n° 16211 | Fiche technique | 20304 caractères | 20304Temps de lecture estimé : 14 mn | 05/06/14 |
Résumé: Un homme, une femme dans un train... | ||||
Critères: fh campagne train cérébral fellation | ||||
Auteur : Morgane82 (Lectrice régulière de nouvelles et récit érotique.) Envoi mini-message |
Il est 6 h 30, le vent souffle ce matin et il ne fait pas chaud. Je gare ma voiture sur le parking, il n’est pas encore arrivé. Sa voiture n’est pas là. En général, le matin, je suis toujours là avant lui.
Je jette un dernier coup d’œil dans mon rétro, j’ai une tête à faire peur ce matin… J’ai du mal à me réveiller ces temps-ci, mais savoir qu’il sera là m’aide à me lever. Je sors, verrouille les portes et me dirige vers la gare. Malgré l’heure matinale, il y a déjà pas mal de monde qui attend sur le quai. Je valide ma carte et me dirige vers le banc du fond. S’il veut me trouver, il sait où me chercher.
Je m’installe, allume une clope et ouvre le dernier livre que je suis en train de lire sur mon téléphone, je remercie celui qui a inventé les livres numériques, plus besoin de porter des tonnes de papier…
Je fais style de ne pas le voir arriver, mais même plongée dans ma lecture, je le vois approcher. Je le sens arriver et je souris toute seule… Il s’approche, me touche le pied du bout du sien, je lève le visage vers lui et il m’embrasse. Enfin, il frôle mes lèvres, un petit baiser innocent qui s’est transformé d’une simple bise en smack avec beaucoup de patience et de temps.
Mais aujourd’hui, j’ai envie de jouer un peu, j’en veux plus. Je lui rends son smack, mais lui en refais un second tout en glissant ma main dans son cou, je ne veux pas qu’il m’échappe. Je lui murmure de m’embrasser, repose mes lèvres sur les siennes, il ne bouge pas, j’entrouvre mes lèvres et fais doucement glisser ma langue sur les siennes tout en essayant de lui faire ouvrir les lèvres. Je le sens mal à l’aise, je relâche mon étreinte, lui souris avec un regard désolé et m’éloigne vers le bord du bâtiment. Je ne veux pas qu’il me voit pleurer, je n’arriverai pas à retenir mes larmes après ce cuisant échec… Moi qui ne prends jamais d’initiative, celle-là m’aura calmée pour un moment, je pense… S’il veut obtenir quelque chose de moi, il n’aura qu’à se servir, mais je ne ferai plus rien…
Il est 6 h 50, le train ne va pas tarder, j’ai froid et je ne suis plus très à l’aise, je sors mon téléphone et branche mes écouteurs. Au moment où j’allais me les mettre dans les oreilles, je l’entends qui me dit :
Il s’approche de moi, me pousse contre le mur et m’embrasse violemment, il mord ma lèvre inférieure, nos dents s’entrechoquent, ma respiration se fait de plus en plus haletante, sa langue joue et s’emmêle à la mienne… Je soupire de bien-être, enfin, il me tient… Je ne veux pas que ça s’arrête. Je tiens sa nuque d’une main, maintenant son visage contre le mien, mon autre main posée sur son torse, coincée entre nous deux…
« Le train à destination de Toulouse va entrer voie 1 » est la phrase qui m’a fait revenir sur terre. J’en avais presque oublié qu’on était sur le quai de la gare… Je sens ses lèvres m’abandonner et un grand vide me traverse. Il est déjà parti se remettre en place sur le quai. Le train est là, mais je ne sais plus quoi faire. Au moment où il monte dans le train, son regard m’attrape et sur ses lèvres, je lis « viens ».
Encore un peu chancelante, je monte dans le train, je le cherche des yeux, il est là, il m’a gardé une place. Je m’assois et le remercie. Je suis mal à l’aise, j’ai envie de me blottir dans ses bras, sentir sa chaleur à travers sa chemise, glisser mes mains sur son torse, mais je n’ose pas… Il ne dit rien et moi non plus, le trajet va être long si on se mure dans le silence tous les deux.
Il attrape son téléphone, consulte sûrement ses textos, certainement ceux de son « officielle », je me contrefous de sa femme, mais quand je le vois discuter avec « elle », je me retiens de ne pas exploser… Pourtant je n’ai aucun droit sur lui et si j’en suis là aujourd’hui, c’est qu’il n’est fidèle à personne, alors je me renferme un peu plus sur moi-même.
Je pose la tête contre le dossier et ferme les yeux… Mon téléphone vibre… Ça doit être Bruno pour me souhaiter une bonne journée, je le lirai plus tard… Mon esprit s’égare et brusquement, je sens ses doigts sur ma cuisse. Je ne bouge pas, la surprise fait place à une douce torpeur. Mon cœur s’accélère et je sens mes joues s’empourprer, puis je l’entends dire :
J’entrouvre un œil, le regarde, il a un sourire au coin des lèvres et son regard malicieux, je fonds quand il fait ça… j’attrape mon téléphone et ce n’est pas Bruno qui m’a écrit mais bien lui…
Je suis désolé pour ma réaction, mais j’ai toujours peur de croiser du monde que je connais, ne le prends pas pour toi, je te veux « jouet » autant que tu souhaites l’être, mais il faut faire attention…
Je le regarde, je ne sais plus quoi dire… J’avale difficilement ma salive et lui dis enfin « ok » et je referme les yeux aussitôt.
Cet homme me pousse dans mes retranchements, je ne sais pas comment agir avec lui et surtout, je n’ai pas l’habitude. En général, les hommes que je fréquente prennent les initiatives, je n’ai qu’à suivre le mouvement et me laisser porter, mais avec lui, il y a comme un hic, il n’est pas comme les autres… Alors je me demande s’il n’ose pas, s’il ne veut pas, ne veux plus, ou s’il ne sait pas comment faire marche arrière…
Il ne se livre pas assez, il ne dit rien, j’ai beaucoup de mal à le cerner et à savoir réellement ce qu’il veut.
Le train arrive en gare, nos chemins vont se séparer pour la journée et je sais que je n’aurai pas de nouvelles de lui, car il sera trop pris par son boulot. Un dernier regard dans l’escalier et, d’un sourire charmeur, il me dit :
Comme prévu, je n’ai pas eu de nouvelles de lui aujourd’hui. Ça aussi, ça me change des autres. Les autres, je les ai à longueur de journée, soit par textos, soit par Skype et c’est comme ça que j’ai pu apprendre à les connaître. Alors qu’avec lui, je n’ai pas cette possibilité et ce n’est pas les courts trajets où parfois, on ne se dit rien qui m’aideront à le connaître. Mais si je ne devais devenir qu’un plan Q de plus parmi tant d’autres ça ne l’intéresse peut-être pas plus que ça de s’impliquer et dans ce cas-là, je comprendrais ses silences… Mais tout ceci n’est que des suppositions qui me passent par la tête quand je commence à penser à lui. Seulement il n’y a pas que ça qui s’insinue dans mon esprit quand je pense à lui…
Il me hante toute la journée, il n’y a pas cinq minutes où je ne pense pas à lui, à son odeur, à tout ce que j’aimerais faire avec lui… J’ai fini par comprendre ce qui m’attire autant chez lui, son côté brut, son côté mâle, son côté « dominant » que je soupçonne, mais aussi son côté écorché vif en manque d’amour, caché sous sa carapace… Et pour tout ça, je le veux.
Je ne sais pas ce qu’il aime, ni ce qu’il veut de moi (s’il veut quelque chose…) mais j’aimerais réussir à fendiller la carapace, le voir tel qu’il est vraiment. Qu’il s’ouvre à moi… J’en demande beaucoup, je pense, mais le temps me dira si j’avais raison ou non. Un jour il m’a dit que c’était parce que je ne l’avais pas encore qu’il me hantait mais qu’une fois que je l’aurai, je me lasserai… A-t-il raison ? Je n’arrive pas à répondre à cette question.
Je suis pleine de doute et de questions sans réponses… Ça me perturbe un peu. Je ferme les yeux un instant et je ressens ses lèvres sur les miennes, souvenir fugace de ce matin. Mon esprit divague, je sens ses mains se poser sur moi, une sur ma hanche, l’autre dans le bas des reins, il me serre contre lui. Ses lèvres quittent ma bouche, il m’embrasse le cou, le mordille en resserrant son étreinte, je ne suis qu’une poupée de chiffon entre ses mains. Sa morsure se fait plus vive, je ne peux m’empêcher de sursauter et de gémir tout en lui offrant encore mieux mon cou. Son étreinte est plus rude, il me colle à lui et je sens son désir pointer, je me frotte comme une chatte en chaleur pour mieux le sentir. Sa main droite remonte sous mon tee-shirt et d’un mouvement rapide, il me pince un sein, je ne peux retenir un cri de surprise. Je le regarde, il a ce regard plein d’envie et de pouvoir. Je lui murmure « encore »… il recommence mais cette fois-ci je ne crie pas, je soupire… Je veux qu’il me possède, je ne veux n’être qu’un jouet entre ses mains, qu’il me fasse du mal pour nous faire du bien…
Brutalement, il reprend mes lèvres, il est comme assoiffé, il m’étouffe, je le repousse pour reprendre une bouffée d’air, son regard est noir, je n’aurai pas dû faire ça…
Il se recule, dégrafe sa ceinture puis son pantalon qu’il laisse tomber à ses chevilles et d’un appui sur mes épaules, m’ordonne de m’agenouiller, je ne résiste pas et tombe à genoux devant lui. La bosse qui se dissimule sous son caleçon ne me laisse pas vraiment de doute sur ce qu’il veut que je fasse. J’approche mon visage, je le respire, le caresse du bout du nez. Il m’attrape violemment par les cheveux et écrase son sexe contre mon visage. Il se frotte à moi comme une bête, il ne tiendra pas longtemps. Rapidement, je fais tomber son caleçon, et lorsque je prends son sexe en main, je l’entends grogner. Je le branle un peu et darde la langue pour venir titiller son gland. Je le prends dans ma bouche et tout en malaxant ses couilles, je commence à faire de longs va-et-vient. Il s’enfonce au plus profond tout en maintenant ma tête de ses deux mains, il baise ma bouche et je le laisse faire, je ne veux pas en perdre une goutte, il accélère le rythme, il va bientôt jouir. Je sens les muscles de son corps se tendre, ses couilles se font plus dures et dans un râle, il inonde ma bouche.
Je le repousse un peu de la langue et avale sa semence avant de reprendre un va-et-vient doux et tendre sur sa queue qui se dégonfle. Une fois que je suis sûre que sa queue est propre et au repos, je l’embrasse du bout des lèvres et l’aide à remettre son caleçon…
J’ouvre les yeux, je suis derrière mon bureau, ma collègue me demande quelque chose mais je suis à mille lieux d’ici, ma main droite est posée entre mes cuisses et je sens la chaleur de ma chatte à travers mon jean… Je m’excuse auprès de ma collègue et sors du bureau. Ma minette a faim, il faut que j’aille la calmer.
Je me dirige vers les toilettes et repense à cette pipe qui m’a semblé si réelle, combien de temps ai-je rêvé ? Ma collègue s’en est-elle rendu compte… Je rougis… Je m’enferme rapidement dans les toilettes et commence à me caresser à travers mon jean, je sens ma liqueur traverser le tissu.
Ce petit songe m’a fait un gros effet. Je baisse mon jean et ma culotte, je vais pouvoir l’enlever, elle est trempée…, je laisse courir mes mains sur mes cuisses, jusqu’à ce que mes doigts trouvent mon bouton magique. Il ne me faut pas longtemps pour me faire décoller, je retiens mes gémissements de peur que quelqu’un m’entende. C’est rapide et fulgurant, j’ai les jambes en coton et du mal à reprendre ma respiration, les yeux encore dans le vague, j’attrape mon téléphone, prends une photo de moi les yeux encore pleins de jouissance et lui envoie un MMS.
Merci pour cet orgasme fulgurant… Et si tu ne comprends pas, ne cherche pas, mais sache que, même à distance, tu as de grands pouvoirs sur moi…
Je souris en appuyant sur envoyer, il va sûrement me prendre pour une folle ou me demander des détails ce soir dans le train, en y pensant, je sens mes joues s’empourprer.
Le reste de la journée passe sans histoire, mais il me tarde de le retrouver ce soir dans le train ; notre rendez-vous clandestin. Maintenant que j’ai l’imagine de sa queue sur ma langue, je la veux en vrai.
Je vais devoir prendre sur moi pour qu’il comprenne le message… Y a du monde dans le train, mais notre place duo est à peu près au calme. Après les banalités de la journée, je glisse ma main sur sa cuisse et la fais remonter doucement vers son entrejambe. Il change de position pour m’améliorer l’accès et pose son blouson sur lui, ainsi personne ne voit le petit manège de ma main sur sa queue que je sens grossir à mesure de mes caresses. Son jean me gêne et le gêne. D’une main assurée et rapide, il dégrafe sa braguette et me donne un champ d’action plus large. Je n’ai jamais été aussi près du but. Mes doigts glissent sur le tissu de son caleçon, son érection me rassure et m’enhardit. On ne serait pas dans le train, je le prendrais en bouche, là de suite, il me suffirait de baisser à peine un peu la tête pour le faire glisser entre mes lèvres. Mais la bienséance ne le permet pas… Dommage… Je glisse mes doigts sous son caleçon… Il retient sa respiration… Je frôle sa hampe déjà bien dure et l’encercle de mes doigts, je le branle doucement, et l’entends reprendre une respiration presque normale…
Je suis à demi penchée sur lui comme si je dormais sur son épaule mon bras encerclant son buste, position idéale pour ce que je suis en train de lui faire. Je ferme les yeux, et cale mes caresses au rythme de sa respiration. Je ne veux pas le faire jouir ici, juste maintenir son état d’excitation juste avant le point de non-retour. Sa main droite caresse mes cheveux, et il a posé l’autre dans le bas de mon dos et y dessine des arabesques. Ce simple contact m’électrise… Je sens sa main quitter mes cheveux et un doigt descendre le long de ma joue, il caresse mes lèvres et s’y fraye un passage. Je ne peux pas retenir mon envie de le sucer, et comme s’il m’avait offert sa queue, je commence à faire coulisser son doigt entre mes lèvres, je me fous des bruits de succion que peux faire ma bouche, je suis toute entière à ce que je lui procure.
Mais il va falloir que je calme le jeu, car il pourrait devenir dangereux surtout pour son caleçon car je n’ai pas arrêté de le caresser même si ma bouche était occupée ailleurs…
Le train ralentit, on arrive… merde, j’abandonne son doigt à regret, et me dégage lentement de son étreinte, en me repositionnant à ma place je lui glisse :
Pour toute réponse, il me sourit, se rajuste, se lève et me passe devant. Je me retrouve avec son érection devant le nez… Hummm pourquoi sommes-nous encore dans le train… Je me lève à mon tour et il me laisse passer devant. Ça bouchonne devant, nous ne sommes pas encore à quai. Je le sens derrière moi et il ne faut pas grand-chose pour que nos corps se frôlent, les mouvements du train laissant planer le doute sur les intentions… Moi je n’ai pas besoin du train pour avoir envie de me frotter à lui…
On descend du train, la journée est terminée enfin, sera-t-il aussi pressé de rentrer que d’habitude ? Je le suis jusqu’à sa voiture et allume une cigarette. Il monte déjà dans sa voiture… c’est mort je vais pouvoir me diriger vers ma voiture. Il démarre, je lui dis bonne soirée et pars vers ma voiture, un peu dépitée malgré tout…
Je me dirige vers ma voiture lorsque depuis sa vitre, je l’entends me dire :
Je ne peux m’empêcher de sourire et de rougir, je contourne sa voiture et monte côté passager. Je ne sais pas où il compte aller mais je suppose que ce ne doit pas être bien loin et tranquille. Je ne dis rien, je sens le stress monter en moi… je ne vais quand même pas abandonner si près du but…
Il arrête la voiture dans un coin que je ne connais pas. Il descend de la voiture, vient de mon côté, m’attrape la main :
Je crois que je n’ai pas vraiment le choix… Plus le moment se rapproche et plus la trouille s’empare de moi… Elle a fière allure l’allumeuse… Tsss… mais là plus moyen de faire marche arrière. On arrive dans un petit coin que j’aurais trouvé très romantique dans d’autres occasions. Un immense saule pleureur, majestueux et dont les branches créent un véritable paradis pour ceux qui veulent s’y cacher. Je le vois étendre une couverture, je ne m’étais même pas aperçu qu’il l’avait emportée avec lui, trop angoissée par ce qui allait se passer.
Je le vois s’allonger sur la couverture et il m’invite à le rejoindre. Je m’assois sur le bord et allume une clope pour me donner un peu de courage, mais c’est sans compter que lui aussi avait ses idées. D’un coup, je me sens tirée en arrière, ma tête atterrit sur son ventre, réception en douceur…
Tout en fumant lui aussi, il glisse une main dans le col de mon tee-shirt et commence à triturer mon sein. Mes angoisses m’ont quittée, je me laisse porter par les sensations qu’il me procure. Sa respiration s’accélère. Je me tortille et change de position pour me retrouver couchée la tête au creux de son épaule. Appuyée sur un coude, je caresse son torse du bout des doigts et défais un à un les boutons de sa chemise. La chemise grande ouverte, je peux enfin laisser mes doigts courir sur son torse velu. Je m’amuse à faire de petits tortillons avec sa toison, j’approche mon visage et souffle doucement sur son téton, avant de le mordiller tout en faisant glisser ma main vers sa braguette. Il se laisse faire, les deux bras croisés sous la tête. Il sourit et son sourire est contagieux. Je remonte vers son visage et l’embrasse, et même si je le craignais, il ne me repousse pas et répond à mon baiser… Je suis bien ici avec lui… Pendant qu’il m’embrasse, il défait sa braguette et ouvre largement les pans de son jean. Il attrape ma main et la fait glisser sous son caleçon… Il est de nouveau en forme. J’abandonne ses lèvres, me positionne à califourchon sur lui et tout en reculant et posant de petits baisers tout le long de son torse, je m’arrête au niveau de la ceinture de son caleçon.
J’attrape l’élastique et d’un mouvement de rein, il m’aide à le faire glisser. Elle est là, bien réveillée et elle m’appelle et comme dans mon songe de l’après-midi. J’approche doucement mes lèvres, et l’engouffre d’un coup jusqu’à la garde pour remonter doucement jusqu’à son gland. Je le titille du bout de la langue, joue avec comme bonbon. L’aspire doucement puis plus fort, tout en branlant la base de sa queue. Je la lèche sur toute la longueur, et la ravale le plus loin possible… Petite satisfaction personnelle, je l’ai enfin goûté, son sucre d’orge ! Je souris tout en continuant de le sucer. Je sens qu’il va bientôt jouir, il attrape ma tête avec ses deux mains et la coince en donnant de grands coups de rein. Je n’aime pas quand les hommes font ça, car leur jouissance lors d’une fellation est la rare chose que j’aime contrôler, mais je le laisse faire et me colle à son rythme… Il arrose ma langue et relâche toute la pression. Je suis de nouveau libre de mes mouvements. Il souffle et reprend sa respiration… Je continue à le suçoter tendrement quelques minutes et reprends ma place au creux de son épaule.
Je suis bien… besoin de rien, j’ai ma petite victoire… Je me tourne vers lui, lui colle une grosse bise sur la joue et lui dis « merci »…