Et ça, je le mets où ? (100% dialogues)
- — AÏE !
- — Oh, je suis désolée !
- — C’est vodre pied, là. Il est goincé gontre ma joue et un orteil be rentre dans la narine.
- — J’essaye de le déplacer, mais… pas facile. Y a le ventre du gros barbu qui me coince la cuisse et y a l’épaule d’une fille qui m’oblige à tenir la tête penchée…
- — Bin le gros barbu, il fait ce qu’il peut ! C’est tout juste si j’arrive à bouger le bassin, moi !
- — Et pourquoi vous voulez bouger ?
- — Bin pour faire plaisir à madame ! Je vais pas rester dedans pendant une heure sans rien faire ! Surtout que je sens qu’il y a un gars qui est passé par l’autre côté, et lui il bouge, hein Madame ?
- — Oh ouiiiiii !
- — Oh oui quoi ?
- — Oh oui, il bouge ! ouiiiiiiiiiiii…
- — Bin moi aussi je voudrais bouger ! Voilà !
- — Je comprends votre problème, mais laissez-moi au moins sortir mon orteil du nez de monsieur.
- — Ça, c’est gentil de benser à boi.
- — C’est normal, y’a des trous faits pour, pis d’autres non.
- — Bin je vais vous aider, et après vous me laisserez un peu de place pour me mettre en rythme avec les deux autres, là, sinon madame va me foutre dehors. Attendez, on va y arriver. Bin vous pourriez mettre ça là ? Et puis ça ici, et ça là… par-dessus, humpf… bin je sais, j’ai un peu de ventre, c’est pas facile.
- — Et comment je fais pour passer la cuisse ? Vous me prenez pour Barbie Désarticulée ? Z’êtes gentil mais je ne sais pas me gratter derrière les oreilles avec les pieds, moi !
- — Bin pourtant vous avez l’air souple…
- — Ah non, faut pas croire, elle n’est pas à moi, cette jambe-là.
- — Ahhh ! Bin d’accord ! My mistake ! Remarquez, ça explique la différence d’épaisseur des mollets. Du coup je vous voyais plus… genre contorsionniste du cirque de Pékin, quoi !
- — Moi ? Cirque de Pékin ? Ah pas du tout ! Je ne suis pas encore assez souple pour arriver à lécher les couilles d’un type qui me sodomise !
- — Guelgu’un barle de me léger les gouilles ?
- — Non Monsieur, je répondais au gros barbu. Et par ailleurs, je vous ferais remarquer que vous ne me sodomisez pas.
- — Ah diens ? J’aurais juré, bourtant ! Mais bon, divicile de savoir où on est avec tout ce bazar, hein ! Et bour mes gouilles ? Les léger ?
- — Léger ?
- — Lég…cher !
- — Ah oui, lécher ! Après, si vous voulez, je peux essayer, mais d’abord faut que j’arrive à bouger le pied… on y est presque… ça y est ! Z’avez entendu le petit plop ? C’est rigolo, vous avez une narine plus large que l’autre, maintenant !
- — J’espère que ça ne va pas rester comme ça !
- — Hi hi ! Ne vous inquiétez pas, nous aussi on se pose la question des fois, mais ça se referme toujours. Oooohhhhhh !
- — Tout va bien ?
- — Oh oui, super bien ! Y a un roi du cunni qui vient de m’arriver entre les jambes, on dirait ! Je ne peux même pas voir sa tête, y a la blonde en travers…
- — Ah vous m’avez enfin remarquée !
- — Difficile de faire autrement, vous écrasez vos tétés contre les miens !
- — Oui, c’est assez excitant, hein ? Des tas de types ici adoreraient mettre leur queue entre nos quatre seins, je suis sûre ! Mais là, on est juste entre filles et c’est parfait, non ? Dites, puisque vous avez une main de libre, vous pourriez me mettre un doigt ou deux ?
- — J’ai plutôt envie de vous donner une fessée !
- — Si vous trouvez moyen de bouger le bras, pourquoi pas ! Mais deux doigts, ça serait quand même sympa. Ou même trois, allez. Je mouille tellement que ça ne devrait pas être difficile ! Et puis si ça fait quatre, eh bien ça fait quatre !
- — On va essayer… Monsieur, vous êtes toujours là ?
- — Oui ?
- — Pour descendre vous lécher les couilles, ça va pas être possible, finalement. Je suis sur un autre truc, là. Vous devriez demander à la blonde pendant que je la doigte.
- — …
- — Quoi ? Je ne vous ai pas entendu !
- — Je disais : pas rigolo, c’est ma femme !
- — Ah oui, je comprends.
- — Bon, tant pis, mes narines et moi, on va se débrouiller tout seuls !
- — Pour vous lécher les testicules ?
- — Non, ni les miennes, ni celles de mon voisin qui ballottent sous mon nez ! Par contre si je peux glisser ma main jusqu’à ma queue, je devrais pouvoir la guider jusqu’à la chatte entrouverte, là… c’est à qui le joli minou bien épilé avec des toutes petites lèvres ?
- — Je ne vous vois pas, mais il me semble que vous parlez de moi !
- — Bonjour Mademoiselle ! C’est bien vous, l’épilée ? Pas de souci si je vous baise ?
- — Ah si ! Ça ne me va pas du tout ! Je ne suis pas venue pour baiser, moi !
- — Euh… vous êtes sûre ? Pourtant on dirait bien…
- — Non, j’ai horreur de ça ! C’est vulgaire ! Moi, je suis venue faire l’amour, mon cher.
- — Ici ? Drôle d’idée ! Enfin, si vous préférez, on peut faire l’amour. Attrapez juste ma bite et vous vous la fourrez…
- — Non, pas la bite ! Le pénis !
- — Voilà, le pénis, très bien. Comme vous voulez du moment que c’est le mien.
- — Et je ne vais pas me le fourrer, mais l’introduire langoureusement dans mon temple de Vénus.
- — Comme vous le sentez ! Oh oui, on y est, là ! Mhhh ! Et je… humpf…
- — Un souci ?
- — Oui, hugnf… je voudrais arriver à respi… gloarpsh ! Rrhhhh !
- — Chéri, sors ta queue de la bouche du monsieur.
- — Pourquoi tu dis que c’est un homme ? Y’avait juste des lèvres ouvertes !
- — Tu vois bien sa moustache : elle est blonde, mais c’est quand même un type.
- — Ah t’as peut être raison, mais avoue que vu d’ici ça ressemblait à une chatte…
- — Avec des dents ?
- — Bon c’est vrai, c’est pas normal. Je sors, désolé vieux. Sans rancune ?
- — Rrgghhhhhhhglll !
- — Mais tu lui as éjaculé dedans ?
- — Bah, peut-être un peu. Mais c’était amical, chuis pas homo pour autant !
- — Non, bien sûr, mon chéri, mais y a quand même un autre gars qui t’encule.
- — Ah, tu l’as vu… En fait, c’est surtout pour rendre service, il ne trouvait pas de minou et il n’arrivait pas à se retourner. Oh ! Tiens ! Alexia ! je ne savais pas que tu étais là !
- — Qui me parle ? Je ne vois rien, j’ai la tête entre les jambes d’une rousse assez touffue !
- — Dites, c’est désobligeant de parler de mon intimité comme ça !
- — Je n’ai pas dit que je n’aimais pas, ne vous vexez pas !
- — Alors taisez-vous et léchez-moi !
- — Y a une vraie rousse ? J’ai entendu ! Y a une vraie rousse ! Et autoritaire en plus ! J’adore ! Elle a un fouet ? Elle est où ? Elle est où ?
- — Laisse tomber, c’est sur la gauche, trop loin, tu ne peux pas l’atteindre.
- — En tout cas, ça me fait plaisir de tomber sur toi, Alexia ! Sans ton piercing, je ne t’aurais jamais reconnue ! Enfin si, au goût, quand même un peu.
- — S’il vous plait ! Le monsieur qui me fait l’amour et que je ne vois pas ? Pourriez-vous, je vous prie, aller un peu plus vite ?
- — Rghhllggshhflurp !
- — Tout va bien ?
- — Beuhhh… presque ! Désolé, y a un type qui m’a quasi violé la bouche, ça m’a déconcentré ! En plus le trop plein me ressort par les narines, déjà qu’il y en a une plus large que l’autre…
- — Moi je veux bien vous lécher tout ça dès que la blonde aura lâché mes seins.
- — Ah c’est gentil, parce que ça colle.
- — Dites, vous êtes sympas, tous, mais moi j’étais venue pour me faire brouter ! Or ça fait une heure que je suis là : personne n’a touché à mon clito ! Coincée comme je suis, je ne peux même pas l’atteindre pour me débrouiller toute seule !
- — Je suis partant, mais faudrait qu’on me laisse descendre. C’est à qui ce bras ?
- — C’est pas un bras.
- — Oh, félicitations mon gars ! Impressionnant !
- — Quelqu’un pourrait ouvrir la fenêtre ? On ne respire plus, ici !
- — AIEUHHH ! Qui est l’imbécile qui vient de me sodomiser ? J’avais bien dit au départ que je ne veux pas ! J’ai été très claire ! Je fais tout, mais pas le cul !
- — Je crois que c’est personne, ma chérie. Tu as fait un mauvais mouvement, et crac, le levier de vitesse !
- — De toute façon, moi j’avais prévenu. Une partouze dans une bagnole, c’est une idée à la con !