n° 16222 | Fiche technique | 11104 caractères | 11104Temps de lecture estimé : 9 mn |
11/06/14 |
Résumé: - Je vous rappelle que ce jeu permet de tout exiger, mais pour quelques minutes seulement.
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Critères: grp couplus extracon collègues hotel odeurs massage cunnilingu nopéné exercice |
Auteur : OlivierK Envoi mini-message |
Un jeu pour mieux faire connaissance
- — Oh ! Non, Charlotte ! Les portables doivent être éteints !
- — C’est un SMS de mon petit mari. Il me demande d’être sage.
- — Amusant, ça… Tire une carte… Max est à toi pour quatre minutes. Je vous rappelle que ce jeu permet de tout exiger, mais pour quelques minutes seulement.
- — Tu es marié, Max ?
- — Non mais c’est tout comme.
- — Depuis combien de temps ?
- — Deux ans.
- — Tu lui fais l’amour souvent ?
- — Deux à trois fois par semaine.
- — Ah ! Quand même… Tu as baisé, ici ?
- — Non, pas encore.
- — Pourquoi « pas encore » ?
- — J’espère bien que ça va venir.
- — Avec moi ?
- — J’aimerais beaucoup.
- — À genoux, Max.
- — Avec le plus grand plaisir !
- — Masse mes chevilles…
- — …
- — Trois minutes et cinquante-neuf secondes !
- — Ça va, Julien, j’arrête. Mais que ça passe vite, quatre minutes, sous la jupe relevée de la divine Charlotte !
- — Je n’avais pas dit les genoux, et encore moins les cuisses !
- — Il me semble que cela ne t’a pas déplu. Tu les as même écartées, tes cuisses, et tu m’as bien laissé frôler ta petite culotte, à plusieurs reprises… Hum, j’adore ton odeur intime.
- — Demande-moi pardon.
- — Pardon, Charlotte.
- — Je t’absous. Ce que tu m’as fait n’était pas désagréable, tout compte fait.
#######
- — Anthony est à Anaïs pour six minutes.
- — Tu n’es pas très attentif pendant les conférences, Anthony.
- — Ce séminaire pour cadres dits supérieurs est vraiment chiant, et ta présence à côté de moi me fait bander en permanence.
- — Ah oui ? Enfin… tu m’as glissé un petit poème, ce matin, un peu osé, certes, mais charmant.
- — Tu me plais beaucoup, et je suis ravi d’être à toi mais six minutes, c’est bien trop court.
- — Ce n’est qu’un jeu, Anthony, un jeu pour mieux faire connaissance, comme a dit Julien.
- — Et tout se permettre, n’oublie pas… Mais pendant quelques minutes seulement, hélas. Alors vite, use et abuse de moi.
- — Qu’est-ce que tu me proposes ?
- — C’est à toi d’exiger… à charge de revanche, bien sûr, si le hasard inverse les rôles.
- — Séduis-moi.
- — Tu es belle, désirable, je suis à tes genoux…
- — Comme Max aux genoux de Charlotte ?
- — Oui, mais moi j’irai plus loin.
- — Plus loin ?
- — J’enlèverai ta petite culotte, si tu en as une, et je ferai travailler ma langue. Tu n’auras qu’à remonter ta jupe et écarter les cuisses, toi aussi.
- — Enlève mes mocassins.
- — …
- — Tu suces comme ça les orteils de ta femme ?
- — Je le faisais, au début.
- — Tu fais l’amour avec elle, quand même ?
- — Mais oui…
- — Mais tu dragues tout ce que tu trouves.
- — Non, seulement quand je tombe amoureux.
- — Et tu tombes amoureux à tout bout de champ.
- — Pas vraiment…
- — Si tu crois que j’en demande tant, de toute façon… Mes chevilles, maintenant.
- — …
- — Mes genoux.
- — …
- — Mes cuisses.
- — …
- — Tu peux aller plus haut. Contourne ma culotte.
- — …
- — Les six minutes sont écoulées.
- — Oh !
#######
- — Tu n’aurais pas dû rabattre ta jupe, Anaïs, tu étais très bandante.
- — Et toi, Julien, tu aurais pu nous laisser un peu plus de temps !
- — Il faut respecter la règle du jeu. Anthony n’a pas eu le loisir de bien explorer la chatte promise. Ce sera pour plus tard, mais peut-être pour un autre. C’est le jeu. Il continue. On tire les cartes.
- — …
- — Bataille !
- — Non, Anaïs, la dame de pique est supérieure à la dame de cœur. La hiérarchie est celle du bridge, je te le rappelle. Tu es donc à la disposition de Max. Tire une autre carte… Max, elle est à toi pour quatre minutes.
- — Debout, Anaïs. On t’a vue souvent téléphoner depuis que nous sommes ici. À qui ?
- — Il se prénomme Kevin.
- — Tu l’aimes ?
- — Bien sûr.
- — Pourtant, tu as accepté de jouer avec nous ce soir. Et de te faire lécher la chatte par Anthony.
- — Et alors ?
- — Pose ton corsage et ton soutien-gorge sur cette table et approche, je veux sucer tes tétons.
- — …
- — Ça t’a plu ?
- — Pas vraiment. Je préfère un peu plus de tendresse, tu vois. Je te trouve brutal.
- — Je te rappelle que tu dois m’obéir. Embrasse-moi.
- — …
- — Desserre les dents, et je veux ta langue dans ma bouche.
- — …
- — Ils sont mignons, tes seins. Pas bien gros mais très fermes. Il les pince, ton Kevin ?
- — Ça lui arrive.
- — Et ça te plait ?
- — Quand c’est lui, oui.
- — …
- — Je t’ai fait mal ?
- — Un peu.
- — J’aimerais bien t’ordonner d’aller chercher des glaçons au bar de l’hôtel, les seins nus, mais malheureusement le temps presse… Je veux voir si tu mouilles, approche.
- — Il te reste vingt secondes seulement, Max.
- — Je sais, Julien. Elle ne mouille pas. Tu es libre, Anaïs.
#######
- — Grace à ton roi de cœur, c’est Charlotte qui est à toi maintenant, Max. Tu as une veine de cocu ! Tire une carte, Charlotte… Sept minutes !
- — Quand as-tu baisé pour la dernière fois, jolie Charlotte ?
- — La veille de mon départ pour ici.
- — Avec ton petit mari, qui vient de te demander d’être sage ?
- — Parfaitement.
- — Mais tu le trompes ?
- — C’est pour plaisanter qu’il m’a envoyé ce SMS.
- — Enlève ton chemisier… Tu n’as pas de soutien-gorge, je le savais, les pointes de tes seins sont toujours érigées.
- — Elles frottent contre le lin un peu trop rêche de mon chemisier.
- — Et ça te plait ?
- — Ça ne me déplaît pas.
- — Va chercher des glaçons au bar. Les seins nus.
- — … Non !
- — Elle a le droit de refuser sans quitter le jeu, Julien ?
- — Si elle justifie d’un motif valable.
- — Le viol en est un, je suppose ?
- — Évidemment, Charlotte.
- — Eh bien je ne veux pas me faire violer. Si je vais au bar les seins nus, ils se croiront tout permis, je veux bien jouer avec vous, mais pas avec n’importe qui.
- — Nous sommes tous entre gens de bonne compagnie.
- — Ici, oui, dans ce salon où personne ne viendra nous déranger. Mais dans le bar il n’y a pas que des collègues. Et même parmi les collègues il y a des mecs pas intéressants.
- — Objection retenue. Alors, Max ?
- — Alors, quelqu’un peut-il aller en chercher, des glaçons ?
- — J’y vais.
- — Merci, Julien… Pendant ce temps, je suce les tétons de Charlotte.
- — …
- — Tu me trouves brutal, toi aussi ?
- — Bof…
- — À genoux ! Débarrasse-moi de mes mocassins et de mes chaussettes.
- — …
- — Mon pantalon, maintenant.
- — Debout ! Plonge la main dans mon boxer et dis ce que tu y trouves.
- — Une… bite et, plus bas, deux couilles. Je m’y attendais, tu sais.
- — Pas plus grosse que celle de ton petit mari, la bite ?
- — Bof… À peu près pareil.
- — Pas plus longue ?
- — Il ne semble pas, a priori. Mais ne te fais pas trop de souci, cela n’a pas vraiment d’importance.
- — Un petit bisou sur le gland.
- — Un tout petit, alors. Tu es un peu trop macho, à mon goût.
- — Voici les glaçons.
- — Merci, Julien. Charlotte, je vais frotter tes jolis tétons avec un glaçon… Non, deux, un dans chaque main.
- — …
- — Je les réchauffe maintenant avec ma bouche… ça t’a plu ?
- — Les sept minutes sont écoulées. Charlotte, tu n’es pas obligée de répondre.
#######
- — Julien, tu es à moi pour quatre minutes.
- — J’en suis ravi, sublime Audrey.
- — Torse nu ! Tu commences à prendre du ventre. Tu n’as pas d’alliance. Tu vis seul ?
- — Non, je suis en ménage avec une collègue.
- — Elle n’est pas ici ?
- — Bien sûr que non !
- — Elle est jalouse ?
- — Oui.
- — Elle te croit fidèle ?
- — Sans doute.
- — Et tu ne l’es pas ?
- — Ça va dépendre de toi.
- — De moi ou d’une autre, si tu en trouves une… Pourquoi nous as-tu demandé de participer à ce jeu ?
- — Vous êtes les plus jolies.
- — Présente un motif plus sérieux.
- — Vous êtes joyeuses, je vous trouve plutôt délurées, vous ne repoussez pas brutalement les garçons qui vous draguent, et vous me semblez susceptibles de draguer vous-mêmes.
- — Les séminaires permettent en effet pas mal d’aventures sans lendemain. Tu as baisé, depuis les deux jours et les deux nuits que nous sommes ici ?
- — Non. Je me suis branlé en pensant à toi.
- — Quel honneur pour moi ! Tu as un slip ou un boxer ?
- — Un slip.
- — C’est démodé. Enlève tes chaussures, tes chaussettes et ton pantalon.
- — …
- — Tu bandes, il me semble.
- — C’est parce que j’ai une envie folle de te faire l’amour.
- — Tu veux tromper ta compagne sans le lui dire, tu es ignoble. Donne-moi le bol aux glaçons.
- — Voilà.
- — J’en glisse deux dans ton slip, ça va te calmer. Ça mouillera la moquette mais tant pis… Donne-moi quand même envie de coucher avec toi cette nuit. Tu vois, je suis trop bonne.
- — Je te caresserai partout, de mes mains et de mes lèvres, je sucerai tes seins, je te lécherai la chatte, j’aspirerai ton clitoris jusqu’à ce que tu me supplies de te prendre.
- — Banal. Quelqu’un a fait attention au temps ?
- — Plus que dix secondes.
- — Bien. Tu es libre, Julien.
#######
- — On continue. Décidemment… Anaïs, je suis à toi, mais pour deux minutes seulement.
- — Tu en parais soulagé, que la durée soit si courte, mon pauvre Julien.
- — Je préférerais l’inverse. Et pour plus longtemps.
- — Enlève ton slip et remets les glaçons dans le bol.
- — …
- — Tu ne bandes plus, je suis déçue. C’est tout flasque, ça ! Pouah !
- — C’est à cause des glaçons. Tripote et ça ira mieux.
- — Tu me le promets ?
- — C’est infaillible.
- — Tiens, ça commence en effet à se raffermir… Tu n’as pas menti en disant que tu n’as baisé personne, depuis qu’on est ici ?
- — Bien sûr que non. C’est pour ça que j’ai eu l’idée de proposer ce jeu.
- — C’est fini !
- — Déjà, Max ? Bon, tant pis.
#######
- — Audrey, à la disposition d’Anthony pour quatre minutes.
- — Approche.
- — …
- — Je veux te déshabiller, complètement, et palper tes seins, tes fesses, tes cuisses…
- — Eh bien, vas-y, puisque je suis à toi, mais pour quatre minutes seulement, je te le rappelle.
- — …
- — Ça te plait, que je mordille tes tétons ?
- — Pas trop fort, quand même, je veux les conserver.
- — Écarte tes cuisses, et aussi tes petites lèvres, je veux tout voir.
- — …
- — Caresse-toi, maintenant. Les seins, d’accord, mais la chatte aussi… Tu l’as fait, seule dans ta chambre, ici ?
- — En pensant à toi.
- — Tu dis ça en riant, je ne te crois pas. Tu mouilles ?
- — Un peu.
- — Je veux sucer ton doigt… J’aime bien le goût de ta chatte. Je veux la lécher.
- — Tu aurais dû le faire plus tôt, les quatre minutes sont à peu près écoulées. J’étais à ta disposition. Tu n’as rien compris au jeu.
- — Je l’envahirai cette nuit, ta chatte.
- — Jeune présomptueux, qui t’a rendu si vain, toi qu’on n’a jamais vu la bite à la main ?
- — Quel humour, Audrey !
- — N’est-ce pas, mon petit Julien ?
#######
- — Charlotte, Max est à toi pour trois minutes… Tiens, les rôles sont inversés, ça peut être amusant.
- — Non, car je ne veux pas de lui. Il n’a pas cessé d’échanger des regards de connivence avec Audrey. Manifestement, ils se connaissent depuis belle lurette.
- — On est ensemble, en effet.
- — Et vous nous l’avez caché ! Tu le savais, Julien, quand tu leur as proposé de participer à ce jeu ?
- — Non, pas du tout.
- — Ils ont triché. Et Max a menti, il a dit qu’il n’avait pas baisé depuis notre arrivée ici.
- — C’est peut-être vrai, après tout.
- — Eh bien qu’ils le fassent, mais sans nous.
- — Excellente idée ! Qu’ils couchent enfin ensemble, puisqu’ils prétendent qu’ils ne l’ont pas fait.
- — Oh non, c’est trop atroce ! On aimerait tant changer…
- — N’insistez pas, partez.
- — La porte de notre chambre ne sera pas fermée à clé. Si le cœur vous en dit…
- — Je crois que nous serons assez occupés et que nous ne penserons pas du tout à vous.
- — Eh bien, à demain, alors.
- — C’est ça.
- — …
- — Nous ne sommes plus que quatre et nous n’allons pas dormir seuls, n’est-ce pas ?
- — Tu as raison, Julien.
- — Choisissez, les filles, nous sommes à votre disposition.
- — Je prends celui qui tire la plus forte carte, je te laisse l’autre. Et on change à minuit. Ça te va, Anaïs ?
- — Ça me va… Mais demain, on joue avec d’autres !
- — Bien sûr !