renouvelées, mais l’heure du repas approche. Norbert en fait la remarque à sa compagne.
Discussion avec le couple, protestation, longue conversation.
Norbert est heureux de rester avec Peggy. Ils se sont levés, il a fait un signe au patron : sur mon compte. L’américain voulait à tout prix régler, mais Peggy lui a expliqué que son compagnon l’avait déjà fait.
Peggy a expliqué aux nouveaux amis qu’elle allait chercher sa voiture. Pendant ce temps Norbert a téléphoné au restaurant afin de réserver une table.
Elle est revenue avec une petite voiture décapotable puissante, mais surtout elle a changé de robe, et la nouvelle la met encore plus en valeur. L’Américain a même émis un sifflement admiratif. Norbert est monté à côté de Peggy, admirant ses jambes fuselées.
Les deux voitures sont parties vers l’intérieur du pays, à une quinzaine de kilomètres. Ils se sont arrêtés devant une auberge installée dans un ancien relais de poste. Le restaurateur les a guidés dans une pièce intérieure voûtée, meublée en style régional. Les trois touristes sont restés ébahis par l’architecture, la décoration et l’ameublement. Aussitôt les appareils photos sont sortis et tout le monde s’en donne à cœur joie sous le regard amusé de Norbert et de l’aubergiste.
Le repas, composé de mets régionaux, a été excellent et surtout a plu aux étrangers. Même Peggy a été surprise. Et pour parfaire le tout, un vin qui s’est révélé une merveille.
Mais après le pousse-café offert par l’aubergiste, les touristes ont de la peine à se lever. Grande conversation en américain, et la Française est allée voir le patron.
Elle est revenue cinq minutes plus tard. Nouvelle conversation et grand sourire des étrangers.
Volontairement il a utilisé le tutoiement. Elle est de son âge et semble assez sympathique.
Elle utilise le tutoiement pour répondre.
Un sourire ironique est apparu sur le visage de Peggy. Elle est allée auprès des Américains pour leur expliquer leur désir de rentrer
Les étrangers ont été désolés de ne pouvoir retenir leurs invités. Ils se sont séparés avec force claques dans le dos pour les hommes, et baisers appuyés de la part de l’Américain pour Peggy.
La nuit est tombée, le ciel d’un bleu sombre piqueté d’étoiles, la température douce, incite la conductrice à rouler à allure modérée.
Le vin y est peut-être pour quelque chose, mais Norbert se sent divinement bien. L’air tiède les caresse, avantage de la décapotable. Dans la pénombre de la voiture, il regarde avec délice sa voisine, ses jambes et surtout sa poitrine.
Guidée par le garçon, Peggy a pénétré dans une cour plantée de platanes, s’est arrêtée devant un petit immeuble et garée à un emplacement réservé. Elle a ouvert le coffre et sorti son bagage. Galamment, son compagnon l’a pris.
Ils sont montés jusqu’à son appartement.
Il est sorti avec regret, aurait aimé pourvoir l’admirer nue sous la douche. C’est ridicule, se dit-il, je l’ai déjà vue cet après-midi.
Préparant la chambre de son invitée, il envie le lit qui va la recevoir pour la nuit. Il aimerait bien être à sa place.
La douche est arrêtée depuis quelques instants, la porte s’ouvre et elle sort, nue, magnifique. Bouche bée, il l’admire.
Se précipitant sous la douche, il ouvre à fond l’eau froide pour essayer de calmer son sexe qui a réagi au spectacle. Oh, se dit-il, tant pis, je sors comme ça.
En le voyant arriver, flamberge au vent, elle lui dit :
Décontenancé, il ne sait que répondre à une proposition aussi directe. Jamais aucune femme, surtout aussi belle, ne l’a provoqué de cette façon. Puis Peggy s’est levée :
Stupéfait, il ne sait plus que penser. Elle s’offre, puis se défile.
Elle défait le lit, s’allonge entre les draps. Fini, tout est perdu, je me suis fait des illusions.
Il s’approche du lit, commence à se pencher pour un chaste baiser.
Elle le saisit par le sexe, le rapproche d’elle. Bien que totalement surpris, ses réflexes jouent, il s’allonge à côté d’elle. Elle le pare d’un préservatif qu’elle avait dû préparer.
Tenant toujours son sexe en main, elle le tâte, le mesure, le branle doucement. Il se penche vers elle pour l’embrasser. Surprise, elle fuit le baiser. Étonné, il descend vers les seins. Comme l’avait laissé pressentir leur vue, ils sont fermes malgré leur volume. Elle a lâché le morceau qu’elle avait en main, lui masse lentement la nuque et le cou pendant qu’il caresse, embrasse ces fruits tièdes. Son envie est toujours aussi grande, mais il trouve merveilleuse la méthode qu’elle utilise. Ses muscles se détendent. Elle lui relève la tête, pivote et lui présente son triangle parfaitement glabre. C’est une offre qui ne se refuse pas. Elle a repris le sexe en main, l’a massé, masturbé, mais d’une manière incroyable. Il trouve même cela différent et peut-être même meilleur qu’une fellation. Mais il change rapidement d’avis lorsqu’elle l’embouche. C’est un délice, la langue joue avec son sexe. Aucune fille ne lui avait provoqué autant de plaisir. Il craint de ne pouvoir tenir longtemps avec un tel traitement. Mais comme si elle lisait en lui, elle ralentit méthodiquement juste au moment où il va jouir. Certes, c’est un supplice, mais tellement bon.
La phrase l’a surpris en plein nirvana. Il s’empresse d’obéir et vient s’allonger sur elle. Elle prend en main le sexe, met en place une protection, se masturbe quelques secondes. Puis elle le laisse s’enfoncer en elle. Il a la sensation de plonger dans un pot de crème. Arrivé en bout de course, elle l’immobilise un instant puis le relâche. À présent, il sent sa queue comprimée comme s’il la dépucelait, ce qui n’est pas le cas. Après quelques va-et-vient, elle l’immobilise à nouveau et ses muscles génitaux le masturbent. C’est divin.
Il attendait cet ordre car il se sentait prêt à éclater. Il se déchaîne alors à grands coups, tant pis si je lui fais mal, il est tellement tendu. Bientôt il éclate, s’immobilise au plus profond d’elle. Et il sent qu’elle le vide en manœuvrant ses muscles internes.
Il retombe, merveilleusement heureux, mais épuisé.
Il a obéi, s’est écroulé dans son lit. La nuit a été peuplée de rêves langoureux dans lesquels Peggy était sa partenaire.
La fraîcheur du matin l’a tiré de ses songes. Doucement, il va voir sa maîtresse. Maîtresse dans le vrai sens du terme puisque c’est elle qui décide, dirige, exécute, mais donne tellement de plaisir. Elle est là nue, étendue à plat ventre. Il la couvre du drap pour lui éviter d’avoir froid.
Elle a balbutié ça dans son sommeil.
Il s’est levé, est parti chercher des croissants, a préparé le café. L’odeur a réveillé sa compagne. Elle est arrivée dans la cuisine, l’a embrassé sur la joue. Il ne sait que penser. Il décide de lui proposer de continuer l’aventure.
Il l’a amenée dans des coins magnifiques mais peu connus. À midi, il l’a invitée dans un restaurant perdu dans les châtaigniers. En rentrant il lui a montré sa petite maison, héritée d’une tante, dans un petit village. Elle l’a trouvée magnifique, avec tous les meubles authentiques. Elle a été satisfaite de la journée.
Ils sont restés là pour dormir. Dans la chambre, elle n’a pas eu à l’inviter, il s’approche d’elle, elle l’enlace. Elle lui renouvelle les mêmes attentions, variant un peu dans les détails. Elle lui propose même l’exploration d’un domaine qu’il n’a pas souvent l’occasion de visiter. Ses fesses se révèlent aussi agréables que son vagin et lorsqu’il se répand en elle, il sait que le paradis existe.
Ils sont rentrés le lendemain matin. Elle est partie immédiatement. À nouveau, elle a refusé de se laisser photographier, n’a pas voulu lui donner ses coordonnées, même pas son véritable nom. Elle a été intraitable.
Avant de le quitter, elle lui a pourtant accordé une faveur. Elle l’a embrassé sur la bouche d’une manière inoubliable.
Comme chaque année, pour le jour de l’an, Norbert reçoit de nombreuses cartes de vœux de parents ou amis. Il sait par avance qui lui adresse ou répond à ses vœux. Mais pour une fois une enveloppe avec de magnifiques timbres. Pas d’adresse au verso. Il ouvre : un portrait de Peggy. Au dos quelques mots :
Mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année. Merci pour les merveilleuses vacances que tu m’as offertes, en t’en souhaitant d’aussi bonnes pour cette année.
Peggy.
Toujours aucune indication, pas moyen de lui répondre. En examinant l’enveloppe, il s’aperçoit que le cachet indique un bureau de poste d’un village, dans le 78. Mais est-ce vraiment là qu’elle réside ? Mais surtout quel est son nom. Et même le prénom qu’elle m’a donné est faux.
Norbert s’en est retourné sur la plage, en ce mois de juillet. Il a cherché si, par hasard, Peggy ne serait pas revenue. Mais depuis dix jours qu’il patrouille, il a eu l’occasion de voir de très belles filles, mais pas celle qu’il désire.
Pour avoir un peu plus de fraîcheur et de calme, chaque soir il va dormir au village. Le hameau est à l’écart de la route nationale, les touristes, ne connaissant pas le coin, sont rares, heureusement.
Depuis le début des congés, il n’a eu aucune fille. Aujourd’hui, deux campeuses néerlandaises se sont adressées à lui, en anglais. Il a pu les renseigner et ils ont discuté un moment. Il leur a proposé de se retrouver le lendemain au même endroit. Peut-être pourra-t-il en lever une, peut-être même les deux ? On peut rêver.
Dans la rue étroite, une voiture est garée, obligeant à ralentir pour ne pas l’accrocher. Il y a tout de même un étranger qui s’est aventuré jusqu’ici.
Arrivé devant chez lui, sur le banc de pierre, une femme est assise. Il s’approche, c’est elle ! Fou de joie, il s’approche.
Dans la maison fraîche, ils se sont retrouvés d’une façon naturelle, Norbert l’embrassant d’une manière amicale. Elle répond de même.
À nouveau il a profité avec délice de ce corps qui l’avait enthousiasmé. Ils ont renouvelé leurs merveilleuses nuits de l’an dernier, auxquelles elle a ajouté quelques variantes. Et elle a accepté qu’il reste pour lui présenter à nouveau ses hommages. Il a regagné très tard sa chambre.
La merveilleuse fatigue de la nuit a prolongé son sommeil jusqu’à neuf heures. Au comble du bonheur, il va retrouver sa compagne. Mais le lit est vide. Rapide inspection dans toute la maison, elle est partie. Contre la porte du frigo, maintenu par un aimant en forme de fleur, un message est accroché :
Je te remercie pour la merveilleuse nuit que tu m’as offerte. Je t’aime, maintenant j’en suis sûre. Je ne peux pas toutefois rester auprès de toi. Je reviendrai de temps en temps te rendre visite, mais n’essaie pas de me retrouver. Si tu le faisais, je te quitterais. Mais rien ne t’oblige à me rester fidèle. Je t’aime.
Peggy
Norbert est effondré. Son amour est parti. Mais elle lui a avoué qu’elle partageait ses sentiments. Que faire ? Chercher à la retrouver, ce serait la séparation, il sait qu’elle en est capable, elle aurait la force de caractère de renoncer à lui. J’attendrai donc qu’elle vienne, quand elle le désirera.
Depuis, Norbert vit en célibataire. Il profite des occasions qui se présentent, son physique est apprécié de la gent féminine. Malgré certaines rencontres extrêmement intéressantes, aucune n’a la qualité de son aimée. Il leur refuse de partager sa vie et son logement.
Il attend toujours son amour, recevant fréquemment une carte postale ou un coup de fil, et même assez souvent de courtes visites. Il garde toujours l’espoir qu’un jour, elle revienne définitivement.