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Temps de lecture estimé : 12 mn
15/06/14
Résumé:  Une jeune femme fait la découverte de la soumission entre les mains d'une femme dominatrice.
Critères:  ff fbi fsoumise contrainte exhib cunnilingu fgode fsodo jouet sm yeuxbandés gifle fouetfesse confession
Auteur : Lily Moon      
Les découvertes particulières d'une jeune femme libre

Mon nom est Lily. Je suis une jeune femme libre, la trentaine, curieuse et souvent aventureuse avec quelques fantasmes inassouvis. En particulier, j’aime être sexuellement dominée. Je ne suis pas du tout soumise dans la vie réelle mais j’aime bien ressentir dans mes rapports avec les hommes ce curieux sentiment de me sentir soumise.


L’automne dernier, j’ai fait la connaissance d’une Américaine à Paris, dans une soirée. Grande, la quarantaine avancée, assez belle, encore très ferme, mais surtout très magnétique, charismatique, très attentive avec moi. Alice parle mal français et comme je ne parle pas trop mal anglais, du coup, nous avons beaucoup bavardé ensemble… Elle m’a dit qu’elle écrivait des romans érotiques, genre SM. Elle a vu que j’étais intéressée. Elle m’a dit qu’elle pratiquait aussi, qu’elle était soumise avec les hommes, mais dominatrice avec les femmes. Bien que n’ayant aucune expérience homosexuelle, j’étais un peu troublée et fascinée à la fois.


Nous nous sommes revues quelques jours plus tard toutes les deux seules dans un bistrot. Elle voulait absolument me séduire et me dominer. Elle avait bien entendu compris que j’étais intriguée et peut-être prête à aller plus loin. Elle m’a offert l’un de ses petits romans. L’histoire tournait autour de l’éducation à l’anglaise d’une jeune fille, « sadisée » par une gouvernante avant d’être offerte à un gentilhomme pervers… Elle m’a raconté quelques-unes de ses expériences avec des hommes ou avec des femmes. Elle savait évidemment que je n’étais pas lesbienne, que je n’avais aucune expérience féminine mais que j’étais attirée par la soumission. Elle voulait que je me soumette à elle et m’offrir à l’un de ses amants dominateurs. Elle aurait été soumise à lui et dominatrice avec moi. J’ai refusé ce plan à trois mais j’ai fini par accepter de la voir seule à seule dans une chambre d’hôtel. C’est une expérience que je n’oublierai pas.


Elle m’avait donné des consignes. Pendant notre rencontre, je devais l’appeler « Madame ». J’ai eu le malheur d’arriver avec dix minutes de retard dans le hall de l’hôtel où elle m’attendait. À peine entrées dans la chambre, Madame m’a fait mettre debout dans le coin face au mur avec interdiction de bouger et de me retourner. Elle m’a lentement déshabillée, ses mains caressaient mon corps et ma poitrine et je n’avais pas le droit de bouger ou de parler. Puis elle m’a forcée à me mettre à genoux en me criant :



Puis avec son bras, elle m’a obligée à mettre mon front sur le sol et – je ne sais pas comment elle a fait – elle m’a attaché les bras avec un foulard derrière mon dos et m’a expliqué qu’elle aimait me voir ainsi, à sa merci, le front sur le sol et les fesses en l’air, que ça convenait à ma situation de soumise, que c’est ça que je voulais avec elle depuis le début. J’étais au bord des larmes. Elle me caressait les fesses avec ses doigts, me disant que beaucoup d’hommes paieraient cher pour me voir ainsi… et elle se moquait de moi. Elle m’a légèrement fessée. J’étais un peu effrayée quand même, je me sentais un peu comme un lapin pris au piège du chasseur. Elle m’a alors demandé de remonter mes fesses au maximum tout en gardant le front sur le sol. C’était vraiment humiliant. Elle continuait à me caresser les fesses. Puis je me souviens qu’elle a introduit un puis deux doigts dans mon sexe pour me masturber fortement. Au bout d’un moment, évidemment, j’ai commencé à ressentir de l’excitation et même à gémir. Alors, elle m’a relevée, prise dans ses bras, et elle m’a longuement embrassée. C’est la première fois que j’embrassais une femme ainsi. Je suis restée ainsi un bon moment dans ses bras, les mains toujours attachées dans le dos. C’était si bon. Elle me pinçait les seins en m’embrassant et se collait contre moi tout en restant habillée.


Puis elle m’a fait allonger sur le lit, sur le ventre, toujours les mains liées. Et là, elle a soudain introduit l’un de ses doigts féminins dans mon anus en me disant quelque chose comme :



Elle m’a alors mise en garde, disant que si je désobéissais encore, elle introduirait en moi un objet plus large puis me livrerait aux caprices de l’un de ses amants qui aimait particulièrement sodomiser les jeunes femmes. Je ne bougeais plus. Elle est restée ainsi un long moment avec un doigt en moi « pour m’habituer » disait-elle et pour que je ressente bien ma honte. Elle m’embrassait de temps à autre et je répondais à ses baisers.


Nous avons alors fait l’amour entre filles, « normalement » si je puis dire. J’avoue que j’étais très excitée et qu’elle m’a fait jouir à plusieurs reprises avec sa langue et ses doigts. Je crois que je lui ai fait beaucoup de bien aussi. Je ne pensais pas ressentir tant de plaisir dans les bras d’une femme. Après avoir fait l’amour, elle m’a expliqué que pour elle, le comble de la soumission, ce n’était pas d’accepter d’être humiliée ou fessée ou attachée, c’était d’accepter d’être sodomisée. Elle m’a dit qu’en tant que femme, elle refusait de se faire sodomiser par ses amants, sauf si ceux-ci étaient dominateurs, auquel cas c’était pour elle le stade suprême de l’acceptation. Je n’avais jamais vu les choses ainsi.



J’étais tellement subjuguée que j’ai accepté de la revoir mais elle a dû rentrer aux USA. Cette expérience m’avait laissé une drôle d’impression. Alice me fascinait. Je n’aurais jamais pensé pouvoir ainsi être séduite par une femme capable de me dominer ainsi.


Quelques mois passèrent et Alice fut de retour à Paris. Elle me contacta, insistant pour me revoir. Elle me disait « you need to be trained ». Je devais être « entraînée » encore. J’avais un peu peur et, en même temps, je me sentais très excitée. Elle voulait me soumettre devant son amant dominateur. J’étais inquiète de me retrouver devant un type inconnu que je n’apprécierai pas nécessairement. Surtout qu’il n’était pas jeune, cinquante-quatre ans. Elle me jura qu’il était très gentleman et pas insistant mais je préférais la voir seule. C’est un comble pour moi qui ne suis pas particulièrement lesbienne de préférer voir une femme seule à seule…


Malgré plusieurs échanges de mails au cours desquels elle me vantait les délices d’une rencontre à trois, j’ai tenu bon. J’ai refusé de voir son amant. Je lui ai expliqué que je ne me sentais pas encore prête pour cela. Elle a compris. Mais elle m’a dit qu’elle me punirait pour avoir refusé cette rencontre. Je lui ai demandé de ne pas être trop sévère car je n’avais pas beaucoup d’expérience… (Je crois qu’elle peut être très sérieusement sévère, d’après ce qu’elle m’a raconté !) Elle m’a expliqué qu’elle allait faire de moi une « good girl » et qu’elle rapporterait évidemment à « Monsieur » tout ce qu’elle m’avait fait subir et que j’avais accepté.


J’étais vraiment très excitée de la rencontrer de nouveau mais être dominée par une femme et par un homme, croyez-moi, c’est différent. (Je vous expliquerai une autre fois…)


J’ai donc rencontré Alice comme convenu. C’était en avril dernier. Elle m’a invitée à dîner chez elle (son mari – car elle est mariée… – était en voyage). Petit dîner sympathique, arrosé au vin. Conversation sur des sujets divers (du festival de Cannes, à la Crimée, en passant par un voyage qu’elle a récemment fait dans les Andes), sauf érotiques. Elle avait revêtu une longue robe noire moulante qui dessinait bien sa belle poitrine. Moi j’étais en jean serré avec un petit pull vert.


Puis à la fin du repas, elle s’est levée, est venue vers moi, a soudain changé de ton et m’a dit :



J’étais un peu abasourdie. Elle m’a demandé de me lever. Elle a mis sa main sur ma gorge et m’a repoussée contre le mur. J’étais comme paralysée. Son visage était très proche du mien.



J’ai murmuré honteuse :



Elle m’a regardée triomphante. Avec sa main, elle me caressait la poitrine sur le pull. De l’autre main, elle me tenait la gorge ou le menton.



Comme je n’osais répondre, elle m’a giflé la joue (pas violemment). Son visage était à deux centimètres du mien. Elle est passée derrière moi pour m’attraper la tête. Elle me tirait un peu les cheveux et enserrait ma gorge entre ses doigts. C’était assez impressionnant. J’avais un peu peur.



Elle me regardait droit dans les yeux avec un sourire un peu méprisant. Je me suis dit alors qu’elle aurait pu être une bonne actrice.



En me parlant, elle me tenait le menton comme si j’étais une enfant. Son visage était toujours aussi prêt du mien. J’étais un peu effrayée. Mais ses mots me révoltaient aussi. Non je ne suis pas une petite gouine… Avant de la rencontrer il y a peu, je n’avais aucune expérience féminine ! Je restais silencieuse. Elle me gifla de nouveau la joue et me cria de répondre.



Elle était parvenue à ses fins, me faire avouer… Sa bouche était sur la mienne. Elle m’a alors longuement embrassée en me demandant de ne pas répondre à son baiser.



Sa langue pénétrait ma bouche mais je n’avais pas le droit de l’embrasser à mon tour. C’était curieux et très agréable.


Puis elle m’a relâchée, délié les mains et ordonné d’enlever mon pantalon puis mon string qu’elle a roulé en boule et fourré dans ma bouche. Elle m’a attaché un foulard en soie par-dessus pour que je ne crie pas trop fort, m’a-t-elle dit et ne pas déranger les voisins… Elle m’a expliqué que la dernière fois, elle m’avait attachée les mains et aveuglé les yeux. Cette fois-ci, il me fallait faire l’expérience du bâillon. Je l’ai laissée faire.

Elle m’a alors ordonné de prendre appui sur le montant d’un fauteuil et de présenter mes fesses. J’avais donc le bas dénudé mais toujours mon pull sur le haut, et elle était évidemment toujours habillée.


La fessée a commencé, d’abord doucement, presque des caresses, c’était excitant, puis plus fort, puis de plus en plus fort. À chaque coup, j‘émettais un cri étouffé par le bâillon, quelque chose comme oouussshhh… Parfois elle s’arrêtait, pour me caresser doucement le sexe de ses doigts et parfois de ses lèvres aussi. Puis elle recommençait plus fort. Je devais avoir les fesses très rouges.


Elle est finalement allé chercher une ceinture d’homme et m’a annoncé qu’elle me donnerait trois coups, un de plus à chaque fois que je voudrais protéger mes fesses avec mes mains… Je devais compter les coups avec ma voix étouffée par le bâillon. Cette fois-ci, ça faisait vraiment mal. À la deuxième fois, je n’ai pu m’empêcher de mettre mes mains pour parer le coup. Je me demandais bien pourquoi je devais subir pareille chose. Mais quelque chose comme de la fierté m’obligeait à accepter le châtiment. Elle me compta un coup de plus. Au troisième, je fermai les yeux de douleur. Au quatrième, j’avais mes premières larmes.

À la fin de la punition, elle me fit relever, enleva le bâillon et me prit dans ses bras. J’avais les yeux mouillés.

Elle m’embrassa longuement, me fit boire de l’eau.



Elle avait gagné…


Finalement j’aime bien cette alternance de moments durs et doux. Alice peut être vraiment très sévère, méprisante et hautaine et aussi très douce, presque maternelle.


Elle me fit alors allonger sur le lit, sur le ventre les fesses en l’air. Elle me disait qu’il fallait que je me calme. Elle me caressait les fesses et les cuisses doucement de la paume de sa main. Elle a pris du baby oil pour me masser un peu. Je finis par me détendre. Nous avons discuté un moment. Tout en parlant, ses doigts rendus humide par l’huile tournaient autour de mon anus puis, finalement, elle m’a doucement pénétrée de l’un de ses doigts. C’était plutôt agréable et excitant. Elle était très douce. Elle a recommencé à m’expliquer ce qu’elle m’avait dit la dernière fois, que la vraie domination passait toujours par la pénétration anale. C’est sa grande idée. Et que je devais m’entraîner à cela et l’accepter… si je voulais être sa good girl. Son doigt allait et venait, sortait et rentrait et la chose commençait à devenir excitante. Elle le sentait bien à ma respiration qui s’accélérait. Puis elle est allée chercher un sextoy un peu spécial, en forme de triangle, elle m’a dit que ça s’appelait un plug, Il n’était pas trop gros, et elle me l’a doucement enfoncé dans les fesses jusqu’au bout. C’était supportable, ni agréable ni désagréable. Elle m’a demandé de marcher et j’ai dû faire le tour de la pièce avec ce truc dans les fesses. C’était évidemment un peu humiliant mais aussi assez drôle.


Elle a mis de la musique et m’a demandé de danser complètement nue pour elle. Elle s’est installée dans un fauteuil pour mieux me contempler Je me déhanchais en rythme devant elle avec le plug dans les fesses et elle m’admirait. C’était assez curieux à vivre. Puis elle a écarté les cuisses et m’a fait signe de venir m’occuper d’elle. Je me suis installée à mon tour à genoux devant elle, et j’ai plongé mon visage entre ses cuisses sous sa robe. Je l’ai léchée un bon moment. Elle me tenait la tête avec ses mains comme pour me diriger et je l’ai entendue gémir. Elle avait l’air heureuse de mon « service ». C’était bon de la sentir mouiller et jouir. Elle m’a dit que je savais bien lécher une femme. Je lui ai juré qu’elle était pourtant ma première partenaire féminine.


Nous avons fait une pause alors et bu un verre de vin en grignotant et bavardant. Puis nous nous sommes couchées dans son lit. Elle s’est déshabillée. Je me suis beaucoup occupée de ses seins qui sont assez volumineux. Nous avons fait alors l’amour, ses gestes et ses caresses étaient très doux, et elle m’a donné une nouvelle fois beaucoup de plaisir. J’étais particulièrement excitée et j’ai joui très fort alors qu’elle me prenait avec ses doigts. Nous nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre, et j’ai complètement oublié que j’avais toujours ce plug dans les fesses.


Pendant la nuit, je ne sais plus très bien qui a recommencé à caresser l’autre et nous avons refait l’amour. C’était très sensuel. Puis elle m’a retiré délicatement le plug que j’avais presque oublié et m’a ausculté l’anus. Elle a alors sorti d’un tiroir un sextoy en forme de sexe mâle à peu près de la même taille que le plug, l’a enduit d’huile et m’a doucement sodomisé avec. Je n’éprouvais aucune douleur mais un peu de honte. Elle faisait aller et venir le sextoy dans mes fesses à un rythme lent au début puis de plus en plus vite et j’ai trouvé la chose peu à peu excitante. Je gémissais et elle murmurait à mon oreille des mots doux, et parfois aussi très vulgaires, me demandant si j’aimais « me faire prendre par le cul par Madame» et je répondais que, oui, j’aimais ça… et elle me disait que j’étais une good girl.

Je n’en pouvais plus d’excitation et j’ai glissé une main sur mon sexe pour me caresser pendant qu’elle me sodomisait et j’ai de nouveau joui ainsi. Je ne pensais pas éprouver tant de plaisir de cette manière.


Puis elle a enlevé le gode et en a profité pour glisser deux ou trois doigts en moi. Nous sommes restées ainsi un moment.



Elle me parlait tout en jouant avec ses doigts dans mes fesses. Elle m’expliquait qu’ainsi j’étais vraiment sa soumise, puisqu’une vraie soumise devait accepter d’être sodomisée par son maître ou sa maîtresse sans broncher. Et c’est vrai qu’après « l’entraînement » que j’avais subi, c’était tout à fait agréable de la sentir ainsi en moi… Et j’avais vraiment l’impression d’être à elle. Jamais je n’aurais pensé que je pourrais éprouver tant de plaisir à ainsi « donner mon cul » à une femme.


Nous nous sommes rendormies épuisées et le lendemain matin, nous avons pris le petit déjeuner dans un café près de chez elle. J’avoue que je viens de vivre là, l’une des plus érotiques expériences de ma vie et j’en suis toute bouleversée. Je découvre peu à peu un univers nouveau pour moi. Alice m’incite à écrire en détail mes expériences pour mieux m’en souvenir plus tard… et finalement je me suis amusée à écrire hier dans le train pour vous (et pour moi).