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Temps de lecture estimé : 50 mn
16/06/14
Résumé:  Le printemps est enfin arrivé, nous pouvons donc profiter du splendide et vaste parc qui entoure notre prestigieuse école.
Critères:  fh jeunes frousses intermast pénétratio -amourpass
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Campus AQP

Le printemps est enfin arrivé, nous pouvons donc profiter du splendide et vaste parc qui entoure notre prestigieuse école. Comme souvent, il y a deux façons d’être étudiant dans une prestigieuse école : soit par le mérite quand on a réussi le difficile concours d’entrée, soit par l’argent et/ou la renommée si Papa et/ou Maman sont riches et/ou célèbres, le second n’impliquant pas forcément le premier et vice versa…


Je suis en deuxième année, tout va bien, les éléments les plus faibles sont partis d’eux-mêmes, d’autres ont réussi à se maintenir tant bien que mal, un chèque avec plusieurs zéros aidant beaucoup.


Il est midi dépassé, les cours sont finis pour ce matin, je flâne dehors avec une élève de ma classe, Nadia. Nous parlons de tout et de rien. Actuellement, fidèle à une certaine habitude, elle ronchonne un peu, désignant un groupe de personnes sous un grand chêne plus que centenaire :



Elle me regarde un peu curieusement :



Elle s’éloigne un peu puis reprend sa polémique :



Elle se fige, me regarde, fronce les sourcils puis finit par admettre :



Un bruit étrange retentit, Nadia se fige, les joues rouges…



Je m’assieds dans la pelouse, face au soleil :



Elle s’assied à son tour, juste à côté de moi, son grand sac avec tous ses livres devant elle. Son estomac se manifeste à nouveau. Regardant devant moi au lointain, je lance :



Intrigué par le ton de sa voix, je me tourne vers elle, elle bafouille :



Elle ne répond pas, je continue :



Je m’agenouille à côté d’elle, le regardant de ma hauteur, mes poings sur les hanches :



Levant les yeux au ciel, je soupire :



D’un bond, je saute sur mes jambes, puis je lui tends la main pour l’aider à se relever elle-aussi, main qu’elle accepte :



Elle ne répond pas mais le regard noir qu’elle me lance à travers ses yeux couleur émeraude est éloquent. Je n’insiste pas, Nadia possède son petit caractère. Nous marchons sur cent mètre, elle coupe le silence :



Alors que nous sommes attablés depuis quelques minutes, et que nous avons attaqué le buffet des entrées, elle me confie :



Elle hésite, elle regarde autour d’elle, puis se lance :



Et elle pique du nez dans son assiette. Je suis quand même un peu étonné. Je préfère ne pas savoir la suite, bien que je ne pense pas que Nadia se soit glissée dans ses draps pour un repas. Ce qui serait un comble, sachant de quelle famille fortunée elle descend. Mais comme Mademoiselle Rousse-Feu a une fierté assez mal placée… De ce fait, je préfère continuer dans une autre direction :



Au lieu de répondre, et obéissant pour une fois, elle se contente de sourire. Une bonne heure plus tard, nous déambulons dans le parc qui borde notre prestigieuse école.



Je fouille dans ma sacoche et j’en extirpe deux carnets que je tends à Nadia :



C’est bien la première fois que je la vois rougir autant après un de nos échanges verbaux. Avec un petit sourire coincé, elle prend en hésitant les deux carnets que je lui tends.



Elle préfère rire :



Elle range les carnets dans son grand sac. Elle me regarde d’un drôle d’air à travers sa frange rousse qui cache son front. Elle finit par dire :



Je préfère arrêter là les frais. Elle sourit, je préfère ça. C’est elle qui me saisit le bras pour m’entraîner vers l’entrée en disant :





--ooOoo--




J’ai fini par apprendre un peu plus tard que Nadia avait travaillé durant l’été pour se faire une petite cagnotte afin de pouvoir passer l’année sans trop de problème, mais il y a eu des frais imprévus qui ont fait que sa réserve s’est épuisée plus tôt que prévu. Comme elle ne voulait rien dire sur ces imprévus, je n’ai pas insisté, je commence à connaître ma Nadia et sa tête de mule. Son père gagne des millions, voire peut-être des milliards, et sa fille vit chichement ! Dix jours se sont écoulés depuis…


Vendredi midi, Nadia vient manger avec moi comme presque chaque midi depuis l’histoire du ventre creux ; aujourd’hui, nous avons décidé de tester une petite brasserie un peu plus loin. Je vois bien que durant le trajet, elle a envie de me poser une question. Je finis par décider pour elle :



Je n’aurais peut-être pas dû ouvrir mon armoire devant elle quand nous étions hier dans mon studio pour y prendre quelques carnets. J’ai confiance en Nadia, elle ne dira rien. Mais, à la réflexion, une caisse complète, ce n’était pas très intelligent, un simple coup de pied dans la porte et n’importe qui peut visiter mon appartement d’étudiant. Ce soir, quand je repartirai chez les miens, il faudra que je rembarque une partie de ces carnets, ce sera plus prudent.


Durant le repas, je demande :



Je pose ma fourchette :



Je souris, tendant la main vers la bouteille :



Je remplis son verre puis le mien. Elle me demande :



Je repose la bouteille :



Je préfère ne pas répondre et je finis ce qu’il y a dans mon assiette. Elle revient à la charge :



Nadia a un hoquet de surprise :



Après le dessert, nous nous dirigeons vers l’entrée principale pour subir notre dernier cours de la semaine. Plus que deux heures et ce sera fini. Chemin faisant, je demande à ma voisine :



Elle pile sur place, je dois stopper à mon tour. Elle questionne :



Je me plante devant elle, la dépassant d’une demi-tête :



Sourcils froncés, elle croise les bras :



Je souris, croisant les bras à mon tour :



Je viens de marquer un bon point, elle est visiblement surprise, un peu ébranlée :



Elle me donne un coup de poing sur le bras :



Elle se pince les lèvres, réfléchit un peu puis lâche :



C’est ainsi que notre week-end commença…




--ooOoo--




Nous sommes à présent dans ma voiture qui fonce sur l’autoroute en direction de la mer et de ma famille. Je n’ai pas oublié de placer dans le coffre ma caisse pleine de carnets. Il n’y a pas grand monde sur la route, c’est plaisant. Nadia regarde le paysage depuis dix minutes environ, silencieuse, puis soudain, se tournant vers moi, elle me questionne :



Elle se tait, ma dernière phrase a été prononcée avec un ton qui n’admettait pas la réplique. N’empêche qu’elle revient à la charge, autrement :



Amusé, je me tourne vers elle :



Nadia ouvre de grands yeux, tandis que je pouffe de rire. Oui, je sens que ce week-end ne va pas être triste ! Pas du tout !


Nous roulons encore vingt kilomètres avant de sortir. La route est devenu nettement plus sinueuse, avec des grands fossés de chaque côté, des champs et des bosquets aux alentours. Nous traversons à présent une grande forêt. Je viens juste de tourner dans un plus petit chemin. Nadia dit :



Nous sortons du tunnel sombre de la forêt, retour en pleine lumière. Les champs ont fait place à une vaste étendue sableuse parsemée de petites dunes et de végétation épineuse.



Je ne réponds rien, je ralentis, il ne faudrait pas que je loupe le petit chemin qui mène chez moi, enfin, chez mes parents. Ah, le voilà ! Nadia n’est pas très rassurée, la route étant nettement plus étroite et bordée de sable.



Nous passons devant. Elle s’exclame :



Elle se contente de pouffer d’un rire discret. Nous poursuivons notre route sur environ trois kilomètres. Plissant des yeux, elle demande :



Quelque temps après, la voiture s’immobilise au milieu d’une grande cour. Aussitôt, une femme blonde accourt. Je me penche vers Nadia :



Nadia me regarde d’un air étonné et amusé :



L’instant d’après, étant sorti le premier, avant d’avoir esquissé le moindre mouvement, je me retrouve dans les bras de ma mère qui me démontre, une fois de plus, qu’elle sait broyer les gens malgré les ans qui passent. Je me dégage tant bien que mal, afin de présenter ma passagère qui vient juste de sortir de la voiture :



Comme un scanner, ma mère scrute Nadia de haut en bas, puis déclare :



Visiblement, Nadia est assez surprise du comportement de ma mère. Celle-ci lui met une tape dans le dos en déclarant :



Tandis que ma mère passe devant, je glisse à l’oreille de Nadia :



Une bonne heure plus tard, ma mère et Nadia ont sympathisé sans aucun problème. Mon amie ayant très vite révélé son caractère assez impulsif. Nadia étant resté dans le salon, ma mère entre dans la cuisine où j’étais venu chercher une autre boisson.



Nous retournons au salon où nous attend Nadia. Tout de suite, elle remarque que j’ai l’air embarrassé. Elle demande spontanément :



C’est ma mère qui répond :



Pendant un bref instant, Nadia est comme figée, puis une lueur étrange brille dans ses yeux. C’est avec une certaine stupéfaction que je l’entends répliquer :



D’un bond, Nadia se lève et vient se coller contre moi :



Ma mère me toise, me faisant remarquer finement :



C’est alors que je constate que j’ai effectivement enlacé Nadia et que je le tiens fermement contre moi depuis un certain temps. Après un bref instant de flottement, je ne me démonte pas, et j’entre dans le jeu. Sans lâcher sa taille, je me penche vers mon amie qui commence à s’inquiéter de la tournure des événements :



Nadia écarquille les yeux :



Toujours enlacée par mes soins, Nadia lève la tête vers moi puis chuchote :



C’est avec une voix assez moqueuse qu’elle réplique aussitôt :



Enchantée, ma mère bat des mains :



Nadia se colle plus encore à moi, m’enlaçant, tandis que dans mon dos, elle me pince méchamment. Le frisson que j’ai est mal interprété par ma mère :



J’en profite pour pincer à mon tour le dos de Nadia. Elle aussi réprime tant bien que mal une petite convulsion ! Match nul ! Nadia me regarde d’un air très noir, elle murmure :



Je n’aime pas trop cette phrase qu’elle vient de dire. L’instant d’après, je sens confusément que la situation va empirer plus encore, mais qu’elle prendra quand même un tour plutôt agréable.


Sous les yeux ravis de ma mère, Nadia, posément, m’embrasse à pleine bouche !




--ooOoo--




Nous sommes à présent seuls dans la grande chambre d’amis, ma mère ayant insisté, disant qu’on ne sépare pas un aussi mignon couple que le nôtre !


Un peu abasourdie, Nadia s’effondre sur le dos, bras en croix, dans le grand lit deux places :



À ces mots, Nadia rougit comme une pivoine et bafouille :



Je m’adosse au mur pour me donner une contenance :



Un long silence gêné s’installe entre nous.


Je reste adossé à mon mur, Nadia s’est redressée sur les coudes et, bien que nous soyons face à face, nous évitons de nous regarder. Nous sommes tirés de notre embarras par la voix de ma mère qui lance :



Nous éclatons de rire !


Quelques instants après, à présent détendue, Nadia s’assied au bord du lit, tandis que je m’accroupis devant elle :



Nos têtes sont proches l’une de l’autre. Pour une fois, c’est elle qui est plus grande que moi. Posant son menton sur ses deux mains, elle souffle :



Elle me regarde droit dans les yeux, ça me fait quelque chose :



Mes yeux sont rivés aux siens, je ne déteste pas cette douce torpeur qui m’envahit…



Sans la quitter des yeux, je réponds sincèrement :



Alors, se penchant sur moi, elle dépose un baiser tout léger sur mes lèvres. Celui-ci est différent du premier, il est beaucoup plus doux… Une douce chaleur m’envahit, je réponds à mon tour à son baiser. L’instant d’après, nous sommes enlacés sur le grand lit en train de nous embrasser de plus en plus voluptueusement.


Soudain, on tape à la porte :



Quand j’ouvre la porte, ma mère fait illico remarquer :



Ma mère passe devant. Nous la suivons. Elle se retourne et constate que nous sommes, Nadia et moi, main dans la main.



Soudain, ma mère s’arrête sur place :



La présentation de Nadia à mon père fut nettement moins agitée que celle à ma mère. Celui-ci remarqua tout de suite que nous nous tenions par la main. Contrairement à sa femme (qui au passage, est ma mère), il évita de faire des allusions graveleuses. Bref, ce fut nettement plus calme ! Peu après, Nadia me fit remarquer :



Mon père a très vite demandé à Nadia si elle avait une quelconque relation avec des Fovel-Masnier, elle a répondu que son père était le Président-directeur général de la boîte. Mon père l’a regardée curieusement puis a lâché :



Quand, quelques minutes plus tard, mon père et moi avons été seuls dans le hall d’entrée tandis que les femmes étaient restées à bavarder dans la salle à manger, il m’a simplement dit :



Je me suis interrompu ; était-il raisonnable de lui dire qu’elle ne voulait pas de l’argent de son illustre famille ? Mon père me cloua sur place en répondant :



Puis il a quitté la pièce. Pas besoin d’essayer de le cuisiner, même ma mère n’aurait pas réussi à lui extirper un mot de plus. Du coup, j’étais perplexe !


Nous sommes à présent dans la cour arrière, celle qui mène vers les hautes dunes. Désignant ces collines de sable, Nadia demande :



Puis sautant du coq à l’âne, elle poursuit :



À ma grande surprise, elle ne répond pas. Alors je l’attire à moi, j’ai besoin de vérifier quelque chose. Elle se laisse faire, fermant les yeux. C’est un long baiser qui nous unit ensuite. Non, elle ne joue pas, et moi non plus…


Alors qu’elle est plaquée à moi, sa joue sur mon épaule, elle dit simplement :



Elle me donne un petit coup de poing :



Elle s’écarte de moi, s’évadant de mes bras. Elle avance un peu dans le sentier bordé d’épineux, puis étant à trois mètres de moi, elle se retourne :



Tapant du pied, elle se fâche :



Puis elle s’immobilise en rougissant. Ce qui se voit très bien chez une rousse particulièrement blanche de peau, surtout sous le soleil couchant. Je reconnais que c’est mignon tout plein ! Elle se mord les lèvres, bredouillant :



Je m’approche d’elle, mettant mes mains sur ses hanches :



Elle ouvre des grands yeux, bouche ouverte. J’en profite pour l’embrasser à nouveau : deux pour elle et deux pour moi…




--ooOoo--




Nous nous sommes ensuite promenés dans les dunes, sous la lumière blafarde de la pleine lune conjugués aux dernières lueurs du soleil qui s’enfonçait dans la mer, ce qui donnait au paysage des allures assez étranges et fantomatiques. Du haut de l’une d’elles, nous avons pu contempler la plage et la mer au lointain qui miroitait dans un ciel rougeoyant. Nous nous sommes comportés comme deux collégiens très sages, seulement quelques bisous ci et là, et étrangement, ça me suffisait, alors d’habitude, j’ai des gros besoins en la matière ! Idem pour Nadia, la situation semblait parfaitement lui convenir. Dans un élan de lucidité, j’ai pu constater que le sentimentalisme amoureux ramollit dangereusement l’être humain ! Je suis même en train de me demander si j’étais vraiment amoureux des autres filles que j’ai eu le plaisir de mettre dans mes bras et dans mon lit !


Toujours main dans la main, nous revenons à la maison, car c’est l’heure du repas et ma mère est assez à cheval sur certaines traditions, malgré un caractère peu conformiste. C’est tout le charme de ses petites contradictions…


Le repas se passe très bien, ma mère lance bien quelques allusions, mais rien de grave. Quelque chose me dit que mon père va avoir fort à faire, une fois la porte de leur chambre refermée… Le dessert terminé, Nadia et moi allons faire un petit tour, le clair de lune sur une dune, c’est tout aussi follement romantique… Nous sommes assis face à la mer aux reflets d’argent, Nadia son dos contre ma poitrine, nous regardons tous les deux dans la même direction, là où le soleil s’est couché tout à l’heure…



Mutine, elle se colle plus contre moi, et ajoute en susurrant :



Elle cale sa tête sous mon menton, se faisant féline :



Soudain, elle se fige :



Elle secoue la tête, un peu abasourdie :



Intérieurement, je pense que oui. Mais je me vois mal faire sans ma Nadia. Elle a pris une place considérable dans ma vie. À la réflexion, elle avait déjà une grande place, mais je ne m’en rendais pas compte. C’est alors que je me souviens d’un aphorisme qui disait que c’est l’amour qui se construit lentement, doucement, sans que parfois qu’on s’en rende compte qui est finalement le plus fort et le plus durable. Je ne sais pas ce que je dois en penser…




--ooOoo--




Les dunes au clair de lune, c’est très beau, mais il a bien fallu regagner notre chambre pour dormir, suite à cette journée bien singulière ! Une fois la porte fermée après avoir dit « au revoir » à mes parents, et subi quelques allusions de la part de ma chère maman, nous sommes debout de part de d’autre du grand lit, les bras le long du corps, sans bien savoir quoi faire. En général, je suis nettement plus démonstratif quand j’ai le plaisir d’avoir une femme dans ma chambre !



Je désigne de la main une porte juste à côté de la grande armoire vitrée :



Je m’assieds sur le lit :



Elle rougit fortement, elle est adorable ainsi.



Et elle va prestement dans la salle de bain. Je constate qu’elle n’a pas fermé le verrou, je n’ai pas entendu le bruit d’un verrou. Une invitation ? Une marque de confiance ? Oui, j’irais bien jeter un coup d’œil mais… j’ai promis. Et puis, il y a une forte probabilité que je découvre toutes les courbes de son petit corps dans quelques minutes… Une très grosse probabilité. Du coup, ça me calme et ça m’excite en même temps ! Quelle situation infernale !


Je regarde distraitement les pages de mon livre, je n’ai pas trop l’esprit à lire. Dans la salle de bain, j’entends distinctement qu’elle prend une douche. Puis quelques minutes plus tard, l’eau s’arrête de couler. Je tourne les pages, sans aucune conviction, puis la porte s’ouvre.



Enveloppée dans une robe de chambre informe qu’elle serre au col, Nadia contourne le lit à petits pas. Même si je ne vois rien de son corps, rien que ses cheveux humides la rendent très sexy ! Sans parler de toutes ces petites gouttes d’eau qui glissent le long de sa joue et qui vont se perdre dans son cou ! Elle doit bien se douter de quelque chose puisqu’elle rougit un peu. Elle finit par dire d’une voix peu ferme :



Je referme mon livre, j’embarque au passage ma valise et je vais dans la salle de bain. Une bonne douche me rafraîchira sans doute les idées ! Quelques minutes plus tard, je sors de la douche, les idées plutôt confuses. Je me sèche, l’esprit ailleurs. C’est alors que je réalise un point de détail : je n’ai pas de pyjama ! Pourquoi faire ? Je n’en porte jamais depuis quelques années ! Du coup, je prends une grande serviette que j’enroule autour de ma taille avant de repasser dans la chambre.


Nadia est dans le lit, la couverture et le drap remontés jusqu’à son nez. Quand elle me voit avec ma serviette enroulée autour de moi, elle me regarde interrogatrice, je lui réponds :



Ah zut, il y a des choses à ne pas dire ! Je suis en train de chercher une solution, une réponse à cet épineux problème quand Nadia rit et me lance, joyeuse :



Et elle rejette à ses pieds le drap et la fine couverture… elle est totalement nue…





--ooOoo--




En ce qui concerne les femmes, je ne suis pas un néophyte, mais je reconnais que je ne suis pas un Don Juan qui séduit au moins une femme par jour, histoire de ne pas dormir seul la nuit. Pas même une femme par semaine, ou par mois…


Mais la femme dont je m’occupe, je m’en occupe à fond, avec l’intention évidente de la faire jouir et jouir encore et toujours ! Je veux qu’elle soit alanguie au petit matin, les yeux cernés, les lèvres béates, repue et rompue de nos nombreuses turpitudes et de toutes les folies de nos corps enfiévrés !


Et je suis assez bon à ce petit jeu, aidé par un self-control en béton, et un priapisme de bon aloi qui perdure longtemps ! À condition que je n’éjacule pas trop souvent, mais en général, mes conquêtes sont occupées à jouir pour se soucier trop de ma personne et de mon cinquième membre d’airain !


Papillon fasciné et suicidaire qui virevolte envoûté autour de la flamme assassine. Et les latines sont très très chaudes, croyez-moi ! Brûlantes ! Incandescentes !


Mais là, face à un mignon petit écureuil tout tremblant, je suis dérouté, j’en perdrais presque tous mes moyens !


Rembobinage de quelques secondes du film en cours : Nadia rit et me lance, joyeuse :



Et elle rejette à ses pieds le drap et la fine couverture… elle est totalement nue…



Advienne que pourra, en effet… Enfin… oui et non, je reste planté là, me contentant de l’admirer de la tête aux pieds. Elle doit sentir la brûlure de mon regard sur elle, elle rougit adorablement. Oui, ma Nadia est très mignonne, voire même plus que mignonne ! Aucun adjectif ne me vient en tête et je m’en fiche, je contemple cette gracieuse jeune femme tremblante qui s’offre à moi !


Soudain, je la vois fixer un point plus bas que mon nombril. J’incline la tête pour constater que je ne peux pas cacher un évident intérêt pour son attirante personne. Je comprends à présent l’expression « tendre le chapiteau » (ou quelque chose dans le genre), même si c’est ma serviette de bain qui sert de toile !


Alors, advienne que pourra : d’un geste sec, j’ôte ma serviette de bain qui vient s’écraser sur le mur avant de s’avachir lamentablement sur le sol. Mais je n’en ai cure, je suis totalement focalisé sur Nadia qui rougit de plus en plus tandis que je m’approche lentement d’elle, sexe pointé vers elle.


Je m’agenouille au bord du lit tandis qu’elle semble se recroqueviller, sans toutefois remettre la couverture sur elle. Je lui prends la main, comme pour l’apaiser, puis je m’assieds lentement. Oui, on dirait en effet un petit écureuil, un peu effrayé, mais aussi attentif à la suite des événements, curieux et intrigué. Je ne connais pas bien les antécédents en la matière de Nadia, j’ai cru comprendre qu’elle n’était pas toujours bien tombée en ce qui concerne ses partenaires au lit, alors je vais faire du mieux que je peux pour les effacer de sa mémoire. Est-ce présomptueux de ma part ? Peut-être. Mais je désire ardemment cette femme, et je la veux pour moi seul !


Je tends la main vers sa joue, elle esquisse un léger mouvement de recul vite stoppé. Elle s’excuse silencieusement dans un vague sourire navré. Je me contente de lui répondre avec un large sourire. Ma main caresse sa joue, elle ferme les yeux, se laissant faire. Je m’approche petit à petit d’elle, agenouillé à ses côtés. Ma main change de joue, elle garde toujours ses yeux fermés. Alors je me penche délicatement sur elle et je l’embrasse.


C’est d’abord tout doux, puis je sens que Nadia en veut plus, elle s’enhardit, je la laisse faire, tout en suivant la progression de son désir, et aussi du mien. Soudain elle lance une main autour de mon cou pour mieux m’attirer à elle, elle m’embrasse follement, ses lèvres sont à la fois brûlantes et fraîches, agressives et douces… Étrange paradoxe…


Je plonge mes doigts dans ses cheveux, nos lèvres se soudent, se dévorent, s’embrasent. Je suis comme en train de glisser le long d’un irrésistible toboggan qui s’enfonce plus loin encore dans un désir incandescent !


Et je n’ai nulle envie de me freiner !


Alors que nos langues se cherchent, se caressent, se lient, soudain je sens une main saisir fermement mon sexe bien dur et palpitant. Ça me fait un tel effet que si je n’y prenais pas garde, j’éjaculerai tout de suite ! Je suis agréablement surpris de son initiative, et je me dis que Nadia est peut-être aussi volcanique au lit que dans la vie quotidienne…


Je m’allonge auprès d’elle, faisant en sorte qu’elle m’ait toujours en main, et sans cesser de l’embrasser, ma main s’empare de son sein droit, et commence à taquiner doucement mais fermement son téton érigé. C’est alors que Nadia entame un faible mouvement de branlage sur ma tige de chair, un très agréable mouvement !


J’agace son téton, alternant caresses et pincements furtifs. Je cueille son sein dans ma main pour mieux le posséder, puis me collant plus encore contre elle, je quitte sa poitrine pour caresser son ventre tout doux, puis je descends insensiblement…


Je frôle son pubis du bout de mes doigts, elle frémit. Je continue mon petit jeu sadique de ne plus descendre, elle se tortille, cherchant visiblement à conduire mes doigts cajoleurs vers sa fente luisante.


Alors ma bouche capture son téton pour le suçoter doucement, puis ma langue descend le long de la courbe de son sein frémissant pour aller s’égarer ensuite sur son ventre frissonnant. Je m’attarde un peu, tandis que mes doigts caressent langoureusement son pubis offert. Elle soupire d’aise. Puis c’est au tour de ma bouche d’aller embrasser la douce peau de son pubis…



Le bout de ma langue s’aventure vers l’orée de sa fente. Sans honte aucune, Nadia soulève son bassin pour me faciliter la tâche. On se saurait être plus clair. Alors, obéissant, je m’introduis délicatement entre ses lèvres déjà bien humides !



Je m’enhardis un peu, puis de plus en plus. Ma langue a définitivement capturé son clitoris qu’elle enveloppe tout en douceur tandis que mes doigts frôlent ses lèvres gonflées et s’aventurent délicatement dans sa grotte, épousant doucement ses parois sensibles. Progressivement, je l’investis de mes doigts qui plongent, plus nombreux en elle, cherchant ses reliefs, son intimité, se chargeant de sa cyprine. Ils jouent en elle, déclenchant des tremblements, des petits spasmes, des frissons.


Heureuse, Nadia plonge ses doigts dans ma chevelure, me dirigeant ainsi légèrement vers les endroits les plus désireux de ma langue agile. À travers mes yeux mi-clos, j’entrevois ses seins comme deux monts rebondis, surmontés de deux pointes rouges érigées vers le plafond. J’admire ses formes douces, le jeu de lumière sur l’arrondi de ses seins. Puis une de ses mains abandonnent alors mes cheveux pour venir titiller ces pointes sensibles, c’est beau, une femme qui se titille les tétons ! Le double contact de ses doigts et de ma langue déclenche en elle des vibrations dans tout son corps tendu, comme prêt à rompre !


Je comprends intuitivement la suite à donner : une de mes mains abandonne sa cuisse pour se poser sur son sein libre, sein mignon que je commence à malaxer fermement mais doucement. Durant ce temps, un doigt s’en vient agacer de façon de plus en plus précise sa rondelle qui réagit positivement à mon grand étonnement. Son entrée interdite semble se détendre, voire même s’entrouvrir. Ma bouche s’active sur mes lèvres que je suce et que j’aspire finement, mes doigts plongent de plus belle en elle !


D’un coup, mon doigt, chargé de cyprine, investit son anus, plongeant posément dedans, se frayant un chemin dans ses chaudes entrailles. Dans le même temps, mes lèvres viennent d’aspirer son clitoris qu’elles enrobent chaudement. Dans ce même temps, je pince férocement le téton offert. Visiblement, ces trois actions simultanées irradient en elle une onde de plaisir et de fine douleur, une vague de jouissance qui la submerge : elle se débat comme pour s’empaler plus loin encore sur mon doigt inquisiteur. Le résultat ne se fait pas attendre, je force un peu plus le passage étroit et introduit tout mon doigt en elle. Cette sensation incongrue d’être possédée ainsi, son sein qui la vrille sous la torture de mes doigts et sa chatte en folie sous ma langue lui font perdre pied et, comme en chute libre, elle jouit bruyamment, laissant éclater son plaisir, en toute liberté.


Je sens distinctement sur mon doigt les contractions qui irradient du bas de son ventre. Un brin macho, je suis fier d’avoir réussi à la faire jouir autant ! J’en profite pour la prendre en pince, mes autres doigts dans son vagin. Je pressens qu’elle apprécie de sentir cette étrange caresse à travers la fine paroi qui sépare les deux endroits de sa jouissance.


Rompue et repue, Nadia s’affaisse littéralement, Elle s’effondre, laissant à mon entière disposition son corps abandonné et peut-être plus. Je retire mes doigts de moi, la laissant se reposer un peu. Elle réagit par un soupir d’aise.


Elle soupire plus encore quand je couvre son ventre frémissant de baisers appuyés. Puis, lentement, je redescends…


Nadia est vautrée, béante dans le lit, ouverte, ma tête entre ses cuisses, ma langue fourrée dans son sexe en folie. Je la lèche langoureusement, elle m’inonde doucement de sa douce cyprine. Je la sens qui se laisse aller complètement, abandonnée à son plaisir qui revient, qui la possède, qui la fait vibrer !


Quelques temps après, j’abandonne son sexe, Nadia entrouvre un œil, un peu déçue. Ce sera de courte durée : Je me vautre impudiquement sur elle, de toute ma masse et je pénètre en elle d’un seul jet. Le pieu de chair que j’introduis en elle provoque une réaction bestiale. Elle projette son bassin en avant pour mieux m’absorber, me capturer. Sans plus de préliminaires, dans des halètements bruyants, nos corps coulissent, pistonnent, mon mandrin en elle, sa vulve autour. Elle plante ses ongles dans mes fesses, bien décidée à me faire pénétrer plus loin encore en elle. Je réponds à son invite par un pistonnage plus violent encore. Mes poils vrillent son clitoris dévoilé, mes secousses la rendent folle de convoitise, pour preuve, ses ongles dans ma chair ! Elle est à moi, rien qu’à moi, je l’épuiserai de désir, la laisserai vidée, exsangue de plaisir, et nulle autre ne pourra plus abuser d’elle !


D’un coup, j’éructe, je pousse un cri de victoire, de jouissance profonde. Mon désir flagrant déclenche le sien, comme une réaction en chaîne et ses glapissements se mêlent aux miens tandis qu’elle me broie contre elle, afin que je lui inonde la chatte, que je lui donne tout !


Vidé à mon tour, je s’affaisse momentanément sur elle, pesant de tout mon poids avant de réaliser que je l’écrase. Elle, elle est ailleurs, bien, très bien, la chaleur de son ventre irradie mon corps repu. Dans un grand soupir, je glisse sur le côté, tout en la plaquant contre moi, pour ne pas perdre mon contact et ne sortir pas de sa vulve si accueillante.


Nous restons collés l’un à l’autre pendant de longs moments ; je la caresse doucement, à son tour, ses mains frôlent ma peau, épousent mes formes. Je l’embrasse délicatement, tendrement. Puis nous sombrons tous les deux dans un repos réparateur, toujours liés l’un à l’autre, avec la certitude que nous recommencerons souvent, très souvent…




--ooOoo--




On sonne à la porte de mon studio. Pourtant, je n’attends personne. Je vais donc ouvrir et je me retrouve nez à nez avec un homme roux ayant ma taille et qui doit avoir la cinquantaine. Je crois le reconnaître, fortement aidé par la couleur de ses cheveux :



Il entre dans mon petit studio, je débarrasse la table de tous ses papiers et livres, puis je l’invite à s’asseoir. À peine assis, il me questionne :



Il me dévisage, me scrute, me jauge, avant de répondre :



Je me lève et je demande :



J’ouvre le frigo, j’en extirpe quelques canettes et je les dispose devant le père de Nadia :



Peu après, la conversation reprend :



Impassible, je réponds :



J’acquiesce de la tête, attendant la suite…



Le père de Nadia s’adosse à sa chaise :



Je fronce des sourcils :



Il se fige, je reste impassible, bien qu’intérieurement, je commence à me demander si je n’y ai pas été un peu fort. Je discute avec un homme qui a largement les moyens de me broyer, moi et ma famille. Je soupire intérieurement quand il rit :



J’esquisse un sourire :



Je soupire, puis je lance :



Il me jauge, pèse le pour et contre. Je pense qu’il ne pense pas ce qu’il vient de dire, il lance des ballons d’essai. Subitement, il se lève :



Il me regarde curieusement :



Cinq minutes plus tard, alors qu’il est parti, je m’étends dans mon lit, un peu épuisé. C’est vrai que son père est assez impressionnant dans son style. Je reste ainsi à laisser ma pensée vagabonder quand la porte s’ouvre sur une Nadia guillerette :



L’instant d’après, elle est dans mes bras, tandis que nous nous faisons des petits bisous partout. Puis je la bascule sur le dos, moi à côté d’elle, la surplombant, un bras enlaçant sa taille. Elle demande :



Je pose ma main sur ses lèvres, et j’annonce :



J’appuie mes doigts un peu plus sur sa bouche et je continue :



Elle ne dit rien, les yeux grands ouverts. Une bonne minute de silence, puis elle demande :



Et je l’embrasse impétueusement, passionnément.


Il ne faut pas beaucoup en promettre à Nadia pour qu’elle exige la suite. Ça tombe très bien, puisque la suite, j’en ai fortement envie !


Son top puis son soutien-gorge valsent à travers le studio, ses petits seins adorables sont à moi. Délicatement, du bout des doigts, je les caresse, je les fais tressaillir, je les fais vibrer l’un et l’autre. Puis je les cueille tels deux belles pommes. Avide, je m’attaque à sucer suavement les aréoles puis à ériger ses tétons roses et sensibles de ma langue et de mes dents. Peu après, j’enfouis mon visage entre ses seins si doux et si chauds. L’instant suivant, je décide à lui en gober tout cru ! Ma succion est terrible, vorace et je sens dans ma bouche la masse tendre. Elle en frémit d’aise devant tant de convoitises de ma part !


Durant ce temps, l’une de mes mains part à l’attaque d’autres contrées à explorer. Très vite, elle trouve un chemin sous sa jupe en jean en remontant mes cuisses puis elle se glisse sous son slip, capturant posément une fesse accueillante. Je n’y tiens plus. Prestement, j’ôte cette petite culotte énervante pour avoir toute latitude avec son beau cul et sa chatte avenante. Elle me laisse faire, le regard brillant. Puis je joue de mes doigts à l’orée de sa fente déjà humide, taquinant ses chairs, agaçant un petit capuchon intime, et il ne faut pas longtemps pour qu’elle frémisse de contentement, ses lèvres cajolées, son clitoris flatté.


Bouillante d’impatience, elle s’attaque à ma braguette derrière laquelle se dresse mon mandrin dur. En un clin d’œil, celui-ci se dresse fièrement, pointu, effilé. Elle le saisit à pleine main et commence à le branler pendant que je joue toujours avec son clitoris en feu et son sein que dévore toujours avidement. De son autre main, elle dégage mes testicules et en caresse la douce peau, d’en palper les boules fermes et pleines.


Je suis dans un état d’excitation intense, infernal : jamais une femme n’avait réussi à ce que j’aie autant envie d’elle, que je veuille la prendre sans partage, que je la possède entièrement, absolument. Mes ex étaient pourtant chaudes, très chaudes, mais ma rousse Nadia est un bûcher ardent et incandescent !


Soudain, elle gémit :



Tant pis pour les formes, je la veux, elle me veut, un point c’est tout ! C’est avec double soupir de profond soulagement et d’extase que je fonds en elle, sans retenue. Elle en gémit de contentement. Elle est tellement trempée que je glisse sans encombre au fin fond de sa vulve humide et que j’ai l’impression que je pourrais être deux, voire trois, qu’elle m’accueillerait sans qu’il n’y ait aucune gêne. Excitée à mort, embrochée à la hussarde par mes soins, elle oscille du bassin pour bien sentir plus encore son empalement sur ma bite dure comme du béton. Je la pistonne furieusement, je lui mordille le sein, ma main sur sa fesse, mes doigts dans la raie de son petit cul en sueur, une grosse vague commence à sourdre du fin fond de mes entrailles. Je la sens venir, petit à petit, inflexible, énorme, comme un tsunami qui ravage tout sur son passage. Je serre les dents pour la contenir, pour ne pas jouir trop vite.


Ses petits cris s’accélèrent, trop excitants. Déchaîné, je m’approprie son cou et le lobe de son oreille que je couvre des fines morsures possessives et de baisers égoïstes. Sans vergogne, un de mes doigts titille son petit trou légèrement entrouvert, la sensation de cette cuvette interdite et offerte est très jouissive !


N’ayant plus de pudeur ni de retenue, elle me glisse à l’oreille d’une voix rauque :



Je ne me fais pas prier ! Je glisse alors mes doigts dans sa fente juteuse avant de lui fourrer en avidement dans le cul. C’est avec une petite joie sadique que je la perfore, tandis qu’elle sent distinctement un intrus lui parcourir le rectum. Elle est à présent comblée des deux trous et c’est au moment où mon doigt percute ma bite à travers la fine paroi interne que la vague déferle sur moi, je jaillis en elle dans un cri rauque et bestial, la pistonnant sans retenue, sans douceur, nous envoyant tous les deux rouler au lointain comme des vulgaires fétus de paille dans la tempête. Elle hurle littéralement son bonheur, tandis que je lui dévore le cou entre deux halètements de plaisir !


Délaissant son sein, je l’embrasse sauvagement pour marquer ma possession, ma bite toujours rivée en elle, mon doigt planté dans ses entrailles palpitantes. Nous sombrons littéralement dans notre jouissance, plus rien n’existe, sauf le plaisir qui se diffuse en nous par saccades.


Nos corps toujours enlacés, le repos vient, lentement, apaisant…


Une douce torpeur nous envahit petit à petit…


Nos yeux clos, son corps contre le mien…


Un peu plus tard, remise de ses émotions et à moitié rhabillée, elle décroche le téléphone et appelle son père. Au début, la conversation est assez mouvementée, puis petit à petit, elle s’apaise…


Une fois la conversation finie, Nadia revient vers moi, qui suis toujours assis sur le lit. Visiblement, elle est assez satisfaite d’elle-même ; je l’enlace. Blottie contre moi, elle dit :



Elle s’interrompt, elle a encore quelques difficultés à exprimer certaines choses. Je n’insiste pas, relançant la conversation :



Elle me donne un petit bisou sur les lèvres et ajoute :



Elle se dégage de mes bras, me bouscule, je me retrouve sur le dos, elle en profite pour s’allonger impudiquement sur moi :



Puis elle m’embrasse passionnément, tandis qu’une de ses mains cherche à extirper mon sexe déjà au garde-à-vous. Une fois celui-ci fièrement dressé au dehors, elle s’assied posément dessus, sans effort, l’enrobant de son vagin si accueillant ! Je ne déteste pas du tout sa façon de me souhaiter la bienvenue. J’aurais tout le temps de m’inquiéter du reste…


Et comme le dit si bien une personne que j’adore : « Advienne que pourra » !