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n° 16243Fiche technique44558 caractères44558
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Temps de lecture estimé : 32 mn
17/06/14
Résumé:  Avant de participer à une émission télé, un patron et sa secrétaire passent le week-end dans une auberge.
Critères:  fh collègues voiture facial cunnilingu 69 humour
Auteur : Starpom      Envoi mini-message
Un patron sous... couette

Voilà, c’est signé avec Endemol. Je vais participer activement à une émission de télévision, la version Française d’une émission américaine qui cartonne.


Le principe est simple. Le patron d’une société comportant de multiples établissements se fait passer, pendant une semaine et sur quatre sites différents, pour un stagiaire, afin de « prendre la température » interne de sa société, sans les multiples filtres imposés naturellement par la hiérarchie.


Ensuite, il convoque tous les intervenants au siège, et se démasque.


Bien sûr, comme toute émission télé, c’est plus ou moins scénarisé, les intervenants sont sélectionnés soigneusement, il ne faut pas non plus que ça mette une mauvaise ambiance dans la boîte.


En plus, ça va me changer les idées, je sors d’un divorce pénible et coûteux, et je me suis réfugié dans le travail. J’arrive tôt le matin, je pars tard le soir, et j’ai plutôt les idées noires.


Arriver à quarante ans et se retrouver seul, au motif que je travaillais trop au goût de « Madame », qui ne manquait de rien soit dit en passant, je trouve cela un peu injuste.

D’un autre côté, j’en ai profité pour changer ma vie, ou tout du moins, préparer le changement. Je viens d’emménager dans mon nouvel appartement, un grand quatre-pièces bien situé, avec garage, dans une résidence haut de gamme sécurisée avec piscine et tennis et, comme par hasard, situé à dix minutes du siège de ma société.


Heureusement, ma société fonctionne plutôt bien. Un réseau de magasins de sport, vêtements et accessoires, ainsi qu’une antenne en Asie – en Chine pour être précis – qui approvisionne le réseau avec des produits à forte marge, Chinese Quality. Ceci étant, je suis très vigilant au respect des conditions de travail de mes fournisseurs, je n’ai pas envie d’être pris un jour dans une tourmente due à d’éventuelles conditions inhumaines pour les employés locaux, car c’est un peu la jungle là-bas…


Actuellement, je possède dix-sept magasins en établissements secondaires, et j’en ai trois en ouverture. Ils sont répartis un peu partout en France, près des grandes villes. Je me suis entouré de collaborateurs et collaboratrices compétents et dévoués, je me borne à superviser tous les maillons de la chaîne, à raison de 12 h par jour en ce moment.


Le tournage va me changer les idées, et puis, je dois avouer que ça m’intéresse de connaître le ressenti de ceux qui travaillent pour moi, et que je ne connais pas. Prochaine étape, coiffeur. Je vais me faire faire une coupe cheveux courts. Adieu mes longs cheveux ondulés et grisonnants. Ensuite, lentilles de contact, exit les lunettes. Jean, t-shirt, dans le placard le costume strict.

Pour finir, je vais raser ma barbe. Normalement, avec tout cela, je devrais être difficilement reconnaissable, surtout par des gens qui ne m’ont vu qu’en photo, dans la publication du groupe.


Officiellement, le but du reportage est de filmer les tentatives de réinsertion d’un ancien cadre au chômage de longue durée. Une équipe va m’accompagner, trois personnes : le journaliste, le cameraman et un technicien. Rendez-vous pris pour lundi prochain, dans mon magasin de Bordeaux. Nadine, ma secrétaire, m’a réservé des chambres dans les hôtels Ibis, ainsi que des voitures de location, pour que je puisse faire ma « tournée » confortablement. Du reste, j’ai déjà en ma possession les billets de train et d’avion nécessaire.


Je prends ma voiture, direction mon bureau, avec passage chez le coiffeur. Une heure plus tard, je me gare à ma place réservée. Je prends mes affaires et monte dans mon bureau.



Depuis que j’ai divorcé, Nadine fait de temps à autre des réflexions ambiguës, je ne sais pas trop comment les interpréter. Ceci dit, ce n’est jamais bon d’avoir une histoire avec une collaboratrice. D’autant que si je ne me trompe pas, elle est mariée. Jolie, mais mariée.



Je rentre dans mon bureau, avant qu’elle ne voie la bosse que j’ai dans mon pantalon. Heureusement, j’ai mis ma mallette devant…


Nadine est assez grande, dans les 1, 70 m, mince, longs cheveux châtain clairs, une petite poitrine et des hanches fines. Elle est toujours habillée avec goût, elle se met en valeur. Aujourd’hui, elle a un jean moulant qui lui va à ravir, et un petit top blanc très sage avec laçage sur la poitrine.


S’il faut, je fais un film aussi. Allez, il est temps de passer aux choses sérieuses. Faire le point de ce qu’il m’attend la semaine prochaine. Je pose mes affaires puis appuie sur l’interphone.



Le temps de m’asseoir à mon bureau, Nadine franchit la porte de mon bureau avec, sous le bras, des dossiers multicolores. Elle s’assoit en face de moi, prend le dossier rouge et l’ouvre.



Elle me fait glisser une photo d’une petite brune aux cheveux bouclés, souriante.



Elle consulte les fiches contenues dans le dossier.



Elle me tend la photo. La quarantaine, plutôt baraquée, bonne bouille.



Elle consulte ses fiches.



Je prends la photo. La quarantaine passé, cheveux courts, visage assez marqué par le soleil, assez classe.



Une grande brune aux cheveux courts, au visage assez juvénile. Plutôt agréable physiquement. Ceci étant, ce n’est qu’une photo.



Elle hésite à poursuivre, me regarde. Finalement, elle choisit de ne rien dire. Elle reprend les dossiers, et retourne à son poste de travail.


Je passe le reste de l’après-midi à travailler, à signer des chèques, à vérifier les commandes en cours. Quelque chose me turlupine. J’appelle le DRH au téléphone.



Je l’entends pianoter sur son ordinateur.



Bien, je comprends mieux maintenant. C’est donc pour ça que depuis quelques mois, elle part tard du bureau aussi. Et si je mettais les choses au point rapidement ? J’enfonce la touche de l’interphone.



Quelques secondes plus tard, elle entre. Je lui fais signe de s’asseoir.



Nadine retourne dans son bureau. Je range le mien, vu que je demande à tous mes collaborateurs que leur bureau soit rangé tous les soirs, aucun document ne devant traîner. Je me dois de montrer l’exemple.


Bien, je suis probablement en train de faire une connerie, mais après tout, je ne suis pas le premier patron dont la secrétaire est secrètement amoureuse. Et puis merde, la vie est courte, Nadine est jolie, on va bien voir.


19 h 30. Je quitte mon bureau. Nadine a rangé le sien, elle est prête.



Nous prenons l’ascenseur. Tiens, elle a mis du parfum. Nous sommes gênés tous les deux, comme des gamins.



Arrivé sur le parking devant la voiture, je lui ouvre la portière de ma Porsche Panamera Turbo. Je me suis fait un petit plaisir, bien que je l’aie acheté d’occasion. Elle est noire, intérieur cuir couleur crème.



Elle s’installe à bord, et caresse le cuir du siège et du tableau de bord.



Je contourne le véhicule et monte à bord.



Si elle commence déjà à me taquiner, on risque d’arriver en retard au restaurant.



Je mets le contact et lance le moteur. Il ronronne en sourdine, on sent la puissance feutrée du huit cylindres.



J’amène le levier de vitesse sur « Drive » et nous quittons souplement le parking, direction le restaurant.



Au moins, les choses sont claires, elle n’y va pas par quatre chemins. On se regarde et, comme par un fait exprès, nous éclatons de rire.



Elle me donne l’adresse, que je rentre dans le GPS. Dix minutes d’après la machine. Ok, c’est parti. Avec le main libre de la voiture, j’appelle l’auberge dont le numéro est dans le répertoire, vu qu’il m’est déjà arrivé d’y emmener quelques conquêtes.



Je raccroche. Coup de bol, une place de libre devant l’immeuble de Nadine. Je me gare.



Elle sort de la voiture et trottine jusqu’à la porte d’entrée. Elle disparaît, comme avalée par l’immeuble.

Je sors de la voiture pour fumer une cigarette. Sympa et calme, son quartier.

Le temps pour moi de finir ma cigarette, elle est de retour.



Nous sortons de la ville, prenons l’autoroute. J’enclenche le régulateur, puis je pose ma main sur sa cuisse. Elle pose la sienne dessus.



En disant cela, elle fait glisser ma main plus haut sur sa cuisse, vers son ventre.



Lentement, Nadine a écarté ses jambes, m’ouvrant la voie sur son entrejambe. Je fais glisser encore plus haut ma main, tout en haut de sa cuisse.



Je décale ma main pour la poser sur son sexe, et entreprends de la caresser à travers le jean.



Je continue mon massage appuyé. Elle écarte encore plus les jambes et s’allonge un peu dans le fauteuil. Je descends un peu ma main.



Sa respiration se fait plus saccadée, elle apprécie le traitement que je lui prodigue.



Je comprends le message. Je défais sa ceinture, déboutonne le jean et fais glisser la fermeture vers le bas. Ensuite, j’insinue ma main entre son ventre et le jean. Du bout des doigts, je sens l’élastique de sa culotte. Je glisse mes doigts dessous, et continue ma descente.


Elle a une toison douce et, semble-t-il, assez fournie. Enfin, j’arrive à ses lèvres qui sont déjà humides. Je déloge son bouton d’amour, que j’entreprends de caresser.



Elle ondule des hanches. Mon sexe est tendu, je ne suis pas à mon aise. Je bouge les reins sur le siège pour trouver une position plus confortable.



Je viens de rentrer mon majeur dans sa fente. Il est entré facilement. Je la caresse un peu plus fort et plus rapidement. Elle relève encore plus ses hanches pour venir au contact de mes doigts.



Moi aussi j’ai envie de la prendre, la situation est trop érotiques… Très bien, 3 km, si j’en crois le nouveau panneau. Je continue doucement à la caresser. Elle a fermé les yeux et se caresse les seins par-dessus son bustier. Voilà la bretelle de sortie. Je mets le clignotant. Il n’y a pas grand monde sur l’autoroute à cette heure-ci, tant mieux.


Très bien, une seule voiture de garée. Je vais me garer à l’autre bout du parking, là où il n’y a personne. J’arrête le moteur. Je sors ma main de la culotte de Nadine, enlève ma ceinture de sécurité. Je lui prends la tête, l’approche de la mienne et l’embrasse à pleine bouche. Notre baiser se prolonge. Elle pose sa main sur la bosse de mon pantalon, et commence à son tour à me caresser à travers. Je recule ma tête, nos lèvres se séparent.



Nous sortons de la voiture. Je lui prends la main et l’entraîne vers le sous-bois où sont installées des tables de pique-nique. L’endroit est parfait. Nous sommes invisibles du parking et de la route. Je plaque Nadine contre moi et nous nous embrassons à nouveau.


Ensuite, je la fais se retourner. D’elle-même, elle s’appuie sur la table, penchée en avant. Je fais glisser son pantalon et sa culotte sur ses chevilles. Ensuite, je dégrafe mon pantalon, le prends en même temps que mon slip et le fais descendre le long de mes cuisses.


Je m’approche de Nadine. Elle passe une main entre ses cuisses, attrape mon sexe, et le positionne devant sa fente. J’appuie mon sexe contre le sien, et me frotte un peu. De sa main, elle me masturbe en même temps.

Elle a des fesses magnifiques, j’en profite pour les caresser à pleines mains.

Je passe une main entre son bustier et son dos, lui caresse le dos en remontant le long de sa colonne vertébrale. J’arrive au soutien-gorge. Je tâtonne un peu, puis arrive à le défaire. Ma main caresse son flanc, s’insinue sous le bonnet et empoigne son sein. Un petit sein bien ferme, avec un bout bien dur. Je le caresse, le malaxe doucement. Du bout du doigt, je titille son téton.


Elle empoigne mon sexe dans sa main, et commence à l’enfoncer en elle. D’un petit coup de rein, j’accompagne le mouvement, et la pénètre complètement. Mon sexe est complètement fiché en elle.

La sensation est divine. Elle cambre un peu plus les reins, pour faciliter la pénétration.



Je commence à lui faire l’amour avec des gestes doux et amples, tout en lui serrant un peu plus le sein. Je pince le bout entre deux doigts, et le malaxe un peu.



J’assure ma prise sur son téton, et le tire vers le bas, vers la table.



Je la pilonne de plus en plus fort, mon ventre tape contre ses fesses. Elle se retient à la table avec ses mains. Pendant plusieurs minutes, je lui fais subir mes assauts, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Son parler un peu cru m’excite énormément.



Finalement, je sors mon sexe de son ventre, l’appuie sur ses fesses et jouis longuement…



Elle prend un mouchoir dans son sac et essuie mon sperme. Ensuite, nous nous rajustons.



Nous regagnons la Porsche et reprenons l’autoroute. Nadine somnole un peu pendant le reste du trajet. Elle a l’air d’apprécier le sexe, et son langage fleuri est assez émoustillant. Beaucoup, même, et inhabituel pour moi, ce qui ne gâte rien.


Enfin, nous arrivons à l’Auberge. 22 h 20. Le réceptionniste est au courant de notre réservation. Nous prenons la clé et allons dans la suite. À peine entrée, Nadine va ouvrir les robinets du jacuzzi. Au milieu du salon est installé une table avec de la charcuterie, des légumes frais et des desserts.



Nous nous installons à table.



Elle file en coup de vent. Je l’entends arrêter l’eau.



Je me déshabille rapidement, pose mes vêtements en vrac sur le lit. Tout nu, j’entre dans la salle de bain immense de la suite. Nadine est nue, assise sur le bord du jacuzzi.



Nue, elle est ravissante. Pratiquement pas de ventre, une belle toison, de beaux seins bien fermes, un sacré bout de femme. Je recommence à bander.



Elle entre dans le jacuzzi, je l’y rejoins. Il y a beaucoup de mousse, l’eau est à température parfaite.



Elle saisit mon sexe et entreprend de le savonner avec l’échantillon de savon. Au passage, elle me savonne l’anus et appuie dessus avec un doigt. Je sursaute.



Elle m’enfonce son doigt doucement. Effectivement, mon sexe durcit d’un coup.



Je me lève. Elle a toujours son doigt en moi. Drôle de sensation, pas désagréable, mais… inhabituelle pour le moins.



Elle me prend dans sa bouche et entreprend de me sucer doucement.



De son autre main, elle me malaxe les testicules. L’effet est incroyablement agréable. Elle sait y faire, manifestement. Elle amplifie sa fellation, elle descend de plus en plus bas sur mon sexe. Je lui pose une main sur la tête, et accompagne les mouvements. Elle me suce ainsi pendant quelques minutes. Je sens la jouissance arriver à nouveau, plus sereinement que tout à l’heure. Je lui tire la tête en arrière en empoignant ses cheveux.



Nous sortons du bain, nous essuyons avec les serviettes, puis je l’entraîne vers le lit.


Elle s’allonge sur le dos. Je me positionne par-dessus elle, je l’enjambe. Ma bouche arrive au contact de son sexe, et j’entreprends de la lécher langoureusement. Ma langue excite son clitoris, puis pénètre son vagin. J’ai saisi ses fesses à pleine main. Je sens qu’elle reprend mon sexe dans sa bouche. Je baisse les reins pour bien l’enfoncer entre ses lèvres.


Ma langue descend un peu, arrive à son petit trou, que je lèche par petit à coups.


Elle libère mon sexe, relève un peu la tête, et entreprend de me rendre la pareille. L’effet est électrisant ! Je retourne lui lécher le sexe. Je sens des contractions dans ses abdos, la montée du plaisir, certainement. J’approche un doigt de ses fesses, l’appuie sur son petit trou, et commence à l’enfoncer doucement. C’est serré. Je lubrifie mon doigt dans son antre, et le représente. Là, il rentre un peu plus facilement. Je renouvelle l’opération trois fois. Enfin, il est complètement enfoncé en elle. Elle frémit…



J’accélère les mouvements de ma langue. De son côté, elle me suce de plus en plus fort, de plus en plus vite. Fatalement, nous jouissons brutalement, presque en même temps. Je me vide dans sa bouche, qu’elle a gardée bien serrée autour de mon sexe. De mon côté, je lèche la liqueur de son sexe. L’odeur est enivrante, le goût assez fort, mais très bon.


Je finis par rouler sur le côté. Je me retourne, et m’allonge contre elle. Je prends un de ses seins dans ma main.



Je descends ma main qui lui tenait le sein, et empoigne son bas-ventre humide. Elle se retourne vers moi en se mettant sur le côté. Je glisse ma cuisse entre ses jambes, et appuie sur son sexe avec. De son côté, elle glisse une main entre nous, saisit mon sexe, et le tient fermement.



J’arrive en me contorsionnant un peu à éteindre les lumières. Je me serre contre Nadine, l’embrasse sur la bouche. Nous nous endormons comme ça, la journée ayant été assez… fatigante.


Lorsque je me réveille quelques heures plus tard, le soleil passe un peu à travers les persiennes. Je me redresse sur le lit. Nadine dort encore. Elle est à plat-ventre sur le lit, un bras replié sous sa tête, les jambes un peu écartées. Ses fesses sont splendides.


Je la contemple. J’ai envie de me masturber en la voyant comme ça, mais je ne voudrais pas compromettre mes performances pour la journée, qui risque d’être sexuellement intense.



En disant cela, elle cambre les reins pour libérer l’accès à son sexe. Je m’agenouille derrière elle, puis m’allonge sur elle. Je positionne mon sexe devant le sien, insère mon gland entre ses lèvres. Puis, tout doucement, je la pénètre.



Je lui fais l’amour lentement, tendrement. Elle n’a pas bougé, elle s’abandonne à moi. Je lui fais des petits bisous dans le cou, lui caresse les flancs, les épaules, le dos. Elle est toute douce, mon sexe coulisse facilement en elle. J’accélère un tout petit peu le mouvement.



Jamais je n’avais connu de femme qui aime tant le plaisir charnel ! Avec elle, c’est simple, c’est sain, c’est… le bonheur à l’état pur.



Je ralentis la cadence pour en profiter longtemps. Je suis au bord de la jouissance, j’aime cette sensation. Si j’accélère, je vais jouir. Profitons-en. Enfin, plusieurs minutes plus tard, je me libère à grande saccades dans son ventre. Je n’ai pas pu me retenir plus longtemps. Nadine n’a toujours pas bougé.



Elle me fait sourire avec ses petites provocations. Elle a bien vu que ce langage m’était un peu étranger, et elle en profite.



Elle se lève et file dans la salle de bain.


Quelques minutes plus tard, elle est prête. Elle a enfilé un short, des tongs et un petit bustier bleu foncé.



Main dans la main nous descendons à la terrasse du restaurant. Nous y prenons une table et passons commande de nos petits déjeuners.



Nos petits déjeuners arrivent. Nous mangeons en discutant tranquillement. Inévitablement, le boulot s’invite à la table.



Nous éclatons de rire. Les voisins nous regardent d’un drôle d’air. J’apprécie vraiment Nadine. Elle est fraîche, zen, cash, elle n’a pas froid aux yeux, et son corps est une vraie symphonie de plaisir.


Nous parcourons la forêt domaniale pendant presque deux heures, ce qui nous ouvre l’appétit.


Le restaurant du village attenant est des plus sympathiques, nous faisons honneur au repas « produits locaux » du dimanche.


Ensuite, retour à la suite, pour une petite sieste bien méritée.



Elle prend un petit sac dans sa valise, et rentre dans la salle de bain.

Une minute plus tard, elle est de retour. Elle est nue, avec une ceinture noire autour de la taille, des bracelets larges et noir autours des poignets et des chevilles. Elle est super bandante comme ça !



Après tout, si elle aime ce genre de langage, tant pis pour elle. Je l’attrape par la main, et la propulse sur le lit.



Je la saisis par les hanches, et la force à se mettre à quatre pattes. Sans préavis, je la pénètre d’une poussée.



Je lui tire les bras dans le dos. Elle a la tête appuyée sur le matelas. Plus je lui tire les bras en arrière, plus je la pénètre profondément.



Je sors d’un coup, la fait pivoter. Elle se retrouve sur le lit, sur le dos. Je prends ses jambes, les écarte et les replie sur sa poitrine. Ensuite, je la re-pénètre profondément.



Effectivement, ce genre de langage fait de l’effet. Je suis à la limite de l’explosion.



Nadine vient de jouir.

Vite, je sors de son ventre. Je me mets à califourchon sur son ventre, mon sexe est devant sa figure.



Elle me saisit les testicules et les malaxe assez brutalement.



Je me masturbe un peu et j’éjacule d’un coup. Mon sperme atterrit sur sa figure, sur son front, son menton. Elle en a partout.



Elle se lève et va prendre une douche. Quelle santé, la Nadine ! Insatiable. Mais je dois avouer que ça me plait bien.


À mon tour je me douche, puis nous faisons une petite sieste réparatrice.


Nous avons fait à nouveau l’amour le soir, puis le lendemain matin. Vers 14 h, nous avons repris le chemin de nos domiciles, car il fallait que je me prépare pour mes déplacements pour l’émission de télévision.


Me séparer de Nadine fut assez difficile, bien que sachant que ce n’était que provisoire, mais j’avoue que je me suis très attaché à elle.


Le soir même, je montais dans le train qui allait me déposer à Bordeaux.