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n° 16234Fiche technique39552 caractères39552
Temps de lecture estimé : 23 mn
16/06/14
Résumé:  Avec l'âge, des envies apparaissent. Lui regarde des vidéos de son fantasme, n'imaginant même pas que la réalité va le rattraper.
Critères:  fh hbi couplus cocus anniversai fellation cunnilingu pénétratio fsodo hdanus hgode hsodo échange yeuxbandés confession
Auteur : VincenLise            Envoi mini-message
Bon anniversaire

Il est bien 23 heures passées, Agnès lit ou pianote sur sa tablette dans la chambre, et moi je suis devant le micro du bureau. Lorsque mon portable, que j’ai laissé dans le salon, sonne, je fais un saut et me précipite pour décrocher. J’ai horreur des appels tardifs, ils sont rarement les porteurs de bonnes nouvelles.



À ce moment, Agnès entre dans le salon et me regarde avec un air inquiet. Elle aussi n’aime pas les appels tardifs. D’un geste je la rassure et, interrompant Marc, je lui dis.



Chaque fois que je prononce le prénom de mon copain d’enfance, ma femme est toujours inquiète.

Je sais pourquoi et un jour, il faudra que je me décide à lui parler. Mais, il faut trouver la bonne occasion.



Elle est totalement rassurée et me laisse avec mon copain. Nous bavardons quelques minutes et je retourne vers mon ordi. Mais Agnès occupe la place.


Merde, j’ai oublié de fermer le navigateur. Tous les onglets et mes favoris sont affichés et j’imagine qu’Agnès est en train de les parcourir. Depuis le pas de la porte, alors qu’elle me tourne le dos, je vois bien qu’en effet elle navigue, passant d’une page à l’autre, d’une vidéo à la suivante.


C’est dingue mais à cinquante balais, je peux encore me sentir fautif, comme lorsque ma mère a découvert ma cachette avec mes revues et les cassettes pornos.

C’est vrai aussi qu’il m’a fallu attendre cinquante ans pour être attiré par des pratiques que je n’aurais jamais imaginées avant. On trouve de tout sur internet et j’avoue être un utilisateur régulier des sites pornos. Cela m’excite, comme j’imagine la majorité des hommes, et Agnès en profite souvent, sans le savoir. Plus d’une fois je l’ai rejointe au lit après quelques visionnages et lui ai fait subir les pires outrages. Après toutes ces années ma libido a bien besoin d’être provoquée et, ce n’est pas un reproche, j’ai déjà largement fait le tour de ma femme. Je pense qu’elle aussi d’ailleurs, car je peux compter en semaines, la dernière fois où elle est venue me chercher.


Alors chacun y trouve son compte, car je suis alors un amant ardent, passionné, résistant mais très attentif à donner son plaisir à ma femme.


Mais ce qu’elle regarde actuellement est très différent. Ce sont des vidéos où un homme se fait prendre par derrière par sa femme et même, certaines où c’est l’amant de la femme qui le sodomise. Si elle va dans les favoris, elle va trouver pire, des hommes sodomisés par des « Huge Strapon », des godes ceintures énormes, hors du commun.


J’ai mis un moment pour remarquer que depuis quelques temps, sans réfléchir, je tombais systématiquement sur ce genre de pratique. Encore plus de temps pour constater que je bandais comme un âne à la vue de cela.

Que va-t-elle penser de ce qu’elle voit. Que je suis devenu homo, pervers, détraqué ? Je n’ai pas vraiment le courage de l’affronter et je vais dans la salle de bain, puis dans mon lit. J’éteins aussitôt, pensant clore, au moins pour ce soir, le sujet.


Bien plus tard, Agnès vient me rejoindre et se glisse dans le lit. Elle a largement eu le temps de tout regarder.

Ouf, elle ne dit rien. Mais pourtant elle vient se coller contre moi, sa poitrine contre mon dos. Elle m’étreint avec tendresse. Je sens son souffle contre mon cou.



Au moins, je n’ai pas droit aux reproches du genre « mais pourquoi regardes-tu ces pratiques honteuses ».



Aïe ! elle a vu les hommes avec ces énormes godes dans le cul.

Mais elle continue :



Alors là, je suis scotché. J’attendais les pires reproches et nous voilà en train de discuter du bien-fondé de la sodomie d’un mari par l’amant d’une femme. Je reste pourtant prudent.



Qui a dit que le sexe limitait les autres capacités ? Me voilà en pleine consultation de psy. Dans quel pétrin je me suis fourré !



En riant dans mon oreille, Agnès dit :



C’est un moment où une vie peut basculer. Que dois-je répondre ? Elle attend « non », bien sûr. Comment peut-elle imaginer que l’homme qui vit avec elle depuis si longtemps ait envie de… ? Mais même lui ne savait pas…. Tant pis, je me jette.



Instinctivement son corps se détache du mien, mais je suis conscient qu’elle prend sur elle pour demander, le plus naturellement du monde.



Je sens bien sûr, toute l’ambiguïté de sa question. Elle a peur de la réponse. Déjà elle imagine un mari qui se fait enculer dans les coins par le premier venu.



Un moment elle reste stupéfaite, mais elle se ressaisit et demande, presque hilare.



Et comme elle sent bien que sa question est trop technique :



Je décide de continuer dans la vérité :



Alors ma femme me sidère par son à-propos.



J’ai une femme exceptionnelle, ouverte d’esprit et constructive. Merci Agnès chérie de ne pas me ridiculiser.



Et avec un petit rire, Agnès clôt la conversation en disant et en m’embrassant dans le creux du cou.



Le monde ne s’est pas arrêté de tourner depuis cet incident. Dès le lendemain, chacun a repris le cours de sa vie et nous avons reçu nos amis comme d’habitude.


C’est seulement le vendredi suivant que j’ai vu les conséquences. Je suis allé me coucher, comme d’habitude assez tard et Agnès avait déjà éteint la lumière. À nouveau elle est venue contre moi, charmant contact, prémisse d’une agréable fin de soirée. La nuit est chaude et elle n’a pas mis sa nuisette. Ses seins caressent mon dos.



Pourquoi nier ?



Tout en me contant son histoire imaginaire, Agnès ne reste pas inactive. Doucement mais fermement elle me pousse et m’invite à me coucher sur le ventre. Moi aussi je sens un liquide froid couler sur mes fesses…



Ma femme est une narratrice active. Chacune de ses paroles n’est que la description de ce qu’elle fait. Je suis l’homme de l’histoire. Elle est la femme imaginaire. C’est à la fois réel et irréel. Bien sûr qu’elle trouve un sexe en érection. Quel homme résisterait à ce genre de situation ?



Oh ! La coquine vient de me mettre son doigt dans les fesses. Son majeur a trouvé mon petit trou qui s’est laissé forcer sans difficulté. Elle le bouge, cherchant ma prostate, que la phalange flatte un instant, puis entreprend de l’utiliser comme une petite bite.



C’est vrai, mais l’obscurité de la chambre masque la réalité de ma position scabreuse. Je suis bien à genoux, les fesses en l’air et la tête sur le drap, position ô combien suggestive et que toutes femmes utilisent pour la levrette.

Agnès n’est pas loin, je sens le matelas bouger, mais silencieuse. Enfin, elle reprend.



Mais tout en se plaçant derrière moi, Agnès me parle doucement à l’oreille, murmure à peine audible, comme si elle ne voulait pas troubler la scène et les spectateurs.



Puis, reprenant d’une voix plus forte :



Le géant, heureusement adapté à mon petit cul, est entré sans difficulté, largement aidé par une douce pression mais aussi par l’huile qui rend mon cul aussi glissant qu’une piste de ski noire et verglacée.

La voix d’Agnès a changé. Elle semble moins assurée, mais continue néanmoins.



Ma femme se laisse entraîner par ses propres paroles et m’encule avec vigueur tout en me branlant la bite. Ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre. C’est surprenant de sentir ce sexe aller et venir dans mon cul. Bien plus agréable que pour mon essai en solitaire. Doucement je me laisse porter par les mouvements qu’impose mon enculeuse qui se prend au jeu. C’est bon de n’être qu’une chose entre ses mains. Je sens ma jouissance venir, je sens mon sperme monter et jaillir, pour aller s’étaler sur le drap. Agnès emportée par son élan me pousse une dernière fois, si fort que je me retrouve à plat ventre, maculé de ma propre semence, le gode encore fiché dans le cul.


Quelques minutes plus tard, toilette faite et draps changés, nous sommes allongés côte à côte dans le noir. Chacun cherche le sommeil qui ne vient pas. Agnès parle.



Alors, sans vraiment réfléchir, je réponds.



Elle s’étrangle, tousse, bouge. Enfin.



Long silence.



Moment délicat. De toute façon, je ne peux pas reculer. Encore une fois, il faut que je fasse le malin alors que cela aurait été bien plus simple de juste accepter le cocufiage.



Elle n’en dit pas plus.


Donc en une semaine notre vie sexuelle a bien changé. Des murs se sont effondrés. Nous nous sentons libres. Agnès a pris goût à mes possessions. Elle se sent forte et puissante pendant qu’elle me sodomise. Je me sens petit mais c’est si bon.


Étrange aussi est le moment où je rentre à la maison quittant ma maîtresse et retrouvant ma femme qui vient aussi de laisser partir son amant. Pas besoin de paroles, nos regards en disent long et à chaque fois cela déclenche une envie irrépressible de faire l’amour. Je ne sais pas où je trouve la force de la baiser après Isabelle, mais c’est un fait.


L’autre soir, j’ai même réalisé un fantasme avec elle. Je lui avais demandé et cela ne l’a même pas choquée, de ne pas se laver après Marc et mieux, de rester au lit en attendant que je revienne. Ainsi j’ai glissé ma queue dans le con encore gras du sperme de mon ami et j’ai ajouté le mien avec une jouissance extraordinaire. La prochaine fois, je vais lui demander la même chose avec son cul. Pourquoi se priver, si tout le monde en profite.




Chaque année, pour mon anniversaire comme pour le sien, Agnès et moi avons établi une sorte de tradition, nous allons en amoureux au restaurant et passons une soirée romantique et bien sûr avec une nuit de circonstance. La famille et les amis c’est pour une autre fois.


Aujourd’hui, c’est le mien. Chacun s’est fait beau et d’ailleurs j’ai failli culbuter ma femme avant de partir de la maison tellement elle était belle et désirable avec ces mignons dessous si coquins et aguicheurs.



Le repas et délicieux, mais il me tarde de rentrer.

Aussitôt la porte franchie, nous allumons et :



Je suis heureux de les voir, mais pense aussi que cela va retarder d’autant mes galipettes avec Agnès.


Entre les deux couples rien n’a vraiment changé. Chacun sait maintenant que des relations particulières se sont formées. Je ne sais pas si Isabelle et Agnès ont échangé des confidences, mais une chose est certaine, toutes les deux ont étés informées par leur mari. Pourtant chacun fait comme si ! En tout cas le sujet n’est pas abordé entre nous et les comportements n’ont pas changé. Je me comporte avec Isabelle comme un ami et Marc fait de même avec Agnès.


J’en suis à ce stade de ma réflexion que le champagne coule dans les flûtes et que nous échangeons les traditionnels vœux d’anniversaire.


Bavardages, musique en fond, lumières tamisées, petit à petit l’ambiance change. Isabelle est venue s’asseoir à côté de moi. Je découvre qu’Agnès a aussi migré vers Marc. Je comprends, avant même le premier geste que la soirée va prendre une tournure particulière. Ainsi, Agnès a décidé, manifestement avec l’accord des autres, de sauter le pas.


Dans une sorte de ballet bien huilé chaque femme se penche sur son amant et l’embrasse. À partir de cet instant les choses évoluent sur deux plans. Moi avec Isabelle. Marc avec Agnès. Les gestes d’un côté, les regards de l’autre.


Ce sont les femmes qui décident et qui dirigent. Mais chacun a sa part et doucement tous quatre nous retrouvons aussi nus que le jour de notre naissance. Pour ma part, je trouve que je me serais attardé bien plus longtemps avec nos femmes en petites tenues.


Deux gabarits. Le jour et la nuit. Autant Agnès est fine, élancée, petits seins, hanches étroites, fesses de garçons, autant Isabelle est petite et toute en rondeur, seins gros, où j’aime me faire une cravate de notaire, hanches larges, fesses cambrées. C’est certainement pour cette raison que l’échange est complémentaire. Chaque homme a trouvé chez sa maîtresse le complément de sa femme.


Chez Agnès le soutien-gorge est un écrin qui comprime et accentue sa poitrine, sa culotte un petit morceau de tissu qui suffit à tout cacher.

Chez Isabelle le soutien-gorge a bien du mal à retenir les lobes laiteux mais si doux, le slip très vite débordé se retrouve souvent piégé vers la raie découvrant les fesses généreuses mais fermes.


Pendant qu’Agnès s’installe sur la table, attirant le visage de son amant entre ses cuisses, Isabelle s’agenouille pour me sucer la queue, déjà bien en forme de ce spectacle. Je ne me lasse pas de voir ma femme, cuisses ouvertes, guider son amant de la main pour qu’il la caresse au plus profond de sa chatte ou bien qu’il insiste sur le petit bouton, pièce hors gabarit chez cette femme mince, où le clito, bien excité peut devenir de la taille d’un téton.


Isabelle se rappelle à mon bon souvenir par une fellation digne des suceuses de bites.

Que demander de plus. Voilà un vrai cadeau d’anniversaire.


Mais Marc reprend les choses en main et d’un mouvement il installe sa maîtresse, maintenant en appui de ses avant-bras sur la table et les fesses cambrées dans une magnifique position de soumission. D’un coup, il entre sa bite dans le con liquéfié et commence à bourrer ma femme.

Spectacle grandiose de ces deux amants qui baisent devant nous.


Je pense qu’eux aussi voudraient voir le spectacle de leur conjoint réciproque en train de s’enfiler.

J’entraîne Isabelle pour la placer contre la table juste en face d’Agnès. Je l’engage avec entrain et nous voici en miroir du couple.


Harmonie parfaite de nos quatre corps en action. Regards et sourires s’échangent. Que c’est beau de voir le visage de ma femme accompagner les coups de son amant. Elle me regarde. Elle me défie. Je vois dans ses yeux cette eau qui brouille son regard et qui annonce sa jouissance. Marc s’active de plus en plus vite. En mimétisme parfait je fais de même avec sa femme. La table est secouée et grince sous le poids des corps et les violente poussées.

Enfin vient mon plaisir. Agnès me sourit car elle aussi sait lire sur mon visage. Je balance mon jus dans le vagin totalement liquéfié de ma maîtresse.



Et puis elle part pour revenir quelques minutes plus tard avec une boîte que je connais bien, une boîte où nous rangeons nos jouets sexuels pour que la femme de ménage ne tombe pas dessus. Je comprends alors qu’elle a prévu de montrer le chemin qu’ont pris mes envies et mes fantasmes et comment elle m’aide à les réaliser.


Elle me regarde. Nous seuls savons ce que cela signifie, nos amis pensent certainement qu’il s’agit d’un cadeau. Je sais qu’elle repartira avec, si je refuse l’idée sous-jacente, que mes amis découvrent mes pulsions.

Le monde a bien changé depuis ma jeunesse, pour un homme, se faire prendre par le cul, n’est plus considéré comme un signe de féminité et de faiblesse. Même à l’époque, Marc et moi, adolescents, avions joué à des caresses et même des baisers sur la queue de l’autre. Mais c’est vrai que ni l’un ni l’autre n’avions franchi le pas de la sodomie. Me découvrir enculé ne pourra que lui rappeler ces jeux où branler la queue du copain et lui faire cracher sa crème n’étaient qu’un éveil à la sexualité. Ensuite ce sont les filles que nous partagions.


Ma maîtresse, sa femme sera certainement surprise, en bien, ou en mal, mais après tout, elle qui adore que je l’encule, devrait comprendre que l’égalité homme-femme peut prendre un tour nouveau.

Donc je ne dis pas non.

Agnès sort alors de la boîte de Pandore un foulard, le tend à Isabelle en disant.



Ma maîtresse qui a vu ce que la boîte contenait marque son étonnement, mais finalement s’exécute. Elle s’applique et vérifie que je ne peux rien voir de ce qui se passe autour de moi.


La nuit, l’obscurité la plus totale. Cela change tout. La dernière vision que j’ai, c’est Isabelle qui m’aveugle, ma femme qui cherche dans sa boîte magique et Marc, mon copain qui se prélasse dans mon fauteuil, une coupe à la main, ne paraissant pas concerné par des jeux entre les femmes et moi. Il a raison mais il sera peut être surpris de voir Isabelle, Agnès peut-être, avec le gode ceinture, enfiler son copain.


Tout prend une dimension particulière dans le noir. On se sent à la fois abandonné, mais aussi le centre du monde, et chaque bruit, chaque chuchotement devient une source propre à élaborer toutes sortes de scénarios. Le bruit d’un verre qui tinte, de liquide qui coule, une chaise que quelqu’un déplace prend des proportions démesurées.

Enfin un contact, on s’intéresse à moi. Isabelle me parle dans l’oreille, faiblement comme si elle ne voulait pas que les autres entendent.



Bien sûr, j’obéis. Elle me guide mais nous n’allons pas bien loin. La cuisine. Pourquoi la cuisine ? On me positionne. On me fait pencher en avant. Mon torse sent le contact froid de ce que je devine être le petit bar. Il est étroit et haut, adapté pour deux couverts, pas assez large pour que je puisse m’y allonger confortablement, mes épaules et la tête en débordent.


Mes fesses deviennent le centre d’attention et je ne m’en plains pas. Caresses, claques amicales, juste suffisantes pour faire rosir ma peau blanche sont des préliminaires bien agréables. Difficile de dire, qui de ma femme ou de ma maîtresse se chargent de ce doux labeur. Pareil pour les mains qui écartent ma raie et la bouche qui vient lécher mon anus. La seule chose dont je suis sûr, c’est que les deux doivent participer car je ne connais personnes dont deux mains se plaquent sur mes fesses et une troisième branle ma queue qui pend sous moi.

La voix qui me parle maintenant à l’oreille est celle de ma femme, mais c’est pour me troubler un peu plus.



Au même moment, un doigt se glisse dans mon fondement et s’active délicieusement. Mes appréhensions tombent et ce simple petit bâton libère ma libido. Je n’ai pas honte, je n’ai plus honte, je n’ai envie que de ce plaisir si particulier, si intrusif. Il n’est, je l’espère que l’avant-garde du reste de la troupe.


La troupe, on me la présente aux lèvres. Je reconnais la texture et la forme du gode, le plus gros qu’Agnès utilise sur moi. Cela fait partie du jeu, me présenter l’engin avant de me le mettre dans le cul. Je peux ainsi en apprécier le poli, la forme arrondie, le gland parfaitement imité avec même le méat et le frein que l’on s’attend à voir frémir lorsqu’on le suce. Le jeu consiste aussi à me le faire pomper le plus profond possible afin d’en estimer le diamètre et la longueur. C’est vrai que le plus gros, j’ai bien du mal à ouvrir la bouche assez largement pour en absorber plus que la pointe. Mon cul ne fait heureusement pas tant de difficultés.

On me le retire et maintenant je suis dans l’attente. Qui d’Agnès ou d’Isabelle se fixe la ceinture et se transforme en un mâle en rut arborant une queue, excroissance qui choque de ces corps féminins tout en rondeurs.


C’est Isabelle, c’est certain. Le geste est maladroit, imprécis. Agnès a acquis au fil des semaines une dextérité et une sûreté que le gode ne me transmet pas. Même le lubrifiant est versé trop généreusement et malgré la main qui cherche à l’étaler au mieux, un filet me coule sur les couilles. Mais qu’importe, au contraire sa maladresse donne une impression de première fois et il faudrait être aveugle pour ne pas trouver mon anus qui doit déjà s’être entrouvert.

Voilà, elle présente la pointe, mais sa poussée est trop légère et malgré toute mon envie, le gode ne rentre pas. Je vais pousser pour l’aider, un comble, mais j’entends ma femme qui lui dit.



J’entends une claque accompagner ces paroles et j’imagine que c’est la fesse d’Isabelle qui la reçoit car le gode bondit de surprise pour enfin entrer dans mon fourreau.


Chaque fois, oui chaque fois, c’est une surprise. La première seconde, le cerveau primitif crie à l’erreur, à l’outrage, à la nature bafouée, mais la seconde suivante, le cerveau d’apprentissage rappelle qu’il connaît, qu’il a déjà vu, et alors celui des souvenirs érotiques arrive avec toutes les sensations qui viennent me submerger.

Nom de dieu que c’est bon de se faire enfiler. Isabelle se prend au jeu et comme toute femme qui se retrouve membrée, attrape des réflexes masculins. Une queue c’est fait pour posséder et elle pousse maintenant pour me la mettre bien à fond. Elle se découvre dominatrice et, peut-être en une vengeance retenue, se charge de me baiser avec entrain. Très vite elle trouve le rythme et l’amplitude que le dard dur, gros, long et infatigable lui permet.



J’ouvre bien sûr, encore que sous les coups du mandrin qui m’encule je pensais l’avoir ouverte à la recherche de l’air qui me manque, mais immédiatement quelque chose y entre. Je ne suis pas parti au point de ne pas reconnaître un sexe d’homme, celui de Marc bien sûr, qui a décidé, ou que ma femme a décidé, de venir participer au festin.


Qu’il est loin le temps où j’ai touché une autre bite que la mienne. Déjà c’était celle de Marc, bite toute fraîche, même pas déniaisée, n’ayant pas encore investi la chatte d’une femme.

Je découvre vraiment la douceur de la peau de ce gland si gros, véritable champignon, apte à ramoner des conduits humidifiés de sucs féminins. Moi je n’ai que ma salive à lui proposer, et peut-être une langue agile mais aussi des lèvres qui devraient pouvoir l’enfermer dans ma bouche.



Je l’imagine en spectatrice attentive du spectacle que je lui offre. Sa copine qui m’encule, véritable furie qui découvre un plaisir nouveau. Gare à Marc si sa femme demande la même chose à la maison. Son amant que je suce, avec une gourmandise non feinte, léchant ce bâton de chair comme si c’était le mien.


Même Marc se prend au jeu et ne se gêne plus pour m’investir le plus loin possible. On dirait que mari et femme ont décidé de se retrouver au milieu de mes entrailles pour que leurs bouts viennent s’y frotter.

C’est fort. C’est presque violent. Mais que c’est bon. Marc va-t-il jouir dans ma bouche ? Voilà une expérience à tenter, mais ce serait faire concurrence à ma femme qui n’aurait plus rien à se mettre sous la dent.

Non, il me libère. Non, le gode se retire. Mais ils ne vont quand même pas me laisser comme cela ?

Ma peau exacerbée sent des mouvements.


Ohhhh ! Quelqu’un s’est glissé sous la table et attrape mon sexe. C’est à ce moment que je remarque que je bande comme un âne. Ce quelqu’un me prend entre ses lèvres. Qui ? Marc que ma femme aurait envoyé pour me rendre la pareille ? Ma maîtresse qui veut se faire pardonner sa violence ? Ma femme qui veut conclure la soirée par un retour aux sources ?


Agnès, oui, c’est elle. Je reconnais son toucher, sa façon de placer ses lèvres à la base de mon gland et d’aspirer, comme si ma queue était une paille reliée à un cocktail de fruits.

Mais, je sens aussi que quelqu’un s’empare de mes mains et va les plaquer sur une poitrine que je reconnais généreuse et indubitablement celle de ma maîtresse. Je sais ce qu’elle aime, bien sûr. Palper, caresser mais surtout tirer et tordre ses tétons comme des pointes extensibles. Je le fais et elle gémit, s’approchant pour me faciliter la tâche.

Voilà un magnifique et original cadeau d’anniversaire.


Non, pas tout à fait. Ce que je sens contre mon cul maintenant n’a pas la dureté d’un gode, mais plutôt la souplesse de… Mais oui, la souplesse d’une queue d’homme. Marc, copain de jeunesse, aurais-tu un fantasme inassouvi ? Enculer ton copain ?


Sa bite semble bien petite après le gode de tout à l’heure. Mais, et je rejoins les femmes sur ce point, la taille n’est pas tout. Ce qui s’enfonce dans mes entrailles est plus petit mais au combien plus vivant, chaud, humide, serpent qui rampe lentement pour s’arrêter malheureusement bloqué par le pubis qui touche mes fesses. C’est chaud et cela palpite. Je l’avais dans la bouche, je l’ai dans le cul.


Et le serpent ne fait pas que ramper, il ondule il tourne, gonfle sous les va-et-vient. Mon fourreau est une caverne accueillante où il s’active librement. Une fois, dix fois, cent fois ce dard entre et sort, laissant à chaque fois mon anus ouvert et béant avant de replonger et recommencer. Agnès me pompe sans relâche et je ne sais pas combien de temps je vais tenir. Mais je voudrais attendre, attendre ce moment que toutes les femmes connaissent, celui ou le bâton magique se transforme en lance à incendie et balance sa semence par des jets puissants.


Marc devient fou. Il ne se contrôle plus. Je glisse sur la table sous la force de ses coups. S’il continue ma queue va se séparer de mon corps, aspirée par Agnès et le reste va tomber de l’autre côté. Les seins d’Isabelle me servent de bouées et…


Enfin il se calme. Il tressaille et je sens sa queue gonfler dans mes entrailles, dilater mon conduit et dans une explosion incroyable, éjaculer son sperme brûlant et puissant. J’ai la sensation d’une tornade en moi et la réception de ce liquide craché avec force me trouble et m’enchante.

Ainsi c’est cela que ressentent les femmes lorsqu’elles reçoivent l’hommage de leur amant ! Je comprends que la capote les prive de ce plaisir, ce don du plus précieux des liquides, d’une liqueur qui inonde, jet après jet le plus petit recoin de leur intimité.


Ma propre liqueur bondit de ma verge sans prévenir et Agnès s’étouffe de tant de bonté. Je ne vois pas sa réaction mais cela m’étonnerait qu’elle n’en profite pas pour se rincer les amygdales. La coquine, la salope.

Non, c’est faux, je retire ce que je viens de dire. La plus coquine, la plus salope c’est Isabelle.


Alors que Marc se retire de mon cul, abandonnant un anus encore baillant d’où s’échappe des filets de la liqueur qu’il y a déversé, je sens une langue et une bouche venir se presser entre mes fesses pour recueillir de la fontaine la semence de son mari.


Quel anniversaire ! Mais qu’allons-nous bien pouvoir inventer pour les suivants, celui d’Agnès dans un mois, celui d’Isabelle en Août et celui de Marc un peu plus tard ?