Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16251Fiche technique11618 caractères11618
Temps de lecture estimé : 8 mn
18/06/14
Résumé:  La lourdeur du temps produit la moiteur des gens.
Critères:  ffh vacances init strip fsodo
Auteur : Thor      Envoi mini-message
Il fait lourd

Il fait lourd aujourd’hui. Moite. À se demander pourquoi ne pas rester mollement étendu dans son lit au lieu de s’éreinter dans des petits sentiers pour aller Dieu sait où et ensuite revenir… La vie au grand air, les vacances… Foutaises. « Merde ça monte, je me fumerais bien une petite cigarette arrivé en haut, mais pas avant j’ai déjà le souffle court. »



On rigole tous les trois.

Arrivé en haut, on découvre l’horizon infini des collines abandonnées alentour, surplombées par des gros nuages tout noirs. Il fait tellement lourd que j’en viens à souhaiter la pluie. En général, on la redoute, mais là, suffocants de transpiration, la chaleur qui nous transforme en larves…

Le soleil disparaît doucement derrière les nuages noirs. Tout s’assombrit d’un coup, nous sommes comme en pleine nuit.


On s’assoit tous les trois. J’ai un joli short en jean troué datant d’au moins dix ans, et une chemisette rouge que tu m’as offerte. Toi, toujours aussi belle, avec un short et un tee-shirt. Et elle, en short en jean long à franges, et un débardeur blanc. Discrètement, je lui jette un coup d’œil pendant qu’elle finit goulûment la gourde. Je distingue vaguement l’aréole de ses seins, très large, sous l’étoffe. Elle se cambre en arrière pour avaler la dernière goutte et on distingue assez nettement la forme de ses seins, assez petits, fermes, juste comme je les aime. Je me tourne vers toi, tu la regardes aussi, tu vois que je t’ai surprise, on commence à rigoler.



Nous nous tournons tous les trois vers le ciel, noir. Et là c’est le déluge instantané, comme on n’en avait pas vu depuis Noé. Nous nous levons tous précipitamment, et allons trouver refuge sous une grosse pierre.

Enfin pas tous. Elle est restée sous la pluie, les bras tournés vers le ciel comme sous une douche. L’eau lui dégouline de partout, elle est resplendissante, son débardeur lui colle au corps et on voit ses seins, les aréoles bien dures, tendues vers l’eau.


Tu te précipites alors dehors et tu te mets à danser, comme une gosse, libre et joyeuse sous la douche. Je sors moi aussi et je profite de la caresse du ciel. Je me passe la main dans les cheveux, c’est bon, c’est comme arracher la fatigue.

Je te regarde, tu t’es mise à danser avec elle. Vous vous tenez par les mains et vous tournoyez sous l’orage, ivres de rires, exaltées. Je devine tes seins sous ton tee-shirt, je les adore tes petits seins sensibles et cette vision m’excite. Je sens que je deviens dur, mon sexe est rigide comme un bâton.

Alors je viens vers vous et en riant j’arrache ma chemise, je défais les manches, la fais tournoyer dans l’air et la jette au loin en poussant un cri de Rahan.



Et je me joins à votre farandole. Nous dansons comme des fous, nous tournons, la tête nous tourne. Et soudain je me précipite vers toi et je danse avec toi, collé-serré. Je t’embrasse à pleine bouche, nous sommes maintenant arrêtés, et je passe mes main sous ton tee-shirt. Je te l’enlève. Je m’écarte de toi pour juger l’effet produit.



Elle te regarde, le temps s’est comme arrêté, elle a un sourire figé aux lèvres. On sent qu’elle hésite, elle est à deux doigts de faire pareil, d’exposer elle aussi son torse à l’orage.


C’est alors que tu marches sur elle et que tu amorces un slow avec elle. Elle rit, elle se tortille tandis que tu te colles à elle.



Tu passes derrière elle et tu l’aides à l’enlever, il est tout collant de pluie c’est dur de l’enlever. Quand elle émerge du tissu, elle est toute rouge, elle dit :



Et alors, cette image me restera toujours, elle dit :



Elle dégrafe le bouton sans nous regarder, elle descend la fermeture Éclair, et elle s’extrait de la masse mouillée.



Et elle se met à courir en riant sous la pluie, en petite culotte, elle part loin très loin puis elle revient en courant et en hurlant. Nous la regardons hilares. Avec ses petites tennis et sa culotte blanche, elle est magnifique.


Je me rapproche de toi et je t’embrasse. Tandis qu’elle repart, toute à la joie de courir quasi nue sous la pluie, je défais le bouton de ton short, il est trempé j’ai du mal. Tu finis par parvenir à l’enlever, et avant que tu aies pu dire quoi que ce soit je passe une main dans ta culotte. Sous la pluie elle est trempée, et je te l’enlève d’un coup. Te voilà nue avec tes chaussures.



Je réponds :



En dessous j’ai un caleçon, je bande dur ça fait une grosse bosse que tu caresses, et puis tu passes la main à l’intérieur, tu me saisis la bite, tu me caresses les couilles. Rien n’existe plus que cette délicieuse sensation, on se regarde les yeux dans les yeux, et ma main va tout naturellement à ton sexe.

Et tu m’enlèves mon caleçon


C’est alors que nous nous apercevons qu’elle est là, qu’elle nous regarde, hypnotisée. Elle ne dit rien. Elle est tendue comme dans un rêve. Tu te retournes vers elle et du même geste tu lui enlèves sa culotte. Elle ne bouge pas.

Lentement tu te relèves et tu l’embrasses à pleine bouche. Puis ta bouche quitte ses lèvres et s’en va errer dans son cou. Elle me regarde et tandis que tu lui tètes délicatement les seins, elle met ses mains sur ta tête et ferme les yeux. Elle se laisse envahir par la caresse. Je m’approche suffisamment d’elle pour entendre un petit soupir, et je lui glisse à l’oreille « C’est bon ? » elle répond « oui. »


Te revoilà debout, tu nous regardes. Je passe mes mains autour de sa taille, et je lui frôle doucement le bout des seins. Ma bite est dans le sillon de ses fesses, et je sens son léger ondoiement de bassin qui signifie encore oui.

Tu lui souris, te recolles à elle, et tandis que tu l’embrasses à pleine bouche je sens ta main qui descend vers son sexe.


Il pleut un peu moins maintenant, juste une petite pluie fine, régulière et chaude. Tu la branles doucement elle commence à gémir. Une caresse légère, elle est en sandwich entre nous deux. Subrepticement tu viens mettre ton majeur dans ma bouche, puis tu lui enfonces doucement dans la chatte comme pour m’offrir la primeur de cette défloraison. Elle détourne la tête vers moi et je lui roule une grosse pelle.


Et tu reviens à ma bouche comme pour me faire apprécier le goût de sa chatte. Tu m’enfonces alors deux doigts dans la bouche, et je les lubrifie consciencieusement. Je sais que tu vas les mettre en elle, tous les deux et ça m’excite. Cela ne tarde pas, je le sens à son corps qui se cambre, elle fléchit sur ses jambes. Puis tu ressors tes doigts, tu t’accroupis et places ton visage devant son sexe, et tu commences à le lécher à petits coups de langue. C’est la première fois que tu fais cela, tu y vas tout doucement, tu découvres son corps mouillé, ta langue s’insère dans la fente, elle écarte complètement les jambes et les place par-dessus tes épaules. Pour toi c’est une sensation nouvelle, sentir le sexe d’une femme dégouliner sous la langue. En même temps tu as passé tes bras autour de nous et tu me masses les fesses.


Soudain elle se raidit, tout son corps se cabre comme sous des coups de fouet, et elle jouit, longtemps, fouillée par ta langue, transpercée de jouissance.

Elle s’écroule au sol.

Pendant tout ce temps tu te branlais, parce que tu sais que cela m’excite. Une fois qu’elle est au sol je te découvre, accroupie encore, la main sur le sexe, tes doigts en ciseaux autour de ton clitoris. Tu me lapes doucement le sexe.



Je te relève, place ma bite contre le sillon de tes fesses. Nous avons une envie terrible de faire l’amour. J’ai envie de te mettre, tu dis oui tout doucement. J’introduis mon sexe en toi et je te lime. D’un coup je vais à fond, et tu tressautes.

Je me retire, te place au sol et te chausse, je rentre tout au fond c’est pas possible comme c’est doux, je te saute à fond, tu as les jambes grandes ouvertes, tu ne rêves que de ça, te faire défoncer encore et encore.


Alors que je vais et viens en toi gaiement, je sens ses seins à elle contre mon dos. Elle est enfin revenue à elle, et elle frotte doucement sa poitrine trempée, je sens la pointe de ses seins encore tout excités contre moi. Et elle me susurre à l’oreille, tout doucement pour que tu n’entendes pas :



Je lui demande si ça l’exciterait, elle répond que oui, elle veut te voir te faire sodomiser, voir ma bite dans ton cul.


Je me retire, te retourne, tu es à quatre pattes, le cul offert à la pluie. C’est elle qui t’écarte les fesses, elle te passe amoureusement un doigt dans le cul, puis te maintient bien ouverte. Elle guide mon sexe en toi, ça t’excite de te faire sodomiser devant elle, de te faire enculer bien profond, ton petit anus est tout dilaté, tu te sens salope comme jamais, et là je te retourne. C’est moi qui suis au sol, tu es allongée le dos collé à mon ventre. Tu sens la pluie chaude qui te gifle de partout, tu es totalement offerte à ses regards comme ça. Tu sens que ça l’excite, moi aussi, ça t’excite de nous voir si excités, tu imagines ce qu’elle voit de toi, un sexe ouvert en grand à la pluie, et un cul obstrué par une bite. Ça te fait presque mal tellement c’est bon, je te tringle le cul bien en face d’elle, et elle finit de t’ouvrir avec ses doigts qui plongent dans ton sexe et qui te branlent.


Masturbée par elle, sodomisée par moi, battue par la pluie, tu n’en peux plus tu es ouverte aux quatre vents et tu jouis ; tu jouis, c’est fort et grand, on te possède tous les deux comme des fous et quand finalement elle te roule une grosse pelle en se collant contre toi tu décolles en hurlant.