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Temps de lecture estimé : 20 mn
02/07/14
Résumé:  Sabine craint que sa copine fasse l'objet de brutalités ; pire, de sévices sexuels. Que doit-elle faire ?
Critères:  fhhh grp gros(ses) fsoumise fellation cunnilingu sandwich hdanus attache confession
Auteur : RobertAnne      
Non-assistance à personne en danger

Entre les textes et la réalité, ce n’est pas toujours facile de trouver son chemin.

Une femme se fait agresser et aucun voyageur ne réagit ! Honte à eux ! Mais, déjà, ce n’est pas si simple, car un mauvais coup est toujours possible et on ne compte plus les bons samaritains qui se retrouvent à l’hôpital alors qu’ils ne pensaient faire que leur devoir. Et si par malheur ils blessent l’agresseur, alors ils vont se retrouver devant la justice.


Alors, imaginez mon inquiétude !


Je suis esthéticienne : soins du visage, du corps, épilations et massages relaxants. Parmi mes clientes, Axelle est presque devenue une amie. Elle vient, une à deux fois par mois, depuis plusieurs années, avant son mariage et après. J’ai suivi, par ses confidences, l’évolution de sa relation. Je dis « confidences » car mes soins sont des moments privilégiés, surtout pendant l’épilation intime où nous, les femmes somment réceptives et ouvertes, sans jeux de mots.

Très vite Axelle a trouvé que son mari la délaissait malgré toutes ses tentatives de séduction. Pourtant, elle est mignonne : grande, élancée, de beaux seins, des hanches rondes et un minou si mignon que je me retiens à chaque fois de plonger pour aller le goûter. Mais il faut savoir rester pro.


Je ne comprends pas les hommes. Une femme comme elle devrait être le centre du monde. Je sais de quoi je parle. Moi, c’est l’inverse : je suis petite et grosse, pas du tout dans les canons de beauté actuels. Et lorsque j’arrive à me brancher sur un mec, je suis obligée d’employer des arguments frappant pour le garder, un peu. Si je n’ai pas la beauté, je suis devenue une experte pour « le cul ». Eh bien, vous me croirez si vous voulez, mais même avec ces arguments, je n’arrive pas à les garder longtemps. Alors, Axelle c’est une sorte de revanche, pour moi.


Donc ma cliente, qui a des besoins très prononcés, a pris des amants. Moi, je vis par procuration ses aventures qu’elle me raconte, pas avare de détails croustillants.

Mais, et c’est là où le bât blesse, depuis quelque temps elle ne m’en parle plus. Une envie de discrétion ? La rencontre d’un homme dont elle est tombée amoureuse ? Peut-être, mais d’autres faits m’inquiètent. Je découvre sur sa peau des marques, qui sans être trop prononcées, semblent suspectes. Comme si on l’avait frappée. Oh, ce ne sont pas des bleus évidents, mais toute une accumulation de marques, rougeurs, voire de traînées roses.


Et si Axelle était tombée sur un amant brutal ?

Et si son mari avait découvert son infidélité et se vengeait en la battant ?

Impossible de savoir ! Lorsque je la questionne, elle me répond, énigmatique :



Je suis inquiète. On dit que les femmes battues refusent de voir la réalité et trouvent, au moins pendant un certain temps, des excuses à leur bourreau.

Que dois-je faire ? Aller à la police ? Et si, je me trompais ? Il faut que j’en sache plus avant de m’avancer.


Je me suis organisée pour qu’elle soit ma dernière cliente, et dès qu’elle est partie je la suis. Je vois tout de suite qu’elle prend le chemin de chez elle. Je ne suis pas une experte en filature, mais heureusement il fait très sombre en ce mois de décembre.

Dès qu’elle ouvre la porte de sa maison, je réalise combien mon idée est idiote, car je ne vais pas pouvoir entrer et rien de ce qui peut se passer à l’intérieur n’en sortira. Pourtant, la voix de son mari qui l’accueille me glace.



Ainsi mon hypothèse est vérifiée. C’est son mari qui la brutalise.

Mais la porte se referme et le bruit de la circulation m’empêche d’entendre la suite.

« Descends… » Mais où ? À la cave ? Mon Dieu il l’entraîne dans une pièce d’où ses cris ne pourront pas sortir.

Au même moment, je vois de la lumière, un peu sur ma gauche, juste au niveau du sol et qui matérialise une petite fenêtre de cave. Un instant, je pense que je vais pouvoir surveiller, mais la vitre est trouble. J’ai beau me pencher, je ne vois ni n’entends rien. Je fais le tour de la maison. Reviens. Essaie à nouveau, approchant mon oreille le plus près possible, à quatre pattes dans l’herbe humide.



Je me redresse et me retrouve encadrée par deux gaillards qui font bien une tête de plus que moi.



« Oh là là ! Je suis dans de beaux draps. Ils n’ont pas l’air commode. »



« Malédiction, je suis tombée sur des gangsters ! C’est bien connu : les hommes de l’Est sont soit peintres, soit truands. Pire, proxénètes. Mon Dieu, Axelle est devenue une esclave sexuelle. Et moi ? »



Je ne suis qu’une poupée entre leurs bras. Personne ne peut nous voir. Je vais finir dans un bordel à immigrés, enchaînant passe après passe.

La porte d’entrée se referme sur nous.



Étrangement, ses paroles me rassurent, surtout qu’il me relâche et libère ma bouche.



Nous descendons, moi encadrée par les deux hommes, les jambes flageolantes.

Arrivé en bas, le premier fait un « chut » de la main. Il parle doucement.



Pendant qu’ils réfléchissent, j’entends derrière la mince porte :



Les coups qui accompagnent ces paroles me font frémir. Il doit la frapper comme une brute.



Phil frappe à la porte. L’homme répond d’une voix trouble.



La porte grince. La pièce est à peine éclairée.

« Elle vous attend. » : mon Dieu, tout un programme. Que vont-ils lui faire ? Et moi ?


Ma première vision, ce sont ces chaînes qui tombent du plafond et qui brillent d’un éclat d’enfer.

La seconde, c’est cet homme qui nous tourne le dos, en costume mais un fouet court à la main. Et ce fouet qui tombe, méthodique, coup après coup, avec un bruit terrible de chairs déchirées dont le sang doit couler.

La troisième, en avançant sur les pas de Phil, c’est Axelle mon amie, nue, à genoux, les bras en l’air, martyr moderne de ce monstre dont le sexe se découvre à mesure que nous avançons.

Axelle est l’esclave de cet homme, son mari si j’ai bien compris, et qui la force à sucer son sexe monstrueux de mâle en colère.


Le spectacle est étonnant. Contraste de l’homme en costume, le sexe émergeant de son pantalon et de cette femme réduite à l’esclavage, attachée, humiliée, à genoux et nue, la bouche pleine de ce mandrin que son bourreau propulse dans sa gorge. Et le fouet, ce fouet qui s’abat, qui s’abat… Ouf, qui s’abat sur une chaise juste à côté et dont les coups résonnent.

Au moins, elle n’est pas fouettée.

Tout change lorsque le couple nous découvre.



C’est seulement quelques minutes plus tard, sexe rentré au bercail, peignoir sur les épaules de mon amie libérée de ses liens, que tout devient plus clair.

Plutôt, c’est alors que les hommes discutent vers la porte, qu’Axelle m’explique.



Mon amie a les yeux pleins de larmes.



Je ne sais comment sortir de cette maison où ma bêtise et ma suspicion m’ont conduite. Je suis en territoire inconnu. Plus conne que moi, plus indiscrète que moi, cela n’existe pas.

Je vais me retirer. Je bafouille des excuses ridicules. Axelle me fait jurer le secret le plus absolu. Mais aussi elle me remercie d’avoir été si attentive à elle, si vigilante, même si cela me conduit dans cette cave et casse une ambiance que je comprends organisée pour leur plaisir.

Je salue tout le monde. Jacek se propose de me raccompagner à la porte. Mais dans l’escalier, alors que je monte devant lui, je l’entends dire :



Arrivée en haut de l’escalier, la porte me résiste. Le palier est étroit et j’en occupe une bonne partie, aussi l’homme passe ses mains sur mes côtés pour la débloquer. Elle s’ouvre, mais pour lui laisser le passage je dois reculer et je sens le corps de Jacek qui ne bouge pas. La pression n’est pas désagréable et je dois me contorsionner afin de libérer l’ouverture. Un bref instant, j’ai la sensation de faire habillée ce que je fais à mes amants : utiliser mes fesses pour masser leur bas-ventre.

Mais l’entrée est devant moi. Je le libère, à regret. Il passe devant moi, se révèle gentleman pour ouvrir la porte de la rue.

Je ne sais pas s’il a vu dans mes yeux un accord ou quoi que ce soit qui l’y autorise, mais tout en disant :



Une femme comme moi, ignorée dans le meilleur des cas, le plus souvent méprisée par des remarques sur ma taille où « la grosse » est la plus fine, ou au pire moquée par des remarques méchantes, ne résiste pas à un compliment.

« Tu es trop belle… » Je suis prête à tout pour cette phrase si banale.


Il m’embrasse. Je me laisse faire ; mieux, je l’encourage en levant mon visage vers lui. Sa langue est une caresse dans ma bouche, et la mienne se mesure à l’intruse. Combien de temps dure ce baiser ? Aucune idée. La seule chose que je sais, c’est que la porte se referme sur la rue et que mon manteau tombe au sol sans que je ne fasse le moindre geste. Après, je ne me souviens que de mains qui s’emparent de mon corps, de boutons qui sautent, de chemisier débraillé qui laisse le passage à ma poitrine très vite libérée d’un soutien-gorge dont l’attache semble complice.

Il est partout. Il m’enveloppe, me palpe, me caresse. Déjà une main est sous ma jupe, glissée entre slip et peau pour se plaquer sur une chatte qui ne demande que cela.



Il semble se réveiller et s’excuse.



L’accent que je trouvais inquiétant tout à l’heure est maintenant une musique à mon oreille. « Tu es si belle… » résonne au plus profond de moi. Je le suis. Nous redescendons ces escaliers étroits. Lorsqu’il ouvre la porte du local, l’odeur est forte. Une odeur de peau humide, de transpiration, d’hormones que l’activité sexuelle libère dans l’air.



Ils n’ont pas perdu de temps, ou alors je n’ai pas vu le temps passer dans les bras de mon ravisseur. Axelle chevauche son mari, couché sur un matelas à même le sol. Le Phil, maintenant nu, est en train de se faire pomper par mon amie. Elle y met de l’ardeur, montant et descendant sur le pieu marital tout en enfournant la queue que l’homme pousse sans retenue dans sa gorge.

Sa tête est prise dans l’étau des mains larges et puissantes qui la retiennent lorsque l’homme pousse, centimètre après centimètre, sa queue luisante de salive et de bave.

Le mari ne cesse de claquer les fesses de sa femme, les abandonnant pour aller tirer sur les seins, les tordre et allonger les tétons. Axelle gémit, mais la bouche pleine ne laisse passer que des grognements que je ne saurais identifier comme de plaisir ou de douleur.



Jacek est déjà à moitié déshabillé qu’il m’indique le canapé juste à côté. Le temps de m’y asseoir et il est nu, montrant un sexe en érection. Suis-je responsable de cet état ? Ou est-ce le spectacle de ces trois corps en action ?

Sa queue est d’une raideur époustouflante, tendue et plaquée contre son pubis, mât parfait où un drapeau pourrait se fixer. Aussitôt il la revêt d’une capote et déroule le latex tout au long de la hampe.

Maintenant il s’approche d’Axelle. Son sexe paraît plus gros et plus long avec le repère des fesses de la femme. Le gland surtout, champignon écrasé par le plastique mais ô combien imposant…



Je croise le regard de mon amie, la bouche toujours déformée par la bite de Phil. Je n’y trouve aucune crainte ; au contraire, cette lueur, c’est celle du plaisir.



Si j’entendais ces paroles hors de ce contexte, je serais anéantie par une telle violence et cette vulgarité. Mais je sais maintenant que tout cela fait partie du jeu, de cette mise en scène que le couple apprécie.

D’ailleurs, c’est d’un érotisme torride de voir Axelle tendre ses bras en arrière pour que ses mains écartent la raie des fesses. L’anus est entrouvert, trou sombre qui se détache de la corolle à peine teintée.

Jacek laisse tomber de la salive sur les fesses, mais la voix de Marc retentit :



Jacek abandonne les préliminaires. Sa queue se place tout naturellement face au trou. Juste quelques millimètres plus bas, un autre mandrin va lui servir de base.

Un coup de reins et l’engin glisse, déforme l’anneau et le moule à sa taille.

Je suis chaque fois étonnée de ce que nous, les femmes, puissions accepter de vos bâtons masculins. Nos chairs ne sont que des muscles à vos ordres, prêts à tout pour que vous puissiez nous envahir et nous pousser votre gland ravageur au plus profond de nos tripes.



C’est Axelle qui s’est libérée du joug de Phil et qui laisse échapper ce cri.



Jacek, lui, ponctue sa saillie de ce cri de bûcheron, ce qui va bien avec sa carrure et le coin qui lui sert de verge.



Pas de doute que sa propre bite doit sentir passer la matraque derrière la mince paroi qui le sépare du cul.

Pendant quelques secondes, rien ne se passe. On dirait que chacun attend.

C’est Phil qui s’y colle. Son braquemart retrouve la gorge de la femme, et il a du retard à rattraper.

La suite, c’est une déferlante. Au début, chacun joue sa propre partition : qui encule, qui baise, qui pompe. Axelle n’est pas la moins active, et je la comprends : toute femme, même celle qui « fait la délicate » a rêvé – même inconsciemment – ce genre de situation. Prise par tous les trous. Cela ne m’est jamais arrivé. Deux hommes, une fois pour voir ; mais trois, jamais.


Mon amie n’a plus rien d’une femme punie par un mari cocu. Petit à petit, c’est elle qui mène la danse. C’est elle qui tempère les ardeurs de son mari et de Jacek afin de contrôler sa possession.

Ils ne bougent presque plus. Juste de petits mouvements de plaisir. C’est elle qui monte et descend sur les deux mandrins. Ils semblent soudés l’un à l’autre et les deux tiges n’en forment qu’une lorsque je les aperçois alors qu’elle leur permet de retrouver la lumière du jour. Mais la coquine d’Axelle les fait replonger en elle avec délice.

Le jeu se répète et la température semble monter d’un cran dans cet espace exigu.

Mais elle s’arrête.



Les paroles de Phil rappellent que la femme est censée être une épouse punie par son mari, alors que depuis un moment c’est plutôt une épouse qui se baise grâce à son mari.

L’homme joint le geste à la parole, et ses grosses mains bloquent la tête de sa suceuse afin de répandre dans sa gorge des flots généreux. Axelle s’étouffe de ce torrent déversé en giclées que l’homme accompagne de grognements.

Elle pleure mais ne se dérobe pas. J’imagine que c’est ce qu’elle aime. Le scénario participe à son plaisir. Elle a compris que le sexe n’est pas seulement du plaisir physique. En réalité elle n’est pas à plaindre. Quelle femme qui trompe son mari se retrouve dans sa situation, trois queues rien que pour elle ?

D’ailleurs, son mari dont le visage est tout près de la becquée de l’amant à sa femme, se sent tout excité de ce spectacle et balance sa purée dans le con de sa femme adultère.

Et de deux !


Reste Jacek. Mon Jacek. Lui qui me trouve belle et qui me regarde, alors que tout devrait l’attirer vers ses partenaires. Il ne me quitte pas des yeux, et j’ai l’impression que la queue qui encule mon amie m’est en réalité destinée.

Jacek sur Axelle. Phil a reculé, la queue bien propre. Le mari, lui, ne peut pas bouger, mais il n’en a sûrement pas envie. Cela doit être particulièrement jouissif de sentir sa femme avancer et se frotter à lui alors qu’un enculeur s’active.

Le bruit.

Il fait chaud. J’ai chaud, mais le pire c’est ce bruit. Le doux ressac de la mer qui avance, pousse sa vague au plus profond de la falaise, puis l’abandonne pour laisser la place à la suivante. Ici, ce n’est pas le bruit de l’eau qui frappe la pierre, mais celui d’une peau qui en frappe une autre. À chaque poussée de Jacek qui heurte avec son pubis les fesses d’Axelle, ma peau se hérisse. C’est moi qu’il bouscule et que son vit laboure.

Je lui souris. Il me répond par des avancées de plus en plus violentes, de plus en plus fortes. La belle Axelle m’arrache les mots de la bouche lorsqu’elle l’encourage :



Le mari ajoute son grain de sel, comme s’il voulait marquer son territoire :



Adultères ? Encore faudrait-il que j’aie un ami, à défaut d’un mari. Ma vie sexuelle est un désert. Chaque soir, seule chez moi, je me caresse et me baise avec un gode. Même avec deux, parfois, lorsque je n’arrive pas à me rassasier. En particulier lorsqu’une cliente m’a montré sa chatte pour que je l’épile. Combien de fois me suis-je éclipsée, sous un prétexte ridicule, pour aller me satisfaire moi-même et éviter de ruiner ma réputation en plongeant entre les cuisses qu’elles m’ouvrent sans retenue ?

Suis-je lesbienne ? Je ne sais pas. Je ne crois pas. Une lubie ? Déjà que je n’arrive pas à attraper les hommes, alors ne parlons pas des femmes !


En tout cas, Jacek ne se pose pas ce genre de question et honore sa maîtresse.

Quel rôle magnifique ! Amant et complice du mari. Pas de risque, que du plaisir !

Voilà ; d’un geste élégant, il se retire du cul de sa maîtresse, arrache la capote qui bridait sa queue et crache sa sauce sur les reins d’Axelle alors que le mari en récupère entre ses doigts pour en faire boire à sa femme.

Elle obéit. Cela doit lui paraître bien peu, comparé à ce que Phil a balancé dans sa gorge. Mais la quantité ne fait pas la qualité…


Le quatuor se défait doucement. Axelle roule sur le côté, épuisée par tant de jouissances. Son mari est à côté d’elle. Mari complaisant, fournisseur de mâles sous le prétexte d’une punition. Ils s’aiment, c’est évident. Il suffit de voir les regards qu’ils échangent.

Phil s’installe dans un fauteuil.

Seul Jacek bouge vraiment. Il revient vers moi, statue de muscles et de puissance. Apollon des temps modernes, le sexe encore gonflé du plaisir.



« Une colombe ? Il n’y a qu’un aveugle ou un amoureux transi pour me qualifier de colombe, moi qui m’écraserais au sol dès ma tentative d’envol, lestée par toutes mes rondeurs. Rondeurs ? Encore suis-je indulgente : graisse et peau tendue, devrais-je dire. Ne me parlez pas de régimes, de contrôle de soi, de patati, de patata, de privations, d’opérations diverses : je suis grosse, et rien ne peut y changer. Même si je me prive de tout, je « profite », et au mieux ma graisse fondue abandonne une peau relâchée et fripée. Je préfère encore être ronde, bien pleine, la peau bien tendue, que fripée ou avachie. »


Jacek est déjà contre moi. Ses mains retrouvent mon corps. Sa bouche retrouve mes lèvres.

Pourquoi répondre ? De toute façon il n’attend pas.

De débraillée, je passe au stade de dénudée. Il est d’une dextérité surprenante. Ma poitrine, libérée et exposée maintenant, forme deux bosses qui ne se tiennent pas trop mal et ne me fait pas honte. Sa bouche est partout. Il me suce les seins, déclenchant des frissons incontrôlés.

Mais il ne s’arrête pas là. C’est vrai que je ne résiste pas beaucoup et que même je l’aide en me soulevant lorsqu’il tire sur mon collant et retire ma petite culotte.

J’ai presque honte lorsqu’il la porte à son visage pour en respirer les effluves. Avec ma culotte, sa maîtresse, Axelle, pourrait en tailler cinq ou six strings, et encore garder du tissu pour un mouchoir. Mais il le fait avec tant de naturel et de plaisir que la grosse que je suis trouve un « champion » dans cet homme.



Que répondre ? « Oui », bien sûr. À quoi bon mentir dans ces circonstances ?

Il a alors cette proposition surprenante :



Je ne peux m’empêcher d’ajouter :



Alors Jacek me fait le plus beau des cadeaux. Celui que toute femme rêve de recevoir. Pour les « belles », elles sont très vite lassées de ce compliment. Mais nous, les moins belles, les quasiment moches, les grosses, savons le reconnaître :



Je ne peux que le regarder. Et s’il se moquait de moi ? Mais non, son visage est franc, ses yeux pétillent de me regarder. Mieux, je vois sa verge reprendre de la vigueur. Et c’est pour moi. C’est grâce à moi. Les autres, qui sont silencieux et écoutent, sont derrière son dos.

Son visage plonge entre mes cuisses. Mes jambons deviennent des muscles forts et volontaires pour lui laisser le passage. Sans hésiter, il trouve ma fente dans mes plis disgracieux. Je sursaute lorsque ses lèvres viennent se plaquer aux miennes. Il suce, lèche, aspire et ne revient à la surface que pour dire :



Pendant qu’il me suce, ses mains viennent prendre possession de mes seins. Ils sont à lui. Ils gonflent pour lui. Mes tétons sont des aiguilles que ses doigts roulent.

Je jouis. Une fois. Il continue, sans peur d’étouffer entre mes chairs. Je jouis à nouveau, alors qu’une main entière entre dans ma chatte sans difficulté et tourne à l’intérieur.

J’ai du mal à saisir son sexe, alors qu’il est à genoux devant moi, tel un adorateur d’Aphrodite. Il comprend mon envie, se soulève pour me le proposer. Je voudrais moi aussi lui donner du plaisir. Tirant sur le mandrin, je l’invite à venir debout sur le canapé, pour que je puisse le goûter.


Il me laisse le saisir entre mes lèvres. L’odeur est forte. Senteurs de transpiration, de latex, mais surtout senteur de sperme. Ce sperme qu’il a giclé sur les reins de mon amie en jets de moins en moins puissants, au point que les derniers sont restés sur les fesses, coulant dans le sillon et qu’il a cherché à étaler avec sa queue encore bandée.


J’aime sa semence d’homme. Ce goût âcre et indéfinissable que ma langue cherche entre gland et hampe, entre chair et peau. J’apprécie qu’il me laisse maîtresse de mon exploration et ne se conduise pas comme Phil tout à l’heure. Encore que je ne sois pas opposée à un peu de rudesse, surtout après ce que je viens de voir.


Je me fais un devoir de le pomper. Non, pas un devoir. Une gourmandise. Une gâterie. Une sucette. Un pompier. Une turlute. Une pipe.

Lécher le col roulé, c’est celle que je préfère. Mais en réalité le col roulé est maintenant bien au fond de ma gorge et ce sont les « valseuses » que je lèche, en réalité.

Il apprécie, mon admirateur. Il ne me refuse pas le plaisir de glisser un doigt humide dans son anus pour lui flatter la prostate. En général, la surprise passée, les hommes aiment cette approche singulière. Lui aussi. Je sens sa bite gonfler un peu plus dans ma gorge.


J’aime ce moment. Une queue dans la bouche, que la femme soit belle ou un boudin, c’est la qualité qui compte. Et moi, je sais assurer. Je ne joue pas les délicates : je prends ce que l’on me propose, ou bien je ne verrais jamais le bout d’un gland, si ce n’est pour une épilation.

Pour ce Jacek, je fais le grand jeu et je n’ai pas besoin de forcer mon talent. J’aime sa bite, tige dure, de bois d’homme, longue et grosse à la fois. Une queue d’homme. Un vrai.

Mais s’il apprécie, il veut aussi me donner du plaisir. Plus je le connais, plus je l’adore. Il n’est pas du genre à gicler dans votre gorge sans se préoccuper de votre plaisir. Non, il est du genre à…



Il entre en moi d’un coup. Déjà je le sens battre dans mon vagin. Il est impatient ; pourtant, je l’ai vu avec Axelle plus retenu. Le désir ? L’envie ? Déjà il s’active. Il me possède. Son gourdin brasse ma liqueur.

Je le retiens en plaçant mes mains sur ses fesses poilues. Je veux lui montrer un talent caché. Le résultat d’un travail assidu, après qu’un amant – plus indélicat que lui tu meurs – m’ait fait remarquer que mon vagin était un hangar si grand qu’il se sentait perdu. Je le masse de l’intérieur. Je sais contrôler mes muscles pour l’étreindre comme une multitude de petites mains qui s’activeraient sur sa queue.

Il reste immobile.



Derrière lui, les autres s’activent. Ils s’approchent. Axelle est juste à côté. Il me suffirait de tendre la main, pour…

C’est elle qui avance la sienne pour toucher un sein. Je tressaille, et elle le voit, à ce simple contact. « Oserais-je ? Mais que je suis conne, je suis en train de me faire baiser par un de ses amants, dans son sous-sol, sous les yeux de son mari et j’hésite ! »



C’est très naturellement qu’elle s’installe comme je voudrais. Et si elle aussi avait eu ce désir retenu ?

Sa chatte est sous mes yeux. Cette chatte que j’ai épilée, nettoyée, préparée pour ses amants et que je n’ai jamais osé toucher vraiment.

Ma bouche effleure ces plis magnifiques, ces petites rides si fines que son sexe paraît lisse, à peine signalé par les petites lèvres que je peux sentir sous les miennes. Et cette odeur ! Bien sûr, ce n’est pas celle de la crème grasse et parfumée que j’applique après mon intervention. Non, c’est une autre, plus forte, plus naturelle, plus sexuelle. Mélange de sueur, de jus de femme, de foutre d’homme qui suinte de l’orifice occupé par la queue de son mari. Peut-être même s’y joignent les sucs de Jacek.


Jacek que j’ai oublié mais qui se rappelle à moi. Il a repris son labour si chaud et fort. Sa bite m’occupe totalement, la preuve qu’un gourdin bien adapté est partout à l’aise.

Je suce, je lèche. Enfin j’ai accès au nirvana. Ma langue se transforme en serpent et pousse les chairs roses pour aller chercher tout ce qui peut couler. Je me délecte.

Chacune de mes mains est guidée vers une tige de chair. Phil et le mari m’abandonnent leur queue pour les branler.

« Branler ? Qui parle de branler ? »

Ils sont à moi. Tous. Ils sont tous à moi.

Je vais sucer cette chatte jusqu’à l’épuisement, jusqu’à ce qu’Axelle demande grâce. Et puis, lorsque Jacek aura joui, je vais baiser Phil, puis le mari. Après, après, je vais me faire prendre par le cul, par le con, par la bouche. Encore et encore…


Et s’il faut une morale à mon aventure, retenez que « Non-assistance à personne en danger » ne doit pas être confondu avec « Assistance à personne à baiser. »


À bon entendeur, salut !