Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16151Fiche technique35253 caractères35253
Temps de lecture estimé : 21 mn
24/04/14
Résumé:  Julie est une épouse aimante mais un peu trop passive au goût de Pierre, son mari. Avec la complicité d'un collègue, il va l'aider à se libérer.
Critères:  fhh médical exhib fellation pénétratio fsodo fouetfesse
Auteur : Fantasio
La consultation

Assis depuis plus de deux heures à la terrasse du bistrot au pied de leur bureau, Luc et Pierre éclusent des bières en parlant de la pluie et du beau temps, des bagnoles, des derniers résultats sportifs et, bien évidemment, des femmes. Ils ont la trentaine tous les deux. Collègues depuis six mois, ils se sont pris d’amitié l’un pour l’autre et se retrouvent souvent pour des parties de tennis ou des soirées entre potes. Le premier est un célibataire convaincu, à la vie amoureuse aussi variée qu’agitée, et le second, l’époux de Julie, une jeune et jolie brune de vingt-cinq ans au corps dessiné pour enflammer le cœur des hommes, mais dont la timidité maladive et les inhibitions sexuelles la rendent totalement imperméable à l’intérêt qu’elle suscite auprès de la gent masculine.



Pierre ne veut pas répondre et garde le nez plongé dans son verre de bière. Il n’arrive pas à croire à ce que vient de lui proposer son collègue. Ni plus ni moins de partager sa Julie avec lui ! Et s’il n’ose regarder son ami, c’est parce qu’il a peur de révéler l’excitation grandissante que cette éventualité a fait naître en lui. Plus d’une fois, il s’est endormi en rêvant qu’il partageait sa petite femme avec un autre et que celle-ci jouissait sans retenue sous leurs assauts combinés. Et la proposition de Luc lui offre soudain une occasion unique de réaliser ce qui n’était jusque-là qu’un fantasme inaccessible.



Pierre ne peut s’empêcher d’éclater de rire en même temps que son ami avant de cogner leur verre pour sceller leur pacte.

C’est ainsi que deux jours plus tard, Julie et Pierre sonnent au cabinet du Docteur S. Legrand, médecin généraliste. Convaincre Julie n’a pas été facile, mais comme l’avait prévu Luc, la menace du divorce a bouleversé la jeune femme, à tel point que Pierre a failli craquer lorsqu’elle a fondu en larmes. Pendant un moment, il a pensé arrêter là toute cette histoire, mais il a tenu bon, et c’est le cœur battant à cent à l’heure qu’ils attendent devant le pavillon.


Quelques heures plus tôt, ils ont déjeuné dans leur restaurant favori et Julie a bu plus que de coutume, histoire de se donner du courage avant d’affronter le sexologue. Sans beaucoup de succès à en croire les bouffées de chaleur qui lui traversent les chairs et le rouge écarlate qui lui colore les joues lorsque la porte s’ouvre enfin devant eux.



Pierre n’est pas beaucoup plus à l’aise que son épouse. Il répond presque machinalement au clin d’œil que lui adresse son complice tandis que Julie pénètre dans la maison, mais son esprit ne peut éviter de penser au piège cruel qu’ils sont en train de tendre à son innocente épouse.


Julie pique du nez après avoir croisé le regard du médecin. Un regard brillant, intense, que la jeune femme a senti plonger en elle sans qu’elle ne puisse y résister. Il est grand, brun, la trentaine comme son mari. Elle s’imaginait rencontrer un médecin d’âge mûr, et la perspective de dévoiler leur intimité devant cet homme jeune et séduisant la met encore plus mal à l’aise. Le bon docteur les emmène dans le salon et invite ses patients à prendre place sur le divan. Julie se tient droite, les genoux serrés, tirant sur sa jupe qui ne révèle pourtant rien d’autre que ses genoux. Elle n’arrive pas à cacher son inconfort.



Elle avale rapidement une gorgée du whisky que Luc vient de lui servir avant de se mettre à tousser nerveusement sous la brûlure de l’alcool. Pierre la serre contre lui, sentant son corps trembler comme une feuille. Il se demande ce qui lui a pris d’entraîner sa Julie dans cet ignoble piège, mais son ami ne lui laisse pas le temps d’y penser.



Julie regarde son mari. Elle a les joues en feu et il peut lire l’angoisse qui brille au fond de ses yeux. Mais il est trop tard, Pierre ne veut plus reculer. Alors, il se met à raconter ses frustrations en prenant soin de ne pas trop accabler son épouse.



Julie relève la tête. Elle regarde tour à tour le médecin et son mari ; elle est brûlante et sa respiration nerveuse agite son 38C pudiquement dissimulé derrière un chemisier boutonné jusqu’au cou.



L’angoisse se lit sur le visage de Julie. Elle voudrait se lever et s’enfuir, mais elle n’en a pas la force. Elle pense à Pierre, à leur couple, à la menace qu’il lui a lancée. Alors, puisque c’est ce qu’il veut, elle se sent prête à aller jusqu’au bout.



Elle regarde Pierre en espérant qu’il vienne à son aide, qu’il dise au docteur qu’il n’en est pas question. Mais son mari se contente de lui adresser un sourire d’encouragement, histoire de lui faire comprendre qu’elle n’a pas de raison de s’en faire ; après tout, le Docteur Legrand doit savoir ce qu’il fait. Alors Julie se lève lentement et s’éloigne à l’écart pour se défaire de ses vêtements avec des gestes mécaniques. Les deux hommes continuent à parler de la morne vie sexuelle du couple, comme s’ils étaient indifférents à l’excitant spectacle qui se déroule à quelques mètres et dont, en réalité, ils ne perdent pas une miette. Lorsque la jupe finit par glisser le long de ses longues jambes, la laissant en soutien-gorge, collant et petite culotte, Julie s’arrête pour les regarder. On croirait une petite fille timide et effrayée attendant le bon vouloir des adultes.



Pierre s’est levé pour serrer son épouse dans ses bras, lui caresser le visage et poser un tendre baiser sur ses lèvres entrouvertes. Tout en la rassurant, il dégrafe le soutien-gorge avant de glisser ses mains sous les élastiques de son collant et de sa petite culotte. Julie sait ce qu’il est en train de faire, mais elle ne peut résister. Elle sent son collant et sa culotte descendre inexorablement le long de ses cuisses pour dévoiler peu à peu les boucles brillantes de son sombre buisson.


Tandis que Pierre s’accroupit pour accompagner la descente des collants et que, les bras ballants, Julie sent les bonnets 38C de son soutien-gorge tomber sur son ventre, elle plonge son regard dans celui du docteur Legrand. Le désir et l’admiration qu’elle lit dans ses yeux déclenchent un profond frisson où se mêlent tout à la fois l’angoisse et l’excitation. Et lorsque Pierre se relève après l’avoir débarrassée de ses derniers vêtements, Julie se retrouve nue au milieu du salon, livrée au regard brûlant des deux hommes.


Comment en est-elle arrivée là ? Pourquoi laisse-t-elle ce soi-disant médecin tourner autour d’elle comme un maquignon autour d’une jeune pouliche ? Elle n’en sait rien et elle n’arrive pas à y penser. Seules comptent les sensations intenses qui traversent son corps tandis que le stéthoscope du docteur Legrand se pose sur sa poitrine dénudée et que son souffle chaud caresse ses chairs frémissantes. Et lorsqu’il lui palpe les seins comme le professionnel qu’il est censé être, elle sent avec horreur ses tétons se dresser pour révéler l’irrésistible excitation qui lui bouleverse les sens.



Julie est partie se réfugier dans les bras de Pierre, confortablement installé dans le divan et pour assister à l’enivrant spectacle de son innocente épouse livrée aux caresses de son complice. Un étrange sentiment de jalousie, mais surtout d’excitation, l’a envahi en observant sa femme nue et tremblante d’émotion au milieu du salon. Il ne s’imaginait pas capable de prendre un tel plaisir en jouant au voyeur et en observant le trouble et le désir prendre peu à peu possession du corps de Julie. C’est donc un peu déçu qu’il l’accueille entre ses bras, en profitant quand même pour laisser à son tour ses mains s’enivrer du contact soyeux de la peau brûlante.



Julie n’a pas le temps d’en dire davantage que Pierre l’a déjà retournée sur ses cuisses, coinçant ses jambes entre les siennes, la laissant le cul dressé et sans défense face aux deux hommes qui échangent un large sourire accompagné d’un clin d’œil appuyé.



Julie a beau implorer, s’agiter, pousser des cris perçants, Pierre continue à lui attendrir le derrière avec une régularité de métronome, admirant les couleurs chatoyantes d’un coucher de soleil se dessiner sur le cul de sa belle. Au bout d’une vingtaine de claques, les cris de Julie se font de plus en plus étouffés, séparés par des râles, des gémissements et des pleurs retenus, qui révèlent tout à la fois sa honte, sa douleur et le plaisir qui grandit au creux de sa petite chatte. Interrompant son ouvrage, Pierre glisse deux doigts dans la fente brûlante de Julie qui gémit de plus belle. Lorsqu’il les ressort brillants et trempés de liqueur, il les montre à son complice pour lui monter que leur plan diabolique commence à porter ses fruits.

Le fessée dure cinq longues minutes, et lorsque Pierre libère ses jambes, Julie reste de longues secondes immobile, regrettant presque que cette incroyable expérience soit déjà terminée.



Julie se caresse machinalement les fesses tandis que Pierre la serre dans ses bras tout en l’embrassant amoureusement. Il lui murmure des excuses à l’oreille, lui disant hypocritement qu’il ne fait cela que pour le bien de leur couple. Mais même si elle n’arrive pas vraiment à le croire, la jeune femme ne peut lui en vouloir. Elle ne pense qu’au plaisir intense qu’elle vient de ressentir et elle se demande jusqu’où le bon docteur Legrand va pouvoir la conduire.


Il commence par lui demander de s’allonger sur la table d’examen, les genoux relevés et les pieds posés dans les étriers utilisés pour les consultations gynécologiques. Elle a bien sûr l’habitude de passer ce genre d’examen, mais cette fois ce n’est pas la même chose. Cette fois, elle est entièrement nue et son sexe béant est impudiquement offert aux regards des deux hommes assis côte à côte devant le petit animal frémissant.

Pierre a du mal à croire au spectacle qui s’offre devant ses yeux ébahis. Pour la première fois en deux ans de mariage, il peut contempler en pleine lumière les dentelles irisées et brillantes de ce petit minou qu’il connaît si mal.



Julie a du mal à respirer. Elle est brûlante. Elle sent les liqueurs de sa jouissance déborder de sa fente béante sous l’effet des spasmes nerveux qui contractent ses muscles tandis que les doigts de Pierre caressent ses chairs trempées. Elle n’a pas besoin de répondre que déjà les lèvres et la langue de son mari viennent, pour la toute première fois de leur vie de couple, se poser sur son sexe, déclenchant un frisson de plaisir aussi brutal qu’intense. Jamais par le passé elle n’avait ressenti un tel orgasme, sentant littéralement son con exploser de plaisir sous les baisers brûlants de son homme.


Luc s’est relevé pour s’approcher du visage de Julie qui, les yeux fermés, jouit comme une bienheureuse. Il a sorti sa queue et il regarde son ami, attendant son autorisation pour glisser son sucre gorge entre les lèvres entrouvertes de sa patiente. Pierre hésite. Il a déjà obtenu plus qu’il n’en espérait. Il est persuadé que Julie ne sera plus la même après ce qu’ils viennent de vivre ensemble. Alors, à quoi bon continuer ? Mais son hésitation ne dure que l’espace d’une seconde, le temps de réaliser qu’il n’aura peut-être plus jamais l’occasion de réaliser le fantasme de voir sa petite femme s’offrir à un autre homme. Alors il fait un signe de tête à son complice, et tandis que celui-ci avance sa longue queue en semi-érection vers la bouche de Julie, il pose la sienne sur le sexe trempé avant de l’y faire disparaître d’un brusque coup de reins.


Julie ouvre largement la bouche sous l’intensité du plaisir qui explose au creux de sa petite chatte tandis que le sexe de Pierre s’enfonce profondément en elle. Son ami en profite pour glisser son membre brûlant entre les lèvres gémissantes de sa patiente, laquelle ouvre brusquement les yeux en sentant le contact tiède de cette queue qui lui envahit la bouche.


Les yeux et le visage de Julie expriment la surprise autant que l’angoisse et le dégoût. Elle comprend que tout cela n’a plus grand chose à voir avec les pratiques médicales, même celles des sexologues. Mais elle est incapable de lutter, tant le va-et-vient de Pierre au fond de son volcan lui bouleverse les sens et l’empêche de penser. Alors, elle décide de s’abandonner et de dévorer avec gourmandise l’imposante sucette que lui offre le docteur Legrand.


Pierre est au paradis, ou plutôt dans un de ces rêves qui ont si souvent bercé ses nuits d’abstinence. Il sent son sexe glisser délicieusement dans la chatte frémissante de sa prude, sa timide Julie, tandis que celle-ci déguste avec avidité le sexe de son collègue. Elle qui ne s’était jusqu’ici prêtée à ce genre de pratique qu’avec une parcimonie monastique, voilà qu’elle s’y adonne avec un enthousiasme qui fait plaisir à voir, et auquel Pierre a envie de goûter à son tour. Alors, il s’approche de Luc en déboutonnant son pantalon, et sans hésiter, Julie se détourne du sexe du docteur Legrand pour accueillir dans sa bouche gourmande le membre de son mari, encore trempé des liqueurs salées de sa petite chatte.


Durant de longues minutes, elle passe de l’un à l’autre tandis que ses doigts dansent un enivrant ballet au fond de sa caverne inondée. Si on lui avait dit, moins de deux heures plus tôt, qu’elle se retrouverait entièrement nue, suçant avec gourmandise tantôt la queue de son mari, tantôt celle d’un parfait inconnu, tantôt les deux à la fois, elle aurait sans doute éclaté de rire, ou plutôt rougi de honte et de colère devant une éventualité aussi improbable que dégradante. Mais en cet instant, elle n’en a rien à faire. Elle ne se sent ni honteuse, ni humiliée. Tout ce qu’elle veut, c’est jouir, encore et encore, et sentir ces deux queues gonfler dans sa bouche tandis qu’elle les conduit au bord de la jouissance.


Mais Pierre et Luc ont d’autres projets pour elle, et sur un signe de la tête du second, les deux hommes retirent leur membre tremblant de la bouche de leur partenaire. Julie les regarde sans comprendre, les yeux et le corps brillants d’excitation. Elle était sur le point de les faire jouir dans sa bouche et de découvrir pour la première fois les saveurs piquantes de cette liqueur blanche qu’elle s’était jusqu’ici refusée à goûter. Et voilà qu’ils la privent de cette nouvelle expérience. Mais elle n’a pas le temps de s’en plaindre car les lèvres de Pierre sont déjà venues se poser sur les siennes pour lui offrir un baiser amoureux, en remerciement du délicieux traitement qu’elle vient de leur offrir.



Julie n’a pas besoin de répondre : ses yeux parlent pour elle, tout autant que son corps qui continue à trembler de plaisir. Ses jolis tétons dressés comme deux petites groseilles juteuses et son minou autrefois si timide débordant du fruit de sa jouissance ne laissent aucun doute sur son désir de poursuivre son incroyable expérience.



Julie a conscience de l’indécent spectacle qu’elle leur offre, mais ça lui est égal. Elle dresse son cul brûlant et écarte les cuisses pour laisser couler les dernières larmes de sa jouissance. Elle a renoncé à se préoccuper des inhibitions de l’ancienne Julie. En cet instant, elle ne pense qu’au plaisir qu’elle prend et qu’elle leur donne. Et si elle tremble, ce n’est plus d’angoisse, ni de honte, mais tout simplement d´impatience et d’excitation.

Pourtant, lorsque Luc lui écarte les fesses et qu’elle sent s’ouvrir la petite cerise protégeant l’entrée de son cul, elle ne peut s’empêcher de sentir son estomac se nouer tandis qu’un frisson glacial parcourt ses chairs brûlantes. De toutes les pratiques sexuelles, la sodomie est certainement celle qui lui répugne le plus. Et si les extases qu’elle vient de connaître l’ont conduite à reconsidérer ses préjugés sur le sexe, elle ne se sent pas vraiment prête à accepter l’idée qu’on puisse venir visiter son petit trou ridé.



Julie frissonne de plus belle. Elle a du mal à accepter qu’ils puissent parler aussi librement de ce sombre et honteux orifice qu’elle a jusqu’ici réussi à préserver de la convoitise des hommes. Elle n’est plus de tout sûre de vouloir poursuivre la séance. Elle voudrait le leur dire, mais aucun son ne sort de sa gorge. Elle sent un filet d’huile glisser le long de la raie de ses fesses pour s’accumuler dans la minuscule cuvette de son petit trou, et cette sensation déclenche un nouvelle vague de plaisir au creux de sa petite chatte.



Pierre ne se fait pas prier et pose son doigt sur la rondelle fripée qui se contracte nerveusement dans l’espoir d’arrêter l’envahisseur. Mais la réaction instinctive de Julie est vaine, et le doigt de Pierre a tôt fait de pénétrer dans la forteresse, se glissant d’une, puis de deux phalanges dans l’étroit boyau de son cul.



La tête enfoncée entre ses bras repliés, Julie se contente pour toute réponse d’un « Non… » murmuré d’une voix entrecoupée d’un long gémissement de plaisir. Non, ce n’est pas désagréable, loin de là même, à en juger par les contractions nerveuses qui agitent les parois de son con tandis que les doigts de Pierre vont et viennent dans le conduit soyeux de ses entrailles.



Tandis que la table d’examen descend lentement pour conduire le divin orifice du cul juste à la bonne hauteur, Pierre a du mal à ne pas éclater de rire en entendant sa douce et tendre s’exprimer comme une magnifique salope, impatiente de se faire défoncer la rondelle. Il se dit qu’il a eu mille fois raison d’accepter la proposition de son ami, et que même s’il n’en a pas les qualifications, ce dernier est bien le meilleur des sexologues.


Julie, quant à elle, tremble d’impatience en attendant que l’épaisse queue de Pierre vienne se poser sur sa rondelle distendue. Elle n’arrive pas à croire à ce qu’elle vient de demander. Est-ce vraiment elle qui vient de dire « Encule-moi ! », qui vient de se comparer à une chienne en chaleur ? Elle a envie d’en rire elle aussi, mais au même moment elle sent le muscle élastique de son petit trou qui s’ouvre et se distend toujours davantage par avaler le gland, puis la tige tout entière, et provoquer un nouvel orgasme, aussi intense que les précédents.


Luc s’est écarté pour regarder le couple qui gémit à l’unisson tandis que l’épais gourdin de Pierre va-et-vient dans le cul de Julie et que ses hanches claquent sur les fesses de cette dernière à chaque fois que son membre s’enfonce au plus profond de ses entrailles. Il se caresse la queue et il sourit, heureux d’avoir pu leur rendre service et d’avoir pu prendre son pied par la même occasion. Il lève la tête pour adresser un clin d’œil à la caméra qu’il a discrètement posée sur l’armoire et qui a n’a rien perdu du spectacle que Julie vient de leur offrir. Plus tard, il se repassera le film ; mais pour l’instant, il a une furieuse envie de profiter à son tour du soyeux fourreau de son enivrante patiente.


Alors, lorsque le corps de Pierre se met à trembler et que son sexe se libère enfin dans les entrailles de son épouse, il s’approche de son ami pour lui faire comprendre que le bon docteur Legrand aimerait toucher ses honoraires. Et, en l’espace d’un seconde, le membre fatigué de Pierre se retire du cul de Julie pour laisser la place au vaillant estoc de son complice.


Julie jouit, encore et encore, sans discontinuer. Elle n’est pas dupe du tour de bonneteau auquel ils viennent de se livrer avec son petit trou, mais elle s’en fout. Tout ce qui compte pour elle, c’est la jouissance ininterrompue qu’elle ressent depuis que Pierre lui a écartelé la rondelle. Alors, si c’est à présent le membre du bon docteur Legrand qui lui visite les entrailles, pourquoi pas ? Il l’a bien mérité, après tout.


Voilà, c’est fini. Luc – ou plutôt Serge Legrand – a à son tour libéré le fruit de ses gonades au fond du cul de Julie, lequel déborde des liqueurs blanchâtres qui glissent le long de ses cuisses. Elle n’a pas bougé, reprenant son souffle, les fesses dressées en majesté devant les deux hommes qui contemplent le spectacle d’un air ravi, échangeant des sourires complices et satisfaits devant le succès de leur entreprise.



Julie se lève comme dans un rêve, le corps tremblant, le con et le cul débordants du fruit de leurs extases. Elle embrasse tendrement son mari avant de quitter la pièce.



Les deux hommes éclatent de rire. Leur plan a marché à merveille. L’image de la prude et timide Julie qui a pénétré dans le cabinet deux heures plus tôt n’est plus qu’un souvenir. La femme qui vient de les quitter n’est définitivement plus la même. Ils ont réussi à abattre une à une les barrières qu’elle s’était construites et au cœur desquelles elle s’était enfermée, à leur plus grand désespoir. À présent qu’elle a goûté aux multiples délices de l’amour libre, elle ne sera plus jamais la même.


La voilà d’ailleurs qui refait son apparition dans le cabinet. Elle s’est rhabillée, mais ses yeux brillants et les deux premiers boutons ouverts de son chemisier montrent qu’elle n’a rien oublié de ce qu’elle vient de vivre. Elle se rassoit en silence aux côtés de Pierre et lui prend tendrement la main tandis que le docteur Legrand les regarde en silence, assis derrière son bureau.



Pour toute réponse, Julie regarde son mari en souriant avant de lui dévorer la bouche dans un baiser passionné.