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Temps de lecture estimé : 21 mn
24/06/14
Résumé:  Quand on est au chômage, on est bien heureux de dépanner, cela apporte quelques revenus. Mais tout de même, il ne faut pas exagérer.
Critères:  fh travail fdomine hdomine pénétratio fsodo
Auteur : Bertrand d            Envoi mini-message
Dépannage à domicile

Aujourd’hui, c’est vraiment l’été. Après un mois de juillet maussade, août est caniculaire, ce qui est normal dans le sud. Dans la ville, rien ne bouge, pas de bruit, pas de circulation. Il est vrai qu’un dimanche après-midi, en cette saison, tous les citadins qui ne sont pas en congé, sont partis à la mer ou à la campagne, sinon ils font la sieste.


Fabienne, allongée sur son lit, en nuisette, ruisselle de sueur. Le seul moyen de se rafraîchir, c’est la douche. Il faut se lever, c’est dur, mais il faut y aller. Elle avance dans le couloir sombre, fait passer son vêtement par-dessus la tête. Dans la maison, seul le pavé du couloir est frais, on le dirait presque humide. Un sifflement attire son attention. Elle s’approche de la salle de bains, pousse la porte avec quelques difficultés. Un ruisseau s’écoule par l’entrebâillement : la salle de bains est inondée, une fuite au-dessous du lavabo. Vite, fermer le robinet qui se trouve dans le couloir.


Elle se précipite, ouvre la porte, va sur le palier, se baisse, ouvre le panneau du compteur et ferme le robinet. Les pas qui résonnaient dans l’escalier, se sont brutalement arrêtés. Elle se retourne et voit l’adolescent dont les parents habitent au-dessus, figé, tétanisé. Surprise, elle se demande pour quelle raison quand soudain, elle se rend compte qu’elle est nue. Elle rentre précipitamment, claquant la porte derrière elle. L’eau qui coule entre ses pieds la ramène à la réalité.


Dans le couloir, le garçon d’une quinzaine d’années, avec son mètre soixante-dix et une silhouette d’homme, se demande s’il a rêvé, ou si c’est une provocation. Pourtant, il sait très bien que ce n’est pas possible, la voisine a une réputation de lesbienne, que d’ailleurs elle assume, sans pour autant en faire la publicité. Pour quelle raison s’exhiberait-elle ? Mais le spectacle en valait la peine. Son dos, ses fesses qu’il a vu en premier, ses seins quand elle s’est retournée, c’était encore mieux que les filles nues d’Internet.


Fabienne, pendant qu’elle essuie l’eau, se demande si elle va trouver un artisan pour venir la dépanner. Elle tente d’abord un appel chez son plombier, mais le répondeur lui indique qu’il ne rentre qu’au premier septembre. Prenant l’annuaire, elle cherche les entreprises de dépannage rapide, il paraît qu’elles ont des tarifs prohibitifs et que leur travail n’est pas toujours sérieux, mais il faut parer au plus pressé, sinon pas d’eau jusqu’à demain. Deux noms de sociétés y figurent. Appel, mais toutes sont sur répondeur, demandant de rappeler lundi. Désespérée, elle appelle sur son portable une amie très intime.

Après cinq sonneries, enfin elle répond.



Pas très optimiste, Fabienne décide de tenter sa chance. Surprise, après trois sonneries on décroche.



Le problème n’est pas encore résolu, mais il y a quand même de l’espoir. Demi-heure plus tard, on sonne. Un homme jeune, très grand, le beau mâle, le genre qui me fait concurrence, se trouve devant la porte, une boîte à outils sur l’épaule. Lui, regarde avec envie cette femme magnifique.



Accroupi, une lampe de poche à la main, le plombier examine les dégâts.



Inquiète malgré tout, elle éponge l’eau, nettoie, puis va dans la salle à manger. Une demi-heure après, le dépanneur apparaît.



Fabienne est allée faire le nécessaire, craignant d’entendre crier d’arrêter. Mais pas de bruit. Elle entre, va à la salle de bain. L’homme est en train d’emballer ses outils.



François est parti assez heureux. Cinquante euros, cela l’arrange bien. L’espoir de pouvoir faire la réparation. En plus de ça, il s’est payé un jeton, la robe de chambre de la femme s’est entrouverte quand elle s’est baissée et il a aperçu un sein libre de tout soutien-gorge et cela était, ma foi, très appétissant.

Fabienne, bien que détestant ce genre de mâle, apprécie son travail. Mais demain matin, elle téléphonera à une société de dépannage. Elle leur demandera leurs tarifs auparavant, l’homme a probablement exagéré afin d’obtenir un meilleur dédommagement.

Les deux sociétés consultées ont des tarifs semblables, à quelques euros près, mais exorbitants. Elles ont toutes détaillées tous les éléments de la facture, près de trois cents euros au minimum, plus le coût de la pièce. Autant appeler le dénommé François.

Le coup de fil de Fabienne ne l’a pas surpris. Elle a dû se renseigner, elle a compris qu’il ne lui avait pas menti.



François ne s’est pas pressé. Il a pris le bus, s’est rendu chez le fournisseur pour prendre la pièce nécessaire, 37, 04 €, la réglant avec l’argent qu’il a perçu la veille. Il a sonné chez sa cliente une heure et demie après le coup de fil.



François sourit en son for intérieur, il en a pour guère plus d’une demi-heure, mais il va un peu traîner. Car cette femme, si elle est très belle – il la baiserait volontiers – est aussi très autoritaire et désagréable. D’ordinaire la gent féminine le trouve craquant comme disent ses copines, mais mon charme n’a pas l’air d’opérer sur elle.

C’est à midi moins le quart qu’il va prévenir sa patronne que le travail est terminé.



Fabienne est surprise de la modicité du prix de la pièce. Il a travaillé deux heures, plus son déplacement je vais lui proposer 150€, ce sera une sacrée économie par rapport aux sociétés de dépannage. Quand elle lui a proposé la somme, intérieurement il a sauté de joie. Pourtant il a pris un air dubitatif, mais a finalement accepté.



Plus de cent euros pour ce boulot, à ce tarif, je dépannerais tous les jours. Mais ne rêvons pas, ce n’est pas demain qu’elle me rappelle.

Mais il se trompait. Une semaine plus tard, elle était au bout du fil.



Elle ne lui a pas laissé le temps de répondre, de dire s’il acceptait. C’est vraiment une salope ! Elle a besoin de moi, je vais lui faire payer.

C’est avec dix minutes de retard qu’il est arrivé chez elle.



Tous deux sont descendus à l’étage inférieur. Le local qu’elle lui montre est en effet en triste état : peinture dégradée, carreaux de faïence brisés, fenêtres anciennes.



Avec un plan, c’est un boulot facile, il ne reste qu’à vérifier certains points de détail sur place demain. Pour la main d’œuvre, je vais lui établir un devis par corps de métier, peut-être me proposera-t-elle d’en faire une partie.

Il lui a fallu un peu plus d’une heure pour préparer le tout. Il vérifiera après avoir examiné l’appartement et rectifiera le cas échéant.

À huit heures il a sonné chez Fabienne. Elle est descendue lui ouvrir. Un bonjour rapide, même pas une poignée de mains.



L’appartement est ancien, pas d’entretien depuis longtemps. Il doit être abandonné depuis bien quelques temps, compte tenu de la poussière qui s’est déposé partout. Je vais examiner ça.

Deux heures après il était prêt à rapporter la clé. Certes l’architecte a travaillé sérieusement, rien à modifier. Mais François a examiné le détail des travaux à effectuer, se demandant lesquels il pourrait exécuter le cas échéant. Si c’est une simple remise en état, il pourra, comme indiqué sur le devis, refaire la plomberie, changer les fenêtres, faire les travaux de peinture. Pour le carrelage, au sol ou mural, l’électricité, c’est trop délicat pour lui. Et les artisans qui travailleront factureront leur main-d’œuvre à un tarif normal, elle comprendra l’économie qu’elle réaliserait en me confiant certains travaux. Il monte la voir.



Elle l’a reconduit et claqué la porte derrière lui. François a été très choqué par cette manière cavalière. Il s’est interrogé sur les raisons de cette attitude, il a répondu rapidement à sa demande d’intervention, a effectué une réparation parfaite, n’a pas exigé de salaire trop important. Une femme normale l’aurait remercié, payé correctement et même peut-être complété en nature. Tout à coup, il réalise, c’est une gouine, elle déteste les hommes et veut l’humilier. On va bien voir.

Il a attendu dix-huit heures trente pour l’appeler. Ainsi elle sera obligée de le faire revenir le lendemain matin.



« Je prendrai la voiture de mon père, mais je n’arriverai là-bas pas avant vingt-et-une heures. Elle ne sera pas rassurée, seule avec un homme ».


Quand il a sonné, elle lui a débloqué la porte de l’immeuble. Il est monté, attendant de voir son attitude quand il se présentera.

La porte s’est ouverte. Pas de salutations. Elle est en robe de chambre bien fermée. Je me demande si je ne devrais pas lui sauter dessus.

François ne l’a pas fait, et c’est lui qui a été surpris. En entrant dans le bureau, il a vu une jeune femme, dans la même tenue que Fabienne. Là, c’est vraiment du gaspillage. Elle est jeune, grande mince, un visage très régulier, une beauté ! C’est pour cette raison qu’elle m’a convoqué tard, elle ne craint rien, elle vit en couple, deux gouines, c’est bien ce que je pensais.


L’ordinateur est déjà allumé. François tend la clé USB à la jeune femme qui s’installe au clavier. Bientôt, sur l’écran apparaît le document. Fabienne l’examine, pose quelques questions. À un moment, pour lui montrer un chiffre précis, il se penche et tend le doigt vers l’écran. En se redressant, il penche la tête. La robe de chambre de l’opératrice est carrément entrouverte, et pendant quelques instants il aperçoit deux seins petits, avec le bourgeon proéminent. Se tournant pour répondre à la question posée, il voit le rictus sardonique de Fabienne. Il comprend que ce relâchement du vêtement est volontaire, qu’elle a voulu lui faire connaître ses penchants et lui dire : tu te paies des jolies filles, mais moi aussi et plus belles que les tiennes.

Cette provocation l’a totalement désarçonné. Il répond mécaniquement, elle a obtenu ce qu’elle désirait : je suis la patronne, je commande, tu es mon esclave



Il est parti déstabilisé, devait-il continuer à travailler pour elle ?

« Car si elle me garde, ce n’est pas pour mes compétences, mais pour le pouvoir qu’elle a sur moi, m’abaisser et avec moi, tous les hommes. Mais d’un autre côté, l’argent qu’elle me donne est le bienvenu. J’attends pour savoir si elle me rappelle ».

Cela n’a pas tardé. Trois jours plus tard le portable a sonné.



« La salope, elle ne prend même plus la peine de dire monsieur. Je suis François, son valet. Et elle me convoque tard, pour me montrer sa compagne, probablement dans une tenue encore plus excitante que la dernière fois. Elle espère me faire craquer, m’abaisser et si j’ai un geste déplacé, crier au secours ou appeler la police ».


Il n’est arrivé qu’à vingt-et-une heures dix. À la porte, le regard hautain, la mine sévère, elle l’interpelle :



Quand ils entrent dans le bureau, la jeune beauté est déjà au clavier. Bien que le dossier du fauteuil lui cache une partie de son anatomie, il constate qu’elle est en nuisette transparente.



François se baisse, indique du doigt le chiffre, mais se relève sans porter les yeux sur la donzelle, le regard indifférent. Elle me provoque, je ne vais pas entrer dans son jeu. Un sourire un peu sardonique, il lui déclare :



Étonné par son comportement, elle cherche à reprendre le dessus.



Cette fois-ci, François est content. Elle a essayé de le pousser à la faute, mais c’est elle qui a été surprise par sa décontraction et ses remarques assassines. Quant à l’appât qu’elle lui présentait, il l’a totalement dédaigné, bien qu’au fond de lui, il aurait bien aimé baisser son regard.

Il a fallu quatre jours pour qu’elle se décide à l’appeler.



Le ton a changé, elle m’a dit Monsieur et elle a pris des précautions pour me convoquer.

Naturellement, le lundi, à huit heures précises, il a sonné chez elle.



Dans le logement, il lui a indiqué ce qu’il pouvait réaliser, lui demandant d’ouvrir un compte chez des grossistes afin qu’il puisse aller chercher le matériel nécessaire. Il a indiqué le type de fenêtre et le chauffe-eau qui lui paraissaient les plus adéquats. Il l’a prévenue qu’il lui faudrait du temps pour réaliser tout cela. Ensuite carreleur et électricien pourraient intervenir, elle devrait les contacter le plus tôt possible. Puis il pourrait peindre.



Il lui a fallu attendre dix jours pour que les fenêtres soient livrées. Prévenu par sa patronne, il s’est mis immédiatement au travail. Il a refait entièrement la plomberie, remplaçant les radiateurs du chauffage central, les anciens étant hors d’usage.

Cela lui a pris deux semaines. Plusieurs fois, elle est venue voir le point des travaux, trouvant qu’il travaillait trop lentement, montrant son impatience. À la fin de ce chantier, il lui a téléphoné au magasin afin qu’elle vienne constater l’état des lieux.

Lors de sa visite du logement, il lui a indiqué qu’elle pouvait appeler les artisans. Et surtout, il lui a demandé de lui régler son travail. Elle lui a dit de venir en fin de journée.

À dix-neuf heures, il était là.



Une telle somme pour deux semaines de travail, c’est un pactole. Mais il est resté muet quelques instants, la mine fermée. Fabienne s’est demandé s’il allait accepter, car elle voulait qu’il fasse la peinture, ce qui lui ferait également une sérieuse économie. S’ils ne s’entendent pas, il ne reviendra pas.



En son for intérieur, il jubile. En deux semaines, il a gagné près de deux mois de salaire chez un patron. Il peut attendre tranquillement qu’elle l’appelle pour la peinture. Mais ça risque d’être long, car les artisans interviennent rarement rapidement. Enfin, il suffit d’attendre

Trois semaines plus tard, le téléphone sonne enfin. Les artisans ont été rapides pour une fois. Il va falloir retourner au boulot.



Parfait ! Encore un argument pour lui démontrer que je ne suis pas cher. Ce n’est qu’un mois plus tard qu’elle le rappelle. Il commençait à s’inquiéter.



Le ton est plus vif, elle retrouve son esprit de domination.



Pas eu le temps, elle avait oublié. Je préfère ainsi ça me fera une journée de plus de travail. Et c’est elle qui décidera.

Lorsqu’il se présente, elle est prête. Ils sont allés dans l’appartement, c’est bien fait, mais rien d’extraordinaire. Chez le fournisseur, elle est surprise devant une telle palette de couleurs. François lui précise qu’elle peut faire préparer la teinte à son choix.

Elle hésite longtemps. Il se garde bien de la conseiller, un point qu’elle ne pourra pas lui reprocher.

L’après-midi, on leur a livré les pots, les pinceaux et rouleaux. Le lendemain matin, il a attaqué. D’abord mastiquer, poncer, laver. Commencer par le plafond, puis les murs. Le vendredi, il avait exécuté une bonne partie de travail. À dix-neuf heures, il finissait de rincer ses pinceaux quand la porte s’est ouverte.



Très énervé, François veut protester, se défendre, mais le chantier n’étant pas fini, elle refusera certainement de le payer.

Le samedi et toute la journée du lundi il a travaillé d’arrache-pied. Le lundi, à dix-neuf heures alors qu’il soignait son matériel, elle est entrée, claquant la porte derrière elle.



Cette remarque le met hors de lui. Il se redresse, se retourne lentement, s’approche d’elle.



François se sent en position de force. De la même manière qu’elle l’a écrasé, il va faire de même, lui faire comprendre ce que l’on ressent face à cette humiliation.



François veut voir sa réaction. Lui parler de coucher avec un homme ! Elle va hurler, lui dire qu’elle ne le paiera pas. Et il sera obligé de céder car il veut son argent. Mais tout de même, il lui aura fait sentir ce que c’est d’être dominé, écrasée.



Il dit ses paroles dans un moment de défi, sachant qu’elle refusera. Il ne pourra rien faire, mais au moins il aura eu la satisfaction de montrer qui est le plus fort !

Mais, elle défait sa robe qui tombe à ses pieds, elle quitte ses sous-vêtements.

François reste totalement abasourdi ! Mais puisqu’elle accepte, autant en profiter.



Sans un mot, elle s’exécute, dresse les fesses.



Placé derrière elle, il lui taquine le clitoris d’une main, de l’autre il pince le bourgeon d’un sein. D’abord elle cherche à serrer les cuisses puis accepte. Sortant son sexe, il s’en sert à la place du doigt pour poursuivre la caresse. La victime ne dit rien. Au contraire il semble qu’elle gémit doucement. François est stupéfait. Il glisse un, puis deux doigts dans le vagin. Ils entrent facilement.



Alors doucement il s’enfonce sans difficulté dans ce conduit humide. D’abord lentement, s’arrête, puis reprend plus vite, s’immobilise enfin. Et c’est la victime qui continue seule le mouvement.



Il se présente plus haut, pointe au centre de la cible, et à nouveau s’enfonce facilement. Alors couché sur elle, lui pinçant les seins, il la sodomise à grands coups. Elle gémit, puis crie, mais pas de douleur.



Il se retire, redresse sa victime, la prend aux épaules, la fait pivoter. Elle reste la tête basse, regardant le sol. Il lui soulève le menton et l’embrasse. Elle a d’abord la bouche close puis accepte le baiser. Magnanime il lui dit :



Il lui apporte la serviette de toilette qu’il prend pour se laver après le travail. Quand elle sort, il lui tape gentiment sur les fesses.



Ils sont sortis, sans un mot, ont regagné l’étage. Elle a ouvert la porte, s’est dirigé vers son bureau.



Il réalise tout à coup la gravité de sa conduite. Il s’est comporté comme un salaud. Jamais il n’avait agi ainsi.



Il est resté la nuit. Ils ont fait l’amour, elle s’est révélée douée dans cet exercice. Le matin, il s’est levé le premier, s’est préparé. Elle a surgi toute nue, s’est accroché à son cou et lui a donné un baiser langoureux.



Il a retrouvé un emploi et ne fait plus de travail au noir. Pourtant, souvent le soir le téléphone sonne. C’est Fabienne qui a besoin de lui pour un dépannage urgent. Alors, il se dévoue et va lui donner satisfaction.