n° 16281 | Fiche technique | 24031 caractères | 24031Temps de lecture estimé : 15 mn | 29/06/14 |
Résumé: Par un tiède après-midi d'été, Roberto donne rendez-vous à Jeannot dans son magasin. | ||||
Critères: hh hplusag hagé magasin hsoumis fellation anulingus préservati hsodo | ||||
Auteur : Janou |
Il m’avait demandé de passer au magasin, ce que je fis avec une certaine excitation car j’avais senti dans sa voix un je ne sais quoi de sensuel qui m’avait d’abord intrigué et qui maintenant m’excitait.
Il était midi passé, le rideau en fer était baissé ; à cette heure, le magasin ne devait pas tarder à fermer, je passai par l’espace laissé levé.
À l’intérieur, je le vis dans la pénombre près du comptoir de la caisse. Il appuya sur l’interrupteur du moteur du rideau et baissa celui-ci complètement. Nous étions maintenant complètement isolés dans ce magasin sombre dans la douce moiteur de ce début d’après-midi d’été.
Il me fit un grand sourire, me prit délicatement par la taille et me caressa les fesses.
Je n’étais qu’à moitié étonné ; tous nos manèges ces derniers temps laissaient prévoir cela. Et j’étais moi aussi rentré dans le jeu, de sorte qu’aucune ambiguïté n’était plus possible. Et cela, il l’avait compris.
Il me caresse les cheveux, et tout en me souriant, d’un geste de la tête il me fait voir le sol ; j’ai bien compris ce qu’il veut, mais j’hésite encore.
Il me refait un geste de la tête encore plus insistant ; il s’impatiente et me fixe dans les yeux, à ce moment-là. Je sens sa virilité me dominer, des frissons parcourent mon corps, mes bouts de seins se raidissent.
Je sens qu’il défait lentement sa ceinture, et s’active en fléchissant alternativement les jambes de droite à gauche. Je baisse les yeux. Des pans de sa chemise, sa queue émerge, puissante et déjà imposante.
Doucement, je m’incline et me mets à genoux devant lui. Son pantalon est maintenant complètement baissé au niveau de ses chevilles ; sa queue est devant mon visage, arrogante et fière. Sa main l’enserre quelques instants et amorce un léger va-et-vient, puis l’immobilise face à moi. Il me caresse le visage avec cette queue à peine bandée mais déjà d’une taille impressionnante, notamment pour moi qui, pour la première fois, en vois une de si près. Son gland est complètement dégagé. Il luit au-dessus de ses deux couilles bien remplies et velues, d’une taille étonnante. Il pose cette fraise violacée sur le coin de mes lèvres.
Je sens qu’il pousse afin que je le suce ; je ne réalise pas encore trop ce qui m’arrive, mais je saisis sa queue à mon tour, et de ma main lui impose de longs mouvements de haut en bas, puis la dirige vers moi et la saisis à pleine bouche.
Elle est chaude et légèrement salée, sans doute la transpiration ; je m’étonne de voir la passion que je prends à la sucer et l’aspirer goulûment. Pour la première fois, j’ai un sexe d’homme dans ma bouche et ceci non seulement ne me déplaît pas, mais qui plus est m’excite car c’est ce que j’attendais depuis un certain temps.
D’une main, je le branle tandis que je le suce de plus belle ; tantôt j’arrive à l’engloutir au fond de ma gorge, tantôt je lui suce le gland en utilisant bien ma langue.
Je ne le crois pas : je suis en train de sucer l’homme qui m’a tant fait fantasmer toutes ces nuits. Je suis là, à genoux, dans cette fraîche pénombre. J’assume enfin ce fantasme que j’ai mis tant de temps à m’avouer.
Roberto, que j’avais fini par oublier, pousse maintenant de petits râles saccadés en soufflant de plus en plus fort, il m’appuie doucement sur la tête afin de bien sentir sa queue au fond de moi. Il me saisit sous la mâchoire, et d’un mouvement me fait comprendre de me lever ; je le suce encore quelque instant puis je m’exécute, laissant sa queue prête à exploser.
Je suis maintenant debout face à lui, son regard est brillant, il semble avoir du mal à se remettre de ma prestation et je sens son désir au maximum. Il me prend par une épaule, et d’un mouvement circulaire me retourne contre une table-présentoir en bois sur laquelle je pose mes deux mains en appui.
Je ne bouge plus. Je me laisse totalement faire, je n’ai aucune réaction sur ce qui m’arrive, j’ai la tête légèrement inclinée et je ferme les yeux.
Roberto déboutonne mon jean, le saisit à deux mains et me le baisse d’un coup jusqu’aux chevilles ; le slip vient avec. Il pose ses deux mains sur mes fesses et me caresse avec vigueur, il me malaxe les deux lobes en les écartant par moments.
Il se libère de son pantalon qui lui enserrait les chevilles et se met à genoux derrière moi ; son souffle chatouille mes fesses. De ses deux mains, il m’écarte de nouveaux les lobes et je sens quelque chose de chaud et humide sur mon anus. C’est délicieux : il me bouffe le cul avec sa langue ; c’est la première fois que je connais une telle sensation… Je délire, pousse de petits râles et m’accroche de plus belle à la table.
Je cambre les reins et pousse mes fesses contre son visage qui me dévore si sublimement l’intimité. Il s’arrête ; après sa langue, je sens maintenant son doigt contre mon anus. Il l’appuie avec insistance. Je lui facilite le passage en relâchent mes sphincters. Il finit par avoir raison de mon cul. Il continue sa progression, s’arrête un instant, repart en arrière puis recommence.
Il me branle le cul avec un doigt puis deux ; c’est un peu désagréable au début, mais bien vite le désir monte en moi. De son autre main il me saisit la queue et me branle légèrement.
Mes grands mouvements de hanches contre ses doigts montrent que je suis prêt à subir tous ses assauts.
Il retire délicatement ses doigts et se relève derrière moi. Je ne bouge plus de cette position, offert et soumis.
J’attends, et j’entends le silence si pesant de ce magasin vide et le bruit étouffé de la rue. Rien ne se passe. Il se penche et se relève ; il vient de saisir quelque chose dans son pantalon : il s’agit d’un préservatif.
Après avoir ouvert le papier alu avec une certaine nervosité, il contemple un instant le préservatif en l’écartant, puis le place tel un chapeau sur le gland gonflé. Il descend maintenant doucement la capote, centimètre par centimètre, le long de sa queue raide et fièrement dressée. Je sens qu’il savoure pleinement cet instant, et moi aussi qui lui tourne le dos. Je ne me contente pas de l’imaginer dans sa manœuvre puisque, face à la glace d’essayage, rien de la scène ne m’échappe. Il est face à mes fesses largement ouvertes et offertes, mais néanmoins vierges de tout acte sexuel ; mon cul semble être une offrande à cette queue impatiente de me pourfendre.
Son sublime engin est maintenant recouvert de son étui de latex. Il regarde mes fesses ; son regard s’illumine. Il tient sa queue d’une main et l’oriente dans ma direction. Dans la glace, je le regarde tel un jeune taureau qui regarderait un torero lui porter l’estocade ; j’appréhende et désire du plus profond de mes entrailles l’instant qui va suivre.
Cette sorte d’angoisse mêlée au plaisir provoque en moi l’envie irrésistible qu’il me pénètre ; j’en arrive à vouloir qu’il se dépêche de m’enculer, de sentir sa queue au plus profond de mon intimité.
Il s’approche lentement de mon petit cul avide et cambré à l’extrême. Je sens maintenant sa queue contre mes reins ; elle est chaude et dure, bien raide, impatiente. Dans un mouvement rapide, elle descend pour s’immobiliser entre mes fesses.
Je les ouvre au maximum. Il prend sa queue d’une main et la promène lentement de haut en bas dans le sillon de mes fesses ; il s’arrête maintenant contre mon anus lubrifié par sa langue et préparé par ses doigts.
Il joue de son gland sur mon petit trou ; sa respiration s’accélère, et la mienne aussi. Je sens la pression de sa queue sur mon anus ; il insiste. Mon anus se dilate progressivement sous la pression. Il me force délicatement, ça résiste un peu ; je souffle profondément en serrant la table fortement avec mes doigts. Il me saisit par les hanches, amorce quelques légers va-et-vient à chaque fois plus amples, et dans un souffle rauque il me pénètre.
Son gland est énorme mais je sens bien qu’il est passé, finalement sans trop de mal. Il est en moi, il ne bouge plus. Je sens que mon cul est ouvert à son maximum et qu’il peut maintenant aller plus loin. Encouragée par mes gémissements de plaisir, la pression de ses mains sur mes hanches augmente et je comprends alors que j’aime ça.
À ce moment, tout bascule dans mon esprit. Est-ce par soumission, par un désir inavoué d’une telle expérience, ou tout simplement par le plaisir de la pénétration ? Mais je m’abandonne.
Je relâche encore plus mes fesses, je les écarte amplement pour lui faciliter le passage, je prends appui de mes deux mains contre la table et je pousse en arrière.
Mon anus s’est complètement ouvert au passage de sa queue si puissante et maintenant bien raide. Il s’arrête alors, se redresse légèrement ; je sens son regard sur mon cul. Il malaxe mes fesses doucement. Je ne comprends pas ce qui m’arrive car j’attends la suite avec impatience : je désire maintenant qu’il continue.
De nouveau, il me saisit par les hanches et reprend sa progression. Tel un pieu, il s’enfonce doucement en moi ; je sens chaque centimètre de sa queue me pénétrer, je ferme les yeux, en soufflant.
J’ai l’impression que mon ventre s’enflamme et je sens monter ma jouissance ; rien ne semble pouvoir l’arrêter, il continue lentement à m’enculer.
Il s’arrête un instant, recule puis recommence encore. J’ai les yeux fermés et la tête relevée, renversée en arrière, j’inspire profondément ; il s’arrête une fois encore, me saisit par les épaules de ses deux mains, et d’un grand coup de reins m’encule jusqu’à la garde.
Sous la puissance de son assaut, je hurle ma jouissance !
Je sens maintenant son pubis ainsi que ses grosses couilles velues contre mon cul bouillant, pourfendu par sa queue plantée au plus profond de moi.
Il ne bouge plus. Il halète et souffle dans mon cou. Il se retire presque entièrement ; la sensation est sublime, mais au moment où son gland arrive sur l’anneau de mon anus, il me pénètre de nouveau jusqu’à la garde d’un coup de reins.
Je crois m’évanouir de plaisir, et de nouveau je sens ses grosses couilles contre mon cul. Mes jambes tremblent et ont du mal à me tenir debout.
Il recommence, de petits puis de longs va-et-vient ; il va doucement lorsqu’il se retire pour ensuite m’enculer puissamment.
Une chaleur intense m’envahit ; je sens ses allers et retours au fond de mes entrailles, je suffoque, grogne, gémis… Je feule plus que ne crie :
À ces mots, il redouble d’intensité. Il me pilonne le cul ; c’est délicieux. À chaque retour, il ressort sa grosse queue de mon cul pour la remettre ensuite plus profond à chaque fois.
Avec sa main, il branlouille ma petite bite légèrement bandée au milieu de ma touffe de jeunes poils sombres. De nouveau le mouvement s’accélère ; il arrête pour me prendre par les épaules, il m’empale une dernière fois, et dans un souffle rauque il décharge dans la capote, de longues giclées de sperme dont je sens la chaleur au fond de mon cul.
Au même instant, mon orgasme s’intensifie et je décharge également dans sa main qui m’enserre. Mes jambes vacillent, ma tête va exploser, je souffle. Il ne bouge plus. Je m’affale sur la table. Je sens sa queue ressortir doucement de mon cul ; il la frotte de bas en haut sur ma raie, m’encule de nouveau jusqu’à la garde deux ou trois fois puis se retire, et plus rien.
Je reste un instant sans bouger ; mes jambes ne me portent plus, je m’effondre à terre au pied du comptoir.
Je sens des palpitations sur mon anus échauffé et dilaté par tant de passion ; je reste sans dire un mot.
Péniblement, je me relève, lui prends la main et j’embrasse Roberto à pleine bouche.
Je m’exécute et présente mon cul de jeune pouliche et mon entrejambe déjà trempé à cet homme mûr, sportif, trapu et musclé. Il commence par caresser mes jolies petites fesses en titillant le petit anneau brun déjà malmené et si souple.
Il me pelote l’antre culier dans tous ses détails avant d’introduire deux doigts dans l’orifice d’amour. Il les fait aller et venir pendant un moment, puis les porte à sa bouche pour les lécher.
Roberto, me tenant aux hanches, avance et recule, entrant à chaque poussée sa queue jusqu’à la garde dans mon fourreau surchauffé. Son pubis bute à chaque coup de queue sur mes fesses tendues. Il passe sa main sous mon bas-ventre et s’empare de mes couilles et de mon petit sexe légèrement bandé qui ballottent au rythme de la copulation et entreprend à nouveau, entre deux doigts, une masturbation souple, décalottant à l’extrême ma petite bite frétillante. Mon cul est si juteux que le sexe de Roberto glisse hors de la gaine de peau à chaque fois qu’il recule un peu trop loin. Chaque poussée vers l’avant provoque un petit bruit obscène qui nous excite. Bientôt je me mets à gémir, commentant en termes crus l’arrivée de mon orgasme :
Roberto continue ses allées et venues. Je jouis sans retenue, mon corps tout entier participe à l’orgasme. Se sentir possédé par cet homme mûr et puissant dont j’avais passionnément espéré l’étreinte me rend fou de plaisir. Enfin, la tempête s’apaise et je suis en mesure de tenir ses promesses.
Roberto s’exécute. Il présente à ma voracité son membre bien raide qui bat déjà convulsivement la mesure avec son gland décalotté et gonflé. J’enlève la capote et je prends ce pieu de chair en bouche. Mes lèvres l’entourent avec douceur tandis que ma main caresse doucement ses couilles énormes, velues et gonflées prêtes à éjecter leur épaisse semence. Roberto, ne voulant pas rester inactif, se met à caresser mes fesses et mon cul que je lui offre en écartant largement mes jambes tournées vers lui. Je pratique une véritable copulation buccale avec le sexe de mon homme. J’enfonce sa verge jusqu’à ce qu’elle touche le fond de mon gosier, puis je remonte jusqu’au gland que je gratifie de petits coups de langue à chaque passe.
Je suis bientôt récompensé de mes efforts. La verge turgescente, veines gonflées, se met à remuer, battant au rythme du sang qui afflue un peu plus. Une giclée de sperme frappe le fond de ma gorge avec force. Je remonte précipitamment, ne gardant que le bout entre mes lèvres, de manière à laisser suffisamment de place pour conserver le maximum de sperme en bouche. Les gouttes chaudes et épaisses se succèdent à un rythme accéléré, et je dois déglutir et en avaler une bonne partie. Ma bouche est trop pleine, et un peu de sperme coule à chaque commissure vers mon menton. En dépit de la difficulté que j’ai à garder la bouche pleine de jute, je ne me prive pas de passer la langue sur la base du gland de mon amant afin d’augmenter son plaisir. Enfin l’éjaculation ralentit, les giclées se font moins violentes, puis cessent. Je peux savourer la semence mâle que j’avais en bouche avant de l’avaler par petites doses.
Quelques minutes plus tard, Roberto reprend ses esprits sous mon regard amoureux.
Roberto m’embrasse avec passion, moi qui viens de lui donner tant de plaisir, et lèche d’une langue amoureuse son sperme qui macule ma joue.
Il me tire et m’emmène vers l’arrière-boutique où se trouve un petit canapé « de sieste » mais « multi-usages ».
Dans les bras l’un de l’autre, nous nous y glissons. Nos baisers se multiplient, tout comme nos effleurements de plus en plus osés. Les doigts de Roberto redessinent les courbes élancées de mon torse imberbe et de ma peau légèrement bronzée. Sa bouche mordille mon cou et glisse sur mes tétons, mon nombril. Il se saisit de ma petite bite recroquevillée dans ma touffe humide et frisée et la décalotte doucement, puis il me masturbe en imprimant un rythme croissant.
Je m’agite à présent sur le lit, plié de plaisir, le souffle accéléré, les premières sueurs commençant à venir. Roberto remonte à ma hauteur tout en continuant à combler mes ardeurs par sa divine branlette. Je me mords la lèvre ; et voyant cela il sourit, puis il murmure à mon oreille :
Pour toute réponse, j’enserre délicatement sa main qui me procure du plaisir afin qu’il s’arrête. Je roule sur le côté. Roberto se lève et sort d’un tiroir un préservatif et du gel. Il commence un massage langoureux, le doigt enduit de gel s’appesantissant sur ma « fleur de rose ». Peu à peu je me détends. Son majeur tournoie autour de mon entrée, et subtilement il commence à appuyer au fur et à mesure de ses rondes pour s’immiscer plus en moi. Je pousse un léger grognement. Je laisse échapper entre mes dents :
Je me positionne plus ou moins en levrette. Son gland glisse entre mes fesses. Je me cambre au maximum ; je pense à mon futur plaisir, à notre étreinte imminente. Roberto écrase mes fesses avec une de ses mains ; cela m’excite. Il m’agrippe par la taille. Ses mains m’enserrent comme un étau de velours. Je me cambre au maximum, pointant bien en arrière mes fesses qui s’offrent à son étreinte. Sa verge s’appuie sur mon anus ; c’est un mélange d’envie et de bonheur. Le bassin de mon amant avance doucement en moi. Sa queue délicieusement noueuse glisse le long de mon fourreau. Au fond de moi, son sexe semble me remplir dans tout mon ventre. Quelle sensation de bien-être ! Je pousse un gémissement tendre pour lui faire comprendre que je savoure l’instant, et surtout qu’il peut intensifier le mouvement de ses hanches. Ma main glisse par derrière pour lui caresser les flancs et accompagner son mouvement.
Sa verge coulisse en moi, tout en profondeur. Il la ressort presque sur chaque mouvement de recul. J’adore. Puis Roberto pose ses mains de chaque côté de ma tête, comme deux puissants piliers. Il me pénètre vigoureusement, sans aucune brutalité. Son sexe va-et-vient en moi, procurant des frissons sur mon échine et une brûlure dans mon bas-ventre. Il me prend jusqu’à la garde, ses testicules butent sur mes fesses cambrées, rebondies et fermes. Je gémis ou mords la couverture du canapé pour tenter de retenir plus d’un cri. Son sexe enflamme mon intérieur ; c’est un mélange complexe de mal et de satisfaction. Une douleur agréable ou un plaisant mal. Son gland part au plus profond de moi et, au retour, flirte avec ma prostate. Une barrière électrique se dessine dans mon estomac. Il me griffe tendrement le dos, me donnant une onde de plaisir supplémentaire.
Maintenant, il me fait l’amour avec toute son énergie. Lui aussi commence à gémir. Le lit est secoué. Les lattes grincent ; j’adore ce bruit, il m’excite encore plus. Roberto enserre de nouveau ma taille dans ses mains. Cela ne fait qu’accroître mon plaisir. Je sens d’autant mieux sa verge en moi me faire subir mille saveurs. Roberto donne de grands coups de reins, collant son corps moite sur le mien. Il me foudroie de derniers assauts terribles qui me mettent dans un état proche de la jouissance.
Répondant à ma supplique, son sexe délaisse mes fesses. Je ressens une sorte de vide en moi. Mais ce n’est pas fini. Je me retourne, toujours en restant allongé, mais sur le dos à présent. Je retire le préservatif et masturbe très rapidement mon amant, de manière presque effrénée.
Tout en lui faisant cet aveu indécent, je lui décoche un sourire mi-coquin, mi-pervers.
Sans doute étonné par mon fantasme, il ne réagit pas tout de suite. Puis il prend sa bite et se branle devant moi, très rapidement, en serrant fortement son sexe extrêmement tendu. Roberto pointe son gland et pousse un grognement, puis il jouit sur moi. Son sperme jaillit sur mon ventre et sur mon sexe. Il pousse plusieurs cris et semble se soulager fortement sur moi, et surtout sur ma verge.
Je suis comblé par ce petit fantasme. Son sperme se colle sur mon gland et sur toute la longueur de ma bite. Roberto est à genoux et me regarde faire. Il paraît soulagé, épuisé, mais aussi très content d’être dans le rôle du voyeur. Devant lui, le sexe recouvert de son sperme, je me branle. Terriblement excité par tout cela, j’entame une branlette zélée. Sa semence agit comme un lubrifiant. Des premiers tremblements me signalent ma jouissance proche. Soudain, la tête en arrière, je pars dans un cri rauque qui s’arrête net. Je jouis intensément, déversant tout mon bien-être sur mon ventre déjà maculé en partie de celui de mon partenaire qui ne perd pas une miette de ce spectacle.
Courbatu de partout, je m’affale sur le canapé. Roberto se glisse à mes côtés. Nous reprenons notre souffle tant bien que mal. Je m’amuse à passer mes doigts sur le mélange de nos semences. Sans dire aucun mot, nous savourons ces instants « d’après ébats ».
C’est fabuleux : il y a déjà une harmonie, une complicité entre nous.