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n° 16181Fiche technique17647 caractères17647
Temps de lecture estimé : 11 mn
09/05/14
Résumé:  Où une infirmière s'occupe d'une jolie patiente.
Critères:  ff complexe noculotte massage intermast cunnilingu confession -f+medical -fhomo
Auteur : Emy      Envoi mini-message
Initiation

Voici une anecdote que je couche en fin sur le papier. Je me nomme Emma et j’ai quarante-deux ans. Bien que mûre, je me considère encore séduisante. Je mesure 1,53 m pour 42 kg avec des hanches fines liées à une poitrine qui tient toute seule, un 85B. Mes cheveux au naturel sont châtain clair mais je les teins souvent en roux et ils sont suffisamment long pour permettre plusieurs style de coiffure. Une dernière particularité, j’ai été mariée à dix-huit ans, divorcée à vingt-cinq ans et je suis depuis dix ans en couple avec une belle femme que j’aurai le plaisir de vous présenter dans une autre histoire.


Après une aventure rocambolesque à l’hôpital, j’acceptai la proposition d’un ami de le rejoindre en tant d’infirmière libérale dans son cabinet. Outre les tâches classiques, de par ma formation, j’avais aussi en charge une partie des rééducations du périnée. Bien que, de l’extérieur, cela puisse donner des idées, au quotidien, les exercices debout, avec les doigts ou la sonde ne stimulent pas vraiment. Mon espace-travail était composé d’un bureau, à proximité d’un banc de travail et de quelques meubles bas avec un évier. Afin de créer une ambiance, j’avais installé un poster et deux cadres à photos montrant la nature japonaise associés à un petit jardin zen et un diffuseur de parfum, souvent au jasmin. De par le travail et les exercices à effectuer, la température dans cet atelier, comme j’aime à l’appeler, ne descend jamais sous les 25°C donc, je me dois d’être vêtue légèrement. Ce qui veut dire que je fais honneur au mythe de l’infirmière en blouse et juste en dessous…


Pourtant, il m’est arrivé un moment inoubliable. J’ai reçu une patiente, très belle. Enfin, elle devait avoir la trentaine, environ 1,70 m, 60 kg, cheveux châtain mi-longs relâchés, un visage ovale souriant avec quelques taches de rousseur, au maquillage naturel et des formes généreuses de femme, une poitrine au-moins de 90D avec les hanches allant avec. Elle se tenait là, avec un pull col roulé noir moulant, une jupe noire descendant au genou et des ballerines roses, ce qui me fit sourire. À son air, je la visualisais comme timide, se sentant mal à l’aise dans sa peau alors qu’au contraire je l’enviais par bien des côtés et c’est d’elle dont j’aurais été jalouse.


Après les formalités de présentation, Lucie s’installa sur le banc, jambes croisées. Je lui demandai d’ôter sa culotte pour un examen préliminaire. Elle se tortilla et enleva un joli tanga en dentelle blanche qu’elle déposa sur le dessus d’un meuble. De mon bureau, légèrement en contre-bas par rapport au banc, j’ai pu profiter de ce petit moment. Je me suis levée et suis allée près de l’évier où, après avoir mis des gants, j’enduisis mon doigt de vaseline et m’approchai pour commencer l’examen en la regardant droit dans les yeux et en échangeant des banalités pour la décontracter. Je ne pus rien faire sauf constater qu’elle avait eu un accouchement idéal et purement naturel, pas d’épisiotomie et un vagin totalement remis du moment, pourtant je ne pus aller plus en avant car elle était bloquée, et je le lisais aussi sur son visage.


Nous avons donc parlé pendant cette première séance afin de faire mieux connaissance et de pouvoir débuter ses soins. J’en appris finalement d’avantage que je ne l’aurais espéré si j’avais souhaité un premier rendez-vous. Je me suis sentie comme une thérapeute, en bref, elle fait du « vaginisme » et il a fallu longtemps à son mari pour arriver à la conquérir physiquement, mais comme le prouve l’heureux événement, ils ont réussi.

Elle était très souriante, voir craquante. Sous ses confidences, je lui fis des sous-entendus comme quoi, je ne risquais pas d’avoir un mari ou au mieux, un PACS… Elle se sentait plus à l’aise et afin de ne pas me gêner m’indiqua qu’elle devrait arriver à faire cet examen car finalement, elle avait trouvé un équilibre avec son mari et que par conséquent ils faisaient même quelques folies…


Ses sous-entendus amenaient des frissons sur ma peau, heureusement cachés par la blouse. Mes sous-entendus trouvèrent échos car elle me fit quelques remarques taquines sur le fait que s’occuper de femme dans un local si intime, ça pouvait donner des idées (et elle ne se trompait pas) ou que j’étais, moi aussi, fort charmante de la traiter si délicatement. Finalement, elle dut partir et je me suis occupée de la patiente suivante. Le soir venu avec ma douce à qui je me confiai, nous eûmes une nuit extrême, tellement cette première séance m’avait émoustillée.


Le lendemain, je reçu un coup de téléphone de Lucie, s’excusant pour la séance passée et pour prendre un nouveau rendez-vous. De fil en aiguille nous restâmes à parler quelques dizaines de minutes et j’appris que le dimanche à venir, elle tiendrait un stand à un vide-grenier. Puisque la chance aime à être bousculée, je me mis en tête d’y aller, mais seule. Le dimanche arrivé, je partis en tenue civile décontractée : des tongs fuchsia, un jean délavé bleu, un top débardeur fuchsia cintré à la poitrine, un gilet à grosses mailles turquoise, mes cheveux détachés avec une paire de lunette de soleil sur la tête. Bref avec le sac à main, je pensais être « discrète ».


J’arrivai à trouver son stand, qu’elle tenait avec son mari. Elle était radieuse, vêtue d’une robe à grosses fleurs et d’une veste à carreaux. Étonnamment, lui me fit penser à un gay ! Il était très efféminé de visage et de carrure avec une touche de sensibilité dans le regard. Son visage passe-partout, ovale avec un rasage de près, des yeux marron comme ces cheveux, 1,65 m, une chemise moulante blanche avec des rayures imprimées discrètement argentée et un pantalon, que je devinais aussi moulant.



Je m’arrêtai à leur stand et engageai la discussion. Lucie était tout sourire. Elle fit une pause et nous nous promenâmes dans les allées. Elle répondait à mes signaux soit en caressant ses cheveux, soit en s’approchant de mon visage pour me susurrer quelques discrètes réponses sur la journée, son ennui, le soulagement de faire garder son bébé ainsi que la présence d’une « amie » pour chatter. De retour au stand, son mari, assez complice, s’immisça dans la discussion puis repartit s’occuper des ventes. Je le vis aussi échanger certains sourires avec des hommes venant accompagner leur femme dans cette brocante. Bref, nous avons un peu papoté, et j’ai acheté un bibelot.


Seconde séance. Lucie arriva à l’heure et j’étais prête à conquérir son intimité. Étonnamment, elle était vêtue de la même manière, ce dont je lui fis part en souriant. Elle me répondit qu’elle préférait les tenues sobres pour son travail et qu’elle avait plusieurs exemplaires de cet ensemble. Après s’être installée, elle enleva cette fois un joli shorty noir avec des petits nœuds sur le devant. Hmmm ! La sentant toujours angoissée, je lui proposai de s’imaginer à l’institut de son choix et qu’elle allait avoir droit à un massage.


Tout en étant assise sur le banc, je me positionnai derrière elle. Lucie était au bord du banc, les jambes serrées et sa jupe relevée. Je lui demandai d’enlever son pull et de me laisser l’accès à ses épaules et sa nuque. Elle retira son pull et je découvris que dessous elle portait seulement un soutien-gorge noir en dentelle. Elle baissa ses bretelles sur ses bras après avoir attaché ses cheveux en chignon et positionna ses bras en soutien à ses seins.


Durant ces préparations, un effluve doux émanait d’elle, mon intimité s’humidifia et ma gorge tressautait. Son dos était d’un bel éclat et une peau douce attendait mes mains. J’avais préparé une crème hydratante que j’avais chauffée pendant ce temps. J’appliquai la crème sur le haut de ses épaules. Elle se contracta un peu. J’appuyai légèrement et commençai des mouvements circulaires. Après quelques mouvements le long de celles-ci et surtout sur sa nuque, je la sentis plus détendue, son souffle plus lent et son parfum toujours savoureux. Mes mains caressaient plus qu’elles ne massaient le haut de son dos, néanmoins, je n’eus aucun reproche.


Je me fis plus hardie et j’en profitai pour me coller à elle de façon à continuer le massage sur sa nuque uniquement avec une main. Ainsi positionnée, mon buste et donc ma poitrine étaient appuyés contre son dos. Si elle sentit mes tétons durcis, elle n’en laissa rien paraître et resta détendue. Après quelques mots échangés pour l’aider à visualiser une scène décontractante, je lui proposai de commencer ses soins.


Elle se contracta doucement mais obtempéra. Ma main gauche caressant maintenant doucement sa nuque et la naissance de ses cheveux, je glissai ma main droite près de sa jambe où, en effleurant sa peau, je passai sous sa jupe relevée. Elle ne remarqua pas, ou ne commenta pas, le fait que par rapport à la séance précédente, je ne portais pas de gants. Poursuivant ma caresse sur sa cuisse et susurrant à son oreille, j’en profitai pour avancer mon index vers son intimité. Une chaleur et une douce humidité l’accueillirent.


Comme vous l’imaginez, je commençai une douce masturbation autour de ses lèvres : j’en fis le tour, vers le haut puis vers le bas, je les longeai, effleurant même l’intérieur et je sentis son humidité qui lubrifia mon index. Aussi, je remontai pour aller caresser tendrement son clitoris puis je commençai mon explication en lui susurrant à son oreille :



Mon index pénétra l’intimité de ses lèvres et se tint à l’entrée de son vagin. Je sentis sa tension doucement retenue au contraire de son souffle qui semblait s’accélérer. Ma main gauche se reposait sur sa nuque. Je fis un va-et-vient avec mon index et lui demandai de l’enserrer. Les muscles du périnée agirent et mon doigt fut prisonnier de ce lieu magique. Elle était dans un état proche de l’excitation et moi-même j’avais un peu de cyprine en train de couler dans ma culotte.



Je sentis son mouvement autour de mon doigt. En parallèle, je fis mouvoir mon index et ma main gauche descendis le long de son dos puis bifurqua vers l’avant pour se glisser sous son sein gauche. Mon souffle s’accéléra tout comme les battements de mon cœur. Ma main effleura doucement le pourtour de son sein et je sentis son excitation. Elle laissa ses bras descendre le long de son corps. Poussant plus avant mon désir, tout en posant un baiser sur son cou, je pressai fortement sa poitrine et fis pénétrer mon index plus profondément. Elle gémit. Elle s’inclina un peu plus en arrière ce qui laissa ses jambes s’entrouvrir un peu plus.


Je continuai mon va-et-vient. Ma main gauche vint caresser son cou et je la basculai sur le banc. Ses mains tremblaient légèrement et elle avait fermé les yeux. Je me déplaçai tout en regardant son corps offert. Mes mains frôlèrent ses seins en lui retirant son soutien-gorge. Son visage était marqué par la rougeur de l’excitation et ses seins gonflés et fiers avec des pointes petites et bien dures sur de petites aréoles sombres. Son ventre légèrement arrondi. Quelle vue ! Là aussi, nouvelle surprise : un joli et discret piercing au nombril. De belles hanches et gracieuses jambes se terminant par des petits pieds aux ongles non vernis mais très bien entretenus qui venaient compléter le tableau.


Je vins me positionner devant elle, accroupie, à hauteur de son sexe. Son pubis était taillé très court mais en joli triangle, pointant vers le désir. Ses lèvres étaient bien dégagées. J’enlevai sa jupe qui ne cachait plus rien et je repris la position de mon index au sein de son antre en lui demandant de se mouvoir autour. Mon visage frôlait son intimité. À chaque coup, de petits gémissements sortaient. Elle commença à caresser d’une main ses seins et de l’autre son clitoris que je suçotais en parallèle. Pour compléter, j’utilisai mon index pour titiller ses petites et grandes lèvres. Moi aussi, je glissai une main pour me caresser par-dessus mon petit bout de tissu. J’osai aller de l’avant et glissai un deuxième doigt dans son intimité, elle vibra. Je me mis à lécher sa petite rosette en continuant mes caresses. Tout d’un coup, elle se crispa et un flot de cyprine vint couler le long de ses lèvres vers ma langue. J’avalai avec délectation se divin nectar. Le temps suspendit son vol quelques instants. Elle se redressa, les joues rosies et me sourit :



Le parfum d’ambiance au jasmin, agrémenté des effluves de son corps donnaient à la pièce une atmosphère électrique. Je m’approchai d’elle, de son visage et nos bouches échangèrent un long baiser. Mes mains caressaient son dos, et sa nuque.



Droite devant elle, je pris ses mains pour les amener sur les boutons qui fermaient ma blouse. De sa position assise sur le banc, elle était face au haut de mon buste.



Du haut vers le bas, ses mains ouvrirent ma blouse et elle put voir que je portais juste un soutien-gorge blanc en tulle et une culotte transparente marquée de mon excitation. La blouse tomba au sol. Des frissons parcoururent mon corps et la chair de poule apparut sur ma peau.


Je défis mon soutien-gorge et le jetai au sol, la laissant me regarder. Ses yeux, imaginais-je, étaient désireux de mon corps. Mes seins, plus petits que les siens, avaient néanmoins des tétons un peu plus longs avec des aréoles plus larges, entourées de grains de beauté. Je pris une nouvelle fois ses mains que je posai sur mes hanches. Je les fis descendre en entraînant ma culotte. Je levais chacune de mes jambes pour la dégager tout en regardant attentivement Lucie. Elle était fascinée et cela ne me procurai que d’avantage de plaisir et d’excitation.


Ses mains remontèrent sur mon corps et en me penchant j’approchai mon buste de sa bouche. Elle prit mon sein gauche d’une main et le porta à ses lèvres. Un doux baiser. Ma main droite vint sur sa nuque pour légèrement la caresser et l’appuyer contre moi. Ses lèvres mordillèrent mon téton et je sursautai. Je vis son regard coquin. Elle m’enserra et continua à me prodiguer des baiser et caresses vigoureuses à mes seins. Je caressais ses cheveux, mon souffle de plus en plus rapide.


Je posai ma jambe droite sur le bord du banc et me collai encore plus à elle. Ses mains glissèrent pour caresser mes reins et mes fesses. Ses baisers se posèrent sur mon ventre et sa langue s’amusa dans mon nombril.



Sa tête qui descendit d’un cran et une de ses mains se mirent alors à explorer mon antre. Mon pubis taillé en ticket de métro lui montrait bien mes lèvres, plus larges et grandes que les siennes. Je mouillais fortement et ce lubrifiant naturel brillait doucement. Mon clitoris était dur et sans aucune appréhension, elle vint le lécher et le cajoler. Je prenais mon plaisir. Une main et sa langue s’activaient sur mon bouton et mes lèvres à tour de rôle, pendant que l’autre main caressait ma jambe et mes fesses.


J’en voulais plus. De ma main droite, je pressai mes seins à tour de rôle, pinçai mes tétons, les fis rouler sous mes doigts. Avec ma main gauche, je guidai sa main de mes fesses vers ma rosette. Elle comprit aussitôt et sans préambule glissa son majeur au même instant que de son autre main elle pénétrait mon vagin de deux doigts. Je fus parcourue de spasmes de plaisir. Elle n’eut le temps de faire que quelques allers-retours et je m’effondrai sur elle pour posséder sa bouche tellement ma jouissance fut forte.


Je suis venue l’enjamber pour la chevaucher mais ma jouissance et celle qu’elle avait eue nous avaient épuisées. Nous nous embrassâmes doucement et langoureusement.



Bien que les exercices ne soient pas finis, c’était bien la fin de cette séance. Nous nous habillâmes et après quelques bavardages et conseils sur l’exercice à continuer chez elle, je fixai un nouveau rendez-vous avec Lucie. Une simple bise fut échangée avant son départ.


Je vous laisse imaginer le reste de la journée ainsi que mon retour au domicile. Vivement le prochain rendez-vous.