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n° 16146Fiche technique9390 caractères9390
Temps de lecture estimé : 6 mn
17/04/14
Résumé:  Un voleur d'objets d'art se fait surprendre. Sa situation est mal engagée mais elle connait une suite très positive.
Critères:  fh fagée extracon chantage pénétratio -occasion
Auteur : ARCAY
Tout est bien qui finit bien

J’ai 35 ans, je vis seul et suis installé au Luxembourg. Mon choix n’a pas été anodin car j’exerce un "métier" qui demande beaucoup de discrétion. En effet, je suis voleur professionnel. Ma spécialité est les œuvres et objets d’art. J’ai autour de moi un petit réseau de collectionneurs et de revendeurs qui me passent des commandes régulières. Je travaille seul, ce qui me permet de rester très discret.


Mon pays de résidence n’est pas très regardant sur l’origine de mes revenus et ainsi je ne cours pas grand risque si ce n’est lors de mes cambriolages. Certes, je ne suis pas Arsène Lupin mais mon petit commerce me permet de vivre correctement.


La semaine dernière j’ai appris qu’un petit tableau ancien avait été acheté par un couple de retraités parisiens qui l’avait accroché dans leur résidence secondaire située dans la banlieue de Nantes. Le samedi, je prends ma voiture et me rends sur place. Après Angers je quitte l’autoroute et fais un arrêt sur une aire de parking afin de changer les plaques de ma voiture, celles du Luxembourg étant très repérables. Je possède un modèle de grande diffusion qui passe inaperçu, surtout dans une grande ville.


Je repère la maison, située en retrait du centre de l’agglomération dans un lieu très calme. Dans la journée du dimanche je fais un petit tour pour me familiariser avec les lieux et décide d’intervenir le soir même. Les propriétaires sont présents mais ils doivent repartir très vite. À une heure du matin, je gare ma voiture à environ deux kilomètres de la maison et sors mon vélo pliant qui me servira pour m’approcher. J’enfile rapidement ma tenue de travail, collant intégral, cagoule, baskets et gants, noirs bien entendu.


Un quart d’heure plus tard, je suis arrivé et cache mon vélo dans un fossé. J’enjambe la clôture et me dirige silencieusement vers l’arrière de la maison. Je n’ai vu aucune voiture dans la cour, les volets sont fermés et je suis donc certain que les propriétaires sont absents. La serrure de la porte de la buanderie ne résiste pas longtemps et j’entre, prenant soin de refermer derrière moi. J’allume ma petite lampe torche afin de me diriger vers le salon où le tableau doit se trouver. En quelques instants, j’y suis arrivé et vois le tableau accroché au mur. C’est une petite pièce de 40 cm sur 60. Je le décroche et commence à en retire le cadre pour le rouler et le transporter plus facilement. Soudain, la lumière s’allume et une voix féminine me crie :



Je reste pétrifié et repose le tableau sur une commode.



Je ne maîtrise pas la situation et suis donc contraint de suivre les instructions données. Je me retourne et découvre une femme d’environ 60 ans, vêtue d’une chemise de nuit et qui tient fermement à la main un fusil de chasse. La personne semble savoir se servir du fusil et le ton de sa voix est déterminé.



Je reste muet et cherche une solution pour me sortir de cette situation.



Je reprends espoir me disant que j’ai peut-être une possibilité de m’en tirer.



N’ayant pas trop le choix, je lui résume mes activités sans trop me dévoiler.



Je ne comprends pas bien le sens de la fin de sa phrase.



Je m’exécute sans même changer mon nom, sachant que cela ne servirait à rien.



Elle saisit un appareil photo posé sur le buffet et prend quelques photos.



Elle pense vraiment à tout et je suis à sa merci.



Je suis piégé et il ne me reste plus qu’à obéir. Je retire mes baskets, défait la fermeture éclair de ma combinaison que je fais glisser jusqu’au sol. Je suis maintenant en slip.



Résigné je descends le slip le long de mes cuisses et il rejoint je reste de mes vêtements.



Tout compte fait, la situation m’amuse et m’excite. Je prends ma bite et commence à me branler. Rapidement elle atteint une belle taille et se dresse.



Je m’avance jusqu’à quelques centimètres d’elle et elle me prend la queue à pleine main.



Elle se laisse tomber à genoux et se met à lécher ma bite, remontant du gland jusqu’à sa base. Elle a mis ses mains en conque et me caresse les couilles que je sens durcir.



Elle me pousse sur le lit et passe sa chemise de nuit par dessus ses épaules. Contrairement à mes craintes, elle n’est pas mal conservée. Certes, ses seins tombent un peu et son corps semble un peu flasque mais elle est malgré tout attirante. Elle s’abat sur moi et m’embrasse à pleine bouche, ses mains avides parcourent mon corps. Je ne suis pas en reste et mes doigts se dirigent vers son sexe et le pénètrent doucement. Je titille son clito et je l’entends pousser de petits gémissements. Elle se soulève et s’empale sur ma queue tendue. Avec un profond soupir elle commence alors à se soulever et s’empaler de plus en plus vite.


À ses frémissements, je sens qu’elle va vite arriver à la jouissance et essaie de m’activer pour lui donner du plaisir, ce qui arrive très vite. Sans lui laisser le temps de souffler, je la fais basculer sur le lit et la retourne. C’est maintenant moi qui prends l’initiative. Je la fais mette à quatre pattes, ma bite descend le long de ses fesses, caressant au passage son petit anneau puis pénètre son vagin. Je m’active en elle, je sens mes couilles battre sur ses fesses, son souffle s’accélère.


Notre jouissance arrive en même temps. Repus, nous nous allongeons sur le lit, reprenant notre respiration. Sa main se promène sur mon torse, je vois son visage apaisé et son regard voilé.



Après un peu de repos et une coupe de champagne, nous refaisons l’amour. Avant le lever du jour, je m’éclipse et regagne ma voiture.


Depuis, je travaille presque exclusivement pour elle et son mari qui, bien entendu, ne sait rien de notre nuit. Elle m’accompagne régulièrement lors de mes activités pour m’assister lors de "missions". C’est surtout le prétexte à de torrides nuits.