n° 16308 | Fiche technique | 16864 caractères | 16864Temps de lecture estimé : 11 mn | 11/07/14 |
Résumé: Avant de rentrer au bercail, je m'arrête sur la route chez un couple bordelais... | ||||
Critères: fh extracon groscul vacances piscine amour fellation pénétratio | ||||
Auteur : Juliano Envoi mini-message |
On est début juillet, en matinée. Je reprends la route après avoir passé quinze jours au pays basque, histoire de me ressourcer un bout.
Avant de remonter sur Paname, je vais m’arrêter voir un couple de potes. Ce sont les amis de mon ex, et étant resté en contact avec eux, ils m’ont proposé de passer les voir. Lui, je ne le connais pas très bien, mais elle – Christine – est la meilleure amie de mon ex-femme, alors je l’ai côtoyée plus régulièrement à l’époque.
Quand je m’étais séparé de Rachel, on avait même fricoté un peu ensemble lors d’une soirée ; rien de bien particulier, un peu de tripotage et d’embrassades fougueuses. Et on s’était quitté vers deux plombes du mat’, sans avoir réellement consommé.
Maintenant, je n’y pense plus trop, mais à l’époque, je me la serais bien envoyée, la Christine. Elle faisait partie de mes fantasmes récurrents.
Bref, ils habitent depuis peu dans un charmant lotissement en banlieue cossue de Bordeaux. Ils ont une jolie petite baraque avec un beau jardin et une piscine.
C’est Jean qui vient m’ouvrir la porte, il me salue amicalement. Même si on ne se connaît pas bien, je trouve ce mec plutôt sympa. Il m’emmène à la cuisine, où Christine est en train de préparer un petit dîner de bienvenue.
Tout sourire, elle se pend à mon cou pour m’embrasser, je trouve cette attitude un peu cavalière mais ne dis rien. Elle est mignonne comme tout dans sa petite robe bleu marine à boutons, et ses sandalettes d’été.
On boit l’apéro, on discute. Ils partent en vacances dans une semaine, ils en ont bien besoin, ils ne l’ont pas volé, patati, patata.
Comme au préalable, ils m’ont proposé le gîte pour la nuit, je vais crécher là, et je partirai demain dans la journée, regagner mes pénates.
La soirée se passe bien, la viande est tendre, le rosé de saison bien frais, la tarte aux pommes succulente.
On est maintenant installé dans le coin salon. Je suis dans un petit fauteuil en cuir en face du jeune couple qui trône sur le canapé de l’autre côté de la table basse. On a quand même bien picolé, et on savoure un cognac gouleyant alors que Jean sort les cigarillos.
De temps à autre, j’observe le beau jeu de cuisses de Christine qui croise et décroise les jambes avec insouciance. À plusieurs reprises, j’entrevois sa petite culotte blanche. Je me demande même à un moment si elle ne le fait pas exprès, si elle n’est pas en train de gentiment m’allumer. Mais non, ce doit être le fruit de mon imagination, j’ai toujours les idées mal placées.
On discute jusqu’à deux plombes du mat’, et puis Jean me guide à ma chambre pour la nuit.
Je salue Christine d’un geste de la main, et le suis. Il me dit que demain, il part bosser tôt, mais que si je suis encore là vers treize heures, on pourra déjeuner ensemble avant que je file.
Le matin, je me lève assez tard, j’ai dormi comme un loir. J’enfile un bermuda, et file à la cuisine.
Une cafetière de café tiède trône sur la table, je m’en sers une bolée. Par la fenêtre, je jette un œil dans le jardin. Là, au bord de la piscine, j’aperçois Christine, allongée sur une chaise longue en train de prendre le soleil. Entre deux gorgées de café que je savoure, je la vois se lever lentement, s’étirer. J’ai une vue parfaite sur son beau cul et sa cambrure phénoménale. Elle porte un mini-bikini qui laisse ses formes bien s’exprimer. Elle est vraiment bien roulée, des seins lourds, une bonne paire de fesses bien épaisses, des hanches aguicheuses, et de belles jambes dorées. « Elle est quand même super mignonne cette Christine ! » me dis-je en me massant gentiment la tige. Elle entre doucement dans la piscine.
J’arrive sur la terrasse pour la saluer, entre deux brasses, elle me fait un grand sourire :
Dans la chambre, j’enfile un maillot de bain, et hop, je la rejoins dans le bassin.
L’eau est un peu fraîche, mais ça me réveille. On nage, on discute, on s’arrose, on déconne.
Puis elle sort de l’eau, lentement ; grimpant à l’échelle, elle me met pratiquement son magnifique cul sur le visage, je n’aurais qu’à me pencher pour lui embrasser la lune.
Elle essuie chaque parcelle de son corps avec application. Je reste un peu dans l’eau, le temps que ma trique dégonfle, elle me fait bander, Christine, faut que je me calme, et que j’arrête de reluquer son fessier comme un malpropre. Mes envies passées me reprennent, mais ce n’est pas sérieux, il est hors de question que j’entreprenne quoi que ce soit.
C’est une fois allongé à côté d’elle sur le transat que je l’entends dire :
Elle prend soudain ma main, sans attendre vraiment de réponse, me guide dans la chambre d’amis dans laquelle j’ai dormi, m’enlace à côté du lit. Puis elle me pousse sur le plumard, s’allonge sur moi, et m’embrasse à pleine bouche, me roule des patins sublimes tout en se frôlant à moi lentement, doucement, coquettement.
Elle se dégage un peu et commence à me masser la queue à travers le calbute tout en me mordillant le lobe de l’oreille. C’est divin. Je reste passif, je profite du moment, je savoure.
Elle me fait des dizaines de baisers dans le cou, sur le torse, les épaules. Elle descend, et m’embrasse le bidon, tout en pressant savoureusement ma bite qu’elle a maintenant sortie du caleçon. Ses lèvres ne sont plus qu’à quelques centimètres de mon chibre. La vue que j’ai pour l’instant, c’est sa tignasse brune et bouclée posée sur mon ventre. Je sens juste qu’elle me met de petits coups de langue sur le gland, qu’elle commence à me lécher la tige sur toute sa longueur, qu’elle s’attarde parfois sur mes couilles qu’elle lape doucement. Puis d’un coup, elle gobe toute ma queue, elle l’engouffre, pleine de gourmandise, entièrement dans sa bouche, mon gland vient buter dans le fond de sa gorge.
S’ensuit une magistrale pipe, elle me pompe frénétiquement, elle me suce comme une damnée, comme si la fin du monde était pour aujourd’hui. J’agrippe ses cheveux, et lui fais imprimer une cadence encore plus rapide, profitant de ce moment surréaliste (je n’aurais jamais pensé cette scène possible). Je jouis enfin dans sa gorge, elle avale goulûment, n’en perd pas une goutte.
À mon tour, je m’active, je lui enlève son bikini, je lui lèche le cou, les seins, le ventre, remonte, lui roule une pelle, puis redescends à la salle de jeu pour lui bouffer l’objet du désir. Elle gémit, elle glousse, je la lape avec délice, elle est trempée. Alors, je lèche, je titille, je lèche, je titille jusqu’à ce qu’elle arque, et jouisse bruyamment en s’agrippant à ma tignasse.
Ayant repris notre souffle, elle se met à me masturber de nouveau, je retrouve vite de la vigueur. Elle s’assied alors sur moi, et s’embroche sur ma tige. Elle remue lentement son bon gros cul, elle frétille du minou, ma queue entièrement en elle. Elle se penche sur moi, m’embrasse à pleine bouche, puis se redresse, prenant mes mains pour les poser sur ses gros seins. Je les pétris, les malaxe, pendant qu’elle s’agite sur moi. Puis j’attrape son cul à pleines phalanges, et la fourre plus vite, plus fort. Elle pousse de petits cris, ça m’excite, je la pilonne le plus puissamment possible. Après quelques longues minutes de baise frénétique, je gicle en elle, je lui envois une bonne dose de semence. Elle gémit, puis s’affale sur moi.
Il est midi trente, je prépare mon sac, tranquille, avant la boustifaille, avant l’arrivée de Jean. Elle revient alors me voir dans la chambre et me dit :
Je lui réponds que pour moi c’est OK, que si ça ne les dérange pas, je suis partant.
Elle m’embrasse sur la joue, me met une petite tape sur les fesses, et s’en retourne en cuisine.
Cet après-midi-là est épique : on a niqué au bord d’un lac, sur la banquette arrière de ma voiture.
Ensuite, on est retourné chez eux, je l’ai baisée sous la douche, au bord de la piscine, dans le jardin, sur la balançoire.
Franchement, une bien belle journée.
19 h. Jean rentre. Christine et moi, on est sur la terrasse en train de siroter l’apéro.
On dîne, Jean semble ravi que je reste encore ce soir avec eux. Je suis un peu gêné vis-à-vis de lui, je culpabilise, mais après tout, c’est elle qui m’a demandé de lui faire l’amour.
Même topo que la veille, bonne bouffe, digestif sur canapé, allumage discret.
Vers minuit, Jean nous dit qu’il est crevé, qu’il faut qu’il aille dormir. Il me propose de rester pour un barbecue le lendemain midi si j’ai envie de prolonger un peu (bien sûr que je veux bien, tu m’étonnes !).
Christine lui dit qu’elle le rejoint au lit dans cinq minutes, elle reste un peu avec moi pour discuter.
Il l’embrasse sur le front et monte au plumard.
Il n’a pas grimpé les escaliers depuis plus de dix minutes, qu’elle soulève sa robe, enlève sa culotte, et me la jette au visage en rigolant.
Elle rit :
Lentement, elle déboutonne intégralement sa robe-tablier, et l’ouvre, me livrant ainsi son corps nu.
« Et puis merde, amusons-nous, je ne peux pas résister à cette femme. »
Sur le fauteuil en face du canapé où elle se livre à une masturbation aguicheuse, je sors mon sexe du futal et commence à me le masser lentement. Elle passe sa langue sur ses lèvres, se les mordille en se doigtant. Elle ne quitte pas ma queue du regard. Elle se caresse lentement devant moi, avec une excitation et une indécence non dissimulées. Elle gémit tout doucement, puis d’un geste de l’index, me fait signe de m’approcher d’elle.
Je me lève, et reste planté là, debout, face à elle, un peu nigaud. Elle se redresse alors, et fait descendre avec douceur mon pantalon et mon caleçon jusqu’aux chevilles.
Je suis partagé entre la crainte d’être pris la main dans le sac, et l’excitation de vivre un moment inoubliable.
Doucement, elle soulève ma queue, et commence à me lécher les bijoux de famille. Elle les lape, les gobe à tour de rôle, les suçote. Quelle volupté. Je m’enflamme de désir. Elle me masse la tige pour qu’elle durcisse au maximum, et me dit soudain :
Elle s’allonge sur le canapé, et me guide entre ses cuisses. Ma queue entre de toute sa longueur dans son sexe chaud et humide. Nous faisons l’amour avec délice, sans nous presser, sans bruit, pendant de longues minutes. C’est un moment très érotique, très sensuel. Je savoure l’instant, j’aime sa peau, ses yeux, sa bouche, ses seins, ses fesses, son ventre, elle me rendrait nigaud cette Christine.
Je jouis en elle, cette fois avec douceur, délectation. On se bécote ensuite comme des ados, comme pour se dire mutuellement merci.
Puis elle monte se coucher après un dernier baiser savoureux.
Je dors peu cette nuit-là, je revois toutes les images de cette frénésie sexuelle qui s’est emparée de nous deux, j’attends avec impatience qu’on se retrouve à nouveau toute la matinée sans personne aux alentours. Je bous d’envie, je n’ai qu’un désir, la posséder à nouveau.
Au matin, j’entends la porte d’entrée qui claque, Jean vient de partir au boulot.
Quelques minutes s’écoulent alors, avant qu’elle ne me rejoigne en petite nuisette de soie, sur le grand lit confortable. Là, nous baisons à nouveau, profitant du large choix des positions qui s’offrent à nous. La matinée n’est que jouissance, plaisir, orgasme, explosion ; un feu d’artifice des sens.
Je la baise, elle me baise, nous nous baisons royalement.
C’est aux alentours de midi trente que Jean arrive. Christine et moi sommes dans la cuisine, en train de préparer les salades d’accompagnement. On boit tous les trois un verre de rosé bien frais. Jean sort dans le jardin préparer le barbecue, éveiller les braises.
Par la fenêtre de la cuisine, on le voit s’affairer. Je suis en train de couper un concombre, quand je sens derrière moi le souffle chaud de la belle. Puis sa main qui glisse sur mon bermuda, et s’empare de ma queue à travers la toile.
Je dis ça sans conviction, ce moment est d’une puissante intensité érotique. Elle sort mon sexe du caleçon, et commence à me masturber lentement.
Dehors, notre gaillard s’échine à faire prendre le feu pendant que sa petite femme me masse les boules, infatigable. J’avoue ne plus avoir trop de jus, la matinée a été éreintante, mais Christine met tellement d’application dans la masturbation de mon sexe, qu’elle le fait bien durcir à nouveau.
Elle se positionne alors devant le lavabo (d’où elle peut surveiller le jardin et son homme), se penche en avant, trousse sa jupe jusqu’au nombril, et se retourne en me disant :
Là, je me dis que je suis en train de vivre l’expérience la plus excitante de ma vie, et que, malgré le risque, je ne peux pas refuser un tel cadeau. Alors je me positionne derrière elle, place ma queue juste en face de cette merveilleuse chatte, et la pénètre sans plus attendre.
Christine, dans un petit cri étouffé, m’accueille avec générosité, les yeux rivés sur le barbecue.
On commence à faire l’amour à deux cents à l’heure (bah oui, le temps est compté), je la baise par derrière tel un Buzz l’Éclair, lui assène des coups de reins magistraux. Très vite, nous jouissons ensemble. Elle remonte sa culotte, et me dit, entre deux baisers :
Puis, après avoir repris notre souffle, nous rejoignons Jean dans le jardin pour mettre la table sur la terrasse.
« Bon, c’est pas tout ça, mais il va quand même falloir que je pense à reprendre la route après le déjeuner. »