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Un mariage plein de surprises

En ce début d’été, un couple d’amis se marie et nous nous retrouvons toute une bande de copains pour célébrer leur union dans les Cévennes. Après une bonne heure de route, nous arrivons dans un petit village recroquevillé au fond d’une vallée. Le mariage a lieu dans la petite mairie puis la fête se poursuivra dans un gîte non loin de là, où nous nous rendrons à pied. La plupart des convives doivent y coucher.

La chaleur dans la petite mairie est étouffante si bien que la cérémonie est vite expédiée. Tout le monde se retrouve alors sur la petite place nettement plus fraîche où les jeunes mariés sont félicités par leurs familles, les amis et autres collègues. Je ne suis pas d’un naturel bien habillé au quotidien, mais j’aime bien ce genre d’occasion où les filles portent de belles robes amples ou plus serrées sur de hauts talons. Les hommes ne sont pas en reste avec de beaux costumes qui mettent en valeur de jolis fessiers. Pour que les choses soient claires, je suis bi, depuis peu mais néanmoins convaincu. Ce spectacle commence à me donner un début d’érection que je tente de dissimuler. Je discute avec les parents de la mariée et mon excitation, heureusement, retombe.

Un photographe professionnel immortalise ce jour sous tous les angles, la troupe prend la pose sur les marches de l’église entourant les mariés. Puis l’ordre est donné d’aller au gîte et un cortège se forme. Juliette, une copine de la mariée marche à mes côtés, elle me demande le bras car la route qui devient chemin est difficile en talons. Elle a mis, comme les autres filles, sa plus belle robe, une de soie bleu-gris, longue et plutôt moulante. Sa chute de reins, ses fesses et ses seins n’auraient pu être mis mieux en valeur. Elle est tout simplement splendide avec ses longues boucles brunes relevées en chignon révélant un dos magnifique. Son mec est présent au mariage mais après quelques minutes, je comprends que leur couple bat de l’aile. Lui-même donne le bras à une belle blonde aux seins carrément énormes et ne semble pas prêter attention à sa copine. Je la drague gentiment plus pour flatter son ego qu’autre chose, je n’ai pas envie de créer une histoire au milieu d’un mariage. Elle apprécie le geste et me sourit au moment où elle me lâche le bras. Nous sommes arrivés au gîte. De part et d’autre se trouvent les chambres regroupées en bungalows, au milieu la piscine d’une quinzaine de mètres et au fond se situe la salle où les tables sont déjà dressées. Derrière sont situés d’autres bâtiments.

Le vin d’honneur est servi autour de la piscine par des serveurs en veston et chemise-cravate. Je croise le regard de Juliette de l’autre côté de l’eau. Elle est en pleine discussion avec son mec, ça a l’air houleux. Je retrouve mes potes et nous buvons un coup à la santé des mariés. Un serveur vient échanger nos verres vides contre des pleins, mais au moment de partir je sens sa main me palper à travers mon pantalon. Il me lance un clin d’œil discret et retourne vers d’autres convives. Il est brun aux cheveux courts comme moi mais plus petit d’au moins 10 cm. Son pantalon moule un petit cul rebondi. Sur le moment je reste con comme on dit. Peut-être que c’était involontaire et que ce clin d’œil était un geste d’excuse. En tout cas, le désir m’envahit de nouveau.

Enfin, nous prenons tous place à nos tables respectives. Celle de Juliette se situe à l’autre bout de la pièce, de toute façon elle est assise dos à moi, aux côtés de son homme. Qu’importe je suis avec mes amis proches, on passe un bon moment et le repas est délicieux. Une fois le dessert fini, les convives prennent place sur la piste de danse et les sièges se vident peu à peu. Certains, comme moi, sortent fumer une cigarette ou un joint, quelques cravates tombent, la soirée est maintenant bien lancée.

Revenant dans la salle je croise Juliette qui m’invite aussitôt à danser. Un slow nous permet de nous rapprocher l’un de l’autre. Ma main n’a qu’une envie : quitter sa sage place dans le dos de Juliette pour aller caresser l’une de ses fesses. Petit à petit néanmoins, elle progresse vers la zone interdite par les conventions. Juliette s’en rend compte et répond simplement en plaquant ses seins sur mon torse. Ça devient chaud ! Mais son mec revient dans la salle et il me faut l’abandonner à cet homme, j’ai carrément une bosse dans le pantalon et je ne sais pas quoi en faire.

Je retourne vers la piscine où certains potes sont restés à fumer sur les transats. À tour de rôle, ils retournent chercher de nouvelles bouteilles, très rapidement je me vois offrir un verre. La nuit est désormais tombée, la plupart des invités sont partis se coucher tandis que d’autres sont allés volontairement ou non dans l’eau. Juliette et la plupart des filles se baignent avec leur seul string offrant un spectacle de naïades dans le faisceau des projecteurs sous-marins. Celui-ci est féerique mais au moment où je m’apprête à aller la rejoindre, son mec débarque et la sort quasiment manu militari de l’eau. Sa jalousie est à son comble et il l’entraîne bientôt vers leur bungalow. Ma déception est grande mais bon, même si j’en ai très envie et comme je l’ai déjà dit, je ne veux pas me mettre au milieu d’un couple en un jour comme celui-ci.

Les derniers potes s’en vont se coucher à leur tour, je finis un dernier joint qui me donne soif. Je retourne dans la salle en quête d’une bouteille d’eau. À cette heure-ci, il n’en reste évidemment plus sur les tables aussi je vais vers les toilettes après lesquelles j’avais vu un stockage de bouteilles diverses. Sortant des toilettes, le petit serveur me fait sursauter. Il s’en excuse tout en posant une main sur mon torse. Il commence à défaire un à un les boutons de ma chemise qui laissent apparaître ma pilosité, je me laisse faire sans mot dire. Il me lèche d’abord un téton tandis que de la main il caresse mon sexe. Très vite, une puissante érection soulève mon pantalon. Il en ouvre la braguette et libère mon sexe de son entrave. Sa bouche et sa langue me procurent un plaisir immense et je m’adosse à une des portes des toilettes, laissant le plaisir m’envahir. Mais je ne veux pas jouir dans sa bouche tout de suite et j’ai envie de baiser quelqu’un ce soir, Juliette m’a trop chauffé et puis un mec ça ne me pose pas de problème. Je le relève et l’entraîne dans la réserve.

Lui faisant prendre appui sur des fûts de bière, je baisse son pantalon. Il est nu en dessous. D’une main je le branle entre ses jambes tandis que je commence à lui lécher le trou. Son cul imberbe est effectivement magnifique, j’en écarte les fesses afin d’ouvrir sa rondelle au maximum. Il me tend une capote. Je décide de le prendre debout en levrette contre les fûts en commençant par jouer avec le bout de mon gland sur son trou. Celui-ci s’entrouvre de lui-même. Sébastien, c’est son nom, me lance :

• — Vas-y ! Me fais pas attendre !

Je me plante en lui. Son cul est bien serré et chaud mais je rentre assez facilement. Sans attendre, je lui assène quelques coups qui claquent ses fesses et le font gémir. Son cul vient à ma rencontre, et c’est bientôt lui qui mène la danse en faisant bouger son trou autour de ma bite. Le plaisir me domine et je ne m’aperçois pas qu’une personne nous observe depuis peu. Je sens soudain deux bras m’enlacer par derrière. C’est Juliette, elle est revenue. Je lui avais dit plus tôt que j’étais bi et cela n’avait pas eu l’air de la choquer. Aussitôt, elle me demande :

• — Il est bon son cul ?

Je lui réponds que oui. Le jeune serveur semble d’abord gêné par cette venue, mais voyant la complicité entre Juliette et moi, il reprend de plus belle ses mouvements.

• — J’aimerai te voir le sucer, me glisse-t-elle à l’oreille, ça m’excite !

Aussitôt je m’exécute et tombe à genoux devant la bite de Sébastien. Un filet de liquide pré-éjaculatoire s’échappe de son gland, je l’avale précautionneusement, le goût est divin. Je jette un coup d’œil à Juliette. Elle a relevé sa robe et baissé son string. Ses doigts jouent avec sa vulve et son clitoris. Elle en fait disparaître un de temps à autre. Son autre main caresse ses seins à travers la soie de sa robe et bientôt ses tétons se mettent à pointer au travers de la fine étoffe. Dans ma bouche, la bite de Sébastien grossit par spasmes et je comprends qu’il ne va pas tarder à jouir. Je me relève tandis que Juliette s’assoit au bord d’une table, elle relève ses jambes laissant s’ouvrir une chatte bien baveuse.

• — Prends-moi, me dit-elle.

Je m’approche d’elle et pose ses jambes sur mes bras, et lentement je m’introduis en elle. Sébastien s’est, lui, approché de moi et me caresse les fesses en se masturbant. Sa bite n’est pas trop longue mais elle est carrément épaisse.

Juliette lance alors à Seb :

• — T’as pas envie de le prendre ? en parlant de moi.
• — Si, lui répond-il.

Aussitôt je sens un, puis deux et enfin trois doigts me pénétrer. Quand on me titille l’anus je passe d’un mec viril d’apparence pur hétéro à un mort-de-faim en chaleur. Même s’il a mouillé ses doigts, je sens un jus couler de mon trou, je mouille comme la vraie salope que je peux être. D’ailleurs je ne peux retenir des râles et autres gémissements de plaisir. Juliette m’embrasse tout en se caressant les seins, elle joue avec ses tétons qu’elle pince et qu’elle tire. Je supplie Seb de me pénétrer, mon cul a faim de bite. Son gland a du mal à entrer mais une fois fait, quel bonheur. Ses va-et-vient progressifs habituent mes entrailles à ce morceau de chair. À mon tour, je reprends mes va-et-vient dans le vagin de Juliette. Je prends Juliette dans les bras, je l’enlace, je suis en elle et on est en moi en même temps. Que de sensations nouvelles, le plaisir me submerge.

Mais Juliette a une envie, elle veut que je la sodomise à mon tour tout en étant sodomisé. Se remettant debout, elle relève sa robe au-dessus des fesses puis elle prend appui en se penchant en avant. Son cul ferme et rebondi comme celui de Seb se présente à moi, je commence à le préparer avec un doigt.

• — Prends-moi direct, j’adore ça, me lance-t-elle.

Du coup, je force le passage de sa rondelle qui, lorsqu’elle cède, m’accueille dans son anus chaud et bien plus serré que celui du serveur. Je suis le seul à aller et venir, mes partenaires profitent de ce mouvement. Mes gémissements sont de plus en plus forts, je n’en peux plus, je jouis dans mes entrailles et je ne tarde pas à éjaculer en même temps dans le cul de Juliette qui exprime son extase simultanément.

Seb a envie de décharger lui aussi. Juliette lui dit de se retenir m’entraîne avec elle, à genoux, devant la bite de Seb.

• — Vas-y, branle-toi sur nos gueules ! lui ordonne-t-elle.

Une joue et le bord de la bouche collés l’un à l’autre, nos deux langues tentent de lécher ce gland qui s’agite devant nos visages. Soudain, un flot de sperme nous arrose, j’essaye d’en avaler le plus possible tout comme Juliette. Elle finit de le sucer afin d’en récolter la dernière goutte puis elle me saisit le visage et m’embrasse, déversant ainsi le jus récolté dans ma gorge. Évidemment, j’avale tout.

Sans traîner, elle rajuste sa robe et son string puis s’en retourne à sa chambre en nous lançant :

• — Bonne nuit les mecs, c’était fun comme plan.

Elle m’adresse un clin d’œil. Seb me propose de partager sa chambre, dans les bâtiments situés derrière la salle. J’accepte en lui disant que je le laisserai au petit matin afin de rejoindre mes amis, qui eux ignorent tout de ma vie sexuelle.

Le lendemain, je croise Juliette qui me glisse à l’oreille qu’elle n’a jamais joui comme la nuit dernière. Elle se mordille les lèvres.

• — On remet ça la prochaine fois que je reviens ?

Évidemment je suis partant, mais son mec se rapproche et je la laisse avec lui. Après les avoir salués ainsi que les mariés, je rejoins mes amis et nous prenons la route du retour. Dans la voiture, tout le monde somnole, moi je repense à cette fin de soirée inoubliable.