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Temps de lecture estimé : 13 mn
24/06/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  La suite d'une relation pendant un service militaire long, avec une volontaire féminine dotée de très beaux attributs mammaires...
Critères:  uniforme grosseins fsodo
Auteur : Jim Ouest            Envoi mini-message

Série : D'il y a 20 ans à aujourd'hui

Chapitre 03
Dernière nuit militaire

Je poursuis mon récit qui me permet de me souvenir des si beaux moments passés après les premiers jours de notre rencontre il y a presque vingt ans, jusqu’à il y a quelques mois. Je vous les décrirai épisodiquement car la suite de notre aventure s’est déroulée comme cela, par épisodes. Je tenterai sans prétention dans chaque épisode d’améliorer les textes pour permettre au lecteur de partager autant que faire se peut ces merveilleux moments.



Résumé des deux premiers épisodes : Après une relation torride de sept mois avec une plantureuse militaire, nous nous séparons avant son retour à la vie civile. Notre dernière nuit restera inoubliable.




Dernière nuit militaire



Après nos premières nuits, nous vécûmes de longs mois d’hiver à faire la fête, et surtout à faire l’amour. Je passais la plupart de mes nuits et de mes week-ends de garde dans la chambre de mon sergent. Elle comblait mes désirs et, en raison de son appétit croissant, j’avais parfois du mal à récupérer entre deux nuits de fête et de luxure.


Elle m’avait confié qu’elle n’avait, à vingt ans, connu qu’un seul homme avant moi. C’était dans un autre hôpital interarmées, quelques mois avant sa mutation, et ça ne s’était pas bien passé. Sa gourmandise m’amena à penser qu’elle avait décidé de rattraper le temps perdu, et grâce au ciel, c’était avec moi. J’eus l’honneur et le plaisir d’être le premier à explorer ses grosses fesses fermes que je sodomisais parfois dès le réveil, son « entre-seins » où je m’abandonnais si souvent, et sa jolie bouche d’ange qui était si goulue et avide pour me mettre au garde-à-vous.


Vingt ans plus tard, je me dis aujourd’hui que pendant tous ces mois, j’ai entraperçu une facette du bonheur. Et je regrette de ne pas avoir tout fait pour qu’il dure, car au mois d’avril suivant, mon sergent finissait son service long ; et pour ne pas compliquer la situation, elle décida de stopper notre relation.


Malgré tout l’amour qu’elle me donnait et celui que nous faisions ensemble, je ne m’étais jamais attaché, et c’est sans souffrir que j’acceptais et comprenais notre rupture. Elle me l’avait annoncée au début de ce mois d’avril pendant lequel nous allions connaître malgré tout d’autres nuits torrides, en amis.


La dernière se passa pour la première fois hors de l’hôpital militaire. Une autre amie volontaire avait insisté pour que j’honore ce qui avait été pour Katia une promesse. J’avais en effet parlé à mon sergent de ma petite maison de campagne, héritée de mon père, isolée, avec une cheminée à côté de laquelle nous pourrions dormir. Katia me l’avait plusieurs fois rappelé, mais j’avais probablement du mal à faire sortir notre relation de l’hôpital. L’amie volontaire avait fini par me convaincre et j’organisai cette dernière nuit pour le dernier week-end d’avril, avant sa sortie définitive de la vie militaire.


Nous partîmes le samedi après-midi pour un voyage en voiture à destination de ma petite maison, située à l’autre bout du département. N’ayant toujours pas le permis à vingt-cinq ans, je n’avais pas de voiture, au contraire de mon sergent qui possédait les deux.


Les kilomètres défilaient toujours rapidement quand je la regardais conduire. La ceinture de sécurité faisait ressortir ses énormes seins et les rendaient aussi attrayants que lorsqu’ils étaient dans leur plus simple appareil.


Nous arrivâmes à destination dans ma petite maison de campagne sans confort et sans chauffage ; je décidai de faire un feu dès les premiers instants. Je ne venais pratiquement jamais, mais j’y retrouvai très vite mes marques. Je proposai d’aller faire un tour pendant que le feu réchaufferait la maison. Nous allâmes visiter une petite ville touristique à une quinzaine de kilomètres, mangeâmes dans une pizzeria assez tôt, puis rentrâmes prestement comme des gamins pressés de jouer à leur jeu favori.


La nuit était tombée et nous étions coupés du monde devant ma petite maison dont la cheminée fumait. Nous nous racontions des bêtises pour nous faire peur dans cette nuit noire. Je réussis à lui faire croire que j’avais perdu les clés et que j’avais peur que le feu brûle la maison. Bref, lorsqu’elle vit mes clés réapparaître, elle se blottit rassurée contre moi, me reprochant ma farce et nous pûmes entrer dans la maison désormais, elle aussi, bien plus chaude.

Nous avons fait de l’espace autour de la cheminée et avons ramené un matelas de la chambre, avec draps et couvertures. Posé sur des petits tapis de lit, le champ de tir était en place.


Mon sergent alla se mettre en tenue de combat dans de la chambre, prit un peu de temps pour une toilette à l’ancienne, puis vint me rejoindre sous les draps, jouant toujours à la jeune fille apeurée par le noir que nous avions volontairement fait dans les autres pièces. Ses pieds et ses mains étaient gelés. Déjà réchauffé par le feu, je lui frictionnai énergiquement le dos et les bras. Elle vint se blottir contre moi, tout en continuant à jouer à la jeune fille apeurée :



Elle était allongé sur son côté droit ; ma main se posa amoureusement sur le bas de sa jambe.



Elle s’assit sur le matelas, puis enleva rapidement le long tee-shirt qui lui servait de chemise de nuit. Elle se rallongea tout aussi vite, mais cette fois nue, sur le ventre, en ne remontant le drap et la couverture que jusqu’au creux de ses reins.



Nous rigolâmes quelques instants, puis elle ferma les yeux et sembla s’endormir à la chaleur du feu qui était à moins de deux mètres de nous. Son dos était ainsi éclairé par les flammes qui coloraient magnifiquement sa peau déjà un peu mate. Je le parcourus de quelques baisers tendres, puis me rallongeai à ses côtés, la contemplant.



Pour toute réponse, ma main repassa sous les couvertures pour retrouver sa jambe. Elle remonta doucement tout en massant délicatement chaque muscle qu’elle parcourait. Je la fis s’attarder un peu sur sa fesse droite, ce qui la fit se cambrer furtivement. Ma main chaude émergea des couvertures pour parcourir son dos pendant de longues minutes. Les pressions que l’araignée exerçait semblaient réchauffer d’une autre façon mon sergent adoré car sa respiration se faisait plus forte et elle bougeait les hanches régulièrement.


Je sortis de ma léthargie causée par le spectacle des flammes et par la douceur de sa peau. Je fis descendre l’araignée du château vers des douves que d’autres parties de mon corps ne connaissaient que trop bien. Ma main arriva dans le creux de ses reins pour remonter à l’assaut de ses fesses charnues. Mes caresses firent descendre la couverture jusqu’au milieu de ses cuisses et remontèrent jusqu’au sommet de son postérieur, réchauffé désormais par les flammes. L’araignée malaxait désormais chacune des deux fesses, tour à tour, faisant monter en moi autant de plaisir que de désir. J’étais au garde-à-vous contre mon sous-officier préféré.



Ma main quitta ses fesses pour descendre en haut de ses cuisses, cherchant à explorer désormais son intimité. Elle l’accepta de suite et déplaça l’oreiller sous son bas-ventre, rendant désormais ses fesses plus hautes et, accessoirement, plus grosses. Mes yeux parcoururent à leur tour les rondeurs de mon sergent, attisant un autre feu que celui de la cheminée. L’araignée caressa le haut des cuisses et la vulve de mon invitée avant d’y introduire le pouce qui lui servait de patte. Allant de plus en plus loin et plus vite, elle arrachait à sa proie des gémissements de plus en plus forts. Quelques minutes plus tard, mon pouce laissa la place à mon majeur et à mon annulaire pour se retrouver sur la raie de ses fesses.



Mon pouce se posta derechef sur son anus, appuya comme sur une sonnette pour prévenir qu’il entrait, puis s’invita en la pénétrant doucement de cette patte plus grosse que les deux autres. Au fur et à mesure que j’accélérais, ses murmures se transformaient en râles, en gémissements puis en ces ahanements qu’elle poussait lorsque je la prenais par cette voie-là.


C’était la première fois que je lui prodiguais ce traitement. Mon invitée semblait tant l’apprécier qu’elle ne fit même pas attention au rire que je ne pus refréner, pensant à une blague grossière de régiment sur les packs de bière. Elle était dans un état second et se dodelinait de bas en haut et de gauche à droite, frottant sa hanche contre mon sexe de plus en plus dur. Je me mis à onduler à mon tour, accompagnant cet imposant fessier que mes doigts pénétraient. Peu après, j’approchai ma bouche de son oreille :



Je retirai mes doigts de ses voies intimes puis me postai une dernière fois contre les fesses de mon sous-officier. Toujours face au feu, elle était prête pour un autre assaut.

J’étais maintenant à genoux, ses fesses entre mes cuisses, le sexe à l’entrée de sa grotte la plus étroite.



Elle se contenta de sourire agréablement en gardant les yeux fermés. Sa bouche s’ouvrit lorsque j’entrai doucement, mais d’un seul coup dans ses fesses. C’était la première fois que je la sodomisais sans coït préalable.


Mes mains rejouèrent aux araignées en agrippant fermement ses fesses, les amenant et les éloignant du serpent de très nombreuses fois. Pendant de longues minutes, la chaleur des cheminées de son corps et de ma maison me fit transpirer à grosses gouttes. Katia lâchait prise et laissait son corps crier son plaisir. Ce qu’elle ne pouvait faire dans sa chambre de militaire, elle se le permettait dans ma petite maison sans voisins. Ses cris envahissaient la pièce éclairée par le feu ; aucun mot tendre ni coquin ne sortait de sa bouche déformée par le plaisir et la douleur.


Tout mon être était comblé par notre union. Mes yeux contemplaient sa peau dorée enjolivée par les flammes, ses cheveux ébouriffés qui virevoltaient quand sa tête bougeait vite, ses énormes seins écrasés qui débordaient et ses grosses fesses qui ondulaient à chacun de mes coups de boutoir. Mes oreilles se délectaient de l’entendre ahaner pour la première fois aussi fort. Ma bouche savourait le goût de sa peau que j’embrassais lorsqu’elle se cambrait pour se rapprocher de moi.


Je ne pouvais plus tenir. J’allais venir, m’abandonner. J’accélérai alors la cadence pour tenter de lui arracher autant de plaisir que j’allais en prendre ; et lorsque je me plaquai durement une dernière fois contre elle, nous criâmes ensemble comme nous n’avions jamais pu le faire auparavant.


J’étais couché sur son dos, collé à elle par la moiteur de nos corps bouillants. Le crépitement des flammes couvrait nos souffles, haletants. Nous gémissions toujours, en essayant de récupérer l’énergie suffisante pour apprécier le moment vécu : la béatitude. Quelques instants plus tard, toujours au garde-à-vous dans les fesses de mon sergent, je repris couché sur elle un mouvement de va-et-vient, en douceur.



J’arrivai à rester en elle tout en me postant à califourchon au-dessus de ses fesses. Cette fois je la chevauchais, pieds à plat de chaque côté du matelas. Heureux de me sentir aussi fougueux qu’un étalon, je la pilonnais de haut en bas en forçant le mouvement à chaque jonction, aidé par ma main qui maintenait et caressait son entrecuisse lorsque je me penchais. Katia recommença de suite à crier, d’une façon plus plaintive que je ne lui connaissais pas. Ayant peur de lui faire mal, je lui demandai :



Rassuré, je repris de plus belle ma chevauchée, en saisissant ses cheveux dans mes mains comme un cavalier prend une crinière pour rennes. Ma monture et moi dégoulinions de sueur et je claquais sur elle dans des bruits aussi vicieux que visqueux. Je ne pourrais dire combien de temps nous avons cavalé, mais pour ne pas jouir, je regardais souvent le feu qui faiblissait petit à petit. Katia hurla à deux ou trois reprises avant que je ne m’abandonne une nouvelle fois dans sa croupe paradisiaque. À mon tour, je criai un plaisir unique que je n’oublierai jamais. J’eus l’impression que cette nouvelle éjaculation arracha de mon entrejambe bien plus que ma semence. Je tremblais et gémissais tout en riant, surpris par ce que je ne me souvenais pas avoir connu. J’avais tout donné, tout, et j’avais tout reçu. Je m’écroulai à son côté, les yeux fixés aux poutres en bois.

Katia était restée dans la même posture, la tête enfouie dans les draps, retrouvant son souffle.



Elle ricana malgré tout et parvint difficilement à s’allonger sur le dos à mes côtés.



Nous restâmes de longs moments inertes, les yeux dans le vide, reprenant notre respiration. Toujours brûlants, nous n’avions pas remonté les couvertures. Katia était splendide, détendue, les bras écartés, les seins tombant majestueusement sur ses côtés et les cuisses légèrement ouvertes. Je remerciai le ciel et le feu pour la beauté qu’ils offraient à mes yeux. Je me remis sur mes genoux juste un instant pour prendre une bûche posée à côté de mon sergent. Je voulais que le feu continue à nous réchauffer et à éclairer les magnifiques rondeurs de ma partenaire.

En passant au-dessus d’elle pour prendre la bûche, je sentis sa main agripper mon sexe. Je me crispai d’un coup, tant le contact sur mon gland irrité était à la limite de la douleur. Je la regardai, inquiet :



Je n’en revenais pas. Elle me coinçait au-dessus de son visage et prenait mon sexe flasque et visqueux dans sa bouche. Jamais elle ne l’avait fait après une relation. Je parvins à lancer tant bien que mal la bûche dans le feu avant de lui faciliter la tâche en m’ajustant au-dessus de sa bouche. D’une taille moindre, je voyais mon sexe disparaître entièrement dans sa bouche et gonfler le haut de sa gorge. Très sensible après nos rapports étroits, chacune de ses bruyantes succions m’arrachait un cri dû autant au plaisir qu’à la douleur, pourtant furtive. Je voulus me retirer à un moment, mais mon sergent m’intima l’ordre de rester dans sa bouche en mettant ses mains sur mes fesses brûlantes pour me guider comme elle le désirait vers sa bouche. Mon sexe était prisonnier de guerre de ses lèvres, de sa langue, et ne pouvait se libérer.

Je voulus faire plaisir à mon geôlier en caressant d’une main son entrecuisse, m’obligeant à me pencher un peu et à me plaquer un peu plus contre sa bouche. Ses mains accélérèrent les va-et-vient de mon bassin et sa bouche envahie laissait à son nez le soin de respirer et de gémir de mes caresses.


Mon sexe mit du temps à retrouver une érection complète qui, cette fois, lui parut difficilement acceptable, tant les bruits que mon amie produisait se rapprochaient du haut-le-cœur. Après avoir connu un plaisir tel un feu d’artifice inoubliable, je vécus un bouquet final incroyable lorsque le plaisir me vint une troisième fois. Je criai, tant je croyais disparaître tout entier dans sa bouche où elle me gardait toujours grâce à ses mains sur mes fesses. J’en tremblai quelques secondes dans sa bouche, puis me laissai retomber dans les draps, libérant mon membre de sa prison à plaisirs.

Cette fois, c’est moi qui avais la tête dans les draps, le sexe à vif et les poumons dilatés. Katia se rapprocha de mon oreille :



Nous nous rentrâmes sous les couvertures et plus un mot ne s’échappa de nos bouches. Nous nous endormîmes au son du crépitement des flammes. Nous nous étions mis le feu.




***




Le réveil fut spécial, silencieux. Je lui amenai le petit déjeuner au coin du feu, toujours vivant, le posant entre le matelas et la cheminée. Dans mon esprit, nous avions vécu notre dernière nuit d’amour et notre relation se terminait aujourd’hui. Je l’embrassai tendrement sur le front pour la réveiller :



Son petit déjeuner fini, elle remit son long tee-shirt et alla se laver, me laissant seul près de la cheminée. Lorsque nous fûmes propres et habillés, Katia rangea ses affaires dans son sac et se posta en face de moi :



Katia lâcha son sac et se colla contre ma poitrine. Je l’enserrai de mes bras et embrassai ses cheveux.



Nous nous embrassâmes une dernière fois, tendrement. J’accompagnai mon sergent à sa voiture, fermai sa portière et lui adressai un dernier regard mêlé de tendresse et de regrets. Elle me sourit avant de démarrer, ajusta sa ceinture de sécurité entre ses deux gros seins mis en valeur par son pull noir et moulant, puis partit.


Je la regardai s’éloigner puis disparaître dans un virage, en prenant conscience qu’une page de ma vie militaire se tournait, mais sans savoir que mon sergent me donnerait de drôles de nouvelles quelques mois plus tard…