Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16189Fiche technique10907 caractères10907
Temps de lecture estimé : 7 mn
18/05/14
Résumé:  Après plusieurs hésitations, je rencontre un homme via le net pour assouvir mes désirs homos.
Critères:  hh hbi hsoumis hdomine hmast fellation anulingus préservati hsodo
Auteur : Franck 6  (Franck)      
Première fois avec un inconnu

Depuis quelques mois, niveau sexuel, c’est le calme plat avec ma femme ; notre couple connaît un gros creux et mes envies d’amours masculines reviennent au galop. Après avoir eu quelques aventures avec mon pote Sylvain, je veux passer à autre chose et j’ai envie de baiser avec un mec, sans autre pensée que prendre du plaisir sans se prendre la tête. J’ai donc été sur des sites de petites annonces par chez moi et je laisse mon profil. Je discute avec deux gars mais ça ne va pas plus loin. Puis je reçois un mail de Philippe qui me dit que mon profil l’intéresse. Il est bi comme moi, sa copine habite à 100 km de chez lui et il aime se faire prendre par des mecs quand il est seul la semaine. Nous commençons donc à discuter, à nous exciter par mail, et nous nous envoyons nos photos. Je ne suis pas emballé par le physique de mon interlocuteur ; sa photo fait un peu psychopathe ! Je préfère arrêter là.


Après quelques semaines de silence, je lui demande des nouvelles : il a trouvé un mec avec qui c’est resté soft – branle et suce – mais il est resté sur sa faim. On recommence à discuter et, malgré la photo, il m’excite. Au fil des discussions, il aime que je lui dise que je vais le dominer gentiment, le traiter de salope, le prendre comme une femme en chaleur ; bref, il veut devenir MA salope.


Rendez-vous est pris un jeudi midi ; j’avoue que je suis assez angoissé. Ma femme pourrait vouloir m’appeler, des copains manger pas loin… Bref, je veux éviter les ennuis ; et puis je ne sais pas ce qui m’attend chez Philippe, 1,90 m, bien gaulé, qui peut – malgré mon mètre 83 – très bien devenir violent.


Après quinze minutes d’hésitation, et donc de retard, je sonne à la porte. Le premier contact est une poignée de main chaleureuse, un grand sourire et une gêne réciproque qui m’enlève tout doute quant à ma présence ici.

Il me propose un café ; on s’assoit sur le canapé, on discute comme si on se connaissait depuis un moment et il pose sa main sur ma cuisse, me regarde dans les yeux et remonte sa main sur mon sexe qui se réveille.



Je me lève, enlève mon pantalon et mon caleçon ; je suis en tee-shirt devant lui, le sexe maintenant bien dur. Il le prend dans sa main et le caresse doucement. Mon sexe de 18 cm le faisait fantasmer dans nos mails, et il me disait toujours combien il avait envie de le sucer et de le sentir en lui. Doucement, il avance sa bouche et lèche mon gland, enfourne ma queue qui disparaît dans sa bouche chaude et humide. Je suis aux anges.



Il l’enfonce le plus profondément possible et mon sexe entier est entouré de la chaleur de sa langue, de ses joues, de cette bouche que je veux depuis des semaines. Je prends sa tête dans mes mains et donne le rythme, pas trop rapide, juste ce qu’il faut pour le dominer un peu, comme il aime.



Il descend, me lèche les bourses, les avale, me regarde dans les yeux en gémissant doucement. On change de place ; je me rassois sur le canapé, il se déshabille et se met à quatre pattes devant moi, engloutit ma queue et continue son travail de sape pendant que je caresse ses fesses, passant doucement sur son trou qui palpite, qu’il tend à chacun de mes passages. C’est fou comme on peut se sentir chienne avec une queue dans la bouche ; je l’ai déjà ressenti, mais c’est la première fois que ce n’est pas moi qui ai envie de me faire prendre et dominer : le ressenti est bizarre. Je me lève et le contourne, je lèche ses couilles puis prends sa queue que je fais passer derrière, alternant ainsi les léchouilles sur son gland et sur son anus. Je le suce quelques minutes ainsi, puis le fais s’asseoir sur le canapé. Je le suce à nouveau puis soulève ses jambes et lui lèche la rondelle, doucement, consciencieusement. Il me tend une capote ; je la mets et le grand moment va enfin arriver !



Je me place capuchonné devant ce petit trou tout serré et je force doucement l’entrée ; ça résiste mais je continue et mon gland disparaît bientôt, puis toute ma bite est avalée par ses entrailles.



Je commence alors les va-et-vient. Je me suis branlé deux fois le matin même pour durer le plus longtemps possible. Je le baise tranquillement, puis de plus en plus vite, l’entendant gémir, le regardant, les yeux fermés, profiter du plaisir que lui procurent mes coups de reins. Je le fais mettre à quatre pattes sur le canapé, me positionne derrière lui et recommence à le pistonner de plus belle, puis je m’arrête :



Il commence alors à bouger et à se baiser seul. Étonnamment, je n’ai pas envie de le défoncer, comme on peut dire, mais bien de lui donner le maximum de plaisir alors qu’au départ je pensais vraiment venir baiser et repartir. J’ai envie de faire durer le plaisir, je n’ai jamais connu ma femme aussi dévouée et soumise sexuellement ; je veux en profiter et partager. Je le vois aller et venir, gémir de plaisir.



Je reprends le contrôle et accélère le mouvement ; mes couilles claquent sur son cul et je le sens prêt à venir. Je m’assois sur le canapé, il vient s’asseoir face à moi et s’empale sur mon vit.



Il insère ma bite en lui et commence à chevaucher ; je me penche et lui lèche le gland en même temps, je m’allonge sur le côté du canapé, ayant ainsi le bassin relevé et je peux maintenant le sucer pendant que je le baise, j’adore ! Il me prévient qu’il va jouir ; je le branle doucement en accélérant mon pilonnage et le voilà qui me jouit dessus, je sens son sperme sur mon corps. Je me retire doucement, enlève la capote et me mets à côté de lui ; il prend mon sexe et me branle doucement, puis vite au-dessus de son torse que je ne tarde pas à maculer de foutre qui gicle loin jusque sur son visage.



C’est bizarre comme les relations avec un mec sont plus simples. On en rit tous les deux, puis direction la douche. Je caresse son sexe qui est dressé depuis la fin de nos ébats.



Je m’agenouille devant lui et le suce doucement en le regardant dans les yeux ; il ferme les yeux et profite. Je me relève au bout de quelques minutes ; il se baisse et me suce également avant de se relever, prendre une capote dans le tiroir de la salle de bains et de me dire :



Il se tourne, je me positionne mais j’ai envie de le caresser avant tout ; je me colle à lui, laissant ma queue entre ses fesses, pour prendre en main son sexe et le branler doucement en pinçant son téton de l’autre main. Sa tête vient s’appuyer sur la mienne ; pour la première fois, on s’embrasse. Je n’ai jamais aimé ça, mais là c’est le bon moment pour le faire, ce n’est plus de la baise ; j’ai envie de le prendre doucement, délicatement, presque de lui faire l’amour. Je pointe alors vers son anus. Il se baisse un peu pour m’aider et mon gland est avalé rapidement par son trou encore ouvert. Il se penche en avant et me voilà en train de le prendre vigoureusement sous la douche, caressant son dos, ses tétons, sa bite. J’accélère mais je sens que ça va durer un moment : trois éjaculations depuis le matin, je vais mettre du temps à jouir cette quatrième fois. Je commence donc à franchement le pilonner. Il crie maintenant.



D’un coup il est redevenu salace et l’effet sur moi est immédiat ; je suis en transe, son cul est superbe et je veux le baiser encore et encore.



Il prend mon sexe, le sort et m’emmène sur son lit ; nous sommes trempés, mais qu’importe. Il s’allonge sur le ventre et je me mets sur lui, m’enfonce à nouveau et recommence à le baiser.



Je me relève et le baise de toutes mes forces, je le pilonne ; il crie à nouveau, me demande d’y aller à fond. Je le retourne, le mets sur le dos, m’enfonce sans ménagement et le prends fort en le branlant et l’embrassant. Il vient rapidement, hurlant son plaisir ! Je continue quelques secondes et jouis dans la capote, m’effondrant sur lui, l’embrassant à pleine bouche.



On reste allongé l’un à côté de l’autre, se parlant de nos femmes/copines respectives, du fait que nous sommes assez limités sexuellement avec elles. Puis je rentre chez moi, reprends une douche en espérant le revoir très vite pour le baiser à nouveau mais aussi pour essayer à mon tour de sentir une bite en moi.