n° 16164 | Fiche technique | 12767 caractères | 12767Temps de lecture estimé : 8 mn | 30/04/14 |
Résumé: Certains sont accros au whisky. Michelle, quant à elle, a déclenché une forte addiction au sperme de son compagnon. Elle se confie à son psy et raconte sa longue descente qui risque de mettre en danger son couple. | ||||
Critères: fh cinéma facial fellation fdanus fsodo confession | ||||
Auteur : DuranDuran Envoi mini-message |
Je viens de refermer la lourde porte de chêne de mon nouveau psychothérapeute. Je sors de cette première séance épuisée. J’ai le sentiment d’avoir beaucoup parlé, mais il semble être resté sur sa faim. À sa tête de vieux professeur chenu, j’ai compris que mon cas le laissait perplexe…
Je marche sur les trottoirs mouillés vers ma voiture, m’arrête, et regarde mon reflet dans la vitrine d’une boutique. Ai-je tant changé en cinq ans depuis que j’ai rencontré Stéphane ? Je vais avoir 30 ans dans quelques jours, je suis sûrement plus coquette, voire sexy qu’à notre première rencontre. Je sais mieux mettre en valeur la finesse de mes jambes et de ma taille.
Mon visage est sûrement plus fatigué mais aussi plus expressif, et mes cheveux courts, bruns, bouclés, donnent un côté espiègle, mutin. La post-adolescente de 25 ans que j’étais, jolie sans le savoir, terne par timidité, effacée par pudeur, n’aurait pu imaginer l’enfer quotidien que je vis aujourd’hui.
Je suis arrivée à notre appartement. La séance m’a épuisée physiquement mais mon cerveau est en ébullition. Tant de souvenirs, d’images, de goûts se mélangent confusément dans mon crâne, et le bain brûlant n’a rien changé à ma difficulté de relaxation.
Bien sûr, j’avais connu d’autres garçons avant Stéphane, deux en fait, mais j’avais plutôt cédé à leurs avances d’étudiants libidineux. Pas par curiosité, plutôt par lâcheté ! Ils voulaient mon corps, ils l’avaient eu ! Point ! Pas d’amour, une expérience sexuelle pauvre et sans joie. Le sentiment du devoir accompli. Juste le souvenir d’un compliment sur la beauté de mes seins, et sur mon absence de pilosité pubienne.
Et dire que je complexais à cause de cela…
Ah si, je me souviens bien avoir déjà un goût prononcé pour la fellation. J’adorais passer des heures à les sucer lentement, les lécher, aspirer, souffler, mordiller, branler très fort et ensuite doucement… Mais je trouvais leur éjaculation dégoûtante !
Puis Stéphane est entré dans ma vie, un peu par hasard. Ami d’amie, mignon, invitation au cinéma, quatre fois, cinq fois, une main sur la cuisse, baiser volé, dernier verre chez lui, la tête qui tourne, baiser violent, on bascule sur le canapé, main sur mes seins, puis sous la jupe dans ma culotte en coton. Je ferme les yeux. Il me dit que je suis belle, je m’offre à lui. Puis nous avons pris nos habitudes. Il habite assez près de mon travail où je suis comptable. Par confort, j’ai fini par m’installer chez lui.
Je me souviens bien de ma première fellation. Nous étions allongés sur le canapé, à regarder un match. Je portais simplement un de ses longs tee-shirts de basket aux couleurs des Chicago Bulls ; j’avais ma tête sur ses genoux et il caressait distraitement mes fesses.
J’ai senti contre ma joue son sexe devenir dur. J’ai bougé un peu ma tête, doucement, générant des frottements qui l’ont excité encore plus, et qui inconsciemment lui ont donné un signal d’acceptation.
Il a fait glisser son caleçon à ses chevilles et je me suis retrouvée avec son sexe tout dur et palpitant devant mes lèvres closes. Il a poussé doucement la porte et j’ai avalé son membre, sans un bruit autre que celui de la télévision.
Sa main est devenue plus audacieuse et a glissé sur ma chatte humide, cherchant à ouvrir mes lèvres, et sa respiration s’est accélérée. Il a commencé à bouger de plus en plus vite dans ma bouche. J’ai commencé à aspirer, comme sur une tétine. Il m’a dit « Attention, je jouis ! » et j’ai senti un liquide chaud et gluant remplir ma gorge. Je me suis levée comme une furie et j’ai été cracher dans le lavabo.
Mais le petit arrière-goût dans ma gorge, à la fois salé et astringent, m’a plutôt agréablement déconcertée. Je suis revenue me blottir dans ses bras et il m’a caressé les cheveux. J’avais bien aimé, mais sans plus ! J’avais par contre été fascinée par le plaisir que je lui avais donné ! J’avais le sentiment d’avoir fait quelque chose de bien !
Les semaines passaient, et parfois, sur le canapé, la scène se répétait. Caresse, fellation, lavabo. Mais une ampoule s’était allumée dans ma tête. Et un soir, par curiosité, j’ai avalé ! Et la surprise fut que je n’ai pas trouvé cela désagréable ! On ne peut pas dire que c’était bon, mais c’était étrange, curieux. Un goût complexe de gelée royale. Comme un premier verre de bon vin pour quelqu’un qui ne connaît pas. On est surpris par le goût, mais on a envie de réessayer parce que l’on sent que ce n’est qu’une étape à un long apprentissage de plaisirs plus subtils…
Maintenant, je ne crachais plus ; j’en éprouvais une certaine fierté, et Stéphane était ravi ! La télé le soir était souvent agrémentée d’une bonne petite pipe, comme il disait. D’une ou deux fois par semaine, la tradition devenait quotidienne ; et lorsque nous sortions au cinéma, je ne pouvais pas m’endormir avant de l’avoir sucé et d’avoir dégusté sa merveilleuse crème.
Je pris conscience qu’en fonction de ce qu’il mangeait, le goût de son sperme changeait. Je lui préparai ainsi, à son insu, des repas plus vanillés, plus fruités, préférant les viandes blanches, évitant des produits tels que choux ou asperge. Il adorait se faire sucer en me doigtant la chatte. Je prenais ma ration de sperme avec délice.
Le matin, je me levais un peu avant lui. Et je faisais en sorte de ne pas le réveiller. Mais ce matin, j’ai senti par inadvertance qu’il bandait en dormant. Je me suis glissée sous les draps, et délicatement, j’ai caressé son gland de ma langue. Il a soupiré ! Je l’ai gobé avec onctuosité et ai commencé de longs mouvements de va-et-vient en prenant soin d’aspirer de plus en plus fort. Il a fini par rapidement cracher sa sauce dans un râle. J’étais aux anges ! Il n’a rien dit, il n’a pas ouvert les yeux. Il a fait comme s’il dormait, et je me suis levée heureuse. Ma journée fut radieuse !
Très rapidement, j’ai eu droit à mes deux rations quotidiennes. Cela m’excitait de savoir, quand je faisais la bise à mes collègues, qu’une heure avant ma bouche avalait le foutre de mon homme.
Stéphane, avec le temps, montra des signes de « faiblesse ». Certains matins, il faisait en sorte de se lever plus tôt afin d’éviter la « traite », comme il disait. Cela me mettait dans tous mes états ! Et le soir, je n’avais qu’une envie : c’était de lui sauter à la braguette et de l’avaler tout cru ! Certains soirs, il évitait le canapé et passait la soirée sur son PC. Pas de ration du soir !
Intérieurement, je fulminais. Mais il fallait faire preuve d’un peu plus de finesse. Il fallait me rendre désirable.
La première étape fut l’accès à mon… anus ! Jusqu’à présent, je lui avais interdit d’y toucher, bien qu’il en eût souvent exprimé l’envie. Je pris donc sur moi ; et un soir, sur le canapé, pendant que je le suçais, la tête appuyée sur ses genoux, sa main gauche dans ma petite chatte imberbe, je basculai le bassin pour que son majeur soit à hauteur de mon petit trou.
Il allongea sa main pour rechercher mon clitoris, mais je me remis en position. Je sentais son doigt timide. Par quelques poussées successives, je réussis à faire entrer dans mon cul sa première phalange. En poussant plus fort, il rentra le doigt complet. Dans ma bouche, sa bite n’avait jamais été aussi grosse ; je me mis à aspirer comme une forcenée tout en bougeant mon cul planté sur son doigt, et il se mit à jouir comme aux premiers jours.
J’avais le sentiment d’avoir gagné une bataille. Les doigts dans le cul s’enchaînaient maintenant quotidiennement ; j’avais droit tous les soirs à mon petit toucher rectal, comme il disait.
Et il fallut se faire à l’idée qu’il allait vouloir y mettre sa queue. Mon angoisse n’était pas la pénétration, mais d’être dégoûtée de le sucer après qu’il m’ait enculée.
Ce soir-là, je m’étais préparée ; je m’étais nettoyée aussi profond que j’avais pu, non sans que cela m’excite déjà un peu. Il était arrivé avec son petit cartable d’ingénieur et sa baguette de pain. J’étais avec mon tailleur de bureau, strict et gris ; accroupie dans le salon, je faisais semblant de ramasser quelques miettes avec ma petite pelle et la balayette.
Le compas de mes jambes était grand ouvert et il pouvait voir que je n’avais pas de culotte. Il s’approcha de moi, je ne me redressai pas ! Toujours accroupie, je l’attirai vers moi et lui dis que j’avais envie… qu’il me sodomise.
Ma main sur sa braguette, je sentis que ma phrase lui faisait de l’effet. Lui d’ordinaire si prévisible me bascula en arrière, me fit mettre à quatre pattes, retroussa la jupe de flanelle et se mit à – comment dire – me bouffer le cul !
Je ne le reconnaissais plus. Sa langue allait profondément dans l’anneau plissé de mon anus. Il fit tomber son pantalon et, sans plus de préliminaires, il positionna sa queue sur mon petit trou humide. Je n’avais qu’une hâte, c’est qu’il entre en moi, et qu’une crainte, c’est qu’il gâche du bon sperme à vouloir juter dans mon cul.
Stéphane était un garçon prévenant et gentil. Il s’enfonça en moi tout doucement, me demandant à chaque poussée si j’avais mal. Puis il commença à me limer consciencieusement. Toute mon attention était focalisée sur les soubresauts de sa bite. Au moment où je sentis son désir monter, je me déculai rapidement, me retournai, et pris sa bite dans ma bouche. Une odeur forte mais pas repoussante. Je mis son gland à quelques centimètres de mon visage, la bouche grande ouverte, et commençai à le branler avec violence. Il éjacula une quantité inimaginable de foutre, plus que d’habitude, et j’avalai plusieurs gorgées comme une morte de soif. Je savais que j’avais gagné une autre bataille. Dans ma tête, je me disais que j’étais une belle enculée…
Stéphane sait que j’aime le sperme. Mais il ne sait pas à quel point. En moyenne, je le « trais » maintenant trois fois par jour. Parfois quatre. Je sens bien que pour lui, l’exercice n’est plus aussi agréable qu’avant, que cela devient souvent une corvée. Qu’il fuit parfois.
Je sens aussi qu’au fond de moi, j’ai besoin de plus. L’addiction est là. Et je n’ai pas envie de le tromper. J’invente des stratagèmes érotiques pour que nous fassions l’amour souvent : je m’habille sexy chic à la maison parce que je sais qu’il aime bien cela ; je me déguise parfois, en factrice, en infirmière, en maîtresse d’école pour qu’il ait encore envie de moi et pouvoir lui soutirer une nouvelle rasade de son si bon foutre.
Je passerais mes journées la bouche collée à sa belle queue pendant qu’il me caresse la chatte et le cul… mais je sais que c’est impossible.
J’ai quelques amies, mais je n’ai jamais pu leur parler de ma terrible et intime addiction, de même qu’à ma sœur.
J’ai vu sur Internet des sites où des filles buvaient le sperme de plusieurs dizaines d’hommes. Je me dis qu’une telle expérience pourrait peut-être me dégoûter. Mais j’ai peur, au contraire, d’y prendre goût. J’aime tant ce précieux liquide, ce nectar, cette potion…
Stéphane a voulu prendre une semaine de vacances avec des potes. Sans moi ! Il a décidé cela le mois dernier et j’ai compris que notre couple était sur une mauvaise pente. J’ai donc pris rendez-vous avec un psy ! Mais j’ai aussi retrouvé le numéro de téléphone d’un de mes deux ex-petits amis, Bastien. Je ne l’ai jamais sucé ! Je suis un peu perdue ! Et à propos de Bastien, je n’ai rien dit au psy…
Demain soir, j’accompagnerai Stéphane à la gare, et je sais qu’avant de partir je le coincerai une dernière fois dans les toilettes du train, pour une dernière « traite ». Mon Dieu, que cette semaine va être longue… J’ai prévu deux séances chez mon vieux psy… J’espère qu’au retour de Stéphane, je serai guérie !