n° 16258 | Fiche technique | 10544 caractères | 10544Temps de lecture estimé : 7 mn | 22/06/14 |
Résumé: Un soir, Marie m'invite à diner et à siroter du blanc en contemplant la lune... | ||||
Critères: fh extracon voir pénétratio -voyeuroca | ||||
Auteur : Juliano (Un p'tit gars d'Paname) Envoi mini-message |
On était en début d’été. Une chaleur audacieuse avait envahi le pavé parisien, le soleil flattait avec vigueur les fronts écervelés des passants. Les robes de saison sortaient enfin des placards, les nu-pieds sillonnaient le bitume, les décolletés devenaient envoûtants, bref les femmes avaient fière allure, ça fleurait bon la saison des désirs. Fin juin.
Je créchais seul à l’époque, je venais de vivre une rupture assez douloureuse mais, étonnement, je gérais cette fin d’histoire avec calme et recul. En ce début d’après-midi, je déambulais dans Paris, peinard, au rythme de mes godasses et de mes mollets. J’avais une dizaine de jours de vacances devant moi, et j’en profitais pour prendre le temps de le regarder passer. Je me sentais libre et léger, insouciant et paisible.
C’est à l’angle de la rue Danton que j’entendis mon prénom. Demi-tour, volte-face, je tombai nez à nez avec Marie, cette charmante petite femme au sourire enjôleur, cette belle plante au joues et fesses dodues comme je les aime.
Et de coller ses lèvres à ma joue en signe d’enthousiasme. On bavarda une petite demi-heure sur le trottoir tout en se racontant nos vies. Mes yeux se perdaient parfois dans le décolleté de son haut crème qui laissait deviner une paire de seins robustes, lourds, conquérants. Je m’imaginais le nez entre ces deux obus, à goûter au confort qu’ils devaient fournir. On discutait, mes yeux suivaient le mouvement de ses lèvres, mon désir naissait dans la rue. J’avais toujours eu un petit faible pour elle, dès que je la croisais dans les allées de l’entreprise à l’époque, elle éveillait ma gourmandise, elle m’aurait rendu nigaud en moins de deux. Souvent, je m’imaginais la chevauchant dans les recoins de la boîte, sur un bureau, dans une zone de stockage, dans les toilettes pour dadames, sur un fauteuil en cuir tanné de la salle de pause.
J’appris qu’elle avait eu un enfant avec son mec, et que tout allait pour le mieux. D’ailleurs, elle me proposait de venir dîner chez elle, dans le XIème la semaine suivante. J’acceptai avec plaisir, tout en lui précisant que je viendrai seul, rapport à mon récent célibat.
Troisième étage gauche, sonnette. Elle m’ouvrit ; elle portait une petite robe bleu marine assez courte, et des bottines noires à talons. Dans le couloir qui menait aux pièces, je ne décollai pas les yeux de ce cul parfaitement rond et épais qu’elle dandinait nonchalamment. J’avais amené une bouteille de Chablis pour l’apéro. Dans le salon, je me rendis compte qu’il n’y avait encore personne.
Tu m’étonnes que ça ne me dérangeait pas, j’en étais même ravi, avoir cette femme pour moi tout seul le temps d’une soirée, j’en étais comblé. C’était inespéré, je n’en demandais pas tant.
Nous bûmes l’apéro, éclusant une bouteille de blanc, puis attaquant une deuxième tout en grignotant et discutant. On riait beaucoup, je la taquinais, parfois allant jusqu’à la faire rougir quand je la flattais un peu trop. Elle était timide et un peu prude, ce qui amplifiait mon excitation, j’avais envie de la bousculer gentiment, de réveiller ses sens.
Il y avait dans le salon un bar américain coin-cuisine. C’est l’endroit que je choisis pour fumer ma cigarette et recracher les volutes par la fenêtre qui donnait sur la cour. Elle était restée assise sur le grand canapé, et on continuait de communiquer à distance. Nous étions tous deux passablement éméchés, on vidait les quilles avec une frénésie et une gourmandise de moins en moins contrôlées. Les langues se déliaient, on se taquinait délicieusement, l’ivresse nous ouvrait ses portes cochères.
Tout en expulsant une bouffée de cigarette par la fenêtre, mes yeux se figèrent soudain : en face, par une baie vitrée, on apercevait un vaste salon moderne et bien éclairé. Sur un élégant canapé de cuir, un couple était en train de s’adonner aux plaisirs érotiques. L’homme avait glissé sa main sous la jupe de la jeune femme, et semblait lui titiller la pastille tout en lui roulant le patin du siècle. Elle avait déjà les seins -assez petits— à l’air, et elle semblait prête à l’assaut-sur-canap’.
J’eus un petit rire nerveux qui m’empêcha de finir ma phrase. Marie me demanda ce qu’il se passait, et je lui dis de me rejoindre à la fenêtre. Là, elle se posa à côté de moi, se pencha un peu sur le rebord de la petite fenêtre, et regarda. Je posai naturellement ma main sur sa hanche, comme pour l’empêcher de trop se pencher. Elle regardait sans dire un mot le couple qui s’échauffait en face.
D’une audace que je ne me connaissais guère, ma main glissa sur le rebond de sa fesse. Elle restait là, figée, comme hypnotisée, à reluquer les voisins dans leur tripotage acharné. Vu que ma main effrontée ne semblait pas la déranger, je commençai à lui masser la fesse, tout en suivant également les ébats d’en face. Je sentais sous ma main son cul bien rond qui frétillait lentement. Pas un mot, pas un regard, juste mes doigts qui glissaient lentement sous les plis de la petite robe. En face, ça chauffait à bloc, le type avait sorti son chibre, et la demoiselle le massait vigoureusement. C’est le moment que je choisis pour glisser ma main dans la culotte de Marie, et balader mes phalanges le long de sa raie. Tout en gardant ma main dans son petit bout de soie, je me positionnai derrière elle, et lui déposai un baiser dans la nuque. Elle bascula doucement sa tête en signe de contentement, je l’embrassai de plus belle dans le cou, tout en faisant faire à ma main le tour de ses hanches, sans sortir de la culotte, pour explorer la toison fournie. Le bout de mes doigts joua avec les lèvres humides de Marie pendant que mon autre main entreprit de s’aventurer dans le décolleté aguicheur. Elle ne disait rien, j’entendais juste ses soupirs de volupté pendant que je faisais connaissance avec son corps.
En face, ça s’accélérait, c’était un canapé 69, ça se reniflait de partout. Désinhibé par le vin du soir, je troussai la robe de Marie jusqu’au dessus de sa taille, et baissai sa culotte en m’agenouillant jusqu’à ses chevilles. Quelle vue magnifique sur sa lune, ces deux monts délicieux me faisaient de l’œil, j’en profitai alors pour passer un coup de langue tout le long de sa savoureuse raie, aux doux relents de sueur et de savon frais. Je bandais à en faire péter mes boutons de braguette, j’avais une gaule de folie. Je me repositionnai alors debout derrière elle, et tout en lui mordillant le lobe de l’oreille, aventurai mon majeur dans son minou tout chaud et douillet. Je commençai de gentils va-et-vient de mon doigt érigé tout en reluquant les voisins.
Sa respiration s’accélérait, elle tourna doucement son visage, les yeux mi-clos, et m’offrit sa bouche pour quelques baisers. Mes doigts fouillaient maintenant sa chatte alors que nos langues s’emmêlaient avec passion. Elle s’appuya sur le rebord de la fenêtre, je m’amusais à pétrir ses seins à tour de rôle de ma main libre. En face, il avait pénétré sa douce et la fourrait vigoureusement. C’est le moment que je choisis pour défaire ma ceinture, ma braguette, et sortir mon chibre du caleçon, enfin libérer la bête, la laisser prendre l’air. Longuement, lentement, je frottais ma queue à la raie de Marie -depuis le temps que je rêvais de chevaucher ce bon gros cul ! - tout en lui suçotant l’oreille. J’avais soif d’elle, faim d’elle, elle éveillait tellement la gourmandise chez moi. J’avais rêvé tellement souvent de ce moment… Et là, comme ça, elle s’offrait sur un plateau, généreusement, délicieusement.
Je pris ses fesses à deux mains, puis présentai mon gland devant sa jolie petite chatte, pile face à l’entrée de sa grotte d’amour. Marie se cambra lentement, se dressa sur le rebord de la fenêtre, et ma queue entra de toute sa longueur dans le minou accueillant et humide à souhait.
Les voisins semblaient repus sur le canapé, ils avaient fini leur affaire, mais nous continuâmes à les reluquer, tout en commençant notre chevauchée à nous. J’avais la lune de Marie entre mes doigts, et j’allais et venais en elle dans une lente cadence savoureuse. Je tirai sur la fermeture dorsale de sa robe, et en fis glisser le haut pour libérer la poitrine lourde et généreuse de la belle que je commençais à baiser sans ménagement. Ainsi, Marie était maintenant seins nus à sa fenêtre en train de se faire limer par derrière. Elle gémissait doucement, en rythme pendant que je la besognais avec délectation. Mes mains pétrissaient ses deux gros globes, titillaient ses tétons dressés, pendant que j’accélérai encore, les coups de boutoir devenant peu à peu frénétiques. Elle poussait par moment de petits cris, et de charmants « oh oui », qui accroissaient mon désir. De temps à autre, je lui claquais les fesses avec gourmandise, puis les pétrissais, les malaxais, y enfonçais des ongles jubilatoires.
Mon sexe allait et venait en elle sans faillir, sans faiblir, je la baisais maintenant avec acharnement, de façon presque hystérique. Je la sentais se contracter tout en gloussant généreusement, elle prenait apparemment son pied. J’ai joui en elle, de longs jets de semence inondaient son vagin. On est resté comme ça encore quelques minutes, emboités l’un dans l’autre.
Puis elle a remonté sa culotte, réajusté ses bretelles de robe, j’ai recalé mon jeans sur mes hanches. La lumière en face s’est éteinte, on est retourné sur le canapé boire un petit verre de Chablis bien frais. Le Chablis, y a pas à dire, c’est souple, velouté, ça flatte gentiment le palais.
Il faisait bon dehors. La soirée ne faisait que commencer. La lune était bien garée au-dessus de nos têtes.