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Temps de lecture estimé : 39 mn
12/04/14
Résumé:  Comment un couple qui se déchire peut générer une belle histoire.
Critères:  fh fplusag alliance vacances amour fellation cunnilingu anulingus 69 fdanus fsodo
Auteur : Dan
En Afrique avec ma belle-mère




Premier chapitre




Je m’appelle Daniel et j’ai quarante ans. Après sept ans de mariage avec Leslie qui a dix ans de moins que moi, la routine, l’ennui se sont lentement installés entre nous. Sans nous l’avouer véritablement, l’amour qui nous avait unis était quasiment mort. Nous n’avions pas d’enfant, et cette situation ne pouvait pas durer.

Puis un jour, l’occasion fut offerte d’en parler avec ma belle-mère, Jeanne, avec qui j’avais toujours eu d’excellentes relations et c’est en pleurant qu’elle a réagi à l’annonce de l’état de notre couple.

Mon beau-père, tombé amoureux d’une jeunette qui le menait par le bout du nez, avait quitté le domicile conjugal six ans auparavant et ma belle-mère, qui ne semblait pas avoir été très heureuse avec lui, s’était ainsi retrouvée seule à quarante-six ans. Elle avait demandé le divorce et l’avait obtenu sans difficulté. Depuis elle n’avait jamais eu de relation avec un autre homme et lors de son cinquante-deuxième anniversaire en décembre dernier, elle nous avait dit combien cette solitude lui pesait de plus en plus.


Ma femme travaillant dans un hypermarché, elle ne rentrait jamais avant 21 h à la maison, aussi depuis plusieurs mois, j’avais alors pris l’habitude d’aller passer quelques instants chez ma belle-mère qui habitait près de chez nous. Tous les jours, en sortant de mon travail, j’allais ainsi la voir en fin d’après-midi et rentrait vers 20 h 30 chez moi attendant ma femme et l’idée que notre routine de vie conjugale brisée reprenne, me donnait chaque jour l’envie de rentrer encore plus tard et même parfois de ne plus rentrer du tout !

Des fils serrés s’étaient tissés entre Jeanne et moi ; j’appréciais de plus en plus ces visites journalières et Jeanne était aux anges en me voyant arriver. Ma femme était contente car sa mère avait au moins la possibilité de discuter tous les jours quelques heures avec son gendre qu’elle disait beaucoup apprécier.


Sa conversation, au début, revenait assez souvent sur Leslie et moi et je ne voulais pas lui avouer que notre couple était en instance de chavirer d’un moment à l’autre. Il y a un mois, pour ma fête, elle avait préparé un punch, pas seulement le classique apéritif des autres jours. Nous en avons bu un verre, puis deux et au troisième je sentais bien que l’alcool commençait à embrumer mon esprit. Je me dis heureusement, je n’avais pas à conduire pour rentrer chez moi, notre maison étant distante de cent mètres de celle de ma belle-mère.

Il se faisant presque 20 h 30 et je devais partir, mais je n’avais ni la volonté ni la capacité physique de me lever.

Jeanne était face à moi, affalée dans son fauteuil et me dit tout d’un coup :



Je me levai péniblement du fauteuil, Jeanne essaya d’en faire autant mais elle trébucha en se levant… Je tentai alors de la rattraper dans mes bras avant qu’elle ne tombe mais vu notre état, on se retrouva tous les deux au sol. Elle resta plaquée contre moi quelques secondes et elle reprit ses esprits. C’est alors que mon téléphone portable sonna. C’était Leslie qui me demandait si ça ne me gênait pas de dîner avec sa mère, car après l’inventaire du magasin fait lors de la journée, elle et ses collègues avaient décidé d’aller dîner en ville. Dans l’état où j’étais, cela m’arrangeait bien. Elle entendit bien ma voix pâteuse et demanda à parler à sa mère. Jeanne lui expliqua… le punch, et lui dit :



Comme elle ne rentrerait pas avant 23 h, je proposai à ma belle-mère d’aller manger une pizza à l’angle de la rue mais elle me dit qu’elle avait des choses au réfrigérateur et qu’elle ne se sentait pas le courage de sortir, pompette comme elle l’était.


En titubant, elle devant et moi derrière, on se dirigea vers la cuisine. Oh ! on n’alla pas bien loin, à l’entrée de la cuisine, elle se retourna vers moi et s’entrava dans le balai qui traînait. Patatras, la revoilà au sol, la jupe remontée sur ses cuisses bien rondes gainées dans un collant noir et moi comme un couillon, je restai là, les bras ballants à la reluquer et rigoler comme un fou. Je décidais donc de la relever et la pris par la taille. Je la soulevai du sol et dans ce mouvement, je sentis son corps, ses hanches, ses seins collés contre moi et j’aurais voulu que ce moment ne s’arrête pas. Quoi, moi Daniel, en train de penser de telles choses au sujet de ma belle-mère ?


Tout en la relevant je laissais traîner un peu mes mains sur son corps, et elle poussait de petits cris de surprise. Quelques minutes plus tard, le charme était rompu et nous avions retrouvé notre place à la table de la cuisine et mangions des plats préparés trouvés dans le réfrigérateur, le tout accompagné d’une bonne bouteille de vin rouge.


Après quelques conversations banales elle me dit



Et là, sa réponse immédiate me surprit :



Je fis celui qui n’avait rien entendu et elle insista d’une vois pâteuse,



Elle se mit à pleurer, mais était-ce l’alcool ou ma réponse qui en était la cause ?

Le temps passait et onze heures approchaient quand de nouveau mon téléphone sonna.

Leslie rentrée à la maison voulait savoir si j’étais toujours chez sa mère.



J’annonçai à ma belle-mère la décision de Leslie et cela la mit en joie :



Après ce léger dîner, on se mit sur le canapé du salon pour regarder un peu la télévision mais l’alcool aidant, le sommeil nous engourdissait peu à peu. On alla dormir, elle dans sa chambre, moi dans la chambre réservée à Leslie et moi et au matin, les effets de l’alcool avaient complètement disparus.

Je retrouvais Jeanne dans la cuisine, assise devant une tasse de thé qui me dit :



Sa chemise de nuit entrebâillée me laissait voir la naissance de sa poitrine assez abondante et j’avais une forte envie de la palper. Je bus un café avec deux biscottes et dis à Jeanne :



Je me levai pour la quitter et elle me suivit vers la porte d’entrée se mit à pleurer. Je la pris dans mes bras pour la calmer et elle se serra contre moi. Ma main droite caressait son dos et allait de ses épaules à ses hanches mais il me fallait partir. Elle s’accrocha à moi et m’embrassa d’une manière telle qu’elle effleura mes lèvres lors de ses deux bises.


Le week-end avec Leslie fut exécrable à tel point que le dimanche soir, elle me dit :



Le lundi en fin d’après-midi, quand je revis Jeanne, je lui fis part du houleux week-end avec Leslie et de la suggestion qu’elle m’avait faite. Jeanne qui était déjà informée des difficultés de notre couple me dit :



J’étais soulagé. J’appelai Leslie et lui fis part que je restais chez sa mère dès ce soir.



Deux semaines sont passées depuis mon installation chez ma belle-mère, et Leslie est partie en vacances avec des collègues en Angleterre sans me dire quoi que ce soit sur sa date de retour. C’était de plus en plus évident, elle voulait tirer un trait pointillé, je dirais même continu, sur notre couple.


Jeanne souhaitait que je prenne des vacances pour me changer les idées. Pris d’une inspiration soudaine, je lui proposais :



Elle sauta de joie et dit :



Aussitôt dit aussitôt fait, j’achetai le lendemain un séjour pour deux personnes au village du Club La Lagune en Côte d’Ivoire et pris soin d’avoir un bungalow avec deux chambres séparées. Le départ, prévu samedi, mit en joie Jeanne. Durant ces cinq jours qui nous séparaient du départ, elle était de plus en plus transfigurée, elle décida d’aller acheter quelques vêtements pour ce voyage et des maillots de bain pour la plage et occupa ses journées à faire danser sa carte Visa. Elle aurait voulu que je l’accompagne dans quelques boutiques mais c’était impossible, je travaillais. Le soir elle me dit :



Le samedi, en route pour l’aéroport et l’Afrique. À la descente du Jumbo d’Air France à Abidjan, une chaleur lourde et odorante nous saisit et Jeanne qui mettait pour la première fois les pieds hors de l’Europe était heureuse et souriait. Dans l’aérogare, on retrouva un des G. O. Qui nous fit monter dans le car et hop, en route pour le village du Club.


Le bus roula plus une heure à travers des paysages époustouflants, des énormes baobabs, de la terre rouge. Il nous fit traverser des villages avec des tas de gamins courant de tout côtés et il franchit la barrière séparant le Club du reste du village voisin.

On nous rassembla devant le bar pour prendre un pot de bienvenue et le chef du village nous fit la description du village de vacances et de toutes les activités offertes ou payantes. Puis une fois informés des heures des repas, chacun prit possession de son bungalow. Le nôtre était composé d’un jardin entouré d’une haie, d’un rez-de-chaussée avec une salle de bains, d’une pièce salon avec un coin chambre et une mezzanine surplombait le tout avec un second lit.

Je demandai à Jeanne où elle voulait dormir, elle me dit préférer rester au rez-de-chaussée. C’est ce que je souhaitais intérieurement car j’aurais ainsi une vue plongeante sur son lit au travers des barreaux de la rampe de l’escalier et de la mezzanine.

Au bout de cinq minutes, Jeanne m’appela :



Elle sortit de sa valise trois bikinis noir, bleu marine et blanc assez sexy, des paréos, des pantalons en lin et des tee-shirts. Chouette, j’allais pouvoir me rincer l’œil et mieux vivre mon fantasme car c’était écrit, j’étais attiré par ma belle-mère et dans mon inconscient, je la désirais.


La nuit était tombée très vite et nous allâmes au restaurant du village pour dîner. Jeanne mit un tee-shirt et un pantalon. En sortant du bungalow, elle me dit :



À ma grande surprise, elle semblait ne pas porter de soutien-gorge ou alors il était très fin ; je voyais nettement ses mamelons darder sous le tissu et cela ne faisait qu’amplifier mon envie de la déshabiller et de lui sucer les seins.


Après le dîner nous nous dirigeâmes ver le bar de nuit qui jouxtait la piste de danse et la scène où allaient se dérouler les animations de la soirée. Les GM arrivaient en grappes et s’installaient autour des tables et sur les gradins, les lumières s’éteignirent et le spectacle commença.

La nuit était noire et la fraîcheur était tombée tout d’un coup. Jeanne qui était assise à mon côté se pencha vers moi et me dit :



J’enlevai ma veste et la passai sur ses épaules, elle me remercia avec un sourire charmeur et susurra :



Je passai mon bras droit sur son épaule, la serrai contre mon flanc tout en la secouant légèrement :



Après deux heures de spectacle, le DJ, officia et la piste de danse fut envahie par des jeunes.



Avec un sourire, elle me dit avec des yeux malicieux :



Elle repensait sûrement à la soirée passée le jour de ma fête. Nous allâmes vers le bar et après avoir commandé et bu deux planteurs de bonne facture, on se dirigea vers le bungalow. Sur le chemin, elle me donna le bras, à l’ancienne, pour marcher à mes côtés.


Arrivés au salon, elle décida d’aller la première dans la salle de bains. J’en profitais pour monter dans ma mezzanine. J’entendais la douche couler et attendais le moment pour la prendre à mon tour. Au bout d’une demi-heure elle sortit de la salle de bains vêtue d’une nuisette blanche avec ses vêtements sur les bras. J’essayais d’estimer la taille de sa poitrine qui tressautait à chacun de ses pas, elle devait faire du 95 et comment avait-elle le sexe ? Rasé, je ne le pensais pas, pas son genre et puis pourquoi le raserait-elle et surtout à la demande de qui ?


On se croisa et elle me fit deux bises claquantes et me souhaita une bonne nuit puis se dirigea vers son lit et moi vers la salle de bains. Bon, eh bien ce soir je n’en verrai pas plus.

Je pris ma douche et ma verge se gonfla sous l’effet de l’eau chaude et de la vue que m’avait offerte ma belle-mère quelques minutes auparavant. Il fallait que je me soulage… et je me mis à me masturber en m’imaginant faire l’amour à ma belle-mère.


Quand je sortis de la salle de bains je me dirigeai dans la pénombre vers la mezzanine et me couchai espérant faire des rêves érotiques dans lesquels Jeanne aurait une place. Quelques heures plus tard, un cri me réveilla,



Je me précipitais en bas et là je la vis toute affolée assise sur son lit



J’allai discrètement vers la porte, l’ouvris mais il n’y avait personne dehors, sauf une branche de bougainvilliers bougeant doucement sous l’effet du léger vent qu’elle avait dû prendre pour un voyeur. Je la rassurai et lui dit qu’elle pouvait se rendormir.



Je ne me fis pas prier et acceptai sa demande ; elle ouvrit le drap et j’entrai dans son lit ; elle se blottit contre mon épaule et commença de grattouiller mon bras comme un chat qui patoune. Je passai mon bras droit sous ses épaules et la serrai un peu plus contre moi. Elle émit alors des soupirs de contentement. Nous étions face à face et l’un contre l’autre. De ma main gauche, je commençais à lui grattouiller le dos afin qu’elle se calme, c’est du moins ce que je lui dis, et ma main se déplaça de plus en plus bas, j’effleurais ses reins presque ses fesses et me doigts transformèrent les chatouillis en caresses. Je commençais à bander très fort et j’avais un peu éloigné mon bassin de son corps afin qu’elle ne sente pas trop mon sexe en érection. Elle se rapprocha encore de moi et dit :



C’est à ce moment-là que ma main gauche atteignit ses fesses et commença à les malaxer. Dans un soupir elle dit :



Je retirai vivement ma main et me remis à lui caresser le dos durant de longues minutes et puis n’y tenant plus, je la fis descendre de nouveau sur ses fesses.

Je m’attendais à une nouvelle réaction de sa part, mais rien…

Dormait-elle ? Oh non, car dans la pénombre, je vis un sourire sur ses lèvres



Ma bouche chercha la sienne et nos langues se mêlèrent. Après un baiser qui dura un temps fou, Jeanne me susurra à l’oreille :



Elle empoigna ma verge et dans un sourire me dit :



La balle était maintenant dans mon camp

Je lui enlevai sa nuisette et son corps nu apparut à ma vue pour la première fois dans la pénombre de la pièce. Ses seins tombaient un peu mais les aréoles très sombres étaient un aimant pour mes yeux ; mon cœur palpitait et l’envie de faire l’amour à ma belle-mère devenait obsédante.


Je la mis sur le dos et mes mains caressèrent ses seins. Ils commençaient avec les années à devenir un peu souples, même un peu flasques, mais avaient encore un volume assez conséquent. Mes doigts prenaient un immense plaisir à les malaxer longuement avec douceur ; ma bouche quitta la sienne et atteignit ses mamelons ; je les mordillais puis les pinçais des lèvres. Ils durcirent et la tête de Jeanne oscillait de droite à gauche et par moment un petit gloussement s’échappait de sa bouche sous l’effet du plaisir qui commençait à venir.


Je descendis ma tête vers son ventre et tous les centimètres je déposais un baiser tandis que mes mains continuaient à s’occuper de ses mamelons que je pressais avec régularité. Je bandais comme un fou et j’avais peur de ne pas pouvoir retenir une éjaculation que je sentais poindre au plus profond de moi.


Mes lèvres atteignirent son sexe, sa toison ; eh oui, bingo, elle ne se rasait pas et était toute parfumée par son eau de toilette, elle avait prémédité son coup la coquine, mais j’aimais cela !

Je glissai vers le fond du lit et me dirigeai entre ses cuisses puis posai mes lèvres sur sa vulve. J’écartai ses grandes lèvres et ma langue fut en contact avec son clitoris.

C’était divin ; je ne pouvais plus arrêter de le lécher. Je mis deux doigts dans son vagin tout en continuant mes caresses buccales ; ses hanches commencèrent à se soulever et à onduler et des râles sortaient maintenant de sa bouche



Je n’avais pas l’intention de stopper là, ayant toujours adoré faire des cunnilingus et faire en sorte que la première jouissance de mes partenaires soit le fruit de ma langue sur leur clitoris.

Ses deux mains se posèrent derrière ma tête et la plaquèrent sur son sexe. Elle commença à geindre de plus en plus fort et des sons incompréhensibles sortaient maintenant de sa bouche



Elle n’eut pas le temps de continuer, une vague la submergea et son corps se tordit sous l’effet de la jouissance. Cela dura de longues secondes et elle repoussa ma tête de son sexe puis ses muscles se relâchèrent et avec un sourire béat elle me dit :



Elle était allongée sur le dos, les yeux fermés et moi j’étais affalé entre ses cuisses, je faisais avec deux doigts de lents va-et-vient dans son vagin, mes yeux toujours fixés sur sa chatte. J’entendais un léger clapotis à l’intérieur du vagin, signe évident d’une lubrification naturelle intense amplifiée par ma salive quand je léchais son sexe.

Après quelques minutes d’accalmie, elle me dit :



J’aurais bien voulu mais ne le pouvais pas car mon sexe, après cette interruption, était redevenu flasque. Je le lui fis remarquer et aussitôt elle se jeta dessus avec une bouche gourmande. Elle le happa, me suça. Par magie, l’érection revint. Je sentais le plaisir avancer au galop et ne voulut rien lui dire. J’empoignai sa tête et la maintins avec mon sexe enfoncé dans sa bouche puis dans un cri, j’ai commencé à éjaculer. Elle essaya bien de faire un bref mouvement de recul de la tête mais elle ne le put, sous l’effet de la pression de mes mains sur sa nuque. Ma bite déversait des jets chauds de sperme dans sa gorge ; au bout de plusieurs spasmes, je la lâchai, m’attendant au mieux à un reproche, au pire à une engueulade mais à ma grande surprise elle garda mon sexe en bouche et avala tout le sperme quelle avait recueilli.

Après l’avoir léché sur toutes les faces, telle une goulue, elle le retira de sa bouche et me dit :





Deuxième chapitre




Les vacances commençaient fort bien. Nous sommes resté blottis l’un contre l’autre et après nous être assoupis environ deux heures, son corps chaud réveilla en moi un désir inachevé, pénétrer son vagin.

Je lui tournai la tête vers moi et la réveillai par ce mouvement. Elle ronronna comme une chatte heureuse et dit :



Mes doigts repartirent à la connaissance plus approfondie de son corps et s’arrêtèrent à l’entrée de sa grotte. Elle était humide, un doigt, puis un deuxième et un troisième pénétrèrent aisément dans son vagin et commencèrent à caresser la paroi intérieure à la recherche de son point G.



Je redescendis la tête vers son sexe et la chevauchai pour faire un 69. Elle happa mon sexe et commença un travail de piston sur ma hampe. Il devint dur, dur et durant ce temps, ma langue était repartie à l’assaut de son clitoris. J’eus envie de profiter du fait que mes doigts étaient gluants pour essayer de pénétrer son anus. Je caressai doucement sa rosace afin d’en assouplir le muscle et par petites poussées successives j’introduisis une phalange.



Je me retournai le haut du corps



Pas de réponse, j’insistai et d’une petite voix, elle me dit :



Je n’insistai pas en pensant que nous étions là, ensemble, pour deux semaines. Après tout, ne brusquons pas les choses.

Ma bouche repartit avec gourmandise à l’assaut de son sexe et j’évitais bien toute caresse des doigts près de son anus, par contre, quand ma langue s’égarait dans ce coin, Jeanne ne disait rien.

Je sentis par ses mouvements de haut en bas que son plaisir venait. Je décidai alors ce cesser ce 69 et décidai de la prendre.



Je guidai mon sexe vers l’entrée de sa vulve, mais c’était inutile, il se dirigeait seul vers ce nid douillet et chaud qui ne demandait qu’à m’accueillir. Je pénétrai en elle et quand je fus bien au fond, je pris ses deux jambes et les relevai au-dessus d’elle. J’étais ainsi dans une position optimum pour aller au plus profond d‘elle, et je suis sûr que mon gland ne devait pas être loin du col de son utérus.

Je relevai les genoux, mes seuls points d’appui étaient maintenant mes orteils en extension, et mes mains sur ses mollets. Je commençais alors un lent mais régulier mouvement d’avant en arrière.



J’appuyai sur son bassin de tout mon poids et elle cria :



Je me redressai sur les genoux, ses jambes reposaient sur mes épaules et je continuai mon mouvement avec moins d’ampleur. Elle commença à dodeliner de la tête, je passai une main entre nous et mes doigts atteignirent son clitoris, la conjugaison de mon sexe et de mes doigts provoqua en elle un orage soudain et elle roula les hanches de gauche à droite. J’en profitai pour accélérer, ma jouissance arrivait. C’est un râle commun qui nous réunit et nous nous sommes affalés l’un sur l’autre en nous donnant des baisers passionnés.


J’étais fatigué, elle devait être dans le même état que moi, mais nous primes le temps de passer à la salle de bain pour prendre en commun une nouvelle douche. Puis on se coucha dans les bras l’un de l’autre et le sommeil fit son œuvre. C’est vers dix heures que des toc toc sur la porte me réveillèrent.



Je passai très vite un maillot de bain et allai ouvrir. Je me trouvai en face d’une charmante Ivoirienne qui voulait faire la chambre. Je lui demandai de revenir d’ici un quart d’heure, le temps de réveiller Jeanne.

Ma belle-mère qui n’avait rien entendu, dormait à poings fermés. Je l’appelai :



Avec un bâillement sonore elle s’étira et s’accrocha à moi en disant :



Visiblement, elle n’avait pas entendu ce que je lui avais dit. Je lui répétai que la femme de chambre voulait faire la chambre ; elle se précipita hors du lit et alla vers la salle de bain. De nouveaux toc -toc retentirent à la porte, j’allai ouvrir et laissais entrer la femme en charge du ménage de notre bungalow


J’avais faim maintenant, ça devait être pareil pour Jeanne, mais j’avais bien peur qu’il soit trop tard pour prendre notre petit-déjeuner. Afin de m’en assurer, je partis en courant vers la paillote restaurant ; mes craintes étaient malheureusement fondées, toutes les tables étaient desservies et les premiers préparatifs du déjeuner avaient commencé. Je demandais où on pourrait trouver à cette heure de quoi boire et manger car nous n’avions pas pris le petit déjeuner ; on me dit que le bar était l’endroit adéquat pour exaucer ma demande. J’y allai donc et demandai s’il était possible d’emporter dans mon bungalow, de quoi boire du thé, du café avec du pain, du beurre et de la confiture. Le serveur, certainement habitué à ce genre de demande à une pareille heure, me lança un sourire en disant :



Avec un sourire entendu, il partit derrière, dans la cuisine, et revint dix minutes plus tard avec un sac et deux thermos.



Je me dirigeai vers notre bungalow et retrouvai Jeanne qui me fit un grand sourire ponctué de coucous avec la main en me voyant.

Je lui présentai ce que je rapportai et on décida de prendre ce petit déjeuner de fortune dans un coin du petit jardin situé devant le bungalow, bien à l’abri des regards derrière la haie touffue, car la femme de ménage officiait à l’intérieur.


Elle portait le bikini noir avec un haut très échancré qui faisait remonter sa poitrine. Hum, j’aurais tellement voulu tendre ma main pour la peloter… On prit place dans les meubles de jardin et on commença le petit-déjeuner. Au bout de vingt minutes, la femme de ménage réapparut en disant :



Jeanne me sourit et dit :



Sitôt dit sitôt fait, je pris les deux thermos et pendant que Jeanne allait vers la plage, je me dirigeai vers le bar pour rendre les thermos. Je pris un chemin qui menait à la plage mais qui permettait de la surplomber avant d’y accéder. Je pus voir de nombreuses femmes, des jeunes, des mûres et des plus âgées, se baigner les seins nus. C’est sûr, toutes n’avaient pas des seins parfaits qui auraient passé avec succès le test du crayon, mais qui s’en souciait, elles étaient heureuses de passer un moment agréable sous le chaud soleil de la Côte d’Ivoire.


De loin, je vis Jeanne qui était en train d’enlever son paréo avant d’aller dans l’eau. Je la suivis du regard, son corps était beau et elle ne faisait pas ses 52 ans, pas de bourrelet sur les hanches, peu de cellulite, une poitrine encore bien agréable à voir, même si elle avait dû être encore mieux, il y a quelques années ; qu’importe, elle me plaisait telle qu’elle était et je la désirais.


Elle partit vers l’océan et ne me vit donc pas déposer mes affaires à côté des siennes et courir la rejoindre dans l’eau.

Je m’approchai derrière elle tout doucement et la saisit par les hanches. Elle poussa un cri de peur strident, se retourna, me vit… s’accrocha à mon cou en m’embrassant à pleine bouche. Main dans la main on s’éloigna de la plage. L’eau arrivait maintenant à la hauteur de sa poitrine. Je saisis l’occasion qu’il n’y avait personne autour de nous pour glisser une main dans le slip de son maillot de bain.



Fort de cette promesse pleine de sous-entendus, on chahuta dans l’eau et au bout de plusieurs minutes on revint sur la plage. Jeanne s’allongea sur le ventre sur sa serviette.



Je pris le tube et afin de pouvoir en passer partout, je dégrafai le haut de son bikini sans qu’elle dise quoique ce soit. J’enduisis son dos, l’arrière de ses cuisses et de ses jambes de crème et revint vers sa taille. Je lui passai de la crème jusqu’à la lisière de la culotte de son bikini tout en laissant deux doigts passer sous le tissu ; elle me regarda avec un sourire prometteur. Et reposa sa tête sur ses bras. Au bout de vingt minutes elle voulut se retourner tout en ne tenant pas compte de son haut maillot dégrafé. Elle se mit sur le dos, ses seins étaient à l’air ; libres de toute contrainte. Je lui passai de la crème en insistant bien sur sa poitrine car il y a longtemps qu’elle n’avait pas vu le moindre rayon de soleil.


Après une demi-heure, elle me dit qu’il était temps de remonter vers le bungalow pour prendre une douche avant d’aller déjeuner. J’acquiesçai et nous partîmes ; elle entra dans la salle de bain la première pour prendre sa douche. Quand ce fut mon tour de me laver, elle me croisa en me dévisageant de haut en bas tout en passant sa langue sur ses lèvres.

Quand quelques minutes plus tard, je sortis de la salle de bain, Jeanne était prête, habillée d’une robe blanche avec de la dentelle et m’attendait assise dans le canapé. Je m’habillai rapidement et nous partîmes vers le restaurant.

Un sympathique buffet avec du poisson sous toutes ses formes était disposé à l’entrée de la salle. Nous fîmes notre choix et allâmes vers une table à l’écart.


C’était délicieux et les tables s’étaient remplies. La salle devenait plus bruyante, je suis allé chercher un café pour finir mon repas et revins à notre table. Jeanne avait ses deux mains croisées sous son menton et se mit à me dévisager avec un sourire coquin qui m’annonçait, du moins je l’espérais, un pousse-café des meilleurs qui soit.



Je la regardai d’un air étonné et surpris puis elle s’esclaffa :



On se dirigea vers le bungalow en nous arrêtant toutes les cinq minutes pour nous embrasser. Une fois dans le bungalow elle m’ordonna de m’asseoir sur le canapé et de ne pas bouger sous peine de rompre le charme puis elle partit dans la salle de bains. Elle y resta environ dix minutes puis en ressortit tout en restant à cinq mètres de moi et commença un strip-tease inattendu. Elle fit passer par-dessus sa tête sa robe blanche et là, surprise, elle apparut à ma vue en lingerie blanche, soutien-gorge pigeonnant, porte jarretelles, slip et bas qu’elle venait de mettre.



Je la dévorai des yeux et compris alors le sens de sa question concernant mes préférences entre les bas et les collants pour une femme. Je me levai et allai vers elle.

Ses sous-vêtements tout en dentelle et transparence offraient une vue magnifique sur ses appas. J’avais la tête qui chavirait, je levai le bras pour toucher le bout de ses seins à travers son soutien-gorge et ce contact me fit frissonner de désir. Je bandais comme un âne et mon érection me faisait mal ; j’ai ôté mon pantalon pour être plus à l’aise, de toute façon, tôt ou tard, je l’aurais enlevé.


Les bouts de ses seins sous l’effet de mes légers pincements commençaient à durcir. Je ne résistai pas, l’étreignis dans mes bras et l’embrassai. Nos langues jouèrent l’une avec l’autre pendant de longues minutes jusqu’au moment de reprendre notre respiration. Nous étions en apnée compète. Je me mis à genoux et ma bouche se trouvait maintenant en face de sa toison d’amour. Un subtil parfum s’échappait par la dentelle de son slip et j’aurais voulu le lui arracher avec les dents pour accéder au plus vite à sa fente intime. Je me mis à passer mon index droit entre ses deux cuisses à la hauteur de sa vulve. Ce mouvement provoqua chez Jeanne une décharge électrique et elle se mordit les lèvres de plaisir. La transparence de son slip me permettait de voir sa toison brune dans toute sa plénitude. Mon doigt arrêta son mouvement dans la fourche de son sexe et ma main descendit sur le haut de ses cuisses puis sur l’orée de ses bas. Le contact si particulier de la texture des bas me procura une sensation indéfinissable. J’éprouvais un désir non maîtrisable de passer du soyeux des bas à la douceur de sa cuisse. Je sentais le plaisir monter, monter,



Elle se mit à genoux, ne renversa sur le dos et baissa mon slip ; elle avait eu juste le temps de prendre mon sexe dans sa bouche et de faire avec ses lèvres deux mouvements de haut en bas que, ne pouvant plus me retenir, j’explosai. Pour la seconde fois de notre relation, elle recueillit ma semence dans sa bouche. Elle continua ses mouvements de pompage, un filet de sperme sortait à la commissure de ses lèvres puis se retira, ouvrit sa bouche pour me montrer ma liqueur et l’avala.



Nous sommes allés nous allonger sur son lit dans le salon qui serait désormais notre lit et je mis Jeanne sur le dos. Elle avait toujours ses sous-vêtements qui m’avaient mis en émoi et je commençai à la caresser sans oublier une seule partie de sa peau. Les coins de son corps que mes doigts finissaient de caresser étaient repris par ma bouche et ma langue.



Jeanne ne cessait de me caresser la bite qui insensiblement commençait à passer peu à peu de l’état flasque à un peu raide. Il n’en manquait pas beaucoup pour qu’elle reprenne sa vigueur tant espérée par Jeanne.

L’envie de pénétrer ma belle-mère revenait et je voulais qu’elle garde son porte-jarretelles et ses bas pour mieux assouvir mon fantasme. Je descendis entre ses cuisses et commençai à lui lécher le sexe au plus profond possible. Ma langue allait de l’entrée de son vagin à son clitoris. Je le décapuchonnai entièrement pour exacerber un peu plus le contact de mes papilles sur son petit gland. Elle poussa de petits cris qu’elle essaya en vain d’étouffer en fermant la bouche, mais à quoi bon…

Je restai de longues minutes à la lécher et me mis en tête de voir combien d’orgasmes successifs je pouvais lui faire atteindre par un cunnilingus… J’empoignai ses hanches et soudai mes lèvres sur ses grandes lèvres et ma langue continua à passer, glisser et fureter dans tous les recoins de sa chatte. L’odeur de son sexe accroissait mon excitation ; j’étais comme une locomotive lancée sur une voie et incapable de s’arrêter. Son gémissement se transforma en mots :



Puis un énorme spasme lui fit se dresser les hanches sans que ma bouche en action ne se décollât de son sexe, elle cria :



Elle jouissait. Mes mains lâchèrent ses hanches pour peloter ses seins et sans bouger ma bouche, j’arrêtai de faire bouger ma langue pour qu’elle profite de sa jouissance ; elle redressa la tête, me sourit et dit :



Après environ cinq minutes de repos, ma langue repartit à l’action, mes mains emprisonnèrent ses hanches et en route pour le deuxième orgasme ; je pris soin de ne pas trop sucer son clitoris afin que le plaisir ne devienne pas insupportable. Ma langue fit une petite déviation vers son périnée afin de voir sa réaction et repris le chemin de sa vulve. Il fallut quelques minutes pour qu’un second orgasme vienne l’envahir.

J’attendis de nouveau plusieurs minutes et repris mes mouvements. Le troisième orgasme la cueillit très vite mais quelques signes, grimaces et mots me laissaient voir que le plaisir commençait à devenir presque une douleur. Je ralentis tous mes mouvements pour lui donner un quatrième et ultime orgasme successif qu’elle atteignit en ne disant :



Je lui demandai de me branler pour me remettre dans de bonnes dispositions et la pénétrai. Son vagin était gluant et chaud c’était un plaisir inimaginable que de m’enfoncer et faire des mouvements de va-et-vient en elle. Je me retirai et mis un doigt dans son vagin pour le lubrifier et le posai sur sa rosette et le poussai à l’intérieur de son anus. Mon sexe avait entre-temps repris possession de sa chatte et mon plaisir montait.

Jeanne s’en aperçut très vite et dit :



J’éjaculai longuement et retombai sur elle.

Après quelques minutes d’immobilité durant lesquelles nous n’avons fait que de nous embrasser, je retirai mon sexe devenu flasque du sien et me levai pour aller vite chercher des serviettes en papier pour nous essuyer. Je revins au côté de Jeanne et, allongés l’un contre l’autre, nous nous endormîmes.




Troisième chapitre




La soirée fut calme. On ne fit même pas l’amour ; on n’avait ni l’un ni l’autre l’énergie pour remettre une quatrième fois le couvert dans la même journée.

Après le dîner, on fit quelques pas de danse sur la piste de la boîte de nuit du village ; enfin, les pas de danse tenaient plus du frotti-frotta que de la danse. Elle s’amusait à coller son sexe sur le mien et à faire onduler ses hanches espérant voir venir chez moi une réaction, en vain. On regagna le bungalow et après une longue discussion sur l’inceste et ses conséquences dans le cadre de notre relation, on décida de se coucher dans les bras l’un de l’autre et on s’endormit.


Je rêvais que quelqu’un me faisait une super fellation avec une langue qui passait tout autour du gland, j’aurais souhaité ne pas me réveiller pour ne pas arrêter ce rêve fabuleux mais trop tard et… oh miracle je sentais encore cette langue. Je tournais la tête vers Jeanne… personne. Elle était entre mes jambes en train de me sucer la bite. Je n’avais pas rêvé, c’était le plaisir procuré pas la bouche de Jeanne qui m’avais réveillé. Quand elle vit que je ne dormais plus, elle lâcha ma queue et dit :



Je fermai les yeux et me laissai aller à ce plaisir sourd que je sentais venir tout doucement. Elle passait du gland aux couilles et revenait, puis elle essaya d’enfouir mon membre le plus possible dans sa bouche. La première fois elle se mit à tousser puis recommença et il y eut du mieux. Sa bouche arriva assez près de mes testicules. De la salive coulait de ses lèvres :



Elle insista donc encore, je n’avais jamais éprouvé cette sensation. Un étui doux et chaud entourait mon membre ; elle prit sa respiration et enfonça complètement mon sexe dans sa bouche au fond de sa gorge et, par des mouvements de la tête de droite à gauche déclencha mon orgasme. Je lâchai tout mon jus dans sa gorge, qui partit directement dans son œsophage. C’était la première fois que l’on me faisait ça et cette découverte qui ne venait pas de ma volonté me donna un sentiment de plénitude immense. J’étais avec une femme qui faisait tout pour me donner du plaisir.

Je regardai ma montre, on avait encore une heure avant le petit déjeuner et le départ en car pour l’excursion. Après nous être préparés, Jeanne revint vers moi et je l’embrassai. Pendant cette rapide effusion, elle me dit :



Avec une telle promesse la sortie de ce jour ne pouvait qu’être belle. Heureusement que dans ma trousse de toilette j’avais un tube de lubrifiant, il me servirait bien avec ma belle-mère.

Le car nous emmena visiter la brousse et s’arrêta dans un village où nous vîmes un spectacle de luttes africaines. Un repas de poisson grillé nous fut ensuite servi sous une grande paillote et chacun profita des mets préparés. Tout cela sentait beaucoup le théâtre pour touristes, mais on se doutait de ce qui nous attendait en faisant cette excursion.

Pendant ce buffet Jeanne qui était à côté de moi me glissa à l’oreille :



Et un large sourire vint sur ses lèvres.

L’après-midi fut consacrée à la visite d’artisans proposant des tissus imprimés et sculptures sur bois et, vers 17 h, alors que le soleil commençait à tomber, le car reprit le chemin de notre village. Jeanne et moi, étions assis au fond du car, et il n’y avait personne sur la rangée de sièges. Elle profita de l’obscurité et de notre relatif isolement pour appuyer sa tête sur mon épaule et d’une main me caressait le sexe. C’était bien parti. Je lui demandai d’arrêter sinon je ne pourrais pas descendre du car avec une apparence normale. Après plus d’une heure de route, le car entra dans le village et tous les voyageurs allèrent vers leurs bungalows avant le dîner.

Une fois dans le bungalow, un aimant terrible nous attira l’un vers l’autre. Nos bouches se soudèrent et nos langues se mélangèrent allègrement. Ce furent des baisers à en perdre haleine.



Elle partit dans la salle de bain, j’entendis la douche couler et j’attendis devant la porte pour en prendre une à mon tour.


Jeanne ressortit avec une serviette autour du corps et je me précipitai à mon tour sous l’eau. Dix minutes plus tard, j’étais douché, rasé, parfumé, prêt pour les festivités promises. Je ne vis pas Jeanne et allais enfiler un pantalon de lin crème sur une chemisette bleu ciel.



Je la retrouvai assise sue le transat dans le jardin devant le bungalow et elle était vêtue d’une robe mexicaine blanche qui descendait jusqu’au sol avec une superbe écharpe autour de ses épaules.



Elle prit ma main et on se dirigea vers le restaurant paillote.


La salle était pleine et on ne trouva pas de place côté-à-côte.



Elle prit ma main et ses doigts serrèrent très fort les miens. Je me suis dirigé vers un des serveurs pour lui demander combien de temps il fallait attendre pour pouvoir manger ensemble à une table :



J’entraînai Jeanne vers le bar, boire un apéritif pour passer le temps La discussion tourna à la plaisanterie sur les lutteurs de l’après-midi et le serveur que j’avais interrogé m’appela :



On s’installa face à face et on nous servit les entrées composée de différents coquillages et poissons froids, un régal ; puis vint le plat principal fait de poulet cuit dans des feuilles de bananier avec une purée d’igname et on alla chercher des glaces pour terminer ce dîner.


Le temps avait passé et il était plus de 10 heures quand nous nous levâmes de table. Il faisait nuit noire et seules des petites lampes placées au niveau du sol, environ tous les dix mètres indiquaient le chemin.

Je mis mon bras sur ses épaules et Jeanne me pris la taille et chantonna. De temps en temps je m’arrêtai pour l’embrasser afin de préparer notre soirée intime.


On arriva devant le bungalow et Jeanne me dit :



J’entrai avec Jeanne dans le bras et la déposait délicatement sur le sol. On reprit une séance délirante de baisers jusqu’à en perdre haleine et je me mis à lui peloter les seins.



Aussitôt dit, sa robe tomba au sol et je fis de même avec mes vêtements. Je découvris ma belle-mère avec un soutien-gorge et un mini slip arachnéen en dentelle couleur ivoire, transparent et orné de quelques motifs de fleurs.

Je vis au travers de sa lingerie les aréoles de ses seins et sa touffe. Elle m’avait réservé la surprise et je me mis à bander. Je m’emparai de ses hanches et je commençai à la dévorer de baisers.



Ah, c’était réussi. Je sortis ses deux seins au-dessus du soutien-gorge et passai ma main entre ses cuisses et insistai au niveau de son sexe. Elle s’accrocha à moi et se mordit la lèvre inférieure tant elle éprouvait du plaisir



Je me mis à genoux et baissai son slip. Sa toison sentait l’eau de toilette xxx, une de mes préférées et qui lui va si bien. Tout son bas-ventre sentait ce parfum, elle me dit qu’elle s’était aussi passé sur le corps le talc parfumé de la même marque.

Je commençais à devenir fou et je voulus lécher son vagin humide.


Je lui demandai de s’allonger sur le lit et mis un oreiller sous ses fesses afin que son sexe soit surélevé. J’écartai doucement les lèvres de son sexe, tirai sur le capuchon de son clitoris puis plaquai ma bouche sur sa chatte.

Ma langue explorait chaque recoin de son sexe et s’attardait sur son bouton… Jeanne commençait à rouler des hanches mais je voulais continuer à la lécher.

J’étais entre ses cuisses, ma bouche sur son sexe et chacune de mes mains faisait rouler ses mamelons qui durcissaient sous l’effet conjugué de la ma langue et de mes doigts.

Elle mit ses mains derrière ma tête et me la plaqua sur son nid d’amour. Sa jouissance n’allait pas tarder à venir. Sa respiration devenait plus saccadée et une rougeur commençait à envahir son visage puis elle souleva son ventre, gémit puis cria :



Je lâchai ses mamelons et enfonçai mon index droit dans son anus ; elle ne dit rien et continua à geindre. Je fis tourner mon doigt en essayant de faire des cercles pour dilater le muscle de sa rosette. Je lui demandai :



Je remontais jusqu’à son visage et l’embrassai goulûment.



Je lui demandai de me sucer pour me remettre en forme avant de pouvoir la prendre et m’enfonçai dans son vagin en lui rabattant ses jambes le plus possible vers son visage. Ainsi, je pouvais la pénétrer au plus profond d’elle.

Je lui chatouillai en même temps le clitoris et je sentis que je n’étais pas loin du point de non-retour. Il était même dépassé car je lâchai mon sperme en elle et durant plusieurs secondes des soubresauts agitèrent mon sexe, elle jouit de nouveau quelques secondes plus tard et on tomba dans les bras l’un de l’autre.


On passa plus d’une heure à se caresser doucement. On s’effleurait nos corps et une douce langueur m’envahit. J’avais sommeil…

Je me ressaisis et me levai pour aller chercher le tube de lubrifiant. Elle me sourit et dit :



J’en déposai une noisette sur l’anus et mis mon index à l’intérieur. Il glissait sans problème et mon majeur alla rejoindre mon index.

Avec deux doigts en elle, j’écartai doucement son anus et le muscle doucement se distendit. Au bout de longues minutes de ce traitement, son anus accepta sans aucun problème un troisième doigt et je les poussai assez loin en elle.



Je lui demandai de se mettre à genoux et sur ses mains pour qu’elle me présente au mieux ses fesses. J’enduisis de nouveau son orifice et en mis sur mon gland et ma verge. J’approchai mon sexe et lui demandai de pousser comme si elle voulait aller aux toilettes. L’effet fut immédiat, son anus s’ouvrit et je fis entrer doucement mon gland. Je sentis l’anneau musculaire se serrer autour de mon sexe, le barrage était passé. Je pus aller doucement au fond d’elle jusqu’à ce que mes couilles touchent ses fesses.


Je me redressai et pris appui sur mes pieds tout en restant au fond de son trou. Accroupi sur elle, je commençai un mouvement de piston dans son anus. Jeanne avait la tête enfouie dans l’oreiller et de petits cris sortaient de sa gorge après quelques minutes. Je sentis la jouissance venir de mes couilles, je nous fis basculer de façon à ce que Jeanne soit au-dessus de moi, en appui sur ses pieds et ses mains derrière elle et moi par-dessous, je me mis de nouveau à pistonner. Je demandai à Jeanne si ça allait, elle n’eut pas le temps de répondre, elle poussa un cri de plaisir puis dit :



Mais pour moi, je ne pouvais plus continuer comme elle le demandait ; je répandis mon sperme dans son cul et j’avais l’impression que de longues giclées l’inondaient. Je transpirai à grosses gouttes et j’étais épuisé par les efforts fournis ; je sortis mon sexe de son petit trou et tombai sur le côté.

Après un quart d’heure de repos, je pris Jeanne par la main et on alla prendre une douche en commun puis on retourna au lit et on s’endormit dans les bras de l’un et l’autre.


Au petit matin, des lèvres douces me réveillèrent, Jeanne avait entrepris de me couvrir de baisers. Quel réveil !

Je n’avais pas encore repris assez de force pour répondre favorablement à cette invitation et le dit à Jeanne.



Pour la satisfaire, je la couchai sur le dos et entrepris de lui lécher la chatte et ce n’était pas une corvée, car j’adore cela. Cela dira bien une heure et Jeanne eut plusieurs orgasmes jusqu’à ce qu’elle me dise d’arrêter car ça devenait douloureux. Et de nouveau on s’endormit.


La suite du séjour africain fut rythmé par nos copulations effrénées et fréquentes, je pense même qu’on a dû gêner nos voisins, mais, on était en vacances. Et elles passèrent avec une vitesse incroyable.

Hélas, il fut temps de rentrer en France et je me demandais ce qu’il allait advenir de notre aventure une fois revenus à la maison mais je n’osais pas en parler avec Jeanne. Pourtant, en faisant nos valises, elle vint dans mon dos me caressa les épaules et me dit :



Je me retournai et la pris dans mes bras ; sans réfléchir plus avant, je lui dis :



Elle sauta dans mes bras et m’embrassa.



Il fut l’heure de prendre le car vers Abidjan où attendait notre Airbus.

Arrivés à Paris, on prit un taxi jusqu’à chez Jeanne et je téléphonai à Leslie.



Je lui dis que puisqu’elle qu’elle était partie en vacances sans se préoccuper ni de moi ni de sa mère, alors on avait décidé de partir nous aussi et j’avais proposé à Jeanne de partir deux semaines en Afrique, au Club.



Je fais part à Jeanne de ma conversation avec Leslie et lui dit :



Je l’embrassai et partis. Arrivé à la maison, Leslie m’attendait. On s’assit dans le salon et aussitôt elle me tint informé de sa décision.



Elle ne réagit pas immédiatement mais, je sentis qu’elle réfléchissait de manière intense suite à mes dernières paroles.



La discussion dura encore une heure et Leslie voulut voir sa mère. Elle partit avec moi chez sa mère. N’ayant pas eu le temps de dire à Jeanne, un seul mot sur notre conversation, Leslie lui dit :



Jeanne comprenant aussitôt devint cramoisie et mit à pleurer intensément. J’expliquai alors tout à Jeanne, la demande de divorce de Leslie, la vente de notre maison, l’aveu de notre relation africaine et mon envie de vivre avec elle. Jeanne releva les yeux, me regarda les yeux humides, me sourit et dit :



Deux heures plus tard, Leslie et sa mère s’étaient réconciliées ; en lui faisant la bise sur le pas de la porte elle dit :



Leslie partie, je pris Jeanne dans mes bras.



Depuis six mois, Jeanne et moi sommes installés à La Rochelle. Nous avons loué une villa avec un jardin et Jeanne envisage de faire un potager. Nous vivons sans aucun problème financier, entourés de voisins sympathiques que nous voyons assez souvent.


Ce vendredi ; j’ai reçu une lettre de mon avocat m’informant que le divorce avec Leslie sera prononcé la semaine prochaine, aux torts réciproques comme on l’avait souhaité. J’informai Jeanne et apportai une bouteille de champagne pour fêter cette bonne nouvelle. On pouvait maintenant envisager notre vie commune sans mariage et sans devoir faire attention à ce que nous disions.

Après avoir trinqué à nous deux, je pris ma future ex belle-mère dans mes bras, l’embrassai avec fougue et passion et lui dis :



Elle se déshabilla et se retrouva en slip et soutien-gorge.



Aussitôt dit, aussitôt fait, on se retrouva nus sur le lit…