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Temps de lecture estimé : 21 mn
11/04/14
Résumé:  Kris est invitée à une chasse au sanglier, qui sera le gibier ?
Critères:  fhh hagé alliance voisins grossexe forêt voir exhib fellation cunnilingu anulingus double sandwich fdanus fsodo
Auteur : Kristal      Envoi mini-message
Chasse au sanglier...

Partie de chasse au sanglier… Qui fut le gibier ?




C’est encore Kris qui prend la plume aujourd’hui pour vous conter une de nos nouvelles aventures. Vous vous souvenez peut-être de mes frasques avec Mario, mon beau-père ? À l’époque, de peur qu’Alain n’apprécie pas les histoires de famille, je n’en avais rien dit à mon cher et tendre mari. C’est lui, un soir, qui amena la conversation sur le sujet, m’apprenant qu’il avait été le témoin ravi de mes incartades. Nous en avons bien ri et nous avons fait l’amour comme des fous en nous remémorant ces moments d’égarement de ma part. Depuis, chaque fois que nous recevons ma mère et mon beau-père ou que nous descendons chez eux, Alain me jette de longs regards de connivence. Ce sont des invites pour moi à « allumer » discrètement Mario et nous nous amusons de ses regards sur mes jambes découvertes, mon décolleté qui baille comme par hasard lorsque je me trouve dans son axe de vision et cachée de ma mère…


Mario n’est pas qu’un chasseur de femmes… Il est aussi réellement chasseur et part régulièrement passer une journée dans les contreforts des Cévennes avec un voisin pour y débusquer le sanglier. Nous connaissons bien ce voisin, Gilbert, qui habite à quelques mètres de chez ma mère. Il passe souvent boire un pastis, nos deux fines gâchettes se remémorent leurs exploits avec de grands rires et de longues tirades. J’aime les écouter mais aussi sentir leurs regards sur moi. Surtout Gilbert qui me connaît depuis que je suis gamine et qui a toujours eu tendance à me déshabiller des yeux. C’est un grand gaillard frisant la soixantaine, jovial, rieur et à qui l’accent du midi donne un charme certain.


À l’automne dernier, nous étions descendus passer un week-end chez ma mère. Le samedi après-midi, Gilbert et Mario se sont installés sous la véranda pour astiquer leurs armes en prévision d’une sortie le lendemain. Ils nous ont proposé, à Alain et à moi de les accompagner pour la journée du dimanche, histoire de prendre l’air et de profiter des derniers beaux jours sur les Cévennes. Nous nous sommes regardés… Alain, avec un sourire ambigu a décliné l’invitation, n’étant pas chasseur. Mais il a ajouté :



Même ma mère a approuvé le projet, promettant de préparer un repas qu’il ne me restera qu’à faire réchauffer dans le chalet. Après un nouveau regard vers Alain, j’acceptai donc de les accompagner. Le dimanche matin, réveil de très bonne heure, Mario gratte à la porte de notre chambre, un café fumant sur un plateau.



Sortie de la douche, j’enfile un jean, choisis un petit sweet à fermeture éclair, sors une veste en polaire, une grosse doudoune. Au moment où je passe sur mes épaules les bretelles de mon soutien-gorge, Alain s’approche de moi et le saisit en riant.



Nous échangeons un long baiser, les mains d’Alain parcourent mon corps et je descends, nue sous mon sweet !

Le lourd 4x4 démarre, je suis confortablement installée à l’arrière tandis que nos deux tartarins, Mario au volant, Gilbert passager, m’expliquent le déroulement de notre journée. Après quelques kilomètres, le chauffage devient efficace au point que je dois ôter ma polaire. J’ai une petite pensée pour Alain lorsque Gilbert se retourne pour me tendre sa veste de chasse qu’il me demande de poser sur le siège à mes côtés. Ses yeux sont restés braqués sur mes seins ! Il s’installe légèrement de biais pour me parler et, surtout, prolonger sa contemplation. Mon cher mari avait vu juste ! C’est en pensant à lui que je m’amuse à bomber le torse, faisant saillir les pointes de mes seins, déjà durcies à la pensée de ce qui se passe dans la tête de Gilbert (Et plus bas vraisemblablement !). Je me plais à imaginer les envies sournoises que je déclenche chez lui, une douce chaleur remonte lentement de mon ventre vers ma poitrine.


Mais tout a une fin, le voyage se termine. La cabane est un véritable petit chalet, presque coquet, possédant même une douche et des toilettes. Mario s’empresse de débarquer nos victuailles tandis que Gilbert s’active pour allumer un joli feu de bois dans l’étroite cheminée. Moi ? Je profite du confort d’un vieux canapé en les regardant s’agiter. Ils posent leurs fusils près d’une fenêtre qui s’ouvre sur la forêt. Mario m’explique que, d’ici, ils peuvent surveiller les passages de gibier tout en restant au chaud.

À peine une heure plus tard, après avoir bu un café, la chaleur du feu de bois fait son effet. À nouveau, je dois me débarrasser de ma polaire. Les hommes terminent d’installer leur matériel. Gilbert prend le premier tour de garde derrière le volet de la fenêtre, à demi close. Mario, de son côté, s’affaire pour préparer notre repas de midi.



Il tire un tabouret à côté du sien puis me fait signe de m’asseoir.



Il éclate de rire, pose une main sur ma jambe en un geste innocent, amical, mais je sens son regard brûler mon sweet à hauteur de mes seins… Pas si innocent que cela, mon brave Gilbert ! Ce qui ne me gêne d’ailleurs pas… Sous ses airs rustres il me semble cacher d’autres avantages qui sont en train de mettre en émoi une drôle de boule au fond de mon ventre… C’est le moment que choisit Mario pour nous proposer de sortir un moment, le soleil ayant largement réchauffé la forêt. Mes deux chasseurs m’oublient un peu, tout occupés à étaler du maïs et à tirer quelques branchages devant la fenêtre pour en camoufler un peu plus la vue. J’en profite pour m’asseoir sur un tronc couché pour envoyer un petit texto à mon amour…


« Mon cœur, tout se passe bien ici, il fait beau et chaud. Albert et Mario sont charmants mais un peu… curieux. Surtout Albert qui louche sur mes seins depuis ce matin. Là on est dehors, on ne va pas tarder à manger. Il fait très chaud dans le chalet, sans parler des regards de Gilbert… Ça commence à me donner des idées et presque des… envies ! Bon, je t’embrasse et te laisse. À ce soir mon amour ! »


À peine trois minutes plus tard, mon portable vibre dans ma poche :


« Jolie coquine ! Tu vois que j’ai bien fait de confisquer un petit bout de tissu ! J’ai l’impression que nos deux lascars vont t’offrir l’apéro et que tu vas avoir un peu trop chaud… Juste de quoi tirer un peu sur ta fermeture éclair ! Cela devrait leur plaire et, à toi aussi, comme je te connais, vilaine fille exhibitionniste ! Quant à moi… Rien ne peut me faire plus plaisir que d’imaginer mon amour en train de jouer de ses charmes en compagnie de deux satyres ! »


Je glisse mon portable dans ma poche tout en jetant un petit coup d’œil vers mes compagnons. Alain m’a donné son aval et aurait même tendance à m’inciter à aller plus loin, alors, pourquoi ne pas lui faire ce petit plaisir et, peut-être, en profiter moi-même ? Cela n’a jamais tué personne, surtout pas moi !

Je me lève et entre dans le chalet. Je fouille un peu le vieux placard. Je déniche rapidement la bouteille de pastis, un pichet d’eau fraîche dans le frigo (eh oui, ils ont même un vieux frigo !) et ressors pour disposer les verres sur une espèce de table faite de deux planches grossièrement clouées sur un vieux tronc.



Je m’assois à nouveau sur l’un des trois rondins qui jouent le rôle de tabourets, allume une cigarette, m’étire longuement au soleil, une pensée coquine m’incite à « innocemment » faire coulisser plus que de raison la fermeture éclair de mon sweet… Mario et Gilbert s’approchent. Assis tous les trois, nous trinquons à cette belle journée de chasse en riant. Mais, brusquement, Mario nous fait signe de nous taire et de rentrer dans le chalet ! Gilbert m’entraîne à sa suite après avoir saisi les verres, la bouteille et le pichet d’eau fraîche. Nous voici tous les trois aux aguets devant la petite fenêtre. J’aperçois un, puis deux sangliers qui fouinent dans un buisson à une trentaine de mètres.



Postée à la fenêtre, je vis Mario s’éloigner en silence, le fusil à la main. Gilbert s’approcha dans mon dos pour regarder par-dessus mon épaule. Il était tout contre moi et posa les mains sur le rebord de la fenêtre, de chaque côté de mes coudes. Comme par inadvertance, il se colla à moi… Je sentais maintenant son corps contre le mien et, à hauteur de mes reins, un contact inhabituel me fit comprendre qu’une splendide érection gonflait maintenant son pantalon de treillis. Je ne fis rien pour échapper à ce contact, ni pour lui faire comprendre que celui-ci était loin de me déplaire. Mario disparut un instant sur notre droite, Gilbert se pencha en avant pour voir vers où il se dirigeait. Il ne me semblait pas que ce soit une pure curiosité… car ses mains quittèrent le rebord de la fenêtre pour se glisser sur mes hanches. Maintenant il me serrait ostensiblement contre lui, me faisant sentir sans vergogne une virilité imposante. Plus de doute sur ses intentions… Encore moins lorsque ses mains glissèrent sur mes flancs, remontèrent vers ma poitrine et qu’il empauma mes seins au travers de mon sweet !



Ses mains écartèrent le tissu de mon sweet et je me suis retrouvée penchée à la fenêtre, seins nus. Il commença à me caresser lentement, agaçant les pointes déjà durcies de désir, tout en frottant doucement mes reins de son membre dur comme du bois, toujours prisonnier de son pantalon.



Lâchant mes seins, il recula légèrement. Une main trouva rapidement l’ouverture de mon jean qu’il tira vers le bas, entraînant dans le même mouvement mon string. J’étais désormais les fesses à l’air, mes chevilles entravées par mon vêtement, totalement à sa merci. Sa main se fit plus curieuse encore, venant se poser sur mon pubis, un doigt habile écarta mes lèvres pour frotter tendrement mon bouton affolé, m’arrachant un long gémissement. Il s’accroupit derrière moi, sa bouche partit à la découverte de mon intimité bouleversée. Je n’ai pas pu m’empêcher de cambrer les reins pour m’offrir à ses caresses, à ses lèvres, sa langue qui couraient sur ma peau. Les deux mains sur les globes de mes fesses, il m’ouvrit lentement et commença à me lécher, de ma chatte humide jusqu’à ma rosette frémissante sur laquelle la pointe de sa langue s’attardait, forçant mes chairs comme un petit sexe… Je tremblais de tout mon corps, affolée par ce traitement qui faisait monter en moi des ondes de plaisir. Je me mis à caresser mes seins qui étaient durs comme du marbre sous mes doigts… La bouche, les doigts de Gilbert me fouillaient désormais sans cesse et je sentis l’orgasme monter en moi. Je crois que, même si Mario revenait, je ne pourrais m’empêcher de jouir tant j’étais excitée !

Mais, brusquement, tout cessa… Gilbert abandonna ses caresses alors que je me trouvai au bord de la jouissance…



Il se redressa derrière moi posa les mains sur mes hanches, m’obligeant à me cambrer encore plus, les coudes toujours sur le bord de la fenêtre, les seins offerts à la vue des petits oiseaux. Ses mains glissèrent sur mes fesses, écartant les globes frémissants. Je sentis sa tige qu’il avait libérée venir frôler ma peau. Il plia les genoux, se redressa. Son gland énorme vint buter sur mon pubis, glissa un instant, me caressant doucement avant de s’enfoncer inexorablement dans mon ventre en feu, m’arrachant un cri qui a dû faire fuir les sangliers et alerter Mario. Gilbert se cambra en avant, la colonne de chair palpitante poursuivit son avancée. Je me suis sentie forcée, écartelée, pleine de ce membre viril qui vint heurter le fond de ma chatte. Il était vraiment énorme, long, large et épais, taillé dans le roc, comme son propriétaire.


Il se retira lentement puis me réinvestit longuement, profondément… Maintenant je ne pouvais plus m’empêcher de gémir, et commençais à onduler des reins pour aller au-devant de ses coups de boutoirs qui faisaient monter en moi des sensations folles. Il allait et venait à grands coups de reins puissants, ses mains avaient saisi mes seins lourds, durs, et pétrissaient mes globes rendus presque douloureux de plaisir.

C’est à ce moment-là, alors que je me sentais partir vers un orgasme fulgurant que je vis apparaître devant moi Mario que mes cris avaient alerté.



Mario tendit les mains, engloba un sein tandis que ses lèvres agaçaient l’autre.



Mario abandonna sa caresse sur mes seins tandis que Gilbert allait et venait plus lentement en moi, m’embrochant profondément à chacun de ses coups de reins. Je le vis saisir un gros rondin de bois, le déposer devant la fenêtre et monter dessus, face à moi. Ses mains dégrafèrent son ceinturon. Il libéra son sexe, déjà raide de désir, toujours aussi gros que lors de nos premières folies.



Toujours malmenée par Gilbert, je n’eus qu’à ouvrir doucement les lèvres pour recevoir le gland décalotté de Mario qui se glissa lentement jusque dans ma gorge. Le ventre torturé par la barre d’acier de mon violeur, la bouche pleine de cette chair brûlante, je me suis laissée aller… Le plaisir montait maintenant inexorablement en moi. J’eus une pensée pour Alain, mon mari chéri qui devait penser à moi, imaginer que mes deux chasseurs étaient peut-être en train de me violer… Brutalement, toutes ces sensations, ces pensées, me propulsèrent vers le plaisir qui explosa en moi en même temps que la tige de Gilbert qui, fiché au fond de mon ventre, m’inonda de plusieurs salves brûlantes tandis que Mario se vidait en longues giclées dans ma gorge !

J’ai dû perdre toutes notions du temps et de la réalité pendant quelques minutes. Il m’a semblé que Gilbert me soulevait dans ses bras puissants. Je n’ai retrouvé mes esprits qu’allongée sur le canapé, totalement nue, abandonnée entre mes deux agresseurs, tout aussi nus que moi, qui me caressaient tendrement.



Ils saisirent chacun un de mes poignets, attirèrent mes mains sur leur sexe déjà dressés, orgueilleux. C’est avec un plaisir non dissimulé que je fis glisser mes doigts sur les tiges de chair tiède. Ils n’avaient vraiment rien à s’envier l’un l’autre, m’offrant deux pieux dont mes doigts ne faisaient pas le tour et que mes mains ne couvraient qu’à demi. Deux monstres de chair avides de plaisir, ce qui me semblait exceptionnel pour deux hommes de cet âge mais faisait aussi monter en moi une certaine fierté car je prenais cela comme un hommage à mon corps, ma sensualité. Si seulement Alain pouvait être là… Je suis persuadée qu’il serait aux anges, follement excité de me voir jouer ainsi entre mes deux compagnons !


Tout en faisant coulisser mes doigts sur ces deux mandrins brûlants, je me suis penchée vers Gilbert… À petits coups de langue, j’ai longuement flatté le gland rond comme une tête de champignon puis j’ai laissé mes lèvres en prendre toute la dimension avant de m’incliner plus encore et de lui offrir la chaleur, la douceur de ma bouche. J’aspirais maintenant cette virilité énorme pendant que les mains de mes deux partenaires couraient sur mon corps, agaçant les pointes de mes seins, fouillant délicieusement ma grotte, frôlant la petite perle nichées entre mes lèvres humides, faisant à nouveau monter en moi des désirs fous.


Des mains sur mes hanches m’incitèrent à me redresser pour me retrouver à genoux face à Gilbert, offrant ainsi ma croupe aux caresses de Mario tandis que mes lèvres continuaient à coulisser autour de la tige frémissante de Gilbert. Les mains, puis les lèvres de Mario commencèrent un lent ballet sur mon dos, mes reins… Avide de caresses, je commençai à onduler pour m’offrir plus encore à ces frôlements qui me faisaient frémir. Très vite, les mains prirent possession de mes fesses, m’ouvrirent lentement et une langue habile vint explorer ma chatte bouillante, remontant par instant jusque sur ma rosette en une caresse démentielle.


Un doigt curieux, rapidement suivi de ses complices, vint fouiller doucement ma grotte en feu. Un autre, plus curieux encore, exerça une légère pression sur ma corolle la plus secrète, tournant doucement, allant s’humidifier plus bas puis remontant à nouveau pour enfin forcer tendrement mes reins, s’enfoncer de toute sa longueur, m’arrachant un long gémissement. Léchée, fouillée, la gorge pleine de la virilité de Gilbert, j’ai eu encore une courte pensée pour mon mari chéri avant de me laisser aller aux multiples plaisirs que je sentais venir… Plaisir qui se manifesta sous la forme d’une longue et épaisse tige de chair venant se frotter entre mes cuisses offertes. Mario s’est redressé et, posant les mains sur mes hanches, s’est enfoncé en moi d’une seule poussée, lente, puissante, affolante.


Je sentis mon ventre s’ouvrir, le gland gonflé écarteler mes chairs avant que la tige épaisse, légèrement rugueuse ne m’emplisse totalement, guidant le gland qui vint buter sur mon utérus. Sensation toujours aussi démentielle que de me sentir pleine de cette virilité que je sentais palpiter en moi. Puis ce furent de lents va-et-vient qui me firent trembler de tous mes membres. Embrochée entre Gilbert et Mario, fouillée profondément, je ne pus retenir un cri lorsqu’un orgasme fou me submergea, abandonnant le pieu de Gilbert, tétanisée par le plaisir !

J’ai rouvert les yeux quelques instants plus tard, avachie dans le canapé et je vis mes deux amants assis à la table, toujours nus, en train de boire un verre de pastis en parlant à voix basse.



Je me suis levée, j’ai saisi une veste de chasse qui traînait sur le dossier d’une chaise pour m’en couvrir les épaules avant de les rejoindre à table. Nous nous sommes regardés tous les trois en silence avant d’éclater de rire devant le cocasse de la situation. Nus tous les trois dans un chalet au milieu de la forêt… Un verre à la main après ces instants de folie !



Ils éclatèrent de rire tous les deux, leur regard fixé sur moi. Je me rendis compte qu’ils étaient tous les deux à nouveau dans une forme olympique. Ils avaient su m’offrir un orgasme splendide mais eux avaient réfréné leur désir et étaient déjà prêts à bien des choses si je me fiais à la raideur de leur membre qui pointait haut et fier.



Je me suis levée pour aller chercher de l’eau pendant que Mario versait le pastis. Quand je me suis approchée pour poser le pichet sur la table, il s’est redressé m’a saisie par les hanches pour m’attirer à lui. Ma veste s’est ouverte et je me suis retrouvée les seins contre son torse puissant, son sexe dressé contre mon ventre, ses mains caressant mon dos, mes fesses.



À peine sa phrase terminée, je sentis les mains de Gilbert se poser à leur tour sur moi, son corps se plaquer contre mon dos. Leurs caresses étaient douces, énervantes, excitantes. Mon dos, mes épaules, mes seins, mon ventre, mes cuisses frémissaient tour à tour sous leurs doigts habiles, leurs lèvres chaudes. Je n’ai pas résisté à l’envie de poser mes mains sur leur sexe qui se frottaient à mon ventre et mes reins. J’ai commencé à les caresser lentement, mes doigts coulissant sur ces deux tiges dont la raideur fit monter en moi des désirs fous. J’aurais voulu être transpercée, écartelée, fouillée au plus profond de moi-même par ces pieux virils.


C’est Mario qui m’entraîna vers le canapé, me tenant toujours serrée contre son torse. Il se laissa aller en arrière. Je me suis retrouvée allongée sur lui… Gilbert, debout à côté de nous caressait toujours mon dos, mes reins. Je tendis à nouveau la main vers le pal tendu sous mes yeux et entamai une nouvelle caresse. Mario repoussa mes épaules, engloba mes seins de ses mains rugueuses, pinçant doucement mes tétons. Son sexe contre mon ventre tressautait, je sentais son gland à hauteur de mon nombril, attestant de sa longueur et de sa solidité.


Gilbert se pencha vers moi. Une main sur mon ventre, l’autre au creux de mes reins, il me fit me redresser, enjamber Mario qui guida sa queue tendue vers mon entrejambe. Gilbert n’eut plus qu’à peser légèrement sur mes épaules pour que je m’empale lentement, profondément sur la tige qui m’emplit doucement, totalement ! Les seins toujours prisonniers des mains de Mario, je sentis mon ventre s’enflammer sous les petits à-coups que les reins de mon amant donnaient au plus profond de moi. Délicieux supplice que de frémir ainsi, embrochée sur cette chair palpitante qui forçait mon corps si profondément ! La queue monstrueuse forait puissamment ma grotte ruisselante, m’écartelant, martelant mon utérus à chaque nouvelle avancée. C’était du délire !


Pourtant, mon supplice n’était pas terminé… Gilbert me repoussa sur le torse de Mario, ses mains prirent possession de mes hanches, écartèrent les globes de mes fesses offertes par ma position obscène. Sa langue vint titiller la corolle de mes reins, un doigt força lentement mon anus, tournant avec habileté dans mes chairs distendues. De nouvelles sensations, encore plus folles me firent gémir. C’est un long cri qui m’échappa lorsque son doigt m’abandonna, rapidement remplacé par un membre dur comme du bois qui s’enfonça avec douceur mais d’une seule traite dans mes reins. Les sexes monstrueux de mes deux partenaires ne formaient plus qu’un désormais en moi ! Ce n’était pas la première fois que je goûtais à la double pénétration mais jamais je n’avais eu cette impression de plénitude. Les deux hommes restèrent immobiles, fichés totalement dans mes chairs distendues…



Gilbert entama un lent mouvement de recul, jusqu’à ce que son gland énorme vienne distendre mes muscles comme pour s’échapper. Il joua un long moment à effectuer de très courts va-et-vient, sur cet endroit extrêmement sensible, me faisant gémir de plaisir. Puis, brutalement, il me réinvestit, s’enfonçant jusqu’à la garde ! Fiché profondément dans mes reins il s’immobilisa à nouveau. Mario prit le relais en jouant des reins sous moi. Sa tige énorme glissa par à-coups le long de la queue de Gilbert. Il semblait grossir encore en moi et chacun de ses gestes faisait buter son gland contre mon utérus. Je me sentais au bord de l’explosion, de grandes vagues de plaisir montaient puis refluaient en moi, suivant le rythme de cette possession incroyable.


Enfin, les deux hommes entamèrent un lent ballet au plus profond de mon corps, alternant leurs avancées ou s’enfonçant de concert. Pendant de longues minutes, ils se partagèrent mon intimité, me pilonnèrent brutalement puis avec une extrême douceur, jouèrent de mon corps à leur guise, torturant mes seins, me couvrant de multiples caresses. Je ne cessais plus de crier mon bonheur, envahie de sensations folles et diverses qui mêlaient le plaisir et la douleur. Jamais je n’avais été aimée ainsi, partagée aussi intimement ! Puis la cavalcade de mes deux agresseurs prit un rythme encore plus rapide. Les deux pieux s’entrecroisaient en moi avec une énergie nouvelle. Mario et Gilbert ahanaient comme des bûcherons assenant leurs coups de cognée sur un tronc. Je n’aurais jamais imaginé qu’ils puissent encore grossir en moi et pourtant… Ils le firent ! Chaque parcelle de mon intimité était caressée par leurs sexes énormes, chaque terminaison nerveuse s’excitait à leur contact. Je me tordais sans cesse sous leurs assauts virils, ondoyant autour des tiges monstrueusement rigides qui semblaient ne jamais devoir s’arrêter de m’investir, me torturer délicieusement.



C’est un hurlement qui s’échappa de ma gorge lorsque leurs sexes se raidirent plus encore et que, fichés au plus profond de mon intimité, ils explosèrent en chœur. Les longues salves brûlantes inondèrent mes reins et mon ventre, achevant de me faire basculer dans une jouissance inouïe ! Gilbert se libéra et je me laissai tomber à côté de Mario, à demi inconsciente. Nous étions en sueur tous les trois, ce qui n’empêcha pas mes deux compagnons de me couvrir encore de tendres caresses et de doux baisers. Apaisés, repus et comblés, nous avons laissé nos corps retrouver le calme. Gilbert nous avait apporté un verre à chacun. Nous sommes passés à tour de rôle sous la douche chaude et nous nous sommes retrouvés autour de la table, rhabillés, présentables à l’exception de larges cernes sous mes yeux.


Les sangliers purent se régaler de maïs sans craindre les balles de nos chasseurs. Après avoir ingurgité un solide déjeuner et profité d’une courte sieste, nous sommes rentrés.

Alain m’a accueillie à bras ouverts, nous avons échangé un long baiser devant ma mère, Gilbert et Mario. Mon amour m’a murmuré à l’oreille :



Le traditionnel apéritif fut gai et décontracté. Gilbert a pris congé. En me faisant la bise, il m’a murmuré un « merci, jolie coquine ! » profitant de ce que nous étions un peu à l’écart pour poser la main sur mon sein en une caresse bien agréable. Tout au long du dîner, Alain et moi nous avons échangé de multiples regards complices alors que Mario tentait encore de plonger les yeux sur moi, le regard plein de nouvelles envies… Qu’allait-il inventer pour provoquer une nouvelle rencontre ? Ce sera peut-être une autre histoire, sait-on jamais… ?