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n° 16152Fiche technique32885 caractères32885
Temps de lecture estimé : 20 mn
24/04/14
Résumé:  Lucie et Louis s'amusent à imaginer des jeux de rôle pour pimenter leur vie de couple. Ce soir, elle sera une cambrioleuse ; mais le scénario qu'elle a imaginé ne se déroulera pas comme prévu.
Critères:  fhh couple uniforme fellation pénétratio double fsodo jeu attache baillon fouetfesse
Auteur : Fantasio
Fric-frac

Lucie se regarde dans le grand miroir du dressing. Elle porte un collant et un body noirs qui moulent sensuellement ses formes gourmandes. Il faut dire qu’elle ne porte rien en dessous, si bien que le tissu élastique paraît peint sur sa peau, laissant pointer ses tétons durcis et se glissant impudiquement dans la raie de ses fesses et les plis humides de sa petite chatte.


Elle sourit ; elle se trouve belle et sexy. Malgré ses trente-cinq ans et ses deux grossesses, son corps conserve encore la sveltesse et la fermeté de ses vingt ans. Elle porte un loup noir et elle a rassemblé sa crinière brune en une longue queue de cheval. Elle est prête. Ce soir, elle veut être la plus sexy et la plus coquine des cambrioleuses.


Cela fait près de deux ans qu’une fois par mois, avec Louis – son mari – ils se livrent à des jeux de rôle qui pimentent leur vie de couple et réinventent leurs fantasmes. Pour lui, elle a été une docile soubrette, une call-girl vénéneuse, une infirmière dévouée, tandis qu’à son tour il a incarné un professeur sévère, un médecin attentif ou un plombier plus intéressé par les conduits humides de sa cliente que par la tuyauterie de leur cuisine. Le mois dernier, il s’est transformé en cambrioleur qui, après avoir surpris la maîtresse des lieux, l’a ligotée sans ménagement avant de lui faire connaître les plus délicieux des tourments.


Et ce soir, Lucie est toute excitée à l’idée de lui rendre la pareille. Elle a quitté la maison vers dix-huit heures, avant que son mari ne rentre du travail, et trois heures plus tard la voilà qui attend, cachée derrière un buisson du jardin, que la lumière de leur chambre finisse par s’éteindre.


Elle se déplace comme un chat, grimpant avec agilité le long du treillis qui couvre la façade arrière de la maison pour accéder d’un bond sur le balcon de leur chambre. Son cœur bat à cent à l’heure. Ce n’est qu’un jeu, qu’une délicieuse fantaisie, mais l’excitation qu’il provoque en elle est bien réelle. Tandis qu’elle pénètre en silence dans la chambre, elle sent son sang battre dans ses tempes et une nuée de papillons venir agiter leurs ailes entre les chairs humides de sa petite chatte. Elle distingue le corps de Louis sous les draps. Il dort, ou plutôt fait semblant de dormir. Il l’attend, probablement aussi nerveux et excité qu’elle. Elle tient à bout de bras un révolver en plastique qu’elle a emprunté à leur fils. Elle l’avance vers la forme allongée sur le lit, mais avant qu’elle n’ait pu la toucher du bout de son arme, la chambre s’éclaire brusquement et une voix retentit derrière elle.



L’espace d’une fraction de seconde, Lucie a oublié qu’elle est dans sa propre chambre et que cette voix menaçante est celle de son mari. Elle croit vraiment qu’elle est une voleuse maladroite qui vient de se faire surprendre par le propriétaire des lieux. Cela ne dure qu’un instant, mais quand elle reprend ses esprits, il est déjà trop tard. Louis lui a saisi les poignets pour les ramener derrière son dos et les entraver dans une paire de menottes.



Lucie se débat, continue à le traiter de salaud, de tricheur, mais Louis se contente de rire avant de la jeter sans ménagement sur le lit. Derrière son loup noir, ses yeux brillants lancent des éclairs incendiaires.



En l’entendant évoquer la fessée, un délicieux frisson vient électriser les chairs de Lucie, déclenchant un spasme nerveux au creux de sa chatte. Il sait combien elle aime qu’il s’occupe de ses fesses et de son joli cul, et si ce n’est pas vraiment le scénario qu’elle avait imaginé pour leur soirée, elle commence à prendre goût à ce nouveau développement. Malgré tout, pour préserver les apparences et rester dans son rôle, elle continue à résister et à insulter l’ignoble personnage qui s’apprête à lui martyriser le derrière.


Louis s’est assis sur le bord du lit, attirant sa délicieuse cambrioleuse vers lui pour l’allonger en travers de ses cuisses, l’immobilisant tandis qu’elle continue à s’agiter en maudissant son tortionnaire. Il baisse le collant et glisse sa main entre les cuisses chaudes et humides pour défaire la pression qui ferme le body. Elle ne porte pas de culotte et ses fesses rondes et pâles apparaissent dans leur éblouissante nudité pour le plus grand plaisir de Louis.



Dans un claquement sec, la main de Louis s’écrase lourdement sur ses chairs tremblantes.



Elle n’en croit rien, bien sûr, mais elle continue à jouer son rôle avant que les décharges électriques qui lui traversent les chairs et les vagues de plaisir qu’elles provoquent ne prennent le dessus, l’obligeant à s’abandonner avec délice aux assauts de son tourmenteur. Il la fesse avec application, avec autant de fermeté que de retenue, comme elle l’aime, s’appliquant à faire rougir les deux globes charnus et à faire pleurer de plaisir sa petite chatte joufflue, écrasée sur sa cuisse.

Le délicieux tourment dure plus de cinq minutes, régulièrement interrompu par des caresses de plus en plus profondes au cœur du volcan en éruption. Elle est trempée de sueur autant que de plaisir. Il la laisse reprendre son souffle et profiter de la fraîcheur d’un courant d’air qui pénètre du balcon et vient apaiser ses chairs brûlantes.



Lucie s’attendait à ce qu’il trouve une excuse pour continuer à s’amuser avec elle, mais quand après l’avoir repoussée sur le lit il se lève pour s’emparer du téléphone, elle ne peut s’empêcher de sourire en reconnaissant le talent d’acteur et l’imagination de son coquin de mari.



Il a raccroché et, derrière le masque qui lui dissimule le visage, Lucie le regarde avec un air de défi. Un sourire provoquant se dessine sur ses lèvres pulpeuses et ses grands yeux verts brillent d’excitation. Son collant est descendu à mi-cuisses et les chairs roses de sa petite chatte entièrement épilée brillent encore des liqueurs de sa jouissance.

Louis lui ôte ses chaussure de sport avant de descendre complètement le collant, ne lui laissant que ses petites socquettes et son body remonté jusqu’au-dessus du nombril. Il est allongé au-dessus d’elle, leurs visages à quelques centimètres l’un de l’autre. Ils se regardent et leurs bouches finissent par se rencontrer dans un baiser brûlant.

Les mains attachées dans le dos, allongée à demi nue sur leur lit, Lucie attend qu’il la prenne, qu’il la pénètre enfin et use de son corps à sa guise jusqu’au bout de la nuit. Mais au lieu de cela, Louis lui demande de se lever et il l’entraîne au rez-de-chaussée de la maison.



Elle s’installe sur un fauteuil de bureau auquel il l’attache au moyen d’un large ruban adhésif. Ses bras sont collés aux accoudoirs et les liens qui bloquent ses chevilles et ses genoux l’obligent à écarter effrontément les cuisses.

Le cœur de Lucie s’emballe. Elle ressent une excitation intense tandis que des gouttes de plaisir glissent entre les lèvres béantes de sa petite chatte. Elle ne sait pas ce qui l’attend, et pourtant elle l’attend avec une impatience brûlante.


Louis revient vers elle, une paire de ciseaux à la main. Il saisit un téton, l’étire, le pince, le fait rouler entre ses doigts en fixant son épouse avec un sourire cruel. Elle serre les dents, se mord les lèvres. Il sait combien ses tétons sont sensibles, combien ils réagissent au quart de tour, envoyant des signaux de plaisir au plus profond de son sexe. Louis approche les ciseaux, tirant sur le tissu élastique du body avant de le trancher juste à la hauteur du téton et laisser apparaître la pâleur du sein au milieu du tissu noir et le long cylindre de chair dressé au centre du mamelon. Un deuxième coup de ciseaux, et deux superbes nichons se dressent à présent sous ses yeux ravis.



Lucie n’a pas le temps de réagir que déjà Louis a recouvert sa bouche d’une large bande de ruban adhésif. Elle essaie de crier mais il est trop tard, et ce n’est qu’un murmure étouffé qui sort de sa bouche. Elle s’agite, secoue la tête, tire nerveusement sur ses liens. Mais c’est inutile, elle est prisonnière. Cette fois, ses yeux ne brillent plus d’excitation, mais de colère. Elle ne s’attendait pas à être bâillonnée. Elle est surprise, et pas du tout convaincue d’aimer cela.


Louis pousse le fauteuil à roulettes pour l’amener devant le grand miroir du hall d’entrée. Lucie a du mal à se reconnaître dans cette femme entravée, bâillonnée, effrontément nue qui la regarde fixement et qu’elle trouve terriblement excitante. Louis l’approche encore davantage pour qu’elle puisse découvrir les perles de jouissance qui glissent sur les chairs nacrées de son sexe béant.


Il y glisse les doigts et Lucie gémit de plaisir. Elle voudrait lui dire de ne pas s’arrêter, mais elle est condamnée à jouir en silence et, étrangement, cette situation l’excite encore davantage. Elle se regarde tandis que Louis lui fouille la chatte, écartant les dentelles roses et recueillant dans sa bouche les liqueurs salées de sa jouissance.

Le carillon de la porte d’entrée la fait brusquement sursauter. Il y a quelqu’un derrière la porte, à quelques mètres à peine. S’il regarde par le judas, il pourra probablement découvrir le spectacle en miniature de son corps offert aux caresses de Louis. Lucie regarde fixement son mari, une voile d’angoisse au fond des yeux.



Lucie s’agite sur son fauteuil, et le sourire innocent de Louis ne contribue pas à la rassurer.



Il pousse le fauteuil dans la buanderie attenante à la cuisine avant de refermer la porte derrière lui et laisser Lucie dans l’obscurité. Son cœur bat à cent à l’heure, son cerveau est en ébullition et des frissons glacés traversent ses chairs brûlantes. Elle entend des voix qui remontent depuis le hall. Louis parle à un homme, puis plus rien. Rien que le silence insupportablement long durant lequel elle n’ose imaginer ce qui va lui arriver.

Lorsque la porte de la buanderie s’ouvre enfin et qu’on allume la lumière, elle est obligée d’écarquiller les yeux pour deviner la silhouette de Louis qui se découpe dans l’encadrement. En découvrant qu’il est seul, elle pousse un soupir de soulagement.



Elle voudrait que la terre l’avale d’un seul coup, qu’un coup de baguette magique la fasse disparaître en un clin d’œil. Mais rien de cela ne se passe. Et c’est morte de honte et en même temps ivre de colère contre son mari qu’elle découvre l’homme en uniforme de policier qui se dresse aux côtés de Louis. Elle s’agite comme une furie dans l’espoir de pouvoir échapper à leurs regards lubriques, manquant de renverser le fauteuil qui tourne comme une toupille.



La lumière s’éteint et la porte se referme à nouveau, laissant Lucie au bord des larmes. Elle n’arrive pas à comprendre ce qui vient de lui arriver. Jamais, au grand jamais il n’a partagé leurs jeux avec d’autres partenaires. Cela a toujours été un tabou dans leur couple. Et voilà que ce soir, sans même la prévenir, sans lui laisser la possibilité de s’y opposer, il l’offre effrontément aux regards lubriques d’un inconnu. « Comme a-t-il osé ? » Soudain, elle a comme une révélation. Elle se rappelle la conversation qu’ils ont eue une semaine plus tôt après une délicieuse partie de jambes en l’air.



« Il l’a fait ! Le salaud… » Il a introduit un autre homme dans leur jeu, et brusquement Lucie réalise que tout cela n’est que la suite du jeu qu’il a préparé pour elle. Elle lui en a donné la permission et il en évidemment profité, le salaud. À présent qu’elle a compris, elle n’arrive plus à lui en vouloir. C’est elle qui a accepté de tenter l’expérience ; et sans cet accord qu’il lui a habilement soutiré une semaine plus tôt, jamais il ne l’aurait mise dans une telle situation. Alors, puisque c’est le scénario qu’il a choisi pour elle, elle se sent prête à assumer son rôle de cambrioleuse livrée aux bons plaisirs de la police.

Et bientôt, ce n’est plus l’angoisse mais une excitation impatiente qui électrise les chairs de Lucie. Dans quelques minutes, ils viendront la chercher, et ce n’est plus à un mais à deux hommes qu’elle va devoir s’offrir.


Il a dû se passer une bonne dizaine de minutes lorsque la lumière crue inonde une nouvelle fois la buanderie. Louis est seul ; il s’avance vers elle en plongeant son regard dans les yeux brillants de son épouse. Sans prononcer une parole, il lui demande si elle est prête à poursuivre leur jeu et, à son grand soulagement, Lucie n’a aucun mal à lui faire comprendre qu’elle n’attend que cela. Il pose un baiser sur sa bouche, et malgré la barrière du ruban adhésif, ce baiser platonique traverse le corps de la jeune femme comme un éclair pour exploser au creux de son sexe.


Louis pousse le fauteuil à roulettes jusqu’au centre du salon pour le placer face au policier, confortablement installé dans le divan, un verre de whisky à la main. Lucie découvre pour la première fois cet homme dont l’inquiétante silhouette l’avait fait trembler d’angoisse. Il est jeune, grand, musclé et plutôt beau mec. Elle ne peut s’empêcher de sourire intérieurement en se disant que son coquin de mari a une nouvelle fois bien fait les choses.


À la façon dont il la regarde, elle se dit que ce ne doit pas être un habitué de ce genre d’emploi : il la dévore littéralement des yeux, fasciné par le spectacle du con et des seins effrontément offerts à ses regards. Louis s’est assis dans un fauteuil à la droite de Lucie. Il la regarde lui aussi, et dans ses yeux elle peut lire tout l’amour qu’il ressent pour elle.



Louis et Lucie échangent un regard complice pendant que l’inexpérimenté représentant de l’ordre s’avance vers la jeune femme pour retirer le ruban adhésif collé sur ses lèvres.



Louis se lève et Lucie est presque rassurée quand il vient lui saisir le visage d’une poigne ferme tout en tordant cruellement son téton droit. Ils ont beau jouer un jeu tous les trois, il faut y mettre un peu de conviction, que diable !



Louis a actionné les pédales qui contrôlent la hauteur et l’inclinaison du fauteuil, si bien qu’en une seconde elle se retrouve brusquement trente centimètres plus bas et le torse incliné vers l’avant. L’inspecteur a beau être nouveau dans le métier, le visage de Lucie à hauteur de son entrejambe ne lui laisse aucun doute sur ce que Louis attend de lui.

Lucie a du mal à en croire ses yeux lorsque le jeune homme libère brusquement un serpent noueux de près de vingt centimètres. Louis est plutôt bien membré, mais l’engin qu’elle a sous les yeux a des proportions « siffrediques ». Elle regarde son mari qui lui sourit, plutôt fier de l’effet de son cadeau surprise.


Le jeune homme avance son gland pour le promener le long des lèvres fermées de Lucie. Même si la perspective de sucer la queue d’un inconnu sous les yeux de son mari déclenche une explosion de jouissance au creux de son ventre, elle veut continuer à assumer son rôle. Pas question qu’elle suce ce salaud de flic… du moins, pas tout de suite !

Quelques cruelles torsions de Louis sur ses tétons durcis suffisent à donner le change et lui faire avaler l’impressionnant engin, étouffant par la même occasion les gémissements de plaisir qui lui électrisent le corps. Elle suce le long sucre d’orge, le mordille, l’enfonce profondément dans sa bouche comme pour inviter cette lance d’incendie à venir calmer le feu qui lui dévore le con. Au bout de cinq minutes, le membre de l’inspecteur se dresse, raide d’impatience, sous le nez de Lucie. C’est le moment que choisit Louis pour actionner à nouveau le levier du dossier et faire basculer son épouse presqu’à l’horizontale.



Lucie entend le bruit caractéristique d’un préservatif que l’on déballe et qui se glisse le long d’une longue, très longue queue. Elle ne peut effacer l’image de l’impressionnant gourdin qui s’apprête à la pénétrer et, avant même qu’il ne s’approche, elle sent son con vibrer de plaisir.


Louis est à ses côtés lorsque le gland se glisse entre ses lèvres trempées. Elle le regarde : il lui sourit ; elle essaie de lui rendre son sourire, mais l’intensité du plaisir est trop forte. Elle pousse un long gémissement, son corps se cabre sous les spasmes électriques qui remontent de sa chatte tandis que le long serpent nerveux s’enfonce profondément en elle.


Il va-et-vient, doucement, presque tendrement, jusqu’à ce que Lucie parvienne à reprendre le contrôle. Elle regarde Louis qui tient son sexe dressé à la main. Pas besoin de lui faire un dessin. Elle accueille la tige brûlante dans sa bouche gourmande pour lui faire partager les délicieux frissons de plaisir qui lui traversent les chairs. L’espace d’une seconde, la réalité de leur situation traverse l’esprit de la jeune femme. Elle a du mal à se convaincre d’être cette femme ligotée, nue, au centre de leur salon, jouissant sous l’effet de l’énorme queue d’un inconnu enfoncée dans le con tandis que celle de son mari s’agite dans sa bouche. Mais l’intensité de sa jouissance est trop forte et elle ne peut que s’abandonner avec délice aux vagues de plaisir qui lui enflamment le corps.



Lucie voudrait embrasser son mari pour le remercier. Elle n’en peut plus de sentir ses jambes et ses bras entravés. Elle a envie de reprendre son souffle, de délier enfin ses membres meurtris, et c’est ce qu’elle fait dès que Louis retire les menottes attachées derrière son dos.

Elle s’étire au centre du salon, indifférente aux regards que les deux hommes portent sur elle, sur son corps dénudé, sur sa chatte brillante de liqueur. Elle porte encore son masque et son body troué à hauteur des seins ; mais voilà qu’elle remonte le vêtement par-dessus sa tête pour dévoiler totalement sa superbe poitrine avant de défaire ses cheveux et libérer ses longues boucles brunes qui tombent sur ses épaules en encadrant son visage.

Elle regarde ses geôliers avec un air de défi. Elle est magnifique : elle peut le lire dans leurs yeux. Elle mène le jeu tout autant que Louis, et leur complicité transparaît dans leurs regards. Elle s’avance vers l’inspecteur qui a repris sa place sur le divan et vient s’asseoir en travers de ses cuisses en passant son bras par-dessus ses épaules.



Elle déboutonne la chemise pour glisser sa main le long de la poitrine du jeune homme tandis que l’autre caresse son imposant gourdin. Elle l’embrasse dans le cou, lui murmure des mots doux à l’oreille avant de pouffer de rire. Elle flirte avec l’inspecteur, mais c’est avec Louis qu’elle joue, consciente des regards qu’il porte sur eux tandis que son partenaire lui dévore la bouche.


Louis est fasciné par le tableau de son épouse, nue et offerte entre les bras de cet inconnu. C’est la première fois qu’il joue au voyeur, et un étrange frisson où se mêlent l’angoisse, la jalousie et l’excitation lui traverse le corps. Il est envoûté par le tableau de ce couple enlacé qui s’abandonne au plaisir sans se préoccuper de sa présence. Il caresse machinalement sa queue tendue comme la corde d’un arc, en se demandant où cette aventure va les mener lorsque brusquement Lucie se lève d’un bond.


Elle s’est emparée du révolver glissé à la ceinture de l’inspecteur et elle pointe l’arme vers les deux hommes.



Ils savent que c’est une arme factice qu’elle pointe sur eux, mais ils doivent jouer le jeu et ils se mettent donc à se déshabiller sous la menace de la plus excitante des cambrioleuses. Quelques secondes plus tard, les deux hommes sont debout devant elle, le polichinelle au garde-à-vous.

Elle les regarde pendant de longues secondes, un petit sourire cruel dessiné sur les lèvres. Elle les observe, les inspecte, tourne autour de ses prisonniers en faisant glisser le canon de son révolver sur leurs chairs dénudées. Elle doit reconnaître que ce sont deux beaux spécimens qu’elle a devant elle, aussi musclés l’un que l’autre et disposant chacun d’une pièce d’artillerie capable de satisfaire la plus exigeante des femmes.



Louis ne s’y attendait pas. Il pâlit en regardant Lucie d’un air incrédule. Elle ne peut pas lui demander de faire ça ! Il reste de longues secondes à la regarder, sans arriver à croire ce qu’elle vient de lui ordonner. Mais Lucie n’a pas envie de lui faire de cadeau. Après tout, c’est lui qui a commencé toute cette histoire et qui a décidé de mêler un autre homme à leur petit jeu. Alors, il va falloir qu’il assume.



Louis s’exécute comme un automate. Il pourrait arrêter le jeu, lui retirer le stupide jouet qu’elle pointe sur lui d’un air faussement menaçant, mais il sait que c’est le jeu de Lucie autant que le sien et il l’aime trop pour la décevoir. Alors il avance ses mains vers la longue queue qui se dresse devant lui. Cette queue qu’il a choisie pour elle et qu’il s’apprête à accueillir dans sa bouche.


Ses lèvres se referment sur le gland avant de descendre le long de l’épais gourdin. Le membre chaud s’enfonce profondément dans sa bouche ; il le sent durcir sous le mouvement de va-et-vient de sa langue et de ses lèvres. Il regarde Lucie dont le corps nu se presse contre celui de l’inspecteur. Elle se caresse l’entrejambe, et ses doigts brillants de liqueur révèlent l’intensité de son excitation.

Elle saisit la chevelure de Louis pour l’attirer vers elle et l’obliger à poser sa bouche sur sa chatte débordante. Il la lèche, la dévore comme un mort de faim. Il veut partager son plaisir, la sentir couler dans sa gorge assoiffée, entendre ses râles de plaisir tandis que sa langue s’enfonce au cœur du volcan et que ses lèvres viennent titiller son bouton d’amour.


Julie n’en peut plus. Ses jambes tremblent et fléchissent sous les spasmes qui lui traversent le corps. Elle va s’écrouler s’il n’arrête pas tout de suite ! Elle finit par le repousser brusquement, et Louis s’écroule sur le sol. Ils se regardent. Leurs yeux brillent d’excitation. Il a envie de lui faire l’amour et elle en a envie tout autant que lui. Elle vient s’accroupir au-dessus de sa queue dressée. Elle sourit en pointant son arme sur la poitrine de Louis.



Elle se laisse descendre, et la bouche rose et trempée de sa chatte avale l’épais gourdin. Elle le chevauche comme une amazone, agitant son bassin au rythme des coups de reins de Louis. Elle jouit, elle crie, elle lui demande de ne pas arrêter. Il l’attire vers elle, la serre dans ses bras, lui dévore la bouche tout en gardant son membre profondément enfoncé au fond de son con.



Le jeune inspecteur ne se fait pas prier, et quelques seconde plus tard il enfonce un, deux, puis enfin trois doigts dans le petit trou fripé de Lucie. Elle n’est pas vraiment adepte de la sodomie et, s’ils s’y adonnent de temps en temps, c’est plus pour le plaisir de Louis que pour le sien. Mais ce soir, tandis que la queue de son mari lui pilonne le con, elle tremble d’impatience et d’excitation en sentant les doigts de l’inspecteur qui préparent le terrain. Et lorsque le gland se pose enfin sur sa rondelle distendue, elle ne peut retenir un long râle de plaisir.


Tandis que la longue queue s’enfonce dans ses boyaux, remontant entre ses reins, glissant contre celle de Louis enchâssée dans son sexe, le corps de Lucie est traversé d’un puissant courant électrique dont les vagues brûlantes viennent lui inonder le con. Elle n’a jamais joui avec une telle intensité. Emporté par les extases de son épouse, Louis explose à son tour, bientôt suivi par l’inspecteur qui se retire brusquement pour arroser d’une pluie de sperme le cul brillant de la jeune femme.


C’est fini. Allongée sur Louis, Lucie reprend peu à peu son souffle. Elle enlace son mari, ils roulent sur le tapis, s’embrassent avec passion comme des amants qui viendraient de faire l’amour pour la première fois. Leur jeu est terminé, et c’est sans aucun doute le plus excitant de tous les scénarios qu’ils ont interprétés jusqu’ici.