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Temps de lecture estimé : 12 mn
22/05/14
Résumé:  Récit autobiographique d'une jeune femme qui se prend de désir pour deux collègues et parvient à ses fins : les avoir en même temps.
Critères:  fh fhh collègues hotel école revede exhib fellation 69 partouze confession
Auteur : Lily Moon      
Jules et Jim

J’étais alors une jeune célibataire, libre comme l’air, dans les vingt-huit ans. J’avais atterri, pour des raisons trop longues à expliquer ici, dans une école de langues étrangères pour adultes à Kyoto au Japon où j’enseignais le français. J’ai rapidement fait la connaissance de deux autres jeunes collègues étrangers, célibataires à peu près du même âge que moi. L’un comme l’autre étaient Australiens. Christopher était un grand et beau mec, costaud, un peu du genre surfeur. Jan cultivait un côté plus intellectuel et romantique. L’un comme l’autre enseignaient l’anglais. Nous étions les trois seuls étrangers de l’école. Ils étaient sympas, complices et furent ravis d’accueillir une jolie Française. Les Anglo-saxons adorent les femmes françaises avec leur lovely accent. Je les aimais bien. Nous sortions souvent ensemble pour aller dîner le soir après les cours. En fait, Jan était le plus mignon et sans doute le plus fin des deux, mais l’autre aussi était bien, dans un autre genre, plus tonique.


Un soir, nous sommes allés grignoter dans une auberge et nous avons bu du saké en avalant des brochettes. Le temps passait et ils m’ont proposé d’aller dans un karaoké. Je n’avais pas trop envie de chanter… Mais j’ai compris peu après l’avantage de la situation. Le karaoké au Japon, c’est une sorte de pièce fermée, une table, des banquettes autour et un grand écran, bref un endroit plus intime qu’un restaurant, sans pour autant être totalement privatisé puisque le serveur peut entrer à tout moment pour resservir les boissons. Mais quand même… Ils m’ont fait installer sur la banquette entre les deux et nous avons commencé à chanter, micro en main, des chansons anglaises. J’ai chanté une ou deux japonaises que je connaissais et ça les a impressionnés. Nous étions bien détendus et soudain je réalisai que je les désirais, non pas l’un ou l’autre, mais les deux. Oui, j’avais envie des deux ! Ce désir, je ne me l’étais jamais explicité si clairement mais là, soudain, assise dans une relative intimité entre eux deux, ça devenait évident.


Christopher, le plus dégourdi des deux, m’a enserré les épaules pendant qu’on chantait en duo, puis a laissé traîner une main sur mon genou ou ma cuisse (j’étais en pantalon). Nous avions commandé des whiskies on the rocks et nos esprits commençaient à s’embrumer passablement, le mien en tous cas. Finalement il m’a embrassée et je l’ai laissé faire, et il a commencé à me caresser les seins sur le pull. Quand il a cessé de m’embrasser, je me suis redressée un peu et c’est alors Jan qui, de l’autre côté, m’a prise dans ses bras pour m’embrasser à son tour. C’était assez magique. J’avais l’impression que nous étions tous les trois sur la même longueur d’onde. Devenir la copine de l’un en écartant l’autre ne m’intéressait pas, et ils l’avaient apparemment compris.


Je les ai embrassés ainsi tour à tour pendant que leurs mains partaient à l’aventure sur mon corps, mes seins, mes cuisses. Ce n’était pas désagréable du tout de les sentir palper mes rondeurs. Bref ça devenait chaud. Vite, ils se sont glissés sous le pull mais j’ai refusé de l’enlever parce que les gens du karaoké pouvaient me voir… Christopher, je crois, a déboutonné mon pantalon pour me caresser un peu entre les cuisses mais je n’ai pas voulu aller beaucoup plus loin, toujours de peur d’être vue de l’extérieur. Dans le feu de l’action, j’ai palpé leurs sexes aussi par-dessus les pantalons. C’était très bon de se sentir ainsi entourée par ces deux hommes, avec leurs deux sexes à portée. Mais je ne les ai pas défouraillés et encore moins sucés… même si j’en avais envie.


La nuit avançait et, de toute façon, nous ne pouvions guère aller plus loin. Le boulot reprenait le lendemain et nous habitions assez loin les uns des autres. Nous avons promis de nous revoir vite. En nous séparant, Jan crut bon de dire que c’était sans doute une belle aventure qui commençait entre nous. J’ai déposé un baiser sur la bouche de chacun d’eux en guise d’au revoir. Je suis rentrée seule chez moi dans un état d’excitation indescriptible. Seule dans mon lit, je les imaginais et je pouvais presque sentir le contact de leur peau douce et chaude. J’essayais d’imaginer leurs mains, leur bouche, leur sexe… J’étais toute mouillée…


Dans les jours qui suivirent, nous nous sommes recroisés à l’école mais nous étions un peu gênés et je sentais un lourd non-dit dans la banalité des propos que nous échangions. Pourtant le soir, seule dans mon lit, je ne pensais qu’à eux. C’était une vraie pulsion érotique parce que je n’étais pas vraiment amoureuse de l’un ou de l’autre. C’était d’ailleurs sans doute pourquoi j’étais prête à me laisser aller avec les deux (vous me suivez ?). J’étais envahie par le désir et l’ivresse de leurs caresses. Je me laissais complètement aller dans mes fantasmes. J’ai même imaginé que nous allions tous les trois au cinéma, que j’étais assise entre eux et que je sortais leur sexe de leur pantalon et les caressais tous les deux doucement pendant le film…


Et puis un soir, nous sommes allés boire un verre dans un café sympa près de l’école. Ce pot n’était pas prévu parce que nous avions eu une longue journée et que nous devions rentrer tôt. Nous avons bavardé un bon moment et ils m’ont avoué que la soirée karaoké les avait marqués. Jan qui était un peu poète, nous déclara qu’il avait des étoiles filantes dans les yeux depuis… Christopher émit alors l’idée que nous retournions dans l’école, puisque elle était vide à cette heure tardive et que nous en avions les clés. J’ai évidemment accepté de les suivre. Une fois dans l’école, quelqu’un a proposé de faire une petite escapade sur le toit plat en terrasse, au quatrième étage. Dans un couloir, Jan m’a embrassée pendant que Chris avait disparu pour chercher je ne sais quoi, et je l’ai gentiment laissé me peloter. Puis, sur le toit, pendant que nous regardions en bavardant la ville s’écouler doucement à nos pieds, ils se sont mis à me caresser les fesses sur mon pantalon. Chacun avait disposé une main sur l’une de mes fesses et ils me caressaient ainsi doucement. C’était délicieux. C’est alors que j’ai décidé d’aller jusqu’au bout de ce fantasme: faire des bêtises à trois en se lâchant complètement…


Nous sommes redescendus assez vite à l’étage plus bas parce que le froid était trop vif (car il fait un froid de gueux à Kyoto, l’hiver) et nous sommes entrés dans une salle de classe. Nous avions laissé les lumières éteintes, si bien que nous étions dans une pénombre plus propice aux ébats, simplement éclairés par les feux de la ville. Cette fois-ci, nous étions vraiment libres : leurs mains étaient sur moi, sous mon pull et c’était excitant de me laisser faire. Ils m’ont effeuillée lentement et je me suis rapidement retrouvée à moitié nue entre eux. Chris m’embrassait et Jan avait entrepris de défaire mon pantalon. Je me suis retrouvée debout entre eux deux. C’était bon de se faire câliner et déshabiller ainsi. Christopher devant moi m’embrassait en me caressant les seins tandis que Jan derrière me pelotait les fesses et faisait glisser ma culotte. Jan a glissé à genoux et a entrepris de m’embrasser les fesses. Il déclarait sur un ton théâtral que j’avais le plus beau cul du monde… (C’est vrai qu’il n’est pas mal et que j’en suis fière, mais sachons rester modeste…). Christopher, le plus masculin et le plus entreprenant des deux, a sorti son sexe pour que je le caresse. Il était dur et vibrait sous mes doigts. C’était bon. Alors de moi-même, je me suis allongée toute nue sur une table et je les ai laissés me caresser, me lécher, me baiser aussi.


Jan m’a léché un peu la chatte et il a essayé de me pénétrer mais il a débandé. Je pense qu’il stressait un peu dans cette école… et c’est Christopher qui est venu me prendre à sa place. Pendant ce temps, Jan qui me tenait les mains par derrière m’embrassait et me mordillait les seins. C’était si bon de me sentir la reine au milieu de ces hommes. À un moment, j’ai eu l’impression que Jan ne supportait pas la vue de Chris me baisant, d’autant que je gémissais sous ses coups de boutoir. Enfin, peut-être qu’il se sentait juste mal à l’aise parce qu’il n’avait pas réussi à bander… J’ai alors pensé que c’était un grand sensible.


À ma grande déconvenue, Christopher a dû cesser assez vite sa besogne parce qu’il avait un rendez-vous. Oui, un rendez-vous ! Notre petite sauterie n’avait pas été programmée et personne n’aurait pu penser que nous allions ainsi faire les petits fous dans l’école… Je pense que Chris devait aller retrouver une fille… Il était tout penaud. C’en était presque drôle.


Il m’a donc laissée seule avec Jan qui était assez gêné. Jan m’a avoué sa panne, mais c’est un grand garçon et il ne s’est pas laissé abattre. Il s’est remis à lécher ma petite chatte. Il ne s’y prenait pas très bien, alors je lui ai demandé de me fourrer avec ses doigts aussi… Il n’a pas réussi à me faire jouir. Il faut dire que l’endroit n’était pas confortable et que mon jeune collègue aurait eu besoin de cours de formation, ce que l’école, hélas, ne prévoyait pas… mais c’était excitant quand même.


Comme il ne pouvait pas me pénétrer, je lui ai fait un câlin. Nous étions debout, nus tous les deux et c’était assez agréable qu’il me prenne dans ses bras aussi. Je ne sais plus trop comment ça s’est fait, mais après quelques instants, il s’est retrouvé derrière moi. Il m’embrassait dans le cou et me caressait les seins. Il s’est mis à bander assez fort et c’est lui qui m’a demandé :



Demandé gentiment comme ça, forcément, je me suis mise à genoux. Cela m’excitait de le prendre ainsi. J’ai été surprise parce que son sexe était épais avec un gros gland et j’avais du mal à le sucer… mais il bandait bien. C’est dur d’être une petite enseignante dans une école de langues ! Je me disais que la prochaine fois que nous nous amuserions, il faudrait quand même que je sois plus performante si j’en avais deux à choyer…


En fait, je me disais qu’ils n’étaient pas de si bons amants. Ils ne savaient pas très bien comment s’y prendre et j’avais l’impression que Jan n’avait pas une expérience sexuelle très ancienne. Il était adorable mais je voyais bien qu’il ne savait pas vraiment caresser une femme. Je me disais que j’avais un peu de temps pour lui apprendre. En rentrant chez moi, je riais en silence : je trouvais que j’étais quand même une sacrée fille, parce que se faire baiser sur une table d’école par deux hommes, ça n’est quand même pas si commun ! Je me sentais comme libérée d’avoir osé me lâcher avec ces deux jeunes hommes dans un lieu qui n’était pas fait pour ça du tout…. C’est resté gravé dans ma mémoire. C’était comme un grand pied de nez à la morosité de la vie.


Les jours suivants, je continuai à fantasmer sur la rencontre à trois que nous avions projetée, cette fois pour aller au bout de nos fantasmes. Nous nous sommes retrouvés assez tard, un soir, à la sortie de l’école. Nous avons pris simplement un verre car nous avions tous déjà grignoté un peu. Ils m’ont assez vite confirmé qu’ils voulaient m’entraîner dans un hôtel et comme moi, j’étais venue pour ça… Donc nous nous sommes retrouvés à trois dans une chambre. On a préparé du thé et on s’est installé sur une banquette pour boire, exactement comme au karaoké. Mais là, nous étions seuls et plus décidés sans doute. Les choses cette fois n’ont pas trop traîné.


Comme la dernière fois, c’est Christopher qui s’est montré le plus entreprenant au début. Il m’a embrassée en glissant ses mains dans mon chemisier qu’il a presque tout de suite dégrafé. Pendant qu’il dégageait les seins de mon soutien-gorge pour les lécher, j’ai embrassé Jan qui, lui, a commencé à glisser ses mains sous ma jupe. C’était si bon d’avoir la langue de l’un sur ma poitrine et la main de l’autre qui s’aventurait le long de mes cuisses. Cette fois-ci, pas question de les en empêcher et je me suis vite retrouvée en string. Puis Christopher a pris ma main qu’il a posée sur son sexe qu’il avait défouraillé et je me suis mise à le caresser. Pendant que Jan me caressait les cuisses puis me léchait entre les jambes, j’ai pris la queue de Christopher dans la bouche et je l’ai sucée. Puis ils ont changé de place, Jan a enlevé ses vêtements et il est venu me présenter sa queue à lécher alors que Christophe faisait glisser mon string et me caressait avec ses doigts. C’était vraiment bon de se sentir ainsi entourée. J’avais partout sur moi des mains et des bouches sur mon corps et moi-même toutes ces queues frétillantes pour moi… hihihi… Nous sommes restés ainsi un moment, mais la position devenait inconfortable.


Je suis allée alors vite prendre une douche et leur ai enjoint de faire de même, chacun son tour. Je me suis retrouvée vite nue sur le lit. Et ils sont venus m’entourer chacun de leur côté, m’envahissant de leurs mains et de leur bouche. Je sentais leur queue se frotter contre mon ventre et mes fesses et j’étais envahie par le désir et l’ivresse de leurs caresses. Je me laissais complètement aller et n’attendais plus que de me faire baiser selon leur désir… Au bout d’un certain temps, je me souviens que Christopher s’est mis à me pénétrer pendant que je prenais en bouche la queue de Jan. Puis ils ont inversé et j’ai pris Christopher dans ma bouche pendant que Jan essayait de me pénétrer mais, encore une fois, avec le préservatif, il bandait mou et ça ne marchait pas trop. Ils ont donc de nouveau changé de place et je me suis retrouvé encore avec Jan dans les doigts et la bouche. Cette fois-ci j’étais à quatre pattes, Christopher me baisait et moi je léchais Jan. Je crois que j’ai joui comme ça, avec le sexe de l’un dans le ventre et la queue et les couilles de l’autre dans la bouche. (J’aime écrire soudain comme ça de manière plus vulgaire car ça correspond aussi dans mon souvenir au moment de débauche intense à laquelle je me suis alors livrée).


Ils m’ont beaucoup caressée mais pas toujours de manière très adroite. Je me souviens à un moment de l’un entre mes cuisses en train de me lécher alors que je prenais l’autre dans ma bouche. Jan était très excité et finalement il est parvenu à me pénétrer lui aussi. Il a joui très fortement.


Nous étions épuisés. Alors Jan nous a expliqué qu’il devait rentrer car il était déjà tard et il avait cours très tôt le lendemain. Il est parti après s’être douché. Je me suis retrouvée seule avec Christopher. J’aurais préféré l’inverse mais, d’un autre côté, Christopher est le plus viril des deux. Nous étions quand même assez fatigués et, après quelques caresses, nous nous sommes endormis.


Le matin, Christophe m’a prise au réveil et c’était bon. Il m’a bien ramonée et j’aimais ça. J’ai joui. Puis nous nous sommes installés en 69 pendant un bon moment et je l’ai bien léché pendant qu’il me suçait (assez maladroitement je dois dire) le minou. Je l’ai fait jouir dans ma bouche. C’était si bon. Puis nous avons quitté l’hôtel, pris un petit déjeuner, et nous nous sommes séparés.


Par la suite, le hasard a fait que je les ai revus séparément. Christopher est venu chez moi : une histoire de chat à nourrir pendant une absence de ma part de quelques jours. Chris est donc venu à la maison et je lui ai expliqué et donné les clés. J’avais préparé un petit repas aussi. À la fin du repas, on s’est un peu laissé aller… et puis il me fallait bien le récompenser quand même ! Il m’a enlevé le haut pour s’occuper de mes seins. Mais j’avais mes règles et j’ai donc gardé le pantalon. Pour ne pas qu’il soit frustré, je lui ai donné ma bouche à baiser et lui ai fait une belle pipe. Il a joui sur mes seins. C’était quand même délicieux.


Quant à Jan, nous nous sommes revus quelques jours plus tard à une sortie de l’école. Christopher n’était pas là. Nous avons pris un verre ensemble. Puis, sentant son désir et étant moi-même excitée, je l’ai laissé m’entraîner dans un hôtel. Le souvenir de cette séance intime n’est pas resté gravé dans ma mémoire de manière très intense. Je me souviens simplement que, pour l’aider à me pénétrer, je lui ai facilité la tâche en remontant bien mes genoux sur ma poitrine, ce qui rendait, j’imagine, mon pussy très indécent mais bien offert… Cette fois-ci, loin du regard de son camarade, et sans doute plus à l’aise, il m’a prise puissamment et n’a pas vacillé.


Eh bien, vous ne me croirez pas mais ces deux-là sont devenus froids à mon égard par la suite. C’est à peine s’ils m’adressaient la parole. J’en ai beaucoup souffert sur le moment parce que je trouvais cela injuste. J’avais l’impression qu’ils me prenaient pour une salope dévergondée, ou que-sais-je ? Il est vrai que je n’avais pas froid aux yeux en ce temps-là, mais quand même ! C’était une histoire désirée par nous trois, cette aventure. Je n’avais forcé personne et, eux, encore moins. Bref, ils m’ont ignorée pendant plusieurs semaines et j’ai fini par leur tourner le dos à mon tour, pour aller voir ailleurs. Avec le recul, je me dis que peut-être ont-ils eu raison. Notre trio n’avait guère d’avenir. Après tout, que pouvions-nous faire de plus que ce que nous avions déjà expérimenté ? Nous installer dans une relation triangulaire aurait certainement fini par produire des jalousies ou du mal-être. Me trompé-je ?