n° 16316 | Fiche technique | 9476 caractères | 9476Temps de lecture estimé : 6 mn | 21/07/14 |
Résumé: Je file chercher du pain pour ma tribu... | ||||
Critères: fh extracon inconnu vacances amour fellation pénétratio | ||||
Auteur : Juliano Envoi mini-message |
C’est sympa comme village.
Il fait très chaud.
Le ciel est d’un bleu vertigineux.
Le soleil cogne comme un damné.
On est en plein cœur d’août.
Vacances, sérénité.
J’ai enfilé mon bermuda et un vieux tee-shirt, une paire de claquettes, et je descends la longue côte qui sépare la petite villa qu’on a louée du village ardéchois où nous nous ravitaillons.
Les autres sont restés prendre un bain de soleil au bord de la piscine.
Première étape, je me pose en terrasse du seul café du coin, et sirote une bière après avoir acheté mes clopes. Il est 12 h 10. Le bled est quasi-désert. Chaque gorgée de cette pression bien fraîche est un bonheur pour mon gosier.
À l’ombre, sous le store de la terrasse du rade, je me délecte de ces instants d’introspection.
Je savoure ce moment de solitude, on est quand même quatre couples dans la villa, et rien de tel qu’un bout de calme, qu’un peu d’isolement.
Il ne faut pas que j’oublie d’acheter le pain avant de remonter, si je ne veux pas me faire avoiner par la petite communauté.
Je traverse tout le village par la rue principale, ce n’est pas jour de marché, donc tout est très calme.
J’entre dans la boulangerie.
La cloche de la porte sonne.
Personne ne vient.
J’attends.
Trois, quatre minutes s’écoulent.
Je suis planté là, seul, au milieu des éclairs au café mal foutus et des croissants rassis, des chouquettes de bas étage et des pains vraiment perdus.
J’entends enfin que quelqu’un descendre les escaliers de l’arrière-boutique d’un pas empressé.
Arrive alors une superbe brune au sourire angevin.
Mais alors, quand je dis superbe, ce n’est pas mignonnette, assez jolie, ou pas mal. Non, vraiment, c’est une merveille, un avion de chasse, un bolide de compét’, un oiseau rare.
Mes jambes me portent à peine tellement son arrivée au milieu des brioches a émoustillé tout mon être. J’ai les guiboles qui vacillent, le cœur qui s’emballe, les pupilles qui frétillent. Elle a tout réveillé en une minute, même mon oiseau devient torpille-dans-bermuda-étroit.
Elle me gratifie d’un « bonjour » lumineux.
Je manque défaillir tellement elle est jolie.
Elle porte une minirobe archi-moulante couleur crème et des sandalettes à talons.
« Qu’est-ce que fout un canon pareil dans un trou aussi paumé ? »
Ah ouais, ça c’est sûr, au moment où elle me parle, je désire, je désire à fond la caisse même, je la désire de tout mon être !
Elle me jauge, sans mot dire, fait couler ma monnaie dans la soucoupe prévue à cet effet et dit :
Et sur ce, elle ferme la porte de la boulangerie à clé, m’entraîne dans la pièce du fond, et m’embrasse sur la joue en me serrant tendrement la main. Je n’ose bouger, pétrifié, comme un petit garçon qui s’est fait prendre la main dans le sac. Elle m’embrasse déjà à pleine bouche, baiser auquel je réponds timidement, osant à peine poser mes mains sur ses hanches fines et merveilleusement dessinées.
Elle me prend alors par les poignets, et les dirige sur son magnifique cul. Je frissonne de partout, j’ai la chair de poule. Je n’ai jamais été si emprunté avec une femme, elle m’intimide incroyablement.
J’effleure ses fesses, alors qu’elle est déjà en train de me malaxer la tige à travers le bermuda. Sa langue dans ma bouche est d’une douceur incroyable. Sa salive a un arrière-goût de sucre vanillé. Sans que j’aie eu le temps de crier gare, elle a déjà descendu mon froc et mon caleçon, et me caresse tendrement le chibre et les testicules.
Puis elle s’agenouille là, au milieu des fours, et enfourne d’un coup mon sexe dans sa bouche. Elle salive dessus copieusement, le gobe, folle de gourmandise. Je suis pétrifié, mais le plaisir est très intense ; je me retiens pour ne pas jouir, mais que c’est difficile avec cette femme sublime et inconnue qui me fait cadeau, sans retenue, d’une fichtre bonne fellation. Sa bouche est somptueuse, les lèvres sont épaisses et douces, elles enrobent merveilleusement mon sexe.
Elle se relève au bout de quelques minutes, et dit :
Elle me fait assoir cul nu sur une chaise plantée là, en plein milieu de la pièce. Elle soulève sa robe, baisse son string, et vient s’empaler à califourchon, sans plus attendre.
Je suis estomaqué, gêné, mais en même temps terriblement excité. J’ai l’impression d’être d’une passivité incroyable, de délicieusement subir. Elle monte et descend tout doucement sur mon sexe, tout en se mordillant les lèvres. Son antre est chaud et humide à souhait. Je suis en plein rêve.
J’étais venu pour une paire de baguettes, et me voilà en train de me faire besogner par la plus belle femme de la Terre dans une arrière-boutique. Elle accélère, me fait la pistonner plus vite, et me glisse à l’oreille :
Mais je n’ai rien fait moi ! Je suis là, timidement installé sur une chaise, à me faire quasi-violer par une femme sublime et sans retenue.
Ses fesses entre mes mains que j’agrippe, ma queue qui pilonne de longues minutes, nos langues qui s’emmêlent à nouveau. Je jouis, je jouis, je jouis…
Quelques minutes plus tard, elle m’ouvre la porte pour me libérer, elle m’embrasse une dernière fois, je suis dans la rue. Je sens les dernières gouttes de semence se répandre dans mon caleçon. J’allume une clope, et commence à remonter la côte qui mène à la villa. Je ne sais plus où je suis, complètement abasourdi par ce qu’il vient de m’arriver, j’ai les guiboles en coton.
« Merde ! J’ai laissé les baguettes là-bas ! Quel con ! »
Je souris béatement en pensant que je vais copieusement me faire insulter par ma bande.
Je leur dirai que le rideau de la boulangerie était tiré, congé hebdomadaire oblige…