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n° 16159Fiche technique46524 caractères46524
Temps de lecture estimé : 27 mn
29/04/14
Résumé:  Philippe qui bricole dans sa nouvelle maison, va être appelé pour venir en aide à des voisins. Patricia, sa femme le rejoint quelques jours plus tard. Le chantier a bien avancé.
Critères:  ff hh fhh 2couples couplus voisins vacances hdomine fellation anulingus préservati sandwich hsodo échange attache yeuxbandés
Auteur : Viona      
Un mari bricoleur

Que les journées sont courtes ! Que les nuits sont longues ! C’est ce que pense Philippe alors qu’il pose ses outils et, qu’encore une fois, il n’a pas terminé le programme qu’il avait prévu. Si cela continue les travaux ne seront pas terminés lorsque sa femme va arriver.


Pourtant il pensait avoir prévu assez de temps. C’était le deal avec Patricia.

En retraite depuis quelques mois, à l’âge de cinquante-cinq ans – merci le statut de l’entreprise publique où il travaillait – Philippe avait proposé à Patricia de partir avant elle dans leur nouvelle maison au bord de la mer, pour y réaliser les travaux de rajeunissement indispensables.

Il est vrai que sa femme, même si elle a le même âge, ne pourra pas prendre sa retraite avant de nombreuses années. Elle ne viendra le rejoindre qu’en juillet, pour trois semaines de congé.

Voilà pourquoi les journées de Philippe lui paraissent trop courtes.


Pour les nuits trop longues, il n’aurait jamais pensé, qu’à son âge, la branlette, redevienne d’actualité. Pourtant il se branle régulièrement, sous la douche en particulier, alors qu’il lui suffit de penser aux nombreuses fois où il a possédé Patricia dans cette position.

La sexualité est une chose importante dans leur couple. Ils n’ont pas d’enfant et, naturellement, le sexe s’est imposé pour conserver cette étincelle de leur première rencontre.


À bien y réfléchir, c’est un couple de son temps. Leurs pratiques ont évolué avec la mode et la libération des mœurs. Depuis de nombreuses années, ils s’accordent le droit de relations extra-conjugales, à la condition expresse de se tenir informé. Ils ne comptent plus les moments de baise intense alors que l’un ou l’autre raconte son aventure avec un autre partenaire.


Plus récemment, guidés par des amis, ils ont essayé l’échangisme. Voir sa femme se faire prendre par un autre a été littéralement une révélation et la partenaire de Philippe a pu profiter du meilleur de ce que ce grand gaillard est capable de fournir. Manifestement le plaisir a été partagé par Patricia et c’est seulement faute d’occasions qu’ils n’ont pas recommencé.


Il vient juste de ranger son matériel que la sonnerie de la porte retentit. C’est une femme.



Et, comme Philippe revient avec l’outil.



Non, il n’a pas, et elle repart dépitée.


Cette visiteuse n’est pas tout à fait une inconnue. Elle habite une maison un peu plus loin et, pour aller à la plage, il passe devant. Ils se sont déjà salués, lui et l’homme qui vit avec elle. C’est un couple surprenant. Philippe croyait que c’était le père et la fille, mais lorsqu’il les a vus à la plage, il a compris que c’était un couple.


Philippe avait décidé de faire la surprise à sa femme en allant sur la plage nudiste, pour lui offrir un corps uniformément hâlé. C’est là qu’il les a vus alors qu’ils venaient s’installer pas très loin de lui. Mais c’est en revenant de sa baignade qu’il les a trouvés dans une position sans équivoque. La femme couchée sur le côté avec son partenaire dont le visage disparaissait entre ses cuisses.

Le plus gêné était Philippe qui, tout le temps qu’il marchait pour rejoindre sa serviette, sentait sa verge se dresser de ce spectacle, avec en plus le regard de cette femme qui le suivait en souriant.

Pourtant il n’a pas à rougir de sa verge en érection. Elle est à son image, virile et forte.


Seulement quelques minutes sont passées que la sonnerie retentit à nouveau. C’est elle.



En lui montrant sa tenue, il est en short et maillot de bricolage, il demande :



Il accepte. À peine cent mètres et ils sont à la porte de la maison. Mais la femme s’arrête pour lui dire :



Et elle pousse la porte. Quelques pas et ils entrent dans le salon. Les rideaux sont tirés mais il fait encore bien assez clair pour que la scène lui saute aux yeux.

Et quelle scène !

L’homme est attaché. Les bras par des menottes qui pendent de la balustrade de la mezzanine. Les chevilles par une barre qui le maintient jambes écartées.



Philippe se retient de rire. L’homme ne dit rien, et pourtant il est dans une position qui pourrait paraître ridicule. Nu comme un ver, enchaîné par son amie, à sa merci. En s’approchant un peu, Philippe remarque que non seulement l’homme est attaché, mais qu’en plus il a les yeux bandés et la bouche bâillonnée.

Quel couple étrange. La différence d’âge et ce jeu de domination les rendent vraiment surprenants. Avec Patricia, ils ont déjà joués à des scénarios avec liens, mais jamais en allant si loin.


Pendant qu’il regarde, il sent que la femme s’est approchée de lui. Elle est juste derrière. Il peut entendre sa respiration.



Il n’hésite pas pour répondre.



Mais il ne peut s’empêcher de préciser.



Trop de questions. Une réponse suffit.



Philippe essaye de revenir à l’objet de sa présence.



Philippe entend un bruit étouffé sur sa droite et d’un regard il voit qu’un peignoir est à terre. Aussitôt son dos reçoit le contact d’un corps qui se presse.



L’obscurité. Cet homme devant lui, cette femme qui se frotte contre lui. Tout est nouveau. Étonnant. Excitant. Bientôt des mains se glissent entre maillot et peau. Le tissu passe au-dessus de sa tête. Maintenant il sent parfaitement les seins qui s’écrasent contre son dos. Sa verge réagit, vibre, s’ébroue. La femme n’a qu’à faire glisser le short pour qu’il se retrouve nu.


Il est à l’unisson. Elle se presse si fort contre lui qu’il ressent chaque aspérité ! La pointe des seins, son ventre, son pubis même, semblent se révéler à son contact. Ils ne font plus qu’un. Son sexe est maintenant tendu, gonflé et fier, dressé contre son ventre. Des mains s’en emparent, le caressent, le flattent, le branlent.



Il ne répond pas car il ne sait quoi répondre. A-t-il déjà enculé un homme ? Non, jamais. A-t-il déjà rêvé enculer un homme ? Non jamais. Peut-il le faire ? Tout est là.


Les mains s’activent. Le corps qui se presse contre le sien le pousse en avant. Bientôt il est si près qu’il pourrait toucher, le toucher, toucher l’homme.



Il obéit. C’est vrai que le grain de peau est délicat, que la peau des hanches et des fesses est douce, voluptueuse, sensuelle.


Pendant ce temps il sent que les mains qui jouent avec sa queue la recouvrent d’une capote. La pression se fait plus forte. C’est tout un corps qui le pousse. Ce sont deux mains qui le guident et, à travers le latex, il sent son gland turgescent guidé dans le sillon.

Il est surpris lorsque, d’une poussée continue, sa queue perfore l’anus et glisse dans le cul de l’homme. Un grognement étouffé par le bâillon accompagne la lente progression de son bâton rigide. Pourtant il sait, par expérience, que sa verge gonflée a besoin de beaucoup d’espace pour évoluer.


Très vite il est coincé entre la femme et l’homme. Quelle sensation étrange d’enculer un homme. Pourtant ce n’est pas si différent lorsqu’il encule Patricia. La même impression d’étroitesse et de conquête. Mais il sait que son vit n’est pas dans une chatte ou dans le cul d’une femme. C’est un homme qui l’accueille et d’une certaine façon c’est particulier.


La femme l’abandonne pour faire le tour. Il la voit disparaître entre les cuisses de son compagnon. Nul doute qu’elle le suce. Sans réfléchir, il vérifie que l’homme bande. Sa main trouve une tige bien raide et des lèvres qui s’en emparent. Alors, spontanément, il fait ce que tout homme se doit de faire. Il s’active. Il baise. Il encule. Il bourre. Sa queue glisse facilement dans le conduit que manifestement la femme avait préparé et lubrifié avant sa venue.


L’homme bouge sous ses coups et nul ne doute que son amie qui le pompe ressente dans sa bouche le mouvement saccadé que Philippe imprime. Il s’étonne de ce sentiment de puissance. Chaque poussée le comble. Pourquoi ? Parce qu’il possède un homme ? Parce que cet homme est attaché ?

Lentement, il sent la montée de la jouissance. Dans un dernier geste il se retire, arrache la capote et laisse jaillir sa semence sur les reins, en larges coulures qui glissent sur les fesses et retombent sur le sol.

De l’autre côté, manifestement la femme a fait jouir l’homme. Elle se relève et alors que Philippe la regarde, elle détache le bâillon pour embrasser son ami. C’est un baiser humide et impudique car il voit bien que la femme restitue à l’homme sa propre semence.


Quelques minutes plus tard, tous trois sont autour d’un verre. La femme, Lucie, explique le stratagème pour attirer Philippe, ne sachant pas quelle serait sa réaction. De son côté Philippe se dévoile un peu devant ce couple en expliquant que sa femme et lui sont à la fois mariés et amants, progressant au fil des années sur une route de plus en plus libre.


Philippe rentre chez lui. Sa femme l’appelle et il lui conte sa rencontre. Elle sent que son mari est troublé par ce qu’il a fait. Sodomiser un homme ne faisait pas partie de ses fantasmes avoués. Mais Patricia, si elle se réfère à ses propres envies, sait que chacun a des zones d’ombre que l’on n’ose jamais avouer de peur de se sentir rejeté. Elle-même…


La sodomie n’est pas taboue dans leur couple. Il y a longtemps que Patricia accorde à son mari ce chemin plus étroit et presqu’aussi sensible que sa chatte. De son côté, elle aussi, joue avec le petit cul de Philippe. Très souvent elle y glisse un doigt, ou deux, alors qu’elle le suce et chaque fois cette caresse le fait bander encore plus fort.



Trois jours plus tard, Patricia est en vacances et rejoint son mari. Le train est en retard. Pendant tout le trajet elle a imaginé ce qu’elle allait faire après cette longue séparation. Sa culotte doit ruisseler, mais en arrivant, Philippe lui annonce qu’ils sont invités chez les fameux voisins. Elle hésite entre envie et questionnement, mais Philippe ne lui laisse que le temps de passer des vêtements propres.


La femme qui les accueille est vraiment jeune. On dirait une gamine. L’homme fait nettement plus vieux et Patricia comprend la surprise de son mari. Tous deux sont des hôtes accueillants. La bise sur les joues peut faire croire à une certaine complicité. C’est vrai pour Philippe, mais pour elle ?

Elle est presque déçue. Elle a beau regarder autour d’elle, en particulier vers la balustrade de la mezzanine, elle ne voit rien. Certainement que la couverture, qui en recouvre une partie cache les liens.


Tout se passe comme une réception classique, alors que sa chatte coule, que son ventre est en feu, elle imagine l’homme qui lui sert les amuse-gueule, avec la queue de son mari dans le cul. Elle ne peut s’empêcher de parler :



Aussitôt, Lucie rétorque :



Patricia se sent presque défiée, agressée, comme si cette femme se permettait de la juger incapable de comprendre. Elle décide de réagir.



Lucie réplique aussitôt.



Patricia se sent diminuée par cette gamine qui met en doute sa volonté.



Chacun croque doucement dans la pâte sucrée de ce petit gâteau qui peut contenir le sésame de ses fantasmes.



Lucie confirme et ajoute à nouveau que maintenant, Philippe est le maître de leur destin pendant deux heures.


A-t-il pensé à cet instant ? En tout cas il suffit de quelques secondes pour qu’il réagisse. Quelques mots à l’oreille de Lucie, puis il fait de même à Gabriel. Patricia attend, mais son mari ne vient pas vers elle. Au contraire, il s’installe dans un fauteuil avec un petit sourire aux lèvres.

On dirait que le monde s’est arrêté de tourner, pourtant la radio continue de nous abreuver de ses musiques plus lénifiantes les unes que les autres. Tous les regards sont tournés vers elle. Patricia se doute maintenant que c’est elle que Philippe a fixé comme cible.


Lentement, la démarche marquée par les hauts talons, Lucie s’avance. Un instant elle s’arrête, juste en face, et lui tend la main. Patricia comprend que la femme l’invite. Elle se lève, bien décidée à suivre la règle établie.

Lucie saisit son visage, la regarde longuement dans les yeux et lentement se penche vers elle, ses lèvres venant au contact des siennes.

Ainsi c’est cela le fantasme de Philippe ? La voir avec une autre femme ?

Le baiser devient plus langoureux et elle découvre la douceur des lèvres féminines, elle qui n’a toujours connu que la rudesse, mais aussi la fougue des hommes.


Comme s’ils s’étaient donné le mot, les hommes se sont placés derrière elles. C’est Gabriel qui s’occupe de sa robe et de tout ce qu’il découvre. Philippe, lui, s’occupe de Lucie et cela ne doit pas lui déplaire. Bientôt elles ne sont que deux corps nus, uniquement unis par ce baiser qui n’en finit pas.

Maintenant les peaux se touchent. Patricia est surprise de l’émoi que ce simple contact provoque. Elle a la chair de poule. Souvent, elle s’est demandé comment elle régirait si une femme la draguait, mais cela ne s’était jamais produit.


Lucie s’écarte. Elle va protester, combien ce contact lui manque déjà. Elle en profite pour détailler ce corps d’adolescente qui lui fait face. Petits seins, ventre plat, fesses de garçons, pubis glabre avec une fente discrète.


Elle, ne craint pas la concurrence même si l’âge a laissé quelques traces. Ses seins sont lourds mais fermes. Ses fesses aiment être prises à pleines mains avec cette cambrure de reins que Philippe et ses amants apprécient. Son ventre, oui, n’est pas aussi plat qu’avant, mais elle n’en a pas honte.


Patricia est dans ces réflexions quand Lucie la prend par la main pour la guider vers le canapé où elle la pousse. Enfin, les lèvres reviennent sur les siennes mais ne s’attardent pas. Commence alors un jeu subtil fait d’effleurements et de glissades. Les lèvres et les mains de Lucie ne font qu’exacerber sa maîtresse alors qu’elle en voudrait plus. Mais la fille joue avec son corps et lorsqu’un doigt vient se glisser dans sa fente, elle ne peut retenir un sursaut. Enfin Lucie la branle. Un doigt, deux, trois. Oh oui, elle est ouverte, chaude, humide. Cette humidité, Lucie lui propose d’y goûter en lui donnant à lécher les doigts imprégnés de ses secrétions.


Femme, elle sait combien la chatte est chaude et excitée. Quelle maîtresse ne saurait pas sentir ce qu’elle a sous les yeux ? Lucie descend, abandonnant les seins aux caresses de doigts agiles qui massent, malaxent et tirent sur les tétons tendus, pour amener sa bouche vers le minou en chaleur. Patricia n’a envie que d’une chose, que l’on s’occupe enfin de son petit bouton qu’elle sent gonflé et si sensible, que le souffle d’une respiration suffirait à exciter.

Patricia écarte ses cuisses, oubliant toute pudeur, exposant aux yeux de tous, sa chatte ouverte qui doit briller de sa mouille répandue sur les chairs roses.



La langue qui enveloppe le clito lui arrache un cri de plaisir. Les lèvres extirpent le petit bouton de chair de ce qui lui reste de capuchon. La bouche le pompe, l’aspire, elle va jouir.

Non, la coquine, la garce, la salope s’arrête. Elle ne va pas la laisser comme cela, ce serait inhumain !

Patricia regarde et suit le regard de Lucie. Plongée dans son plaisir elle n’avait même pas remarqué que les hommes se sont joints à elles. Nus, le sexe déjà bien en forme, ils sont assis de chaque côté d’elle. La main de Philippe saisit la sienne et la guide sur le sexe de Gabriel. Elle le prend, bien sûr, mais fait de même avec celui de son mari. La voilà une queue dans chaque main, comparant les objets, la forme, la texture.


Ce spectacle semble réveiller sa maîtresse. La bouche revient. Les lèvres reprennent le clito, des doigts glissent dans la fente, un autre pousse contre son anus. Ils sont en elle. Ils bougent, petits bites agiles.



Enfin le plaisir éclate. Son orgasme est énorme, digne de tous ces jours d’abstinence et de rêves refoulés. Un torrent de jouissance vient de se libérer. Son jus coule, recueilli par la bouche avide qui reste collée à la source.


Lorsque Patricia reprend ses esprits, elle tient toujours les deux bites dans ses mains. Confuse, elle s’inquiète de savoir si elle ne les a pas fait souffrir par un excès de pression. Mais non, ses mains se sont chargées de branler les deux merveilles pendant que le plaisir la submergeait. Philippe lui sourit. Elle voit bien que sa queue est gonflée et dure, signe de son excitation. Il a aimé le spectacle de sa femme gouinée par Lucie. Il faut dire que tout est nouveau pour eux. C’est vrai qu’ils ont eu une relation échangiste avec des amis, mais, ils étaient trop éloignés pour vraiment voir les détails. Rien à voir avec ce soir.


Patricia se sent bien. Sa jouissance l’a libérée de la tension accumulée. Son mari ne pouvait pas ne pas l’avoir remarqué et elle le remercie par la pensée de lui avoir fait ce cadeau. Maintenant elle peut penser aux autres. Justement Philippe lui demande de se lever pour s’occuper de Gabriel, alors que lui s’installe juste à côté. Elle comprend ce qu’il veut voir. L’invitation est évidente. La fellation, ça la connaît. Tous ses amants, Philippe en premier, en redemandent. Elle aime cela.


Les hommes, une femme à leurs pieds, se croient les maîtres du monde alors qu’en réalité c’est elle qui, avec ses lèvres, sa bouche et sa langue, est la véritable meneuse. Mais aussi elle adore sentir dans sa gorge le mandrin viril qui est si sensible et si fragile malgré sa dureté.


D’abord elle commence doucement par bien humidifier les mains pour qu’elles s’emparent de la verge et en prennent la mesure. Elle la flatte sans la branler, juste pour la faire languir, soupèse les bourses comme pour vérifier que les couilles s’activent déjà. Premier baiser sur le gland, y abandonnant une perle de salive, puis elle descend vers les bourses dont sa main à encerclé la base tout en tirant vers le bas et n’en former qu’un seul paquet qu’elle gobe entièrement.


Le regard ! Tout est dans le regard échangé entre lui et elle. Ses yeux se dirigent vers Gabriel. Elle y trouve déjà le début du plaisir. Mais ce sont les yeux de Philippe qui la ravissent. Attentif, il semble découvrir ce qu’elle lui fait pourtant souvent. Mais la vision est différente, l’angle permet de profiter de tous les détails et si ce ne sont pas ses couilles que Patricia gobe, il comprend toute la délicieuse perversité de cette vision.

D’ailleurs Lucie vient les rejoindre et c’est sa bouche qu’il sent venir prendre possession de son gland. Patricia remarque aussi la présence de la femme à côté d’elle. Elle se sent défiée. Elle va montrer à cette gamine ce qu’une femme mûre est capable de faire.


De la salive, beaucoup de salive. Baiser humide des fruits que le jus emplit lentement et que sa bouche masse tendrement, avec volupté, puis les séparer et les reprendre l’un après l’autre, léchant longuement la peau frissonnante.

Elle remonte alors dans une caresse visqueuse jusqu’au col, le franchit en entraînant la peau que la queue, tendue à l’extrême, a rejetée vers le bas, pour en recouvrir le gland et la sentir repartir dès que la bouche la libère. Elle répète ce mouvement dans une masturbation grasse, humide et s’attarde sur le gland à la peau si fine et délicate.

Elle redescend, toujours en léchant, succion revenant vers les couilles qui frémissent avant même d’être atteintes.



Il n’est pas nécessaire de vérifier mais elle sait que tous les regards, ceux des hommes, sont sur elle. Et c’est maintenant que ses lèvres avancent sur le gland, passent le sillon et progressent sur la hampe. Bâton noueux qui ne demande qu’à être englouti. Doucement, elle descend. Doucement, ses lèvres rampent sur la tige avec cérémonie et mise en scène.


Un regard en coin et elle voit que sa voisine est bien loin de l’égaler. C’est vrai que le mandrin de Philippe est bien plus long que celui de Gabriel. Gabriel qui pousse sa bite en avançant le ventre, pressé de se sentir disparaître totalement. Mais elle le retient par les mains.


Maintenant elle parle la bouche déjà bien pleine. Bien sûr, elle sait qu’ils n’entendent qu’un gargouillis d’un érotisme torride. Sa respiration souffle de l’air chaud sur les couilles que maintenant elle atteint et touche des lèvres. Suprême caresse, terriblement appréciée par les hommes, elle peut encore tirer sa langue pour lécher le haut des bourses, alors que le gland joue avec sa luette.


Elle reste un instant sans bouger, certaine de son succès. Elle ne doute pas que Gabriel apprécie, mais elle sait que son mari en a une vision sublime. Elle sait combien, la lente disparition de la queue dans les profondeurs de sa gorge semble impossible et qu’il se demande comment elle peut accueillir ce bâton sans s’étrangler. Elle espère qu’un instant il regrette que ce ne soit pas sa propre queue qu’elle suce. Il a d’autres compensations. Lucie s’active aussi et doit lui faire du bien.


Maintenant il suffit de remonter, lécher, tirer des fils de salive, en enduire à nouveau la queue avant de replonger. Elle sait que le bruit humide de clapotis est un parfait aphrodisiaque. Elle aussi y trouve son plaisir. Une gorge profonde ne peut se pratiquer qu’avec envie. La queue vibre maintenant, il n’est pas loin de jouir.



Bien sûr, elle connaît la réponse. Quel homme n’a pas envie de juter entre les lèvres de sa suceuse ? Mais avec l’expérience, Patricia sait combien la parole et les bruits associés au sexe, sont des amplificateurs de plaisir.


C’est tout au fond de sa gorge que Gabriel l’abreuve de son lait épais, impétueux et généreux. Tout le temps qu’elle garde son sexe dans la bouche, le laissant doucement se relâcher, elle fait tourner son nectar autour, dans un bain bouillonnant qui s’échappe de ses lèvres. Les bulles qui éclatent alors, libèrent du sperme coulant sur son menton.


Patricia garde le plus pervers pour la fin. Sous les regards, elle présente le liquide gras et épais, mélangé de salive, comme une offrande que la langue pousse et recueille dans son creux. Elle sait combien ce geste peut paraître obscène mais cela contribue tellement au plaisir des hommes de la voir ainsi.


La déglutition est évidente et bien marquée. Le sourire de Patricia n’est pas feint. Elle aime le faire et il faut aimer pour le pratiquer comme un art. Elle ne doute pas que ce spectacle a contribué au plaisir de son mari car lui aussi jouit. Lucie l’a aussi gardé en bouche. Elle aussi montre la crème onctueuse aux autres.

Si jeune et déjà si experte, pense Patricia. Mais au lieu d’avaler, la perverse vient l’embrasser et sous les yeux de leurs amants les femmes se partagent sans réticence la sève masculine. Si jeune et déjà « salope », pense avec tendresse, Patricia.


Il n’y a que dans les rêves que les hommes retrouvent leur ardeur aussitôt. Dans la vraie vie, il faut attendre. D’ailleurs ils ont tout leur temps. Le repas est accueilli avec plaisir. Les deux couples bavardent.



Cette fois-ci, c’est elle que le sort a désigné. Patricia est déçue, elle avait plein d’idées.

Pour l’instant, on lui demande de s’installer dans un fauteuil. Elle comprend qu’elle ne va être que spectatrice lorsque Lucie vient placer un bandeau devant les yeux de Philippe. Son imagination lui procure aussitôt divers scénarios.


Gabriel s’avance et pendant que sa main flatte le sexe au repos du mari, il le pousse à s’agenouiller devant lui. Philippe ne semble pas vraiment étonné de sentir que c’est une verge qu’on lui propose. Comme si c’était naturel ou qu’il avait mainte fois imaginé cette situation, ses mains s’en emparent. Ce n’est pour l’instant qu’une chose flasque mais dès ce contact, elle prend de l’ampleur.


Patricia est totalement hypnotisée par ce qu’elle voit. En quelques secondes son mari se retrouve avec une bite d’homme entre les mains. Bien sûr, il sait ce qu’il faut faire pour la branler doucement et la faire grandir un peu plus, mais Gabriel en demande plus. Il appuie sur la tête pour l’inviter à se rapprocher. Philippe hésite un instant mais la main de Gabriel est plus forte que lui. Les lèvres touchent la pointe, cette pyramide de chair maintenant entièrement dégagée de la peau qui est restée bloquée sur la hampe à mesure que la queue grandit.


Patricia imagine la première impression de son mari. Cette odeur encore forte de sperme séché, il la connaît. Elle aussi lui a fait partager sa liqueur comme Lucie vient de le faire. Au début, il tournait la tête pour refuser ce partage, mais elle a insisté. Comment comprendre qu’il jute dans la gorge de sa femme si lui n’est pas capable de goûter sa propre crème ?


Elle voit parfaitement la langue qui sort de son fourreau et qui explore le monstre. Ce spectacle déclenche chez elle une excitation coupable. Elle coule uniquement de voir son mari prendre goût à sucer un mandrin d’homme. Elle l’a déjà vu sucer rapidement un sex-toy pour le rendre plus glissant et le faire pénétrer soit dans la chatte, soit dans le cul de sa femme. Mais ici c’est une queue bien raide qu’il découvre.


Elle regarde. Elle admire sa façon de lécher et de sucer pendant qu’une de ses mains enveloppe les bourses. À quoi pense-t-il en cet instant. Est-il effrayé de sa propre audace ? Comment cela va-t-il se terminer ? Mais Patricia remarque que son mari bande. Il est excité de ce qu’il fait. Gabriel le remarque aussi. C’est sûrement la réponse muette à la question qu’il se posait.


Maintenant, il relève Philippe, le guide par la main pour l’amener à l’aplomb de la mezzanine. Pendant que son mari attend, statue avec un sexe en érection, Gabriel dévoile les liens derrière la couverture. Philippe ne proteste pas lorsque ses poignets sont attachés, les bras levés. Les jambes subissent le même sort et se retrouvent emprisonnées sur la barre. Philippe n’a pas besoin de beaucoup d’imagination pour se voir en situation. C’est celle de Gabriel, quelques jours plus tôt. Gabriel que lui-même à sod…

Il ne peut pas, il ne veut pas, il n’ose pas imaginer ce qui l’attend.


Patricia ne peut qu’admirer son mari maintenant attaché dans cette position qui accentue encore sa force et sa musculature. Même ainsi, à la merci, il respire la puissance et la virilité. Sa cambrure n’est que plus marquée et ses fesses qu’elle adore, sont des lobes qu’elle voudrait pouvoir caresser.


Mais c’est un autre qui s’en occupe. Gabriel les enveloppe de ses mains, glissant sur les hanches et poussant jusqu’à la verge qui, un instant affaiblie, reprend de la vigueur. Philippe aveuglé, immobilisé, sait-il qui joue de son corps ? Peut-être pense-t-il que c’est sa femme ou Lucie qui est derrière lui, qui le caresse, palpe ses couilles gonflées et qui l’embrasse dans le cou, juste derrière l’oreille ?


On pourrait le penser mais alors quel est ce bâton qu’il sent contre ses fesses ? C’est un sexe d’homme, bien sûr. Mais d’où viennent ces caresses si douces, si sensuelles et ses baisers sur sa nuque ? Il lui faut se résoudre, mais après tout quelle importance ? D’une certaine façon, il est heureux d’être aveuglé. Il ne supporterait peut être pas la vision d’un homme qui le caresse, alors que maintenant ce sont ses sens qui réagissent et pas sa raison et cette foutue éducation.


Patricia regarde. Sans vraiment s’en rendre compte sa main s’est plaquée sur sa chatte. Elle aimerait qu’une queue d’homme vienne la prendre. C’est Lucie qui attire son attention. Lui intimant de la main, l’ordre de se taire, elle l’entraîne au fond du salon, longe un couloir et pousse une porte.


La surprise est totale. Trois hommes sont assis devant une télé, une télé qui montre la pièce où elle était, où son mari se fait lutiner par Gabriel. À leur arrivée, ils se lèvent montrant leur nudité et leur sexe en rut. Elle comprend. Depuis le début ces trois hommes les regardaient, les espionnaient par cette télévision transmettant les images qu’une caméra captait.

Elle va protester, crier au scandale, au guet-apens, mais Lucie la calme d’un baiser. Les trois hommes les entourent et guidées par Lucie, les mains de Patricia trouvent les queues tendues.



Elle va dire non. Elle n’est pas une salope qui se donne comme cela, à n’importe quel mâle qu’on lui propose. Mais son regard croise l’écran. Elle y voit Gabriel agenouillé derrière son mari et qui manifestement lui fait une feuille de rose, alors que ses mains écartent les fesses musclées. Et Philippe qui ne se débat pas, semblant accepter cet hommage avec tout ce qu’il implique. Au diable la retenue. Elle aussi a des envies cachées.



Tout naturellement les trois hommes s’installent sur le canapé. Très simplement elle se charge de vérifier la vigueur de leur érection. Tous trois sont bien montés. Décidemment Lucie sait choisir ses partenaires. Elle en suce un pendant qu’elle branle les autres. Mais toujours, elle garde un œil sur son mari.

Lucie les a quittés, estimant sûrement qu’elle aussi a droit au plaisir. Patricia la voit se diriger vers son mari avec une chaise. Elle se charge de revêtir la queue avec une capote, placer la chaise pour pouvoir s’y appuyer et doucement pousser ses reins à la rencontre du sexe que Gabriel guide.


Philippe a dépassé le stade du questionnement. Depuis qu’il est attaché, il sait ce qui l’attend. Il suffirait d’un mot pour que tout s’arrête, Lucie n’ayant pas entravé sa bouche. Il s’est souvent demandé quel plaisir un homme pouvait ressentir avec un partenaire. Il a déjà eu une partie de sa réponse lorsque Gabriel gémissait sous ses coups. L’autre est plus récente. Il y a seulement quelques minutes, l’appréhension passée, il a apprécié sentir la queue entre ses mains et dans sa bouche. De la fierté, oui de la fierté de pouvoir, par de simples caresses sentir la verge gonfler, se dresser et durcir pour devenir une queue d’homme que ses lèvres ont apprécié de sucer.


Sa propre queue est maintenant enveloppée par une capote. Qui de Lucie ou de Patricia se charge de cette besogne ? Il sent toujours les mains de Gabriel sur ses fesses. Oh, ce n’est plus vrai, les mains les abandonnent et au même instant, il sent que quelque chose vient se frotter à son gland. Une chatte ? Un cul ? C’est fou comme le fait d’être aveuglé change les choses.

Oui ! Une chatte ! Une chatte qui avance sur lui. Une chatte étroite mais humide qui vient sans à-coup se prendre sur lui. Lucie sûrement, Patricia n’est pas si étroite et serrée.


Il est trop immobilisé par ses liens pour pouvoir donner le grand coup de reins qu’il aimerait pour se rendre propriétaire des lieux. C’est Lucie qui décide et qui prend son temps, faisant durer le plaisir. Enfin les fesses viennent au contact de son ventre. Elles vivent leur vie, ondulent et bougent tout en gardant bien à fond le mandrin que Philippe sent durcir encore.

Le temps semble s’arrêter. Personne ne bouge.


Si, c’est Gabriel qui abandonne le petit trou du cul luisant de salive et que la langue a assoupli. Cinq, six secondes plus tard, la musique a changé. Gabriel s’est saisi des hanches de Philippe alors que son gland se dirige seul vers le petit trou si convoité.


Philippe sait. Il essaye de se décontracter. Il se souvient de la première fois qu’il a sodomisé une partenaire pour qui s’était aussi la première fois. Il se souvient lui avoir conseillé de se laisser aller, surtout ne pas se contracter. C’est l’ironie de la vie que maintenant il soit dans la même situation, mais pas du même côté du manche, si on peut dire.


Il sent que la queue avance, dilate son anus et entreprend le voyage de ses reins. La douleur n’est qu’une gêne, bien vite oubliée devant la surprise de la découverte. Il est étonné de sentir déjà le ventre de son enculeur contre lui, alors qu’il pensait n’en être qu’au début du chemin.

Il se sent coupable. Est-il si pervers pour que son cul s’ouvre à la première queue d’homme ? Personne, si ce n’est le doigt de Patricia, n’a jamais emprunté ce chemin. Pourtant, il doit bien reconnaître que le bâton est entré sans grande difficulté. Un homme peut-il mouiller du cul pour se faire enculer plus facilement ?



Philippe ne peut retenir ce cri alors que Gabriel donne un coup de rein après s’être légèrement retiré. Le coup le propulse dans Lucie qu’il envahit un peu plus. Il n’est que le maillon de la chaîne. C’est la queue de Gabriel qui possède Lucie. Chacun de ses mouvements, retrait, avancée, est parfaitement transmis par Philippe dans la chatte de la femme.

Il ne sait pas ce qui est le meilleur et n’arrive pas à faire la part de son plaisir. Glisser dans cette chatte étroite ou se sentir envahi, totalement à la merci de l’homme qui le sodomise. Mais il ne boude pas son plaisir. Il se laisse faire et goûte chaque moment de cet instant que jamais il n’aurait imaginé.


Et Patricia ? Que fait sa femme pendant ce temps ? Il semble entendre des gémissements un peu plus loin. La pauvre doit être seule, mais le spectacle qu’il lui donne doit l’exciter et elle doit se caresser. Peut-être que Lucie lui a donné un sextoy ?


Ah, Patricia, c’est vrai, est fascinée par le spectacle. Son diable d’homme, si fort, si puissant, si viril, entièrement à la merci du couple, soumis volontaire à plus faible que lui. La position ne fait que le rendre plus puissant, les muscles saillants sous la peau des épaules, des bras, du torse et que dire de cette barre qui le force à tenir les jambes écartées avec les muscles qui se tendent jusqu’aux fesses. Les fesses qu’elle a vues caressées, écartées et violées par la langue de Gabriel.


Il a laissé Lucie venir s’empaler sur sa queue que manifestement la situation rend dure et raide comme une queue d’adolescent pour ses premières fois. Il n’a pas protesté lorsque Gabriel a remplacé sa langue par une tige autrement plus pointue et grosse. Elle a suivi pas à pas, le lent cheminement de l’animal dans le cul de son mari, étonnée aussi de la facilité avec laquelle il se prête à cette possession.

Non elle n’a rien perdu et pourtant.


Pourtant, elle aussi s’est empalée sur la queue d’un des hommes et, suprême délice dans la perversion, un autre l’a lentement sodomisée en même temps que Philippe. Ainsi le couple est en harmonie. Si ce n’est pas la première fois qu’elle se fait enculer, par contre tout est différent lorsque la chatte est déjà occupée. Elle sent avec délice les deux bêtes batailler pour la place et comprend la réalité de l’expression bien souvent employée à tort : « se sentir pleine ».


Son bassin ondule sans même qu’elle s’en aperçoive, se massant sur les mandrins de chair et découvrant des régions encore vierges. Les yeux toujours fixés sur le trio qui accélère, elle s’active maintenant sur les deux chevilles qui la maintiennent fermement, montant et descendant sur elles et découvrant à chaque possession des sensations nouvelles. Elle a conscience qu’elle gémit devant tant de luxure et de plaisir. Même la vue du troisième homme qui se branle doucement en regardant le trio lui donne des frissons.


Elle ne peut plus retenir ses cris de plaisir. Oh, que le simple mot « Oui » dit seul ou répété « Oui, oui, oui » peut transporter des émotions. Elle voit bien que Philippe tourne la tête dans sa direction. Que peut-il penser ? Il ne sait rien de la présence de ces trois invités dont deux lui procurent le meilleur des plaisirs.


Philippe, c’est vrai, entend cette voix qu’il connaît si bien, même si ses partenaires vont de plus en plus en plus forts et qu’il sent sa queue gonfler à en être douloureuse. Son enculeur ne le ménage pas et il doit reconnaître que la violence des poussées lui est agréable. Ainsi, c’est cela le plaisir du soumis ou de la soumise ! Se sentir un objet entre les mains de ce couple, lui que sa stature a toujours conduit à être reconnu comme un meneur.


Il imagine le plaisir de Gabriel, le même que lui a ressenti il y a quelques jours. Ce sentiment de puissance, du conquérant qui impose sa queue, excroissance de sa domination, pour la faire glisser dans un conduit étroit, le cul d’un autre. Ce cul, c’est le sien qui est envahi ce soir. Et pourtant c’est bon aussi d’être de l’autre côté, soumis à la volonté d’un autre qui ne ménage pas sa peine pour l’enculer bien profond et qui le pousse chaque fois un peu plus dans la grotte de son amie.


Mais son bandeau tombe. Quelqu’un l’a défait.


Il voit d’abord le dos de Lucie, cambrée, en appui sur une chaise et qui se baise sur lui. Elle ne bouge pas, juste secouée par les avancées de sa queue propulsée en avant par chaque poussée de Gabriel.

Il tourne la tête. La première personne qu’il voit, c’est un homme qui se branle à quelques pas. D’où vient cet inconnu ? Il n’est tout de même pas entré sans être invité ! Mais un peu plus loin, il voit un autre spectacle : Patricia. Patricia qui le regarde. Patricia que deux hommes possèdent. Ou plutôt qui se possède sur deux hommes. Manifestement d’autres inconnus ont été invités et sont entrés après qu’il a été aveuglé par le bandeau.


Patricia. Sa Patricia qui se démène sur deux mandrins qu’il ne peut pas voir, mais qui manifestement lui font le plus grand bien. Et son visage, son regard, qui reflètent son plaisir. Voilà la raison de ces gémissements. On dirait même que le regard qu’ils échangent déclenche la montée de la jouissance. Elle se démène de plus en plus vite sur les queues, déclenchant ces claquements de peaux qui se heurtent, de la même façon que le ventre de Gabriel tape contre ses fesses.


Il ne la quitte pas des yeux alors que ses cris montent de plus en plus forts, que chaque poussées la font souffler comme si les deux bites étaient des pistons qui chassaient l’air devant eux. Les deux hommes semblent en accord avec leur maîtresse et celui qui encule et qui peut dégager son mandrin, arrache la capote pour balancer sa crème sur le dos de Patricia. L’autre, bloqué, écrasé par elle, ne peut que jouir dans la capote, encore bien au chaud dans le vagin en feu.

Philippe, lui aussi, sent une coulée sur ses reins, traînée du sperme que Gabriel vient de lui offrir. Même Lucie prend son plaisir dans un dernier spasme.


Philippe, lui, reste seul et alors que les autres se dégagent, tous constatent qu’il présente toujours une érection hors norme.

Tous n’ont d’yeux que pour la queue raide et tendue qui s’est stabilisée à l’horizontale.


Patricia est la première à réagir et alors que tous pensent qu’elle se lève pour aller vers son mari, ils constatent qu’en réalité c’est vers le troisième larron qu’elle s’arrête. L’homme lui aussi est toujours bandé, érection sagement entretenue par sa main caressante.


Alors tout se succède très vite. Elle recouvre la bite avec une capote, tire l’homme pour le placer derrière son mari, guide le mandrin face à l’anus et, de tout son corps collé contre le dos de l’homme, elle le pousse afin que d’un mouvement progressif mais ininterrompu, la bite fore le cul et glisse dans le conduit. Puis, par des petites claques sur les fesses, elle imprime le rythme de la possession, enculant par personne interposée son mari.


Alors que l’homme bourre Philippe, Patricia dégage la queue de son mari du latex maintenant inutile pour le remplacer par ses lèvres.


Serait-ce les coups de boutoir, ou la bouche gourmande, toujours est-il que Philippe sent enfin sa jouissance venir. Elle vient du plus profond de ses entrailles, allant chercher dans la partie animale le cri de libération qu’il pousse lorsqu’enfin son sperme jaillit de sa queue devenue douloureuse de cette longue érection.


Et il coule, par des jets qui semblent ne jamais s’arrêter, lui faisant craindre un instant qu’il ne pisse en place d’éjaculer. Mais non, c’est bien sa crème, épaisse et odorante que sa femme recueille avec bien du mal, au point que de larges coulures s’échappent de ses lèvres.


Enfin il sent la tension de son bâton se relâcher, et permettre à Patricia, qui l’a gardé en bouche de reprendre sa respiration. Mais elle ne le laisse pas. Elle attend que l’homme ait finit son travail et qu’à son tour il jouisse. Alors seulement, la verge tant aimée retrouve la liberté.


Mari et femme échangent le baiser de l’amour, du partage et du plaisir.

Chacun pense déjà à tout ce qu’ils vont pouvoir faire de ces vacances…