n° 16162 | Fiche technique | 13466 caractères | 13466Temps de lecture estimé : 8 mn | 30/04/14 |
Résumé: Mon histoire avec ma belle-mère s'était arrêtée dans la plus grande frustration. Mais la passion des corps et la violence des envies nous ont amenés à franchir une nouvelle étape. | ||||
Critères: fh fplusag fagée alliance hotel fsodo confession | ||||
Auteur : DuranDuran Envoi mini-message |
Ce récit est la suite de l’histoire n° 15616. La chance et le désespoir ont fait qu’il y eut une suite…
Ma belle-mère, Éliane, joue un jeu pervers avec moi. Elle me chauffe comme un fou mais jusqu’à présent, je n’ai toujours pas pu la toucher physiquement. Elle a commencé par s’exhiber, puis se masturber. J’ai même eu le plaisir de me faire sucer les mains attachées dans le dos…
Et je dus être patient… En effet, mon beau-père, Pierre, eut quelques problèmes de santé et Éliane s’occupa de lui. Il enchaîna par la prise impromptue de sa retraite et décida d’offrir un tour du monde à sa femme. Deux mois sans la voir, sans la sentir. Quelques nouvelles par mail à sa fille Agnès, une carte postale de Californie et rien d’autre.
Souvent, le soir, avant de m’endormir, je repensais aux cinq séances de complicité que j’avais eues avec ma belle-mère. Voir ses seins, la regarder se caresser, admirer le gode entrer dans son joli cul, me branler devant elle et pour finir, me faire sucer. Cinq parenthèses qui avaient enflammé mes sens, cinq moments d’une intense frustration également car, à ce jour, pas une fois mes mains n’avaient pu toucher son corps.
Ils revinrent enfin de leur long voyage, et nous proposèrent de venir déjeuner le dimanche, comme nous en avions l’habitude.
Éliane était superbe, bronzée, ses cheveux roux plus clairs et plus longs, le hâle cuivré de son visage donnait à ses yeux bleu-vert une intensité plus rayonnante. Quand nous nous fîmes la bise, elle ne trahit aucune émotion. Et durant le repas, je la trouvai très proche de son mari, très complice, et cela me rendit inconsciemment jaloux. Elle portait une longue robe marocaine brodée qu’elle avait ramenée d’Essaouira, la mythique Mogador, et ne me regarda presque pas du repas. Ce fut sa fille Agnès qui, après le dessert, lui proposa de me kidnapper pour faire un état du jardin.
De mauvaise grâce, elle accepta, ce qui me rendit infiniment triste. Je savais que notre histoire était terminée.
On se retrouva au jardin ; toutes les plantes avaient poussé avec ce printemps pluvieux, surtout les mauvaises herbes. Éliane semblait concentrée sur ses plants de fraisiers. Je bouillais intérieurement !
N’y tenant plus, je lui dis en la prenant par le bras :
Elle se lança alors dans un long discours sur la fidélité, l’amour, la passion raisonnée, l’âge, son envie d’être grand-mère. Je finis par ne plus l’écouter, n’entendant que la mélodie de sa voix. Je regardais ses lèvres rouge sombre bouger et briller dans ce chaud soleil de mai. Sans réfléchir, je défis doucement ma ceinture, glissai ma main dans mon pantalon, sortis mon sexe déjà dur et commençai à me caresser.
Silence.
Son discours moralisateur reprend, mais de manière saccadée. Je souris en me branlant. Elle regarde ma bite. Je respire fort. Et je jouis. Elle me fixe dans les yeux, sans expression, et s’en retourne. Je reste là comme un con !
Quatre jours passèrent. Pas de nouvelles ! Ah si : Pierre a eu un malaise et, par précaution, il a été hospitalisé.
Éliane me téléphona un jeudi après-midi. J’étais au bureau.
Je filai à toute allure, oubliant ses conseils, et quelques minutes après je sonnai à son portail. Elle m’accueillit par une bise chaste ; elle était divine. Elle avait éclairci ses cheveux tirant maintenant sur le blond vénitien, ce qui lui donnait un petit air de Claire Chazal. Elle portait une robe noire très simple et élégante, comme ses chaussures à talons aiguilles. Elle me demanda de la suivre à l’étage ; je devinais ses cuisses bronzées et fermes. Je tendis la main, et me ramassai une claque violente.
Elle s’assit sur le lit, me proposa de m’asseoir à côté d’elle.
J’eus envie de me jeter dans ses bras et de la remercier, mais elle me repoussa violemment.
Elle s’allongea sur le lit, remonta doucement la robe sur sa taille, fit glisser sa culotte à ses chevilles, et lentement ouvrit le compas de ses longues jambes. En faisant très attention à ne pas la toucher, j’approchai mon visage de ses lèvres parfaitement épilées, soufflai précautionneusement. Je fis couler un peu de salive à l’entrée de son orifice et introduisis le gland surdimensionné de Mister T. Elle avança le bassin violemment, et dans un râle animal se planta le gode jusqu’à la garde. Je pris appui sur le bras gauche et, de ma main droite, commençai à la pilonner avec violence. Elle hurlait comme une possédée, me criant d’aller plus fort, plus loin, plus vite.
Elle se tourna immédiatement, cambrant son dos au maximum et de ses deux mains aux ongles carmin, écarta largement ses fesses bronzées (elle avait dû pratiquer le naturisme, la salope…).
Elle tourna son visage en sueur vers moi ; elle semblait possédée par le démon, son rire était carnassier, cruel !
Je sortis le gode vibrant dans un geyser de mouille – je bandais comme un damné – et le rentrai brutalement dans son anus rose et serré. Elle cria sa douleur et son plaisir. Je la pistonnais comme un marteau de forge, mes bras étaient tétanisés par l’effort, mes yeux brûlaient de transpiration ; dans un râle encore plus puissant, elle s’affala sur le côté.
Je la quittai, partagé entre la frustration et la satisfaction. Le soir, je pris Agnès en levrette avec violence et, heureuse surprise, elle ne râla pas. Au contraire, elle vint tendrement se lover contre mon épaule en me disant que c’était bien…
Le dimanche suivant, lors de notre traditionnelle digestion dans le jardin familial, elle m’autorisa à la toucher, mais avec un doigt seulement. Je choisis le majeur droit. Elle le suça avec son merveilleux sourire de vieille chienne en chaleur, se pencha en avant, remonta doucement sa jupe plissée kaki, baissa sa culotte blanche, écarta ses fesses, et j’eus le choix entre ses deux orifices. Je me décidai pour le moins lisse, le plus plissé, le plus étroit, le plus pervers, et mon doigt lubrifié entra comme dans du beurre. Il faut dire qu’Éliane est capable de prendre sans broncher le calibre de Mister T ; alors, il est sûr que mon doigt – même s’il est majeur – ne va pas lui déchirer le cul. Je pistonnais doucement. Elle ronronnait. Je sentais sa rondelle se dilater, et l’envie de mettre un deuxième doigt était pressante. Mais je savais aussi que, sans autorisation, tout pouvait s’arrêter instantanément. Je ne tentai donc pas ma chance, laissant mon pauvre majeur solitaire aller et venir dans son cul de déesse. Quand elle serra ses fesses, je sentis que le jeu avait pris fin. Elle se réajusta et déposa un baiser sur mes lèvres. Avec quelques feuilles de menthe, je nettoyai mon doigt, et nous rentrâmes à l’ombre de la maison.
Début juin. Éliane m’a envoyé un premier SMS demandant de poser un jour de congé. Après un rapide point avec ma Direction, j’ai pu négocier mon vendredi. Deuxième SMS de ma belle-mère qui a ensoleillé ma semaine : « Vendredi, c’est open bar ! Trouve un hôtel ! »
Je suis arrivé un peu en avance à l’hôtel. La chambre était luxueuse, lumineuse ; le matelas, gigantesque. J’étais nu sur le lit, sirotant une bière, et j’ai trouvé une chaîne X qui diffusait un film de cul. Pas besoin de cela pour être excité comme une puce, mais je regardais cependant. Le scénario était simplissime : une jeune et jolie veuve emménage dans un nouvel appartement, des voisins charmants l’aident à porter un fauteuil. Elle leur offre un verre, ils s’assoient de part et d’autre de la jeune femme, commencent à la caresser ; elle se laisse faire et finit par les sucer. C’est à cet instant qu’Éliane entra dans la chambre. Elle était sublime. La cinquantaine flamboyante, classe et sexy avec sa robe verte à fleurs près du corps, ses hauts talons, ses lunettes et ses couettes blond-roux.
Elle eut un regard pour l’écran ; la fille suçait son voisin de gauche pendant que l’autre lui bouffait le cul.
Elle s’approcha du lit et sa bouche se jeta sur ma queue dressée. Elle était à quatre pattes à côté de moi et me pompait comme une damnée. J’attrapai ses jambes et, avec autorité, la positionnai en 69 sur moi. Sa culotte de soie blanche était à hauteur de ma bouche et je léchai le tissu. Sans lâcher ma queue de sa bouche, elle défit les boutons de sa robe. Je la basculai sur le dos. Je la regardais, elle sourit. Mes mains enfin parcoururent son corps ; elle n’avait pas de soutien-gorge et je pus enfin toucher ses seins. Mes doigts glissaient sur son ventre, ses cuisses, ses épaules, sa chatte douce comme une porcelaine chaude. Je plantai deux doigts dans son vagin pendant qu’à genoux à côté de son visage, je glissais à nouveau ma bite dans sa bouche. Elle jouit une première fois avec ma main. Je l’amenai devant la baie vitrée. Au loin, on voyait le boulevard Foch. Les gens semblaient des fourmis. Je la basculai en avant, baissai sa culotte à hauteur des genoux et glissai ma queue dans son cul non préparé. C’était serré… Elle poussa et je sentis dans un râle ses chairs m’accueillir. Elle recula d’un coup sec pour s’enculer plus profondément. J’étais heureux.
Éliane pencha la tête sur le côté pour voir la télé ; la jeune veuve était sodomisée par une bite énorme.