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Temps de lecture estimé : 23 mn
15/06/14
Résumé:  Au cours d'une soirée avec son mari et un ami de celui-ci, Sylvie est amenée à leur dévoiler ses tatouages et à leur en offrir bien davantage.
Critères:  fhh couplus inconnu grossexe exhib strip fellation double fouetfesse
Auteur : Fantasio
Tatouages

J’avoue que j’avais sans doute un peu trop forcé sur le Pouilly fumé, mais il faut dire que ce salaud de Pierre, mon mari, n’y était pas étranger.



Pour ce qui me concerne, c’était la première fois que je le rencontrais et jusque-là, Pierre ne m’avait jamais parlé de son ami d’Australie. Peut-être qu’il avait peur de la concurrence. Il faut dire qu’André était vraiment pas mal. La trentaine bien entamée, comme mon Pierrot, un mètre quatre-vingts au moins, un physique de troisième ligne, une abondante crinière noire et des yeux bleus profonds comme les lagons des antipodes brillaient au centre d’un visage cuivré.


On a beau être mariée, on n’en reste pas moins femme et André était plutôt doué pour me chatouiller les sens. Mais bon, tout cela restait dans les limites de la bienséance et il n’y avait vraiment pas de quoi alerter la ligue des bonnes mœurs. Du moins jusqu’à ce qu’à ce qu’André nous parle de ses tatouages maoris et que Pierre l’invite à nous les montrer.


Cette fois, il n’a pas eu besoin de m’offrir un verre. Je me suis servie toute seule comme une grande, dans l’espoir de calmer un peu le feu qui me brûlait les joues et le corps tout entier. Je dois avouer que j’osais à peine regarder lorsqu’André s’est débarrassé de sa chemise pour nous dévoiler un torse d’apollon sur lequel se dessinait une fresque de motifs polynésiens descendant de son épaule droite, le long du bras, du torse et du bas-ventre où ils disparaissaient sous la ceinture du pantalon.



Pour la première fois de la soirée, je me sentais mal à l’aise devant le torse nu de cet homme que je rencontrais pour la première fois et sur lequel j’avais innocemment fantasmé durant tout au long de la soirée.


Pierre me tenait par la taille et je suis sûre qu’il devait sentir les frissons qui me traversaient le corps tandis qu’il m’encourageait à observer de plus près l’entrelacs des formes organiques qui soulignaient les muscles d’André.



J’en mourais d’envie, et en même temps, je me sentais terriblement gênée, pour moi autant que pour Pierre. Mais celui-ci n’était visiblement pas du tout préoccupé à l’idée que son ami se retrouve en sous-vêtement devant moi. Et lorsqu’André a défait la ceinture de son pantalon et que la main de Pierre s’est glissée sous ma jupe pour me caresser les fesses, j’ai réalisé que mon surprenant mari était aussi excité que moi.


Alors qu’il est habituellement d’une jalousie maladive, me reprochant de porter des tenues trop provocantes ou de regarder les beaux mecs un peu trop longtemps à son goût, ce soir-là, Pierre prenait un évident plaisir à me voir admirer le corps à moitié nu de son ami. Sa main glissée entre mes cuisses, il caressait doucement le voile humide de ma petite culotte, s’amusant à sentir mon excitation grandir sous ses caresses et sous le superbe spectacle qui s’offrait à mes yeux.


Comme il fallait s’y attendre, le tatouage disparaissait sous le slip noir d’André et je n’ai pas pu m’empêcher de l’imaginer s’enroulant autour de l’impressionnant paquet qui déformait le tissu élastique du sous-vêtement. Je ne suis pas particulièrement pudique, mais je dois avouer que n’étais pas du tout à l’aise devant l’énorme engin qui sommeillait dans le slip d’André. D’autant que les doigts de Pierre continuaient à me caresser l’abricot dont les larmes commençaient à me mouiller les cuisses. Et pourtant, je n’arrivais pas à détourner les yeux de l’effrayant animal endormi dans son écrin de coton.


Le rire d’André m’a brusquement tirée de ma rêverie et j’ai senti mes joues s’enflammer à l’idée qu’il ait pu deviner mes pensées et les sensations électriques qu’elles provoquaient au cœur de ma petite chatte. J’ai regardé Pierre et l’excitation que j’ai lue dans ses yeux n’a fait qu’accentuer mon angoisse.


J’avais du mal à comprendre ce qui était en train de m’arriver, de nous arriver à Pierre et à moi. Jamais auparavant nous n’avions évoqué l’éventualité d’une aventure à trois et voilà que soudain, ma petite chatte se mettait à pleurer d’émotion rien qu’en l’imaginant. C’est à ce moment que j’ai réalisé que j’avais sans doute trop bu. Et pourtant, la seule chose que j’ai trouvée à faire pour échapper un instant à l’atmosphère électrique que je percevais entre moi et mes deux compagnons de soirée, a été d’aller me servir un nouveau verre de vin blanc.



J’avais beau être terriblement excitée, je ne pouvais ni croire ni accepter que Pierre me propose de mater l’énorme pièce d’artillerie qu’André dissimulait dans son slip, et je lui ai lancé un regard agacé pour lui signifier qu’il était temps de mettre fin à son petit délire. Mais visiblement, mon mari n’a pas eu l’air de comprendre.



J’ai une nouvelles fois senti mes joues s’enflammer et les chairs humides de ma petite chatte se mettre à vibrer en entendant la voix douce et chaude d’André m’inviter à lui offrir à mon tour le spectacle de mes chairs dénudées.


J’ai en tout six tatouages, et si certains sont « ouverts au public », d’autres font définitivement partie de ma « collection privée », et seuls Pierre et les quelques amants que j’ai eu avant mon mariage, ont eu l’occasion de les admirer. Moins que l’idée d’en dévoiler quelques-uns à André, c’était surtout l’attitude incompréhensible de Pierre, d’habitude si jaloux, qui me troublait.



J’ai avalé mon verre d’un trait, tout en fusillant Pierre du regard. Un frisson d’angoisse autant que d’excitation m’a traversé le corps à l’idée que je m’apprêtai à céder à leur caprice. J’ai commencé par défaire trois bouton de mon chemisier, assez pour libérer mon épaule droite et découvrir un dragon rouge et bleu, crachant une gerbe de flammes. C’est le premier tatouage que je me suis offert à vingt ans. Il représente mon animal astrologique dans le calendrier chinois et je dois dire que j’en suis assez fière. Et c’est d’ailleurs un sentiment de fierté qui m’a traversée lorsque je me suis tournée pour le présenter à André et que j’ai entendu ses remarques admiratives.



J’ai ressenti un délicieux frisson lorsque les doigts d’André se sont glissés sous la bretelle de mon soutien et la descendre sur mon bras. Je ne faisais que dévoiler mon épaule dénudée, mais en sentant mon sein se libérer de la pression du bonnet du soutien-gorge, j’avais l’impression d’être déjà à moitié nue.


Je savais qu’ils ne se contenteraient pas d’une innocente épaule, et même si j’étais morte de trac, j’étais surtout terriblement excitée à l’idée que mon effeuillage ne faisait que commencer.



Je ne sais pas ce qui m’excitait le plus, de la présence d’André ou de l’attitude de Pierre, d’habitude si jaloux et qui ce soir-là prenait un évident plaisir à la perspective de me voir me désaper devant son ami.


J’ai retiré mon chemisier sans me retourner, dévoilant mon dos nu, barré par la fermeture du soutien-gorge de dentelle rouge. J’ai dans le bas du dos, un joli tatouage d’inspiration celtique qui dessine ses volutes juste au creux de mes reins et semble montrer la voie vers le ravin profond qui sépare mes fesses. André l’appelle « Le chemin de Dana » du nom de la divinité primordiale des celtes, et lorsqu’il m’annonce qu’il va aller se balader sur « le chemin de Dana », je sens invariablement mon petit trou trembler d’excitation. Et c’est exactement ce qui j’ai ressenti en entendant les commentaires admiratifs d’André.


Comme il fallait s’y attendre, Pierre m’a demandé de descendre légèrement ma jupe pour qu’André puisse admirer la totalité du « chemin… » Il essayait de garder un ton naturel mais le son et les tremblements de sa voix ne m’ont laissé aucun doute sur l’excitation qu’il ressentait à l’idée que je dévoile ma chute de reins à son ami. Et tandis que je défaisais le bouton de ma jupe et que j’abaissais de quelques centimètres la fermeture éclair qui descendait le long de ma hanche, Pierre est allé remplir nos verres.


J’ai descendu la jupe jusqu’à ce qu’elle s’accroche à mes hanches, dévoilant les premières rondeurs de mes fesses et la dentelle rouge de mon tanga. Pierre m’a tendu mon verre de vin plongeant ses yeux brillants d’excitation dans les miens et lisant le tourbillon de sentiments qui me traversait le corps tandis que le regard d’André glissait le long de mon dos jusqu’au creux de mes fesses.


J’étais à la fois paralysée par l’angoisse et traversée par un désir brûlant de m’offrir encore davantage. Et lorsque j’ai senti les doigts d’André descendre légèrement l’élastique de mon tanga pour pouvoir admirer plus librement la double parenthèse conduisant au « chemin de Dana », j’ai senti une douce chaleur humide inonder mon con et couler entre mes cuisses.


Pierre a dû le lire dans mes yeux. Il m’a souri avant de m’embrasser avec passion, déclenchant une nouvelle explosion au creux de mon ventre. J’étais torse nu, la jupe descendue sur le haut de mes fesses entre lesquelles André plongeait ses regards concupiscents et je jouissais avec délice tandis que mon mari me dévorait la bouche en pressant sa main sur ma chatte brûlante.



J’ai regardé Pierre et un sourire s’est dessiné presqu’en même temps sur nos lèvres. Sans un mot, j’ai descendu la fermeture éclair jusqu’à ce que la jupe finisse pas tomber à mes pieds, dévoilant le tanga qui couvrait le haut de mes fesses et disparaissait entre les masses rondes et fermes dont j’étais plutôt fière. Celle de droite est décorée d’une rose qui couvre la partie supérieure de la fesse et dont la tige entrelacée disparaît jusqu’au creux de mon petit trou.



Debout au centre de notre salon, j’avais l’impression de garder un semblant de contrôle sur la situation. Après tout, j’étais en sous-vêtements comme je l’aurais été en bikini à la plage. Mais m’agenouiller, sur le divan pour leur offrir l’impudique exhibition de mon cul à peine dissimulé sous un filet de dentelle de mon tanga, ce n’était plus du tout la même chose. Mais malgré mes regards angoissés, Pierre n’avait pas l’intention de céder et il s’est contenté de m’adresser un sourire complice avant de se diriger vers le divan.


Je n’avais ni la force ni l’envie de résister. L’excitation impatiente de poursuivre l’incroyable aventure que j’étais en train de vivre était la plus forte. Alors, je me suis agenouillée sur le divan, obéissant docilement au désir de mon homme. La tête enfouie entre mes bras croisés sur le dossier, le cul effrontément dressé en direction de Pierre et de son ami, j’ai attendu en tremblant qu’ils baissent l’élastique du tanga pour découvrir la superbe fleur dont la tige feuillue se glisse entre mes cuisses.


Ma petite chatte s’est mise à trembler et à pleurer d’émotion tandis que le fin voile de dentelle descendait lentement sur mes fesses. Je ne sais qui de Pierre ou d’André baissait le pudique rideau qui protégeait mon cul, mais cela n’avait aucun importance, seules comptaient les sensations qui me traversaient le corps tandis que la cordelle de dentelle s’extrayait de l’étroit sillon jusqu’à ce que le tanga finisse par rester accroché sous mes fesses, profondément enfoncé entre les chair trempée de mon con.



J’ai cru mourir de honte en sentant Pierre écarter mes fesses et le doigt d’André venir caresser doucement l’anneau sombre qui protège la porte de Dana. Je me suis relevée d’un bond, remontant brusquement ma culotte, indifférente au filet de dentelle s’enfonçant effrontément dans les crevasses de mon cul et de mon con.



Nous nous sommes assis à la table du salon. Je ne portais que mes sous-vêtements rouges et si je pouvais dissimuler ma petite culotte trempée sous la table, les bonnets de dentelle translucide de mon soutien-gorge révélaient sans aucune équivoque l’intense excitation qui me brûlait les chairs.


Si André avait remonté son pantalon, il n’avait pas remis sa chemise. Et la vision de son torse musclé et de ce totem maori dont les méandres tortueux conduisait mes pensées jusqu’entre ses cuisses, n’était pas étrangère à mon état.



Je n’ai pas pu m’empêcher de rire, aussitôt rejointe par mes deux partenaires. Je me doutais bien que mes tatouages n’étaient qu’une excuse, que les préliminaires sensuels d’une aventure aussi inattendue qu’excitante. Mais en faisant semblant d’y croire, je me persuadai que tout cela n’était qu’un petit jeu coquin et plutôt bon enfant entre de vieux amis.



Tandis que Pierre nous servait une nouvelle tournée pour célébrer ça, j’ai défait l’agrafe de mon soutien-gorge dont je me suis débarrassée sans chichi en poussant un « Ta Daaa ! » enthousiaste et en offrant mes jolis pamplemousses aux regards ébahis de mes deux admirateurs.


Sous chacun de mes mamelons se tient un petit angelot nu et rigolard qui semble soutenir dans ses bras le disque sombre de mes aréoles. Pierre et André se sont immédiatement approchés pour s’asseoir à mes côtés et admirer de près le délicat portrait de mes petits Atlas.


Quelques instants plus tard, sous l’excuse d’une observation plus attentive, leurs mains caressaient mes seins, jouaient avec mes longs tétons dressés et raides d’excitation, avant que la bouche de mon mari bientôt suivie par celle de son ami ne vienne me les déguster avec gourmandise.


J’avais fermé les yeux, écartant instinctivement les jambes dans l’espoir d’apaiser le feu qui couvait au creux de ma petite chatte. Mais lorsqu’une main est venue se glisser entre mes cuisses, c’est une nouvelle explosion de plaisir qui est venu m’inonder le con.


C’était la main d’André. Pour la première fois depuis notre mariage, un autre homme que Pierre me caressait l’abricot, recueillant entre ses doigts la rivière de liqueur qui s’écoulait entre les dentelles détrempées de ma petite culotte.


Pierre avait cessé de me déguster le téton et sa main était venue rejoindre celle de son ami. Ils ont reculé ma chaise pour me permettre d’écarter les cuisses encore davantage et leur offrir un accès plus aisée aux chairs tremblantes de ma petite chatte. Je n’osais pas ouvrir les yeux de peur que le spectacle de ces mains glissées entre les dentelles trempées de mon con ne provoque un sentiment de honte et ne me pousse à interrompre l’incroyable plaisir qui me consumait.



Mon sixième et dernier tatouage se trouve en effet au sommet de mon sexe. Il s’agit d’une petite fée Clochette assise à califourchon sur mon clitoris et dont les ailes bleu turquoise disparaissent entre le sillon des grandes lèvres. André avait dû l’apercevoir tandis que ses doigts me fouillaient le con. Et même si je mourais d’envie de lui dévoiler le sourire de ma petite fée, je n’avais pas oublié notre accord.



André s’est levé et nous avons reculé nos chaises pour mieux profiter du spectacle. Jamais auparavant je n’avais été aussi excitée. J’ai lancé un regard en direction de Pierre, craignant qu’il n’ait changé d’avis et que l’idée de me voir admirer l’impressionnant engin de son ami n’ait brusquement refroidi ses ardeurs. Mais son sourire béat et sa main posée sur son entrejambe m’ont aussitôt rassurée : il était aussi excité que moi.


Après s’être débarrassé de son pantalon, André s’est avancé pour se dresser entre mes cuisses largement écartées. Je n’ai pas pu m’empêcher de rougir en voyant son regard plonger entre mes jambes pour découvrir les chairs roses et brillantes de mon sexe débordant des dentelles rouges de la petite culotte.



Son slip noir était à quelques centimètres de mon visage et je pouvais clairement distinguer les frémissements de l’impressionnant animal enfermé dans sa cage de coton. J’ai posé mes mains sur ses hanches, glissant mes doigts sous l’élastique du slip pour le descendre lentement avant de l’écarter pour l’aider à franchir l’obstacle du nid où sommeillait la bête.


Je n’ai pu retenir un « Oh ! » de surprise lorsque l’impressionnant serpent a surgit comme un diable de sa boîte. Mes deux partenaires se sont mis à rire devant mon regard ébahi et ma bouche béante révélant ma surprise autant que ma fascination devant la taille du sexe d’André. Il était en semi-érection et dépassait déjà allègrement les quinze centimètres. Pierre est plutôt bien membré lui aussi, mais là, c’était vraiment la taille XXL. D’ailleurs, lorsque je l’ai regardé, j’ai lu pour la première fois le doute dans les yeux écarquillés de mon mari. Mais il était trop tard pour faire machine arrière, et à présent que j’avais découvert l’engin, j’avais bien l’intention d’apprendre à le piloter.


J’ai avancé ma main en regardant André qui m’a adressé un large sourire, histoire de m’inviter à admirer de plus près les volutes d’encre noire qui décoraient la hampe somnolente de son sexe. Je l’ai pris dans mes mains, caressant les bourses de la taille de deux jolis pruneaux, redressant la tige qui gonflait doucement entre mes doigts tandis que j’admirais les détails du tatouage.


Je mourais d’envie de la prendre dans ma bouche et je suis sûre que les deux autres mouraient d’envie que je le fasse. Mais malgré mon excitation, je ne me sentais pas le courage de franchir le pas, me contentant de regarder la bête qui grossissait et grandissait sous mes caresses.



J’ai senti un frisson me traverser le corps en imaginant que l’effrayant Rangi pourrait bientôt emprunter le « chemin de Dana » et en découvrant le sourire complice de Pierre, j’ai compris qu’il pensait à la même chose.



Cette fois c’est moi qui ai souri en regardant le visage implorant d’André et le puissant totem qui tremblait entre mes doigts. J’ai commencé par déposer de tendres baisers sur le gland brillant, éveillant aussitôt l’intérêt de l’impressionnant serpent qui avançait sa tête pour la glisser entre mes lèvres entrouvertes. Puis, je l’ai avalé lentement dans ma bouche gourmande. J’ai dû m’arrêter aux deux tiers alors que le gland s’enfonçait déjà dans ma gorge, appliquant ensuite de longs va-et-vient de mes lèvres sur le gourdin dressé et de ma langue sur le gland frémissant.


André avait fermé les yeux et Pierre me regardait avec fascination tandis que je suçais lentement l’immense tige de son ami. Il s’est approché la queue à la main, m’invitant à le branler tandis que je poursuivais ma fellation. À côté de celui d’André, son sexe pourtant d’une taille plus qu’appréciable, avait quelque chose d’enfantin. Pierre a m’a adressé un sourire, l’air de dire « désolé ». Mais il n’avait pas à l’être. Ce sexe que je serrais entre mes doigts était bien suffisant pour me satisfaire, et pour impressionnant qu’il soit, celui d’André n’évoquait pour moi que l’intense frisson d’une expérience unique. Un peu comme le saut à l’élastique : c’est terriblement excitant, mais on se contente généralement d’une seule fois.


Lorsque les sexes de mes deux partenaires se sont mis à trembler dans ma bouche et dans ma main, j’ai considéré qu’il valait mieux passer à autre chose.



Tandis que Pierre se débarrassait nerveusement de ses frusques, je n’ai pas pu résister à l’envie de me lover entre les bras musclés d’André, pressant mes seins nus contre sa poitrine et son énorme sexe contre mon ventre, embrassant sa bouche avec gourmandise, comme un délicieux apéritif, promesse d’étreintes encore plus passionnées.


Je me suis assise sur le bord de la table, mes deux partenaires debout devant moi, le sexe au garde-à-vous, attendant que le rideau se lève sur le bouquet final.


J’ai gardé les jambes serrées durant de longues secondes, les laissant se languir tandis que je les regardais en souriant et en dissimulant mon petit abricot derrière mes mains jointes. J’ai fini par soulever discrètement mes fesses pour laisser passer le tanga rouge et le faire descendre le long de mes jambes en veillant à ne pas desserrer les cuisses. Et lorsque j’ai enfin ouvert les portes menant à mon paradis, j’ai encore gardé quelques instants mes mains devant mon petit minou qui tremblait d’une impatience aussi grande que celle de mes deux admirateurs.


Lorsque j’ai enfin retiré mes mains, je me suis laissé aller en arrière, m’allongeant sur la table pour m’abandonner à leurs regards et à leurs caresses.


Les commentaires admiratifs d’André, décrivant avec des mots érudits l’élégance du dessin autant que des dentelles brillantes de ma petite chatte, me faisaient rougir de plaisir. Et lorsque son doigt est venu caresser le petit capuchon qui se dressait entre les cuisses de Clochette, un spasme brutal est venu contracter les chairs tremblantes de mon con avant d’exploser dans un bouillon de jouissance que s’est mis à couler entre mes fesses.



Lorsque la bouche d’André s’est posée sur mon sexe débordant de désir, les spasmes ont repris, de plus en plus intenses, au rythme de sa langue et de ses doigts qui me fouillaient le con. Je me suis redressée, pour attirer Pierre vers moi. J’avais envie de lui dévorer la bouche pendant que son ami me dévorait la chatte. Je voulais lui dire combien je l’aimais et combien je lui étais reconnaissante de partager avec lui cette extraordinaire aventure.


Tandis que ses mains me caressaient les seins et que nos langues s’emmêlaient dans un combat passionné, André s’est écarté et j’ai entendu le bruit caractéristique d’un préservatif que l’on déballe et que l’on glisse sur un sexe dressé. Le moment à la fois redouté et attendu était arrivé. J’allais me faire empaler par la queue monstrueuse d’un presque inconnu sous les yeux de mon mari.


Lorsque le gland d’André s’est posé sur la plaie béante de mon sexe, je sentis mon corps se raidir et Pierre a tout de suite compris ce qui était en train d’arriver. Sans cesser de me peloter les seins, il s’est écarté pour contempler le spectacle de ma fée clochette écartant ses cuisses et ses ailes pour accueillir avec délice l’énorme queue d’André.


J’avais l’impression que mes muscles allaient se déchirer tandis que le long gourdin s’enfonçait lentement dans ma chatte. Des spasmes réguliers me traversaient le corps et je me mordis les lèvres pour essayer de contrôler l’intensité de ma jouissance.


Je ne dirais pas que j’ai fini par m’habituer à cette bûche qui me traversait le ventre. On ne s’habitue pas à ce genre de choses. Disons plutôt que j’ai fini par apprendre à la connaître, à apprécier cette sensation étrange d’être pénétrée par une bête monstrueuse qui m’écartelait les chairs avec délice.


Cela a duré de longues minutes, au cours desquelles le sexe de Pierre est bien vite venu me combler la bouche. J’étais au paradis, le sexe brûlant de mon homme glissé entre mes lèvres gourmandes et le tronc d’André coulissant avec enthousiasme entre d’autres lèvres tout aussi gourmandes.



Pierre s’était penché pour me murmurer sa question à l’oreille avant de me dévorer la bouche pour étouffer ma réponse.


Je savais que les chairs élastiques de ma petite chatte sauraient accueillir sans trop de difficultés le monstrueux engin d’André. Mais de là à l’imaginer écartelant le petit cercle timide de mon cul, il y avait un pas que je n’étais pas sûre de vouloir franchir. Mais Pierre n’était pas intéressé par ma réponse. Il avait trop envie d’assister à la rencontre de Dana et de Rangi.


Il m’a aidée à descendre de la table, le corps trempé des fruits de ma jouissance et les jambes tremblantes des spasmes de plaisir qui continuaient à me traverser. Puis il m’a invitée à aller me mettre à quatre pattes sur le tapis.


Alors que je croyais avoir définitivement effacé mes doutes, mes inquiétudes et mes angoisses, voilà qu’ils reprenaient possession de mon esprit tandis que je m’installais au centre de notre salon pour assumer ma position et dresser mon cul trempé dans la direction de ces deux hommes qui s’apprêtaient à en prendre possession.



Il avait raison le salaud. Mon con continuait à pleurer comme une Madeleine, tandis que je tremblais d’angoisse à la perspective de me faire défoncer le petit trou par l’invraisemblable engin d’André.



Lorsque Pierre est venu s’agenouiller à mes côtés, enserrant ma taille de son bras musclé, j’ai compris ce qu’il avait en tête.



J’étais morte de honte et je le maudissais en silence tandis qu’il m’enserrait la taille et m’obligeait à dresser mon derrière en direction d’André. Je n’ai pas eu le temps de me préoccuper trop longtemps de l’impudique exhibition de mon cul car la main de Pierre est aussitôt venue s’écraser bruyamment sur mes fesses, premier assaut d’une longue suite de claques sonores qui m’ont enflammé le postérieur autant que le con.


Je dois avouer que Pierre sait s’y prendre pour trouver le parfait équilibre entre la douleur électrique et le plaisir brûlant qui traversent mes chairs lorsqu’il m’inflige une fessée. Et le fait que soir-là, ma fessée se déroulait sous les yeux d’un homme que je ne connaissais que depuis quelques heures et à qui j’étais condamnée à offrir mon petit trou, ne faisait qu’accentuer mon plaisir et mon excitation.


Lorsqu’il a été satisfait de la coloration rougeoyante de mon cul et du feu brûlant qui me consumait la chatte, Pierre a mis fin à mon délicieux tourment, me laissant pantelante de désir au centre du salon. Quelques secondes plus tard, un filet d’huile lubrifiante s’est mis à couler sur mes fesses brûlantes et le long du sillon de mon cul.


L’heure était arrivée. À présent j’étais prête et même impatiente de conduire l’impressionnant Rangi sur le chemin de Dana.


J’ai laissé échapper un gémissement de douleur lorsque l’énorme champignon couronnant le gourdin d’André est venu se presser sur ma petite rondelle, l’ouvrant toujours davantage, jusqu’à ce qu’il se fasse enfin avaler dans un long soupir de soulagement.


A posteriori, je dois avouer que ce n’était pas aussi pénible que je l’avais imaginé. Après tout, mon petit trou était habitué à recevoir la visite de Pierre et, une fois le gland avalé, l’épais gourdin pouvait glisser sans encombre au fond de mes entrailles. Bientôt le bassin d’André s’est mis à claquer sur mes fesses brûlantes, accompagné par mes râles sonores et enthousiastes.


André m’a attirée vers lui jusqu’à ce que je finisse par m’asseoir sur ses cuisses repliées, le cul traversé par son énorme queue sur laquelle il me faisait bondir comme une possédée. Puis il s’est allongé m’entraînant avec lui, jusqu’à ce que je me retrouve couchée sur son torse musclé, ses mains me pétrissant les seins, sa bouche cherchant la mienne et son épieu continuant son mouvement de va-et-vient entre mes reins.


Ma chatte n’était plus qu’une intarissable source de jouissance s’écoulant en gros bouillons entre mes cuisses. Et lorsque Pierre est venu s’allonger sur mon corps brûlant de passion, j’ai compris que j’allais pour la première fois découvrir les délices d’une double pénétration.


Même si au cours de nos étreintes avec Pierre, il nous arrivait d’utiliser une gode ou un plug pour accompagner ses coups de reins dans ma petite chatte ou dans mon petit trou, là, c’étaient deux queues qui allaient se glisser dans les orifices les plus intimes de mon anatomie, et l’une d’elle était bien plus imposante que n’importe lequel de mes godemichets.


Lorsque le sexe de Pierre s’est enfoncé dans ma chatte béante, glissant lentement contre l’épaisse tige d’André qui me traversait les entrailles, une série de spasmes presque insoutenables s’est mise à me traverser le corps, me faisant une nouvelle fois exploser de plaisir tandis que mes gémissements et mes râles d’extase résonnaient dans le salon.


Je ne sais pas combien de temps a duré leur double assaut. De longues minutes sans doute ou alors un bref instant dont l’intensité m’a fait perdre tout notion du temps. Toujours est-il que Pierre a fini par exploser dans l’océan tempétueux de ma chatte avant qu’André ne remplisse à son tour son étui de latex en lâchant de puissantes bordées de liqueur tout au fond de mon cul.


Nous sommes restés de longues minutes, liés par ces deux tenons tremblants des derniers spasmes du plaisir et enchâssés dans les mortaises de mon cul et de mon con. Puis, nous avons roulé sur le tapis, toujours enlacés les uns aux autres, avant d’éclater de rire, comme pour célébrer l’incroyable délire que nous venions de partager. Je les ai embrassés tendrement, sensuellement, l’un après l’autre pour les remercier du plaisir qu’ils m’avaient donné, et j’ai fini par les abandonner allongés côte à côte sur le tapis. Je n’avais plus qu’une seule envie : celle de m’écrouler dans mon lit après une douche apaisante.




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Lorsqu’un peu moins d’une heure plus tard, Pierre est venu me rejoindre dans notre lit et qu’il m’a enlacée tendrement, je me suis lovée avec délice entre ses bras, prête à lui rendre un peu du plaisir qu’il m’avait offert ce soir-là.



Je n’en croyais pas mes oreilles. Toute cette histoire de l’ami d’enfance, du frère auquel il ne pouvait rien refuser n’était qu’une vaste blague pour s’assurer que je le suivrais dans son petit délire. J’avais une furieuse envie de le gifler et de le pousser hors du lit. Je me sentais trahie. Mais en même temps, qu’importait qu’André ait été ou non l’ami de Pierre. La seule chose qui comptait, c’est le plaisir intense qu’ils m’avaient donné. Alors, après un long silence, histoire de voir l’inquiétude et l’angoisse grandir dans les yeux brillant de mon coquin de mari, j’ai éclaté de rire avant de lui dévorer la bouche avec gourmandise.