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n° 16166Fiche technique20078 caractères20078
Temps de lecture estimé : 13 mn
30/04/14
Résumé:  La première étape, suite à une soirée déguisée.
Critères:  hh hféminisé travesti fellation hsodo init
Auteur : Velma      Envoi mini-message

Série : Velma

Chapitre 01
Velma, la soirée déguisée

Au nouvel an, la bande d’amis et moi étions sur un plan loose. On s’est retrouvé le matin sans rien avoir prévu. Nous avions passé une bonne soirée, mais nous souhaitions refaire une soirée un peu sympa, et pourquoi pas une soirée déguisée.

Après plusieurs délibérations, nous avons choisi le thème des déguisements : « Les héros de notre enfance ». Afin de corser un peu la chose, chacun a écrit cinq noms de héros sur des petits papiers, puis on les a mis dans un saladier. Chacun a tiré un petit papier et a gardé le résultat pour lui. Il devra le ressortir le jour J, afin de voir si le costume est réussi.

Pour ma part, j’ai écrit : Musclor, un des GI Joe (je suis plutôt gentil, je laisse le choix), Alf, un Jedi (au choix) et un des sept nains.


Tout le monde tire son papier et cache la réponse. Mon tour arrive. Je tombe sur Velma de Scoubidou. Je mets un peu de temps à me rappeler qui était ce personnage ! Ah mais oui, c’est la petite boulotte intello dans Scoubidou… Euuh, la petite… mince c’est une fille… me voilà bien !


La soirée se termine, chacun rentre chez soi. Le lendemain, je fais des recherches sur internet pour avoir une idée plus précise du personnage en question. Coupe de cheveux courts, OK, ça c’est plutôt facile à faire. Mini-jupe, haut orange, chaussettes orange, chaussures rouges et lunettes. Bon finalement ça m’a pas l’air compliqué.

Au détour de surf, je recherche sur internet les vêtements en question mais je suis assez difficile. Plus je fais des recherches, plus je me prends au jeu, trop longue, trop courte, pas assez sexy. « Pas assez sexy », je me fais la réflexion, pourquoi être sexy ? c’est un déguisement pour une soirée entre amis. Eh bien, pourquoi pas ? tant qu’à faire les choses, autant bien les faire.

Je décide de réfléchir plus longuement à la chose, j’ai un peu de temps devant moi. Après avoir fait plusieurs recherches et imaginé pas mal de tenues, je me suis décidé. Je porterai un haut moulant à col roulé orange, une mini-jupe plissée rouge et des bas en laine, très hauts, orange avec des chaussures rouges. C’est vrai que dit comme cela, ça peut faire bizarre, mais la Velma n’a que deux couleurs et j’ai voulu rester dans le ton.

Un détail auquel je n’avais pas pensé : comment faire ma poitrine ? Je me lance sur des sites de travestissements, pour trouver des trucs et astuces, où trouver des prothèses. Quelle taille choisir ? B ou C ? Je suis un peu rond et Velma doit être pulpeuse. C’est décidé, je prends du E. Après tout, cela ne fera que rajouter à ma tenue sexy, je trouve donc deux prothèses externes en silicone avec le téton inclus.

Cette soirée va me coûter cher, il faut que ça en jette, alors ! Au fil des jours, je fais mes emplettes tout en m’imaginant tout doucement en femme. Les chaussures ont été assez dures à trouver, mais je finis par dénicher des escarpins à talon haut.


Une dizaine de jours passent et les colis arrivent au compte-gouttes, je n’ai pas tout acheté au même endroit. Je n’ouvre que les chaussures que je porte tous les soirs pour essayer de ne pas avoir l’air trop idiot le jour J. Je veux être sexy donc il faut que je le sois.


Le week-end arrive. Vendredi soir, pas de sortie prévue, je me décide à essayer le tout. Je ferme bien ma porte, on ne sait jamais, et c’est parti ! Grosse déception, les faux seins que j’ai achetés ne tiennent pas et j’ai quelques poils qui se voient. Et malgré les lunettes et la perruque, il va falloir que je me maquille. Et la jupe est vraiment très courte, si je me penche un peu trop en avant, on voit facilement mes fesses. Par contre, il serait mentir que de dire que je n’ai pas ressenti quelque chose au contact de ces vêtements.

Le lendemain, je fais le tour des sites de lingerie. Il faut que je puisse mettre mes prothèses dans quelque chose. Je tombe sur un ensemble soutien-gorge et string rouges. J’avais pas prévu de porter un string mais l’idée d’être en femme fait son chemin, donc je commande cet ensemble en dentelle rouge. J’achète de la crème épilatoire et appelle un salon d’esthétique pour trouver une maquilleuse à domicile (je ne me vois pas sortir comme cela.)


J’ai tout : une perruque, des lunettes d’hispter, une tenue super aguichante, des bas opaques qui s’arrêtent quelques centimètres en dessous de la jupe (qui donnent l’impression d’avoir des cuissardes), des dessous sexy et des faux seins. Il reste plus qu’à attendre le week-end prochain et c’est parti pour la grande aventure.


J’appelle Seb, un pote invité à la soirée. Il me dit qu’il passera à 19 h 30 à la maison, on se boira un coup et on repartira pour 20 h, on n’a que dix minutes de trajet. Seb est une connaissance de soirée, on ne se connaît qu’autour de nos amis communs. Je lui dis qu’il risque d’être surpris en me voyant.


La semaine passe doucement, j’ai fait plusieurs fois des rêves assez étranges qui ne me ressemblent pas. Moi, l’hétéro dans l’âme, porter des vêtements de femmes et m’imaginer en femme depuis un mois m’ont un peu chamboulé.


Samedi arrive enfin, grosse journée, déjà l’épilation pour être tranquille, j’attaque les jambes à la mousse, puis me dis autant tout faire, ça peut être drôle. Je prends donc soin de faire chaque parcelle de mon corps, L’anus est une partie un peu douloureuse, ça brûle un peu. Je passe sous la douche mais j’ai toujours un peu mal à cet endroit. Je décide de mettre un peu de crème et je me rends compte que le contact de la crème à cet endroit est loin d’être déplaisant.


18 h, la maquilleuse arrive, elle a du pain sur la planche. Elle est au courant de la soirée et de mon déguisement et elle avait trouvé cela drôle, au téléphone. Elle commence par me demander de m’habiller de ma tenue finale afin de ne pas mettre de traces de maquillage sur les vêtements. Je me précipite et ne mets que les vêtements qui seront au-dessus de la ceinture, c’est à dire le soutien-gorge et le pull, cela suffit. Elle place un filet sur mes cheveux, et commence à me maquiller.

Elle me fait une bouche très pulpeuse avec un rouge à lèvre vif. Je le trouve limite un peu pute, mais elle me dit qu’avec le reste ça ira. Les yeux, les sourcils, les joues, tout y passe. Elle me pose des faux ongles et a la gentillesse d’ajuster ma perruque. Je me regarde dans la glace. Mon dieu, je me reconnais à peine. Avant de partir, elle me laisse des échantillons de parfum et de quoi me faire des retouches-maquillage.

Une fois la maquilleuse partie, je décide de m’habiller complètement. Je glisse les prothèses dans le soutien-gorge, mets le string. Ooh, quelle sensation, ce petit bout de tissu entre mes fesses ! Je mets ensuite les bas, la jupe, les lunettes, les chaussures. Je me regarde dans la glace, j’ai l’impression d’être quelqu’un d’autre. Je me plais : ces formes, ces seins avec le téton apparent à travers le pull moulant ! Mes fesses sont magnifiquement rebondies. Il m’en faut pas plus pour attraper une érection immédiate et bien sûr, c’est à ce moment que Seb arrive. Je lui crie à travers la maison :



Je dispose d’un peu de temps. Je me regarde à nouveau, mon érection ne s’arrête pas. Je décide donc de me soulager par le moyen le plus vieux du monde. Cela a été très vite. Afin de plus avoir ce problème, je coince mon sexe avec l’élastique supérieur du string. Il y a pas à dire, je me sens comme une bombe sexuelle. Une pression sur le parfum laissé en échantillon par la maquilleuse et je rejoins Seb dans le salon. J’adore le bruit de mes pas sur le parquet, je dandine des fesses, je suis dans mon rôle, je veux être provocante. J’arrive dans le salon, je me mets dans l’encadrement de la porte et je lui lance un :



Je vois les yeux écarquillés de Seb. Lui est en imper et jean, il a un chapeau avec une hélice dessus. Mon inspecteur Gadget qui me sert de chauffeur n’en revient pas :



Je m’avance vers lui de la façon la plus aguicheuse et je vois que quelque chose a changé dans son regard. Je lui fais de l’effet ! Ma foi, c’est pas désagréable. Aller provoquons, provoquons.



Je me dirige vers le bar et me penche un peu en avant pour qu’il puisse voir l’orée de mes fesses. Je prends les verres, et lui sers le soda. Moi, je prends une vodka, je ne conduis pas et je compte bien m’amuser. Je lui pose pas mal de questions sur son costume, croise les jambes, les décroise, parfois je resserre mes bras sur mes seins pour les regrouper, mais surtout je bois à la paille, histoire de faire un bruit de succion en buvant ma vodka. Je sens que Seb est en train de craquer.


Je lui raconte un peu mes déboires, qu’il a fallu que je m’épile complètement pour être raccord et que je trouve les dessous les plus appropriés. Il boit mes paroles. L’heure tourne et le jeu de séduction avance.


20 h, l’heure du départ, je prends un manteau et je me retrouve dans sa voiture. Durant le trajet, lorsqu’il passe les vitesses, sa main frôle mon genou. Le contact m’émoustille. Je croise les jambes pour montrer un peu plus de mes cuisses. Je sens qu’il aime.


Nous arrivons à la soirée et là je vois, pêle-mêle, un Bisounours qui transpire dans un costume trop grand, Éloïse en Musclor avec des faux muscles, un Bioman, une Candy, etc. Beaucoup me félicitent pour ma tenue, La soirée peut commencer. Apéritif dînatoire, on boit, on rigole, on danse.


Durant la soirée, je vais sur la piste de danse improvisée et commence à danser, mais comme une femme, en bougeant mes fesses, en me remuant. Tiens, voilà Seb, je m’approche de lui et commence à danser avec lui. Je lui tourne le dos et commence à remuer mes fesses sur son pantalon et je sens que ça ne le laisse pas indifférent. Il me prend par les hanches puis remonte jusqu’en dessous de mes seins, c’est de plus en plus torride.

Seb est plus grand et plus costaud que moi et je me sens comme une « faible femme ». Après quelques chansons où j’enchaîne les partenaires ou danse seul, je décide de jouer les allumeuses. Changement de rythme, le DJ, Dark Vador, décide de passer des slows, c’est vrai que l’heure tourne et que la soirée va tout doucement se terminer. Je décide d’aller aux toilettes me refaire une beauté. Je m’observe dans la glace, je fais une retouche rouge à lèvre et retourne dans la salle. Je me dirige vers le buffet, mais je n’ai pas le temps d’y arriver que Seb m’attrape par la main, me colle à lui et me lance un :



Je lui répondis un :



Je mets mes mains autour de sa nuque, j’ai l’impression d’être pendu à son cou. Lui met ses mains sur ma taille, et nous regardons les autres couples se former. Il y a vraiment des choses étranges, Bioman danse avec Candy, le Bisounour qui a laissé tomber la moitié de son déguisement danse le slow tout seul pour faire le pitre et moi je sens la main gauche de l’inspecteur Gadget descendre vers ma fesse.



Et là, je le sens en train de me pincer la fesse à peine main. Quelle sensation !



Le slow se termine, changement de partenaire, cette situation est vraiment étrange.


La soirée se termine, Seb me propose de me ramener. Je lui dis :



Il me sourit. Je crois que nous ne sommes plus en train de jouer. On dit au revoir à tout le monde, on monte dans sa voiture. Sa main me frôle de la même façon qu’à l’aller. Nous arrivons devant ma maison, il entre sa voiture dans l’allée du garage pour préparer son demi-tour. Je lui dis :



Je me penche pour lui faire la bise dans la voiture. Il est loin et je pose ma main sur sa cuisse pour être plus stable et lui fais un bisou long sur la joue. À ce moment-là, le temps s’est presque arrêté. Pourquoi lui faire la bise ? On aurait pu se serrer la main comme d’habitude. Je lui refais un bisou en remontant ma main le long de sa cuise. Puis un troisième bisou plus près de la bouche avec ma main qui remonte encore puis un quatrième à moitié sur sa bouche et ma main près de son paquet qui a visiblement grossi. Le dernier baiser, lui, était franchement sur la bouche et ma main vraiment sur sa bosse. J’ouvre ma bouche, il enfourne sa langue et pose sa main sur ma cuisse. Nous nous embrassons avec fougue. Ma main masse son sexe, je ne sais plus ce qu’il me prend. Moi qui voulais que cela s’arrête maintenant, je sors son sexe un peu maladroitement et commence à le masturber dans la voiture. Nous sommes dans mon allée de garage, normalement on ne peut pas être vu, mais l’idée d’être vu m’excite. Cela m’excite tellement que je lâche sa bouche pour me jeter sur son sexe. Il est tendu, il bande comme un cerf, j’ouvre ma bouche et le gobe. C’est ma première fellation, alors j’essaie de faire comme dans les films X. Je pousse des petits gémissements de plaisir, je le masturbe avec ma main, et prends tout ce qui dépasse dans ma bouche. Je fais le tour avec ma langue, le pompe de plus en plus vite, puis ralentis. Il a l’air d’aimer cela. Soudain je sens sa main revenir sur mes fesses, il me les masse, et soulève ma jupe. Pendant que je prends mon pied à tailler ma première pipe, je sens qu’il essaie de me doigter le cul. Cela fait beaucoup pour un soir. J’arrête de le sucer, (mais je continue à le masturber), et lui dis :



Mais c’est que c’est pas idiot ça ! Il a raison !



Ces mots me font l’effet d’un électrochoc. Ces mots vulgaires me boostent. Je salive sur son sexe de plus en plus et je le vois humidifier ses doigts et les frotter sur mon cul et m’enfoncer son doigt de plus en plus profondément. J’arrête ma pipe, me penche sur lui pour atteindre la manette pour faire tomber le siège en position couchette. Je le vois tomber à la renverse. Je me redresse, fais de même avec le mien, puis de la façon la plus féline possible, je me déplace sur mon siège et me mets en levrette, le cul tendu. Je lui lance un :



Il se place derrière moi et écarte la ficelle du string. Je sens son gland contre ma rondelle, il pousse un peu et entre doucement en moi. C’est la première fois pour moi que je ressens cela. Il recule et recommence une nouvelle fois mais plus profond, puis recule et encore plus profond. Cette fois-ci, je n’ai pas pu m’empêcher de lâcher un petit cri de plaisir.



Il continue à m’enculer de plus en plus profondément. Mon cul est encore plus exposé et explosé, ses mains sont sur ma taille et ses coups de boutoir sont de plus en plus forts. Je me remets à quatre pattes, il pose ses mains sur ses seins. Je sens monter en moi une sorte de jouissance étrange, je pousse de petits gémissements de plus en plus rapides. J’ai l’impression que son sexe a encore grossi en moi.



Je recule de plus en plus pour qu’il me pénètre le plus possible, mais il me dit :



Encore une insulte, j’ai l’impression qu’à chaque fois ça m’électrise de plus en plus. J’en envie d’être une porno star à ce moment. J’ai envie de me montrer super salope. Après tout, je l’avais chauffé toute la soirée, je voulais lui offrir une sorte de fin inoubliable.



À ce moment-là, je « déboîte » (il faut bien avouer), et me retourne, toujours à quatre pattes mais cette fois-ci, ma bouche près de son sexe.



Et à ce moment-là, j’ouvre la bouche, tire la langue et le masturbe devant ma bouche. Il appuie un peu sur l’arrière de ma tête, il veut que je le reprenne en bouche. J’y retourne avec un peu d’appréhension. Mais sa bite n’a pas pris de goût. Je pensais que mon cul aurait un goût, mais finalement non. Je décide donc d’ouvrir ma bouche et de le laisser baiser ma bouche. Il me met des coups de butoir, son sexe s’enfonce de plus en plus. Ce n’est plus une fellation, mais j’ai l’impression que ma bouche est un trou dans lequel il veut se vider. Son sexe a des spasmes. Il se retire et se masturbe devant mon visage. Un jet arrive sur mes lunettes, suivi d’un deuxième sur ma bouche puis d’autres sur l’ensemble du visage. Je décide de continuer d’ouvrir la bouche. À la fin des jets, je reviens sur son sexe et le lèche encore et encore. Je goûte son sperme, le goût ne me dérange pas, je décide donc de lui nettoyer la bite et d’en avaler un peu. Il a comme une secousse supplémentaire.


Nous reprenons nos places. D’un commun accord « Pas un mot ».


Je retourne chez moi, j’ai une bonne douche à prendre et lui certainement un peu de nettoyage à faire dans sa voiture.


C’était il y a deux mois. Depuis je n’ai jamais recommencé. Je dois revoir Seb sous peu, dois-je vous raconter ce qui va se passer ?