Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16157Fiche technique17587 caractères17587
Temps de lecture estimé : 13 mn
28/04/14
Résumé:  Après ma première expérience sexuelle dans les bois avec Agnès, je profite des vacances de mes parents pour la recontacter...
Critères:  fhh hbi hplusag fplusag jeunes nympho vacances pénétratio hdanus hgode hsodo jouet init
Auteur : Alex Tentra      Envoi mini-message

Série : Initiation par la meilleure amie de ma mère

Chapitre 01 / 05
Découverte à trois

Agnès m’avait apporté une expérience nouvelle que je n’oublierai jamais. Les jours et les nuits suivantes, son visage et son sourire n’arrêtèrent pas de me hanter. J’avais baisé avec la meilleure amie de ma mère. J’avais réalisé le fantasme de beaucoup d’ados et du même coup perdu mon pucelage. Elle m’avait proposé de me revoir et de faire mon éducation sexuelle. Cependant, malgré mon désir de la retrouver, le temps ne me permit pas de l’appeler. La fin d’année et le bac ont très rapidement pris le dessus sur mes idées volages. Je passais les quelques moments de détente me restant avec Lydie, une fille de mon âge, avec qui je flirtais à l’époque, mais sans grande conviction. Elle était prude et ne semblait pas prête à s’offrir à moi. Dans l’euphorie des résultats du bac, que nous avions tous les deux obtenu, et après beaucoup d’efforts de ma part, j’arrivais à l’attirer dans ma chambre. Des caresses, plutôt intimes, mais pas de rapport plus poussé. Elle me dit souhaiter prendre le temps. Mais au final, tout cela me sembla très fade et trop éloigné du fruit défendu que m’avait fait goûter Agnès.


L’été et les vacances arrivèrent donc enfin. Lydie venait d’obtenir son BAFA et partait dans une colo à la montagne, pour la première fois. Elle me laissait seul, jurant de nous retrouver avant la rentrée et me disant être impatiente de nous revoir. Pour ma part, le programme de l’été était simplissime. J’avais dégotté un job d’été comme manutentionnaire dans un supermarché du coin. Boulot physique et assez bien payé. J’étais heureux de pouvoir prétendre à ma première paye dans quelques semaines. Heureux également que mes parents me laissent seul à la maison pendant quelques semaines. Ils partaient en vacances au bord de la mer. Je crois qu’eux aussi étaient contents de se retrouver tous les deux, en couple. Je venais d’avoir dix-huit ans, une maison pour moi tout seul et… je commençais clairement à m’ennuyer fermement après quelques jours. Ma copine et la grande majorité de mes amis étaient partis. Chaque soir je rentrais du travail, et ne sachant pas trop à quoi me consacrer, finissais inévitablement devant la télé à regarder les conneries qui y passent à cette époque de l’année.


Bien entendu je repensais à Agnès. J’hésitais à l’appeler car j’avais la hantise de tomber sur son mari. Je ne vois pas quelle histoire j’aurais pu lui balancer pour expliquer pourquoi j’appelais et pourquoi je voulais parler à son épouse. Pourtant, avant la fin de ma première semaine solitaire, je pris mon courage à deux mains. J’appelais chez elle en milieu de journée, me disant que comme son mari travaillait, c’était encore là que je pouvais la toucher directement. Bien vu ! C’est en effet elle qui décrocha.



J’étais très hésitant car je ne m’attendais pas à sa question. Mais il est vrai que nous nous n’étions pas revu et que nous n’avions eu aucun contact depuis plusieurs mois.



Je ne pus savoir de quoi il s’agissait. Elle refusa catégoriquement de me dire quoi que ce soit. Rendez-vous fut pris. Elle me dit qu’elle arriverait à la tombée du jour, vers 11 h. Je devais mettre du champagne au frais et être parfaitement propre. Le mystère dont elle s’entourait me perturba et m’excita tout le reste de la semaine. Je restais pensif et silencieux au travail, au point que mes collègues en furent surpris. Ils mirent cela sur une déception sentimentale ou sur la fatigue accumulée. Certaines essayèrent même de parler avec moi, voire de me consoler. Mais ce n’était pas dans mon esprit de batifoler avec quiconque avant samedi. Le jour arrivant, je regardais avec dépit la pendule égrener lentement les heures, les minutes, les secondes. Lorsque la journée fut finie, je fus le premier à débaucher pour me précipiter chez moi et préparer la soirée que j’espérais mémorable. Rangement des dernières choses qui traînaient, douche (comme lors de notre dernier rencart, je me branlais plusieurs fois afin de calmer l’excitation et ainsi espérais être plus endurant par la suite), préparation du champagne… Il ne me restait plus qu’à attendre. Vers 11 h, comme prévu, une Mini s’arrêta dans la cour de la maison. J’étais étendu sur mon lit mais reconnus parfaitement le bruit de la voiture. Une portière claque. Puis une seconde… Elle n’est pas seule ?


Je descendis rapidement les escaliers et allai ouvrir. Agnès m’apparut dans l’entrebâillement de la porte. Elle était magnifique, encore plus désirable que dans mes souvenirs. Comme la dernière fois elle s’était maquillée, cette fois avec un rouge à lèvres couleur sang, et avait dessiné le contour de ses yeux d’un trait de crayon sombre. Une touche de fond de teint sur les joues à peine perceptible. De grands anneaux aux oreilles et un serre cou en cuir noir sur lequel figurait également un petit anneau. Elle portait une robe légère grise à travers laquelle je distinguais la pointe dressée de ses seins.



Je ne m’attendais pas à ce qu’elle soit accompagnée, encore moins par un homme. Alex paraissait avoir une dizaine d’années de plus que moi. Environ ma taille, châtain, lui semblait parfaitement à l’aise, calme et posé et finalement assez sympathique. Ce n’était certainement pas la première fois qu’il accompagnait Agnès dans une soirée coquine.



Ainsi Agnès voulait faire l’amour avec deux hommes. Mais même si cela lui paraissait assez naturel, j’avoue que la tournure de la situation me faisait un peu peur. De plus, le fait qu’Alex soit son gendre m’abasourdit complètement. Je me rappelais encore sa « proposition » de me marier avec sa fille. Et maintenant elle me présentait à son gendre, qui, si je comprenais bien était également son amant ! J’avais conscience qu’Agnès était une nymphomane et qu’elle aimait les hommes jeunes. Mais je ne l’imaginais pas perverse au point de coucher avec le mari de sa propre fille. Elle m’expliqua plus tard qu’Alex n’était pas le premier et qu’elle était arrivée à séduire plusieurs amants de sa fille.


Malgré mes doutes, je décidai de ne pas me dégonfler et je les fis pénétrer dans la maison, en les accompagnant jusqu’au salon. Alors que je préparais le champagne dans la cuisine, j’entendais vaguement les voix d’Agnès et d’Alex qui semblaient commenter la décoration et le style de la maison. Après quelques instants, je les rejoignis apportant un plateau sur lequel trônait trois coupes et la bouteille plantée dans un sceau rempli de glace. Ce que je vis alors me remit immédiatement en condition.


Agnès avait quitté sa robe et s’était installée dans le canapé en tissu. Elle portait une guêpière seins nus en cuir que des porte-jarretelles reliaient à une magnifique paire de bas qui dessinaient délicatement ses jambes. Ses pieds étaient chaussés de talons aiguilles qu’elle mettait en évidence après avoir posé son genou sur l’accoudoir du canapé. Elle ouvrait ainsi impudiquement ses cuisses. Je pus voir son sexe parfaitement lisse et même deviner l’excitation de sa chatte. Alex, quant à lui, était accroupi devant le magnétoscope et se préparait à mettre une cassette qui m’était inconnue.


Alors que je posai le plateau sur la table basse Agnès s’étira comme une chatte, faisant jaillir un peu plus sa poitrine.



Le film commença et chacun prit une coupe. À l’époque, je n’avais encore jamais vu de film pornographique. J’étais plus habitué aux films érotiques du dimanche soir, que j’enregistrais et regardais en cachette. Il est certain que ce que je vis, eut l’effet de m’exciter encore plus et de supprimer mes dernières hésitations. Il s’agissait d’un classique de l’époque, où une femme découvrait que son mari était un habitué d’une sorte de maison close. La femme décidait de faire partie des pensionnaires et était éduquée pour répondre aux fantasmes des hommes qui s’y présentaient.


Agnès remplissait nos coupes à mesure qu’elles se vidaient et mon esprit se grisait à chaque gorgée un peu plus. Alors que l’héroïne du film se faisait prendre par deux hommes, Agnès posa doucement sa main sur ma cuisse. Elle était assise entre Alex et moi et avait replié une jambe de telle manière que son sexe s’ouvre de manière complètement impudique. De sa main droite, elle caressait la bosse du pantalon d’Alex qui, une cigarette allumée, les yeux mi-clos, semblait parti ailleurs. Il libéra néanmoins son sexe qui se dressa immédiatement hors de son carcan. Agnès le saisit et le branla doucement et délicatement. Après quelques allers et retours, elle plongea sa tête entre les cuisses de son amant pour lui lécher les bourses. Je devinais que sa langue remontait le long de sa hampe tant et si bien qu’elle l’emboucha. Alex soupira d’aise et laissa sa tête basculer en arrière, goûtant la douce caresse. Je voyais la nuque d’Agnès aller et venir de haut en bas. Elle se mit alors à quatre pattes entre nous, me présentant ses fesses qui s’écartèrent naturellement, me laissant espérer recommencer ce qu’elle m’avait accordé dans la forêt.


Mais ce que je vis me parut alors incroyable. Ce cul, que j’avais déjà exploré et investi, que je rêvais de reprendre à nouveau, était occupé par quelque chose, une sorte de pierre précieuse sertie sur une pièce d’argent. Elle portait un rosebud (j’appris plus tard le nom de cet accessoire) depuis son arrivée chez moi. J’étais fasciné par ce que je voyais. Son anneau semblait se contracter puis se détendre autour de cet objet, avant de se contracter à nouveau. Comme si elle souhaitait l’absorber. Il est certain qu’elle y prenait du plaisir, car elle soupirait à chaque contraction. Mes doigts ne purent s’empêcher de toucher le bijou, de le saisir et de le faire aller et venir dans son cul. Chaque fois que la partie protubérante traversait l’étroite entrée, elle gémissait. Elle semblait adorer cette pratique. De mon autre main je me mis à explorer sa chatte baveuse. Elle était trempée et mes doigts se perdaient, se noyaient dans cette mare de nectar. Je ne m’empêchais pas de porter ma bouche pour laper le suc qui s’échappait d’elle. Lorsque ma langue entra en contact avec son bouton, elle s’exclama :



Elle se mit à genoux sur le tapis, Alex toujours dans sa bouche. Et c’est là que je me positionnai derrière elle et la pris d’un seul coup. J’étais tellement excité que je n’arrivais pas à me retenir. Je la bourrais à fond, comme un possédé. Elle répondait à chacun de mes coups pas un « han ». Alex saisit sa nuque et lui fourra à nouveau sa queue au fond de la gorge, jusqu’à presque l’étouffer.



Alex explosa dans la bouche, Agnès stoppa ses mouvements pour mieux l’accueillir. Elle le laissa se déverser, sembla avaler le foutre bien que de grosses gouttes coulèrent à la commissure de ses lèvres. Après quelques secondes d’immobilité, elle se redressa, se détacha de moi et me fit face. Elle prit mon visage entre ses mains et me fit un baiser inoubliable, partageant avec moi la semence d’Alex.


Nos mains se mirent à caresser nos corps respectifs. Elle collait son ventre à moi et compressait mon sexe entre nous comme pour le dompter. Ma bouche descendit sur sa poitrine nue et ma langue trouva ses pointes dressées. Elle me laissa faire et je la vis se mordre les lèvres lorsqu’Alex, à qui elle tournait le dos, entreprit de passer son doigt entre ses lèvres intimes. À tâtons, elle glissa sa main pour vérifier que son gendre avait repris sa vigueur. Puis elle glissa à mon oreille :



Je restai interdit, n’étant pas certain de comprendre. Elle me dit alors, ses yeux au fond des miens :



Sa voix était pleine de gravité et d’autorité en même temps. Les rôles avaient changé. De nympho dépravée, elle était devenue professeur dominante. Elle se dégagea de notre étreinte et me laissa face à Alex qui semblait attendre. Ne voulant pas les décevoir, je me penchai sur lui, tout d’abord le saisissant d’une main, puis approchant ma bouche de son mandrin qui avait repris fière allure.



Je suivais avec attention ses conseils. Jamais je n’aurais imaginé faire une chose pareille. Sucer un homme moi ? Et en plus chez moi, dans le salon de mes parents. Et pourtant je faisais la chose consciencieusement, avec application. Agnès me guidait et parfois même prenait le relais. Nous sucions alors Alex alternativement et il ne semblait pas s’en plaindre. Très vite, je ne le lâchais plus, car pris dans le rôle qu’Agnès m’avait assigné. Je l’avalais et le faisais coulisser dans ma bouche, entre me lèvres, jouant avec ma langue un véritable balais endiablé.


Agnès ne me laissait pas en reste. Elle avait glissé sa main sous mon ventre et s’appliquait à me redonner de la vigueur. Je sentais monter le long de mes reins un vrai plaisir qui me cambrait. Voyant ma réaction, Agnès me délaissa quelques instants allant chercher quelque chose dans son sac à main. Je sentis alors quelque chose entre mes fesses. Elle les écartait et commença à me toucher l’anus. Elle déposa quelque chose de gras et froid sur mon intimité et commença à me pénétrer avec ses doigts. J’étais complètement abandonné et me laissais faire. Je cambrais un peu plus mes fesses, me disant que j’étais une salope en train de se faire prendre.



À ces mots, elle me lâcha et vint se placer derrière moi. Je ne compris pas tout de suite ce qui se passait. Elle me saisit par les hanches et appuya quelque chose en matière plastique qui prit progressivement possession de moi. J’ignorais de quoi il s’agissait, mais il était certain qu’elle me sodomisait.


Je soufflais fortement. Je sentais la chose progresser millimètres par millimètres. J’avais arrêté de sucer Alex, étant incapable de faire deux choses en même temps et préférant me concentrer sur ce qu’elle me faisait.



Quand elle fut au fond de moi, elle ne bougea plus, afin de me laisser m’habituer. Puis elle commença à bouger. À chaque aller et retour elle ressortait presque en entier. Je me laissais aller et goûtais à ce plaisir nouveau pour moi… Me sentant prêt, elle invita Alex à prendre sa place, pendant qu’elle s’accroupit à côté de nous. Je découvris alors le gode ceinture qu’elle avait revêtu et avec lequel elle m’avait mis en condition.


Quand Alex me saisit les hanches à son tour, c’est moi qui m’empalai sur son membre de mon propre chef. J’allais et je venais comme un fou. Le plaisir montait et lui aussi semblait apprécier. Tant et si bien qu’il se mit à râler de plus en plus fort, au même rythme que moi, jusqu’à se déverser au fond de mes entrailles dans un cri de jouissance. Agnès saisit alors mon sexe flasque et se mit à le branler frénétiquement jusqu’à ce que je répande mon sperme sur le parquet du salon.

Je m’écroulai, épuisé et repu du plaisir qu’ils m’avaient donné.



Je suivais son regard en direction de la télé. Le film était terminé et une vidéo amateur avait fait place. Le cameraman filmait discrètement un couple faisant l’amour dans une maison à travers une fenêtre. Je reconnus tout de suite Alex qui besognait une jeune femme blonde, étendue sur le dos sur la table de ce qui semblait être une salle à manger. Elle écartait largement les jambes et semblait abandonnée à son plaisir.