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Temps de lecture estimé : 9 mn
27/06/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Taha et John s'en vont faire un petit stage pratique chez les Anglais, où ils font la connaissance d'une étrange personne...
Critères:  ffh collègues vacances train toilettes fsoumise fdomine fouetfesse
Auteur : PabloKorbo            Envoi mini-message

Série : Taha

Chapitre 02
Miss Kellington

Voici la suite du récit Taha qui nous emmène en Angleterre. J’ai essayé de tenir compte des quelques conseils adressés en commentaires, mais je suis un débutant : continuez à noter et commenter ; cela m’aide dans la progression du récit ! La suite bientôt si cela vous plaît.



Résumé de l’épisode précédent :

Cela fait maintenant deux mois que j’ai rencontré ma nouvelle chef, Taha, avec qui j’entretiens des relations plus que professionnelles. Depuis, les choses ont bien évolué pour moi : j’ai été nommé son adjoint, ce qui a bien fait jaser les collègues, mais personne ne se doute de rien quant à notre relation particulière. Je suis un homme heureux de pouvoir travailler tout en m’amusant à côté. Par bien des aspects, notre relation aussi a évolué. Elle me laisse plus de liberté lors de nos « ébats », mais reste une insatiable dominatrice. Enfin, c’est ce que je pensais avant notre petite aventure anglaise que je vais vous détailler ici.








Miss Kellington



Il y a une semaine, notre direction nous a enjoints de participer à un rapprochement de fonctionnaires anglais et français lors duquel nous étions censés discuter de nos méthodes pour gagner en efficacité. C’était aussi l’occasion de rapprocher la France et l’Angleterre à l’heure où celle-ci est de plus en plus réticente à l’Europe. Ce voyage me ravissait au plus haut point : j’adore voyager ; et puisque nos relations sexuelles se passaient uniquement dans son bureau, je voulais profiter de l’occasion pour voir et appréhender Taha hors de son environnement, hors de son territoire.


Bref, nous avions rendez-vous à la gare du Nord, avec Taha et quelques autres collègues, direction : Londres. Dans le train, nous discutions uniquement de l’attitude à adopter face à nos collègues anglais, les rivalités franco-anglaises ne s’arrêtant pas qu’au rugby. Peu avant l’entrée dans le tunnel, Taha me glissa à l’oreille :



C’était on ne peut plus clair. Je profitai de l’endormissement d’un collègue pour m’extirper du compartiment et rejoindre Taha.


Les toilettes du train étaient propres, mais exiguës. Elle m’ordonna tout de go de me mettre à genoux, ce que je fis, puis elle enleva sa culotte par dessous son tailleur ; je compris immédiatement de quoi il retournait et commençai à lui lécher la chatte goulûment. À grands coups de langue, je dévorais son minou dont j’adorais l’odeur à la fois douce et puissante. Je suffoquais quelque peu sous l’épais tailleur, mais je savais qu’elle aimait avoir cette sorte de pouvoir sur moi, un pouvoir presque physique. Je connaissais maintenant son rythme, ses envies, et ne mis pas longtemps à la faire jouir. Elle me gratifia d’un petit jet de cyprine dont je me délectai.


Je m’apprêtais à me relever, la pensant satisfaite, mais elle me maintint au sol alors que je sortais ma tête de sous sa jupe. Elle m’écrasa légèrement avec son pied (assez fermement tout de même pour que je comprenne qu’il fallait que je reste au sol !) Je m’allongeai alors, et malgré un sol relativement petit, je parvins à rester dans cette position en pliant les jambes. Elle ramassa sa culotte avec l’un de ses pieds préalablement déchaussé, et me la fourra dans la bouche. Elle commença ensuite à passer son pied pour me caresser le visage et se mit à déclarer :



Soudain, quelqu’un frappa à la porte, interrompant ce speech.



C’était vraisemblablement un contrôleur, mais Taha ne se démonta pas et se contenta de lui répondre qu’elle allait bien mais qu’elle pourrait aller mieux si elle n’était pas importunée au milieu d’un exercice de locution. J’étais toujours dans la même position et commençais à trouver la scène presque comique.



C’était dit. Taha se contenta de remettre ses talons et me laissa là, sa culotte toujours en bouche. Était-ce une sorte d’avertissement ou un cadeau ? Je ne savais pas trop… En revanche, je ne m’avouai pas vaincu et commençais déjà à imaginer des stratagèmes pour retourner l’avantage en ma faveur.



Une salve d’applaudissements nous accompagna sur cette mini-estrade que nos collègues anglais avaient installée pour que nous ne nous sentions pas trop offensés d’être reçus dans un cadre aussi miteux. En effet, nous fumes reçus dans les locaux de la Horses & Pets Tax Administration, c’est-à-dire le type d’administration dans laquelle on place les fonctionnaires proches de la retraite, qui ne fonctionne que quelques jours par mois et dont le bâtiment n’a visiblement pas été rénové depuis des lustres. Cela était dû, selon les officiels venus nous accueillir, à un problème de courant dans le prestigieux bâtiment administratif dans lequel nous aurions dû être reçus. Il fut cependant impossible d’obtenir le nom ou l’adresse de ce bâtiment puisque c’est tombé à l’eau, comme ne cessaient de nous le répéter les Anglais (avec un accent fort séduisant ma foi), ce qui nous fit douter que cette réception officielle eût un jour existé. Toujours est-il que c’est lors de la déclaration de Taha, qui s’exprimait dans un anglais parfait, que je remarquai pour la première fois Miss Kellington.


Elle faisait partie de l’auditoire et dévorait Taha du regard. Cette femme me fit une drôle d’impression. Elle était assez âgée, autour des 45-50 ans, mais plutôt jolie. Elle avait ce style fonctionnaire anglaise du genre strict qui me plaisait pas mal. Pas dans le genre caricatural des films pornos, non, c’était autre chose. Une sévérité naturelle, un charme discret mais vivace. Elle avait les traits assez tirés, des yeux bleus froids et, le comble, tenait un parapluie (oui, la capitale anglaise est souvent sous la pluie, ce n’est pas un cliché !) qu’elle caressait de manière troublante en regardant Taha. Je ressentis une attirance forte pour cette femme. Pas le même type d’attirance que j’avais eue pour Taha, cependant. C’était différent, difficile à décrire.


L’allocution de Taha se termina et l’on nous invita à rejoindre un buffet organisé pour l’occasion. C’était une première prise de contact entre nous et les fonctionnaires anglais. Une série de visites et de réunions était planifiée pour le reste de la semaine, mais nous étions libres le soir et le lendemain afin de nous laisser le temps de voir les monuments et les animations qu’offrait la capitale anglaise. Il aurait été idiot de partir sans avoir entendu Big Ben sonner, les scarabées qui bourdonnent ou la folie à London. Nous échangeâmes des banalités avec nos collègues autour de quelques toasts puis on nous emmena à notre hôtel, à quelques minutes de là, dans le quartier de Camden.


Notre hôtel était bien situé et nous envisagions déjà les sorties du soir… London calling ! Nous disposions de chambres individuelles relativement confortables ; notre délégation comprenant une dizaine de personnes, nous étions tous logés au même étage (et à la même enseigne !) et le remplissions presque intégralement. La chambre de Taha était à deux portes de la mienne et je me réjouissais déjà des nuits torrides qui nous attendaient. Je m’imaginais faire monter du champagne dans la chambre, aux frais de la princesse, et essayer de convaincre Taha d’accepter une légère redistribution des rôles ! J’ai vite déchanté lorsque l’on m’a indiqué que non, il n’était pas possible de commander quoi que ce soit sur le compte de l’administration, mais que oui, je pouvais commander personnellement pour la modique somme de 350 livres une bouteille de champagne. L’hôtesse d’accueil m’indiqua avec un clin d’œil que la discrétion était assurée. À ce tarif-là, tu m’étonnes ! J’oubliai vite cette idée mais pensais toujours rejoindre Taha dans la nuit. Je n’eus pas l’occasion d’en prendre l’initiative cependant, car c’est Taha qui vint frapper à ma porte peu avant l’heure du dîner.



Les choses commençaient à devenir intéressantes : qu’est-ce qu’elle manigançait ?



Il était 19 h 05 quand Taha me rejoignit. Elle était maquillée (généralement, elle ne mettait que quelques touches de maquillage lorsqu’on était au boulot) et habillée sublimement. Elle m’attrapa par la main (un geste affectueux si rare de sa part) et m’entraîna vers une grosse bagnole de type berline allemande. Nous nous installâmes à l’arrière. Le chauffeur nous toisa du regard ; il me regarda assez longuement avec l’air suspicieux mais se contenta de nous demander si nous étions prêts. Taha répondit par l’affirmative et le chauffeur démarra. À ce stade, je n’avais aucune idée de ce que Taha envisageait pour ce soir, mais j’avais en tête la perspective d’aventures sympas ! De toute façon, j’étais là, dans cette voiture ; alors, à quoi bon se triturer la tête ? Je saurais bien assez tôt ce qu’elle me réservait !


Nous roulâmes pendant presqu’une heure à grande vitesse et nous arrivâmes dans un village charmant, avec de belles maisons de pierre ; nous nous arrêtâmes devant un magnifique manoir. Je ne savais toujours pas ce qu’on faisait là ; Taha et moi n’avions échangé aucun mot durant le voyage. J’avais péniblement essayé de comprendre ce qui devait être la BBC dans la voiture, et Taha était restée en permanence avec son téléphone. C’était volontaire de sa part : mon ignorance de la situation devait contribuer à cette mise en scène…


Miss Kellington !


Mais bien sûr. Celle qui regardait Taha avec tant d’avidité. Je les avais vues lors du cocktail discuter longuement. Ce ne devait sûrement pas être professionnel ! Nous fûmes reçus par un majordome qui semblait tout droit sorti d’un film des années 1930 et qui nous indiqua que miss Kellington nous attendait dans le salon principal. Elle était assise devant une magnifique cheminée, en train de siroter un Martini. Elle portait un leggins très fin, qui faisait ressortir ses formes. Elle était encore mieux faite que je ne le pensais. Le salon était très beau, l’architecture ancienne mais le mobilier moderne. Un grand canapé en cuir, un beau tapis « tête de tigre », un écran de télévision moderne. Ce mélange de modernité et d’ancienneté donnait un ton très particulier à l’ensemble. Miss Kellington nous regarda et demanda à Taha :



Mon anglais datant du lycée me permit de comprendre ces quelques mots. Mais je crois que même sans, j’aurais compris de quoi il s’agissait. Miss Kellington ouvrit une malle proche de la cheminée qui contenait toutes sortes d’objet sexuels : des godes, des menottes, une cravache, des pinces et d’autres objets dont je n’osais imaginer l’utilité. Taha était dans une position dans laquelle je ne l’avais pas encore vue. La tête penchée, les yeux baissés, les mains derrière le dos. Je ne savais trop quoi faire ! Elle était soumise, soumise à Miss Kellington ! Je me mis à adopter la même position, par mutisme sans doute. Miss Kellington approcha de moi, doucement, tel un félin, avec sa cravache dans la main. Elle caressa mon sexe avec sa cravache. Il commençait à former une bosse derrière mon jean.



Shlac ! Miss Kellington adressa un énorme coup de cravache sur les fesses de Taha.



Miss Kellington commença alors à glisser ses doigts entre les lèvres ouvertes de Taha qui se mit à les suçoter. Je ne comprenais pas ce qu’il se passait. Pourquoi Taha se mettait-elle elle-même dans une situation où elle n’avait pas le contrôle ?



Taha se déshabilla intégralement et sa « Mistress » la guida avec sa cravache jusqu’au canapé et la fit s’asseoir.