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Temps de lecture estimé : 21 mn
04/07/14
Résumé:  Hubert est enfin libre toute une journée ; il décide de partir dans les dunes : il espère y faire des rencontres.
Critères:  hh hhh hbi hagé hépilé plage forêt nudisme hmast hdanus hsodo
Auteur : Biber33
Un après-midi d'été

Cela fait plusieurs jours qu’Hubert espère ne pas être dérangé de la journée. Enfin aujourd’hui c’est le cas. Malgré le temps gris qui laisse passer de temps en temps quelques rayons de soleil, Hubert prépare un petit sac à dos dans lequel il glisse une boîte en plastique étanche pleine de tranches de melon, un sandwich au jambon qu’il vient de confectionner, deux bouteilles d’eau glacée ; avant de refermer son sac, il y glisse un drap de bain roulé en boule. Dans une poche latérale du sac, quelques sachets de préservatifs rejoignent un livre de poche.

Avant cela, espérant une bonne rencontre, il s’est fait consciencieusement un lavement anal.


Avant d’éteindre son ordinateur, il jette un dernier coup d’œil à la météo qui ne prévoit pas de pluie. Un moment plus tard il s’arrête sur une place de parking en bordure de route face à un camping. Il vient juste de couper son moteur qu’une voiture vient se garer juste à côté. Alors qu’Hubert se saisit de son sac, deux hommes sortent de la voiture et se dirigent vers le coffre du véhicule dont ils retirent deux sacs à dos.

Posément Hubert ferme sa voiture et range ses clés dans une poche latérale du sac à dos avant de le charger sur ses épaules. Plus rapides, les deux hommes viennent de quitter le parking ; ils marchent sur le bord de la route en direction de la plage et précèdent Hubert de quelques pas. Arrivés au niveau d’un chemin qui semble s’enfoncer dans la forêt, les deux hommes s’arrêtent et semblent hésiter à l’emprunter. Hubert en profite pour les dépasser et s’engager sur le chemin d’un pas décidé.



Chemin faisant, Hubert apprend que l’un de ses compagnons de route est originaire du nord de la France et son ami de Belgique. Discrètement, il détaille les deux compères : le Belge est de taille moyenne, tout en rondeurs, jovial ; il fait penser au moine d’une publicité vantant un fromage. Son ami français est de même taille, mais par contre il ne présente aucun embonpoint. Avec amusement, Hubert pense à Laurel et Hardy. Tous deux semblent être quinquagénaires approchant la soixantaine.

Chemin faisant Hubert apprend que les deux amis avaient l’habitude de passer les vacances sur les plages de la mer du Nord, mais fatigués de passer une partie de leurs vacances à l’abri dans leurs caravanes et conseillés par un ami, ils ont choisi un camping près de Soulac.



C’est le gars du nord qui lui répond :



Ainsi, tout en marchant, Hubert apprend que le Belge s’appelle Marcel, son copain français Yves, et que les épouses sont tellement amies qu’elles ont été surprises par leurs époux dans une situation plus qu’équivoque. C’était il y a quelques années dans un camping du nord de la France ; elles avaient oublié de fermer la porte de la caravane, et les deux amis qui étaient partis faire une balade à vélo sont revenus beaucoup plus tôt que prévu à cause d’un problème de dérailleur. Arrivant à la caravane, ils ont été étonnés de voir la porte entrouverte et d’entendre comme des gémissements. S’approchant avec précaution sans faire de bruit, ils découvrent leurs épouses nues, tête-bêche, se léchant mutuellement la chatte en gémissant de plaisir.



Marcel ajoute :



Absorbé par les histoires de ses compagnons de route, Hubert ne réalise pas qu’à un moment donné il quitte le chemin principal pour un sentier qui serpente entre les pins rabougris, les ronciers et autres taillis. Spontanément, il a pris ce sentier qu’il a déjà emprunté plusieurs fois. Il le réalise quand ils sont obligés de marcher en file indienne à cause de la végétation envahissante.

Enfin le trio débouche sur le sommet d’une petite dune qui permet de voir juste en face l’océan derrière un dernier cordon de dunes. À gauche comme à droite, la vue s’étend sur plus d’un kilomètre, dévoilant un paysage assez chaotique fait d’espaces herbeux, de buissons où se mêlent épineux et pins rabougris aux formes tourmentées par le vent, quelques bosquets de jeunes pins tapis dans des creux entre deux monticules de sable. Derrière, à cent mètres, la barrière de la forêt landaise.


Hubert laisse quelques instants à ses compagnons de route pour admirer le paysage, puis il se dirige vers un creux en arrière de la dune protégé sur trois côtés par des taillis touffus. Tandis que ses deux amis continuent de contempler le paysage, Hubert se défait de son sac à dos, y récupère son drap de bain et l’étale sur le sol herbeux. Devant le regard interrogateur et indécis de Marcel, Hubert explique :



Voyant qu’Hubert se déshabille, Yves l’interroge :



Les deux hommes n’hésitent pas, et rapidement ils se débarrassent de leurs vêtements et les rangent dans leur sac à dos. Hubert constate que les deux hommes ont comme lui le bas-ventre et le sexe rasés. Il ne peut juger de la forme et de l’importance des sexes ; apparemment, sous le ventre rond de Marcel, la bite au repos a la même apparence que celle d’Hubert tandis que celle d’Yves s’apparente à un petit cylindre qui repose sur une belle paire de couilles.



Après avoir regardé Yves et Marcel s’éloigner, il termine sa petite installation en rangeant ses bouteilles d’eau glacée à l’ombre d’un buisson, puis allongé sur son drap de bain il commence la lecture du livre qu’il a sorti de son sac. De temps en temps il se lève pour voir si une activité humaine se manifeste dans les environs. Au bout d’une heure, comme rien ne se passe, il attaque ses tranches de melon puis il termine par son sandwich.

Après son frugal repas et un coup d’œil sur les alentours, il continue la lecture de son livre ; mais rapidement il est atteint de somnolence.


Il est sorti de sa léthargie par le craquement d’une branche sous le pas de quelqu’un. En tournant la tête, Hubert a juste le temps de voir passer derrière lui un homme nu de taille moyenne qui semble surpris de trouver quelqu’un allongé à cet endroit. Malgré tout, il poursuit son chemin et disparaît du champ de vision d’Hubert. Celui-ci se lève et aperçoit l’homme qui s’éloigne en empruntant un sentier presque invisible bordé d’arbustes et d’épineux qui débouche sur une aire sableuse qui marque le point culminant de la dune.


Arrivé sur le sable, l’homme se retourne et constate qu’il est observé par Hubert. L’homme, qui semble âgé d’une quarantaine d’années, fait encore quelques pas sur l’aire sableuse et, constatant qu’il est toujours observé, il porte la main à son sexe et commence lentement à se masturber. Voyant l’homme dans de bonnes dispositions, Hubert s’avance de quelques pas pour être complètement vu, et à son tour commence à se caresser la bite en signe d’invitation. Pourtant, l’homme ne semble pas disposé à revenir sur ses pas, si bien qu’Hubert se sent obligé d’aller à la rencontre du quidam et de s’avancer sur l’étroit sentier où il se fait griffer les cuisses par la végétation.


Arrivé à la hauteur de l’homme, Hubert prend en main la bite raide et commence à la masturber, mais l’homme ne cherche pas à rendre la pareille ; il se laisse branler en gémissant doucement. Lorsqu’Hubert se penche avec l’intention de prendre la queue dans la bouche, l’homme le repousse, refusant la fellation et n’acceptant que la masturbation. Hubert commence à être agacé par ce comportement et envisage de planter là le bonhomme quand, avec un gémissement plus fort que les autres, un jet de sperme jaillit de la bite masturbée. Hubert lâche aussitôt le cylindre de chair qui continue à expulser quelques jets de foutre. Puis sans rien dire, l’homme tourne les talons et disparaît derrière les buissons.

Dépité, la queue encore raide, Hubert rejoint son coin non sans avoir constaté l’absence de présence humaine dans les environs. Avant de se replonger dans son livre, il jette un dernier coup d’œil autour de lui.


Une ombre venant de la forêt attire son attention. Il voit alors un homme juché sur un vélo tout terrain slalomer entre les arbres et s’arrêter en bas de la dune. Le cycliste pose son vélo contre un arbre, prend la précaution de mettre un antivol à son VTT puis, avec un sac de sport rouge en bandoulière, il monte en direction du sommet de la dune. Arrivé en haut là où se trouvait quelques minutes auparavant l’éjaculateur précoce, le cycliste sort de son sac de sport une serviette de bain qu’il étale sur le sable, puis tranquillement il se débarrasse de ses vêtements, et dans le plus simple appareil il se couche sur son drap de bain.


Connaissant les lieux par cœur, Hubert emprunte un sentier dans les taillis qui l’oblige par moments à progresser courbé en deux à cause des branches basses qui surplombent la sente. En fin de compte il débouche sur une petite aire dégagée bordée sur trois côtés par des taillis et des arbustes. En s’avançant un peu, il voit l’homme allongé sur sa serviette à moins de dix mètres. Juste au moment où il s’avance encore un peu, le cycliste relève la tête et découvre la présence d’Hubert. Avant que ce dernier recule dans le couvert des taillis, l’homme a eu tout le loisir de le voir dans toute sa nudité.


À l’abri des regards, Hubert, avec quelques coups de poignet, allonge sa bite qui ne tarde pas à répondre à la sollicitation manuelle. Avec une queue en semi-érection, il décide de se remontrer. Cette fois-ci le cycliste est allongé sur le côté, attendant vraisemblablement l’apparition d’Hubert qui fait semblant de s’intéresser au paysage plutôt qu’à son voisin. Du coin de l’œil il le voit descendre sa main au niveau de son sexe et le caresser. Après un regard circulaire, Hubert en reculant disparaît de la vue de l’homme.


Après quelques instants d’attente à l’abri des regards qu’Hubert utilise pour rigidifier son vit et qu’il s’apprête à se remontrer, l’homme survient au détour du taillis. Sa serviette de bain à la main, il a la bite tendue à l’horizontale et, voyant la queue bandée d’Hubert, sans hésiter il s’avance pour la prendre en main. L’homme n’est pas très grand ; maigre mais musclé, il accuse malgré tout une bonne cinquantaine d’années. Son chibre est à l’image du bonhomme : pas très gros, pas très long, mais dur comme du bois.


Après quelques manipulations manuelles, l’homme se penche sur le vit tendu et l’embouche sans coup férir. L’action a été si rapide qu’Hubert n’a pas eu le loisir de prendre le vit du cycliste en main ; il a seulement la possibilité de pincer du bout des doigts les tétons de son fellateur dont la tête va-et-vient sur le vit de plus en plus dur. Au bout d’un moment, Hubert, soucieux de rendre la pareille, se baisse, obligeant l’homme à abandonner sa fellation ; comprenant l’intention de celui qu’il pompait, il se redresse, présentant ainsi sa queue à la bouche impatiente d’Hubert.


Cela faisait un bon moment qu’il n’avait pas eu une bite à sucer ; maintenant, il s’y emploie avec délectation, avalant presqu’entièrement le vit raide et noueux. Il joue de la langue, la faisant aller sur toute la longueur du pénis, massant la tige de chair et, pour le plus grand plaisir de son propriétaire, force l’entrée du méat avec la pointe de la langue. Au bout de quelques minutes, le cycliste repousse son fellateur pour plonger à nouveau sur le vit d’Hubert. Ainsi, pendant près de vingt minutes, en alternance les deux hommes se sucent la bite avec en prime des doigts qui s’aventurent dans la région anale, et même quelques pénétrations de l’index dans l’anus. Soudain, alors qu’Hubert pompe toujours avec le même entrain la pine du cycliste, celui-ci se retire brutalement de la bouche de son fellateur, et la seconde suivante il jouit bruyamment en maculant le sable à ses pieds de traînées de foutre.


Un moment après, ayant repris un peu ses esprits, il propose à Hubert de le finir à la main. Malgré sa bite raide et tendue, ce dernier décline l’offre et prend congé du cycliste qui le remercie chaleureusement de l’agréable moment passé à se sucer la bite. Hubert prend le chemin inverse qui le mène à son coin. Il est à la fois content du plaisir donné et reçu, mais un peu frustré de n’avoir pas joui. Mais il se dit que l’après-midi est loin d’être terminé et il sait, pour l’avoir observé à maintes reprises, que les occasions sont plus nombreuses à partir de seize heures.


Après avoir lu quelques pages de son livre, Hubert se lève pour inspecter les alentours ; il constate que le cycliste a disparu. Au loin, il distingue plusieurs silhouettes qui vont, qui viennent, mais aucune n’a l’air de vouloir se rapprocher. Un peu désœuvré, il décide de s’avancer en direction des silhouettes qu’il aperçoit au loin, espérant au détour d’un bosquet faire une bonne rencontre. Au bout d’une demi-heure, il commence à déchanter ; le peu de gens qu’il croise ne l’inspirent pas du tout : un vieux d’au moins soixante-quinze ans qui s’aidait d’une canne pour marcher, puis un gros qui sentait la transpiration à dix mètres, enfin un homme d’une soixantaine d’années avec un appareil génital surdimensionné.


Un peu dégoûté, il se dirige vers la dune qui surplombe la plage ; pendant un moment, il observe l’océan aussi calme qu’un lac, ce qui le décide à descendre sur la plage et, constatant la température agréable de l’eau, il décide de se baigner un moment. Un quart d’heure plus tard, il escalade la dune abrupte pour rejoindre son coin. Alors qu’il contourne un dernier buisson pour rejoindre sa serviette, il a la surprise de voir ses deux compagnons de route installés à côté de son drap de bain.



La discussion dérive ensuite sur des banalités : les ressources touristiques de la région, le temps, les loisirs. Une certaine gêne s’est installée, chacun ne sachant pas trop comment faire évoluer les choses quand soudain un bruit de branchages secoués les surprend. Hubert se lève promptement pour voir de quoi ou qui il s’agit ; débouchant de dessous un taillis, un jeune chien qui semble être un labrador s’invite au milieu du trio. Heureux de trouver de la compagnie, le chien lèche à grands coups de langue le visage de Marcel.



De très lointains appels attirent l’attention d’Hubert ; cela paraît provenir d’une silhouette qui se profile au sommet d’une dune. Marcel, qui regarde dans la même direction, annonce :



S’adressant aux deux hommes, Hubert demande :



En fouillant dans son sac, Marcel en retire un morceau de corde en nylon et le tend à son ami en précisant :



Hubert passe le morceau de corde autour du collier de l’animal et s’en va en direction de la silhouette féminine qui continue à appeler son chien. Cinq minutes plus tard, l’animal a retrouvé sa maîtresse et Hubert peut récupérer la corde de Marcel sous les remerciements de la dame. De retour à son coin, il a la surprise de voir ses deux amis allongés côte à côte sur le dos, les sacs à dos servant d’oreillers, et se masturbant mutuellement. Ce tableau a le don de faire instantanément grossir le vit d’Hubert.

Il découvre ainsi les bites de ses camarades en pleine érection : celle de Marcel a à peu près les mêmes dimensions que la sienne tant en longueur qu’en grosseur, tandis que celle d’Yves est nettement plus fine, mais semble aussi plus longue. Sa présence ne semble pas gêner outre mesure les deux hommes. Malgré tout, Yves demande :



Yves réagit le premier. Lâchant le sexe de son ami et se levant, il s’empare de la bite d’Hubert.



Satisfait de la tournure des événements, la bite d’Yves dans une main celle de Marcel qui vient de se lever dans l’autre, il se dit que l’après-midi est peut-être sauvé. Pendant un moment les trois hommes se branlent mutuellement, puis Hubert prend l’initiative de se pencher sur la pine d’Yves et de la prendre en bouche. Cette manœuvre l’oblige à lâcher la queue de Marcel, qui en profite pour pincer les tétons de son ami nordiste. Les gémissements émis par Yves traduisent son plaisir et sa jouissance.


Pendant quelques instants, Hubert suce avec tout son art la pine du nordiste ; sa langue en explore chaque millimètre carré, du méat aux couilles dépourvues de poils, puis en tournant un peu la tête il peut engouffrer dans sa bouche gourmande le chibre de Marcel. Pendant cette manœuvre il voit que ses deux amis, face à face, se triturent mutuellement les tétons. Le mandrin qu’il a maintenant en bouche occupe toute la cavité buccale ; la grosseur du vit l’oblige à écarter la mâchoire au maximum. Sa langue persiste à caresser le gland et le méat d’où perle une goutte de liquide translucide, vite recueillie par la langue véloce.


Au bout d’un moment, Marcel se dégage et, s’accroupissant à son tour, il gobe le chibre d’Hubert, lui arrachant un soupir de plaisir. A priori, ce n’est pas sa première fellation ; après avoir fait deux ou trois allers-retours sur presque toute la longueur du mandrin, sa langue lèche et masse le gros cylindre de chair ; elle cherche même à forcer l’entrée du méat, ce qui arrache des gémissements de bonheur à Hubert.


Pendant ce temps, Yves n’est pas resté inactif : il est passé derrière son nouvel ami et s’est collé à son dos ; ses doigts en forme de pinces commencent à presser et comprimer les tétons érigés de plaisir tandis que sa pine, coincée dans le sillon fessier d’Hubert, monte et descend dans la raie culière. Jamais Hubert n’a ressenti un tel plaisir. Sa grosse bite cajolée et pompée par une bouche gourmande pendant que ses tétons sont martyrisés et cette pine qui monte et descend entre ses fesses lui donnent envie d’aller plus loin.


Mais rapidement il sent qu’il va bientôt jouir, et voulant prolonger le plaisir il se dégage de l’emprise des deux hommes en s’accroupissant, et d’autorité il embouche la pine qui se déplaçait entre ses fesses. La tige est dure comme une barre de fer, contrastant avec la douceur de la peau. Pendant plusieurs minutes il se consacre uniquement à cette bite, la suçant, la pompant, la caressant de la langue, développant tout son savoir-faire pour l’amener aux portes du plaisir. Puis, sans transition, il tourne la tête pour emboucher le chibre de Marcel qu’il quitte quelques minutes plus tard lorsque lui aussi est sur le point de jouir.

Lorsqu’il se redresse, Marcel se baisse pour reprendre le mandrin en bouche tandis qu’Yves se recolle au dos de son nouvel ami et recommence à faire aller sa pine dans le sillon fessier. Alors qu’Hubert, en pleine extase, savoure ce que lui prodiguent ses deux compagnons, Yves lui chuchote à l’oreille :



Dans un état second, Hubert s’entend répondre :



Ceci dit, il s’accroupit une troisième fois et embouche la bite de Marcel qui vient de se redresser. Alors qu’il pompe avec tout son art le gros chibre, il voit Yves fouiller dans son sac et en ressortir un préservatif. Quelques secondes plus tard, il voit la pine encapuchonnée dans l’étui de caoutchouc.

Comme Marcel semble donner des signes d’éjaculation imminente, Hubert se redresse tandis que, comme dans un ballet bien réglé, son ami s’accroupit et embouche le gros chibre. Yves a repris sa position dans le dos d’Hubert, et tout en faisant monter et descendre sa pine encapuchonnée dans la raie culière il reprend le pincement des tétons de son ami.


L’excitation d’Hubert est à son comble ; il se sent prêt à franchir un nouveau cap : avoir une vraie bite dans le cul. Doucement, il repousse la tête de Marcel qui le pompe avec ferveur ; celui-ci se redresse mais cette fois-ci, au lieu de s’accroupir devant le mandrin, Hubert se penche en avant pour le prendre en bouche. Dans cette position, son anus se retrouve automatiquement face à la pine d’Yves. Celui-ci n’a plus qu’à avancer un peu son bassin pour que le gland de sa bite pénètre dans l’étroit conduit.

Hubert sent la tête de ce long cylindre de chair s’introduire et commencer à progresser dans son cul ; il est tout d’abord agréablement surpris avec quelle facilité la pénétration s’effectue, mais une brusque douleur le fait revenir sur cette constatation. Il interrompt en catastrophe sa fellation pour manifester sa douleur :



Une seconde fois, les protestations d’Hubert stoppent la pénétration de l’anus. Patient, Yves attend le temps nécessaire pour reprendre sa sodomie et enfin, après avoir perçu une légère résistance et le gémissement de douleur d’Hubert, son vit s’enfonce d’un seul trait dans l’étroit conduit. Sans attendre, maintenant qu’il a réussi à mettre la totalité de son dard dans le cul qu’il convoite, avec de lents mais impérieux mouvements il commence à aller et venir dans le cul d’Hubert.


Après avoir ressenti pour la seconde fois consécutive la douleur de la queue qui cherche à forcer son muscle anal, Hubert sent le dard soudain s’enfoncer au plus profond de ses entrailles sans ressentir plus de douleur. Mieux encore, la sensation de sentir ce membre qui commence à se mouvoir dans son fondement se transforme peu à peu en plaisir, et Hubert commence à le faire savoir à son ami qui l’encule par des grognements de contentement, malgré sa bouche occupée par le chibre de Marcel. Pourtant, à plusieurs reprises, pendant un instant il interrompt sa fellation pour encourager Yves.



Après avoir une fois de plus encouragé son enculeur, au moment où il veut reprendre sa fellation, Marcel se dérobe.



Et sans attendre les protestations de son fellateur, il se dirige vers son sac à dos pour y récupérer un préservatif. Le déplacement de Marcel vers son sac révèle à Hubert, juste à quelques mètres, la présence d’une autre personne. Sur le coup, il est surpris et amorce un mouvement réflexe pour se désolidariser de son enculeur ; mais celui-ci, ayant déjà repéré le nouveau venu, maintient et continue à sodomiser fermement Hubert.


Voyant que Marcel libère la place, l’inconnu s’avance de quelques pas et se dévoile entièrement aux yeux du sodomisé. En fait, il s’agit d’un tout jeune homme blond dont le teint hâlé sans marque disgracieuse trahit des séjours prolongés au soleil dans le plus simple appareil. Il est jeune, et même très jeune, dans les dix-huit ans, ce qui ne l’empêche pas de tenir à la main un pénis de taille respectable.


Au moment où Hubert, d’un signe de tête invite le jeune homme à s’approcher, dans un long hululement Yves s’est bloqué au fond du cul de son ami et déverse dans sa capote plusieurs jets de foutre. Il reste ainsi immobile un moment, savourant son orgasme puis lentement, la bite encore raide, il se retire de l’étroit boyau tandis que le jeune homme a rejoint le trio.

La place étant maintenant vacante, Marcel bouscule presque son copain pour à son tour investir le cul resté béant. Heureusement, sa précipitation s’arrête là, et c’est avec une certaine retenue qu’il commence à introduire son gros chibre dans l’anus grand ouvert. Le travail de la pine d’Yves a bien assoupli le sphincter car le braquemart de Marcel s’enfonce sans rencontrer de résistance particulière. Seul un gémissement de douleur vite étouffé marque le passage du gland au niveau du muscle anal. La totalité du gros vit occupe maintenant le cul d’Hubert, qui ne ressent maintenant qu’une impression de plénitude entre ses fesses. Lorsque Marcel commence à faire bouger son braquemart peu à peu, le vit frottant sur la prostate procure au sodomisé de plus en plus de jouissance.


Certainement intimidé par le trio, le jeune homme s’est avancé par à-coups à petits pas ; il est maintenant face à Hubert, la bite à quelques centimètres de son visage. Embroché jusqu’à la garde par Marcel, le sodomisé n’a plus qu’à ouvrir la bouche pour que, dans une ultime approche, la grosse bite juvénile soit absorbée par la bouche d’Hubert. Se retenant de pomper avec ardeur la jeune bite raide comme une barre de fer, craignant que le jeune homme ne puisse se retenir dans sa fougue juvénile, Hubert se contente de sucer le gros vit comme un sucre d’orge.


Contrairement à Yves, Marcel se contente de faire aller et venir lentement son mandrin dans l’anus qui l’accueille. Par contre, ses mouvements sont amples : il ressort presque entièrement son chibre du cul pour ensuite le réinvestir à fond d’un mouvement lent et régulier. Apparemment, il veut faire durer autant que possible cette sodomie.

Par contre le jeune homme est beaucoup moins patient ; jugeant la fellation trop timorée à son goût, il a pris la tête de son fellateur entre ses mains et lui baise la bouche avec de rapides coups de reins. Le résultat ne se fait pas attendre : avec un long « Yaaaa ! », le jeune Allemand déverse en jets puissants son foutre au fond de la gorge d’Hubert qui, pour ne pas étouffer, est obligé de déglutir le sperme qui lui remplit la bouche. Malgré tout, le jeune homme maintient la tête de son fellateur contre son pubis, et ce n’est que lorsque la bite qui vient de cracher commence à perdre de sa raideur qu’il consent à libérer la tête d’Hubert. Après avoir dit merci avec un fort accent germanique, il tourne les talons et disparaît derrière un buisson.


Marcel n’a pas modifié son rythme : avec la rigueur d’un métronome, son chibre entre et sort du cul du sodomisé ; pourtant, à son souffle de plus en plus court et saccadé, Hubert devine que le dénouement est proche. Lui-même ressent de plus en plus de plaisir à sentir la grosse bite qui va-et-vient dans son fondement, et instinctivement il porte sa main sur son chibre, qui sous l’effet de la jouissance est redevenu raide. Comme personne ne s’est occupé de sa bite, et ayant aussi l’envie de jouir, il commence à se branler d’une main ferme.


Sur le point de jouir, Marcel a sensiblement augmenté le rythme de sa sodomie ; sa respiration est de plus en plus hachée. Enfin, avec un long beuglement, avec des tremblements de tout son corps, acculé contre les fesses du sodomisé, il remplit le préservatif de son sperme.

C’est au moment où Marcel se retire qu’Hubert macule le sol à ses pieds de traînées de foutre et, épuisé d’avoir résisté aux assauts de ses nouveaux amis, le cul endolori, il tombe à genoux sur le sable. Ses acolytes ne sont pas en meilleure forme : étendus sur leurs draps de bains, le souffle court, ils tentent de récupérer. Marcel est le premier à parler :