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Temps de lecture estimé : 8 mn
23/05/14
Résumé:  Adepte des massages, je décide de passer au cran supérieur et de tester le massage naturiste.
Critères:  fh massage intermast
Auteur : Christophe      
Un délicieux massage naturiste

Bonjour à toutes et tous. Fidèle lecteur de Revebebe, je me décide à prendre le clavier pour vous relater mes dernières expériences qui ont pris forme grâce à certaines publications du site. Je m’appelle Christophe, je suis un néo-quadra installé sur la côte d’Azur. Il est vrai que depuis cinq-six ans, je suis devenu adepte des massages californiens, thaï…, délicieux instants de détente et de décontraction. Maintenant, c’est toujours un peu frustré que j’en ressortais, tant j’espérais que la masseuse (je n’ai jamais été massé par des hommes) laisse traîner un peu plus les mains aux endroits bien placés. Bref, le massage « en-tout-bien-tout-honneur » est certes fort agréable mais je sentais bien que je voulais aller plus loin…


C’est à force de lire sur Revebebe certains récits de massages envoûtants, récits à la prose diablement efficace, que j’ai décidé à franchir le pas. On va mettre ça sur le compte des quarante ans qui fait que je n’ai plus envie de passer à côté de certaines envies. Âgé oui, frustré non. C’est toutefois avec fébrilité que je me suis mis à chercher des salons de massages ne laissant plus le doute possible quant à la nature des prestations. J’avais quand même envie de ne pas tomber dans le glauque ; passent donc les annoncent sans saveur qui fleurissent sur la toile, je me décide enfin sur un salon haut de gamme proposant de nombreuses prestations dans un cadre raffiné. Depuis le massage classique en passant au massage naturiste, jusqu’au body-to-body prometteur… « Massages à but non thérapeutique » ; ben oui, j’imagine. De nature peu pudique, c’est sans hésiter que je fonce sur le body-to-body prometteur. Rendez-vous est pris par téléphone pour le surlendemain 19 h, un horaire idéal : fin d’une journée éreintante. Déjà, la voix langoureuse au téléphone laisse présager un moment inoubliable ; mais je suis de nature méfiante et je ne crois que ce que je vois. Cela ne m’empêche pas de passer les quarante-huit heures qui me séparent du rendez-vous avec le smiley, à me faire un millier de films qui au final n’arriveront pas à la cheville de la dite séance.


Le jour J est arrivé, la journée de travail se passe tant bien que mal. La voiture semble arriver toute seule non loin de l’institut et c’est avec surprise que je me vois appuyer sur l’interphone et répondre à l’interphone :



Deux étages à gravir dans un immeuble bourgeois de Nice, nouvelle sensation étrange et excitante de l’inconnu que l’on approche. Que vais-je bien trouver derrière cette porte ? La mention « Photos non contractuelles » n’était pas présente sur le site, que dois-je en penser ? Allez, je ne fais pas marche arrière et je frappe à la porte. Jamais des bruits de talons sur un plancher ne m’avaient autant ému. Ne parlons pas de la plantureuse femme blonde d’environ vingt-cinq ans qui vient m’ouvrir avec un magnifique sourire et qui me demande de la suivre, le temps pour moi de la dévisager de haut en bas : escarpins noirs, robe fendue noire, et comme je l’ai déjà dit, magnifique cheveux blonds et longs. Like !


Elle me demande de m’installer dans un canapé et me propose une boisson. Malgré la gorge sèche, un petit café m’ira très bien ; je prends soin de ma vessie. La même déesse revient quelques instants après pour finaliser la partie administrative d’usage.



Quel couillon je fais tout de même… Un vrai gamin de dix-huit ans qui flirte. Mais que c’est bon de ressentir ces sensations à quarante ans !


Et c’est avec un désir certain que je suis cette femme savoureuse dans cet appartement bourgeois au goût raffiné, sous une lumière tamisée propre à la méditation, et plus car affinité. Nous rentrons dans une pièce remplie de miroirs sur les quatre côtés et au centre de laquelle est disposée un gigantesque futon et quelques bougies d’ambiance. Cela tombe bien, avec mon mètre quatre-vingt-dix, je prends pas mal de place. Elle me tend des chaussons et une serviette de bain marron et m’indique la douche pour un premier rafraîchissement.


Je commence à me déshabiller, essaie de bien plier mes affaires (ça ne le fait pas trop de jeter ses chaussettes comme à la maison…) et m’entoure les hanches de ma serviette pour aller prendre la douche. Frotte mon grand, frotte ! Me voici de retour, lavé séché, seul dans cette belle pièce où j’attends ma partenaire, assis sur un fauteuil, en écoutant une musique d’ambiance fort agréable et en me demandant enfin qui va venir me masser.


La porte s’ouvre et voici de nouveau cette charmante demoiselle dans ces mêmes escarpins. De sa tenue initiale, ce sont les seuls éléments qu’elle ait gardés. Robe et sous-vêtements sont restés au vestiaire, révélant un léger tatouage sur la hanche. Elle est magnifiquement proportionnée et sa poitrine est tout juste magnifique. En descendant le regard, je tombe avec envie sur un sexe fraîchement épilé à l’exception d’une petite bande de poils blonds.



Sachant que je vais sans doute rester sur le ventre pendant une bonne vingtaine de minutes, j’essaie de prendre immédiatement une position confortable laquelle consistant principalement à bien positionner le sexe. Un peu de professionnalisme tout de même ! Je remarque immédiatement que les miroirs sont idéalement placés afin de profiter au mieux de la vue, l’un des cinq sens rarement mis en avant pendant un massage. Je vois donc ma masseuse s’agenouiller à côté de moi et verser dans ses mains une huile de massage qu’elle commence à réchauffer avant de me l’appliquer sur le dos.


Premier contact, premier émoi. La séance débute par un massage style californien avec des pressions moyennes sur le dos. Les mains tournoient sur mon dos, sans jamais le quitter et se rapprochent de ma nuque qu’elles massent légèrement. Elles redescendent le long de mes épaules puis reviennent sur mon dos pour effectuer des frictions latérales entre les lombaires et la naissance de mon ventre. Ce petit jeu dure quelques minutes puis la masseuse se place sur le côté et commence à se cambrer pour effleurer mon dos de ses seins. Ah ! Saint Miroir, que la vue est magnifique et la sensation voluptueuse. La pression des seins se fait de plus en plus forte et je la sens maintenant qui les écrase sur moi avec application, puis alterne la pression et les effleurements. Les bras le long du corps, je déplace subrepticement les mains afin d’effleurer ses jambes lisses, mais sans trop en faire car au final je ne sais pas où se trouve le curseur de l’interdit.


Je la sens alors qui se déplace pour se placer entre mes jambes et commencer à masser ma jambe droite. Ses mains remontent depuis mes chevilles jusqu’à la cuisse et je sens ses doigts plonger un peu plus en avant sous ma cuisse. Premiers contacts électriques avec les testicules qui commencent à bouillir. Le contact reste néanmoins fugace ce qui n’est pas à me déplaire dans la mesure où ses mains remontent le long de ma raie, contact tout autant agréable. Ces nombreux allers-retours se poursuivent à ma plus grande satisfaction pour ensuite s’effectuer à l’identique sur ma jambe gauche. Je sens mon sexe gonfler et sans doute commencer à humidifier quelque peu le matelas. Une fois la jambe gauche comblée, je la vois et la sens se cambrer et me caresser les fesses avec ses lourds seins pour enfin s’allonger entièrement sur mon dos et effectuer quelques mouvements enchanteurs. Pour ma part, je commence à soulever quelque peu mes fesses afin de rentrer un peu plus en contact avec son sexe, le frottement du mien avec le matelas augmentant ainsi mon plaisir.


Le côté pile ayant été satisfait, la déesse blonde à la généreuse poitrine me demande de me retourner. Le côté face est impatient de faire connaissance. J’en profite pour voir que mon sexe a pris une taille généreuse, mais peut mieux faire. Effectivement, le matelas est un peu mouillé des premières gouttes de plaisir. La position est encore plus confortable et me permet de jouir toujours plus du spectacle qui m’est offert : la masseuse, tout en prenant soin de ne pas croiser mon regard, s’évertue alors à prodiguer les mêmes délices que ceux offerts à mon dos. Mélange de massage, de caresses et d’effleurements, avec les mains, le long de mon buste puis de mon ventre, en tournant autour de mon sexe. Les quelques effleurements me font serrer les dents et lever les yeux vers le plafond. Le traitement effectué à mes jambes droite puis gauche est sensiblement identique à celui fait lorsque j’étais sur le dos : de longues caresses avec des mains de plus en plus baladeuses. Se plaçant entre mes jambes, elle commence alors à me plaquer la verge contre mon ventre pour me caresser de son autre main les testicules, puis alterne ses efforts entre une main et l’autre. Je suis aux anges et pour dire vrai je ne souhaite qu’une chose : qu’elle n’aille pas trop loin dans les caresses afin d’éviter l’éjaculation, épilogue à ce moment divin car, on le sait bien, post coïtum animal triste. Et pourtant, les caresses se font de plus belles et je me félicite de résister tout en profitant pleinement de l’instant. La Belle se cambre et commence à me caresser le sexe avec sa poitrine qui recueille mes gouttes de plaisir.


Cette femme-là s’applique à merveille et sait prodiguer le juste niveau de pression sur cet endroit de l’anatomie si électrique. Elle interrompt ses caresses pour venir se placer derrière ma tête et me masser le torse et le haut du ventre, partie la plus sensible chez moi. Je remercie mon mètre quatre-vingt-dix qui lui impose de s’étirer de tout son long pour venir titiller une nouvelle fois mon sexe. Un coup d’œil par-dessus la tête : quelle vue sur ce corps magnifique ! Elle n’hésite pas à placer son sexe épilé au-dessus de ma tête.


Quelqu’un rentrant dans la pièce penserait que je suis en train de lui prodiguer le plus agréable des baisers, mais la porte est fermée, et je n’ose pas appliquer la langue sur ce sexe qui semble pourtant le demander. Je me contente d’avancer légèrement mon visage et de remplir mes poumons de cette odeur suave et particulière ce qui a pour effet de gonfler mon sexe un peu plus. La fellation ne sera hélas pas pour aujourd’hui mais les dernières caresses prodiguées ont raison de mon sexe qui évacue sa semence après que j’en aie eu averti ma délicieuse partenaire. Cette dernière prend le plus grand soin à s’occuper de mon membre puis s’étend de tout son long contre mon corps humide. Ces instants seront les derniers de cette magnifique séance. Après avoir échangé quelques mots avec la Belle, celle-ci m’invite à prendre le temps qu’il faut pour récupérer puis aller me doucher. À mon retour, je la retrouve habillée dans un long peignoir, avec ce superbe sourire en guise d’invitation pour une prochaine séance qui, vous l’aurez compris, ne saurait tarder. Et plus car affinités !