Pour ça, y a pas de mystère : les mecs détectent tout de suite celles qui sucent avec plaisir et celles qui se forcent.

Alors pour vous, les filles, voilà quelques repères pratiques pour vous guider.

Sept synonymes en préambule :

– fellation ;

– pipe ;

– cunnilingus ;

– turlute ;

– pompier ;

– gâterie ;

– sucette.

Sept types de pipe (blowjob en anglais) :

1) Gâterie tantrique

C’est toi la fée de l’action. Votre partenaire s’abandonne au plaisir, c’est la pro qui s’affaire et qui bouge.

2) Fellation de dominatrice

C’est vous qui décidez du rythme, de l’action, de l’endroit où vous répandrez sa semence et, si tel est votre plaisir, de lui interdire l’éjaculation… Votre mec est totalement soumis, réduit à se faire téter la bite. Les Anglo-Saxons appellent cette pratique le milking ; explicitement, vous tirez le sperme comme on tire le lait.

3) Cunnilingus partagé

C’est typiquement le célèbre 69 ; mais pour vous, les filles, je recommande de faire stimuler votre diamant par un bon vibro. Confiez la manœuvre de l’instrument au propriétaire de la queue que vous avez en bouche.

Mon conseil :

Gémissez quand l’instrument est à l’endroit qui convient (le vibro Hitachi constitue une référence).

4) Turlute multiple

Vous sucez goulûment la queue des heureux complices dès qu’elles se présentent autour de votre bouche. Un fantasme répandu consiste, les yeux bandés, à deviner qui bande.

5) Pipe de soumise

C’est par excellence la pipe inratable : vous gardez toujours la bouche ouverte, vous laissez votre partenaire aller et venir.

6) Pompier en gorge profonde

Pratique rendue célèbre par le film Gorge Profonde (Deepthroat en version anglaise) et qui consiste à avaler le membre en le laissant descendre profondément dans la gorge. Vos gémissements provoquent alors des vibrations très appréciées des propriétaires de bite.

7) Sucette à la dérobée

Le lieu participe pleinement au jeu et augmente l’excitation. Les classiques sont la voiture, la plage, les ascenseurs, les cabines d’essayage…

Sept méthodes pour conclure et recueillir le sperme :

1) Sur la langue à l’entrée de la bouche, les lèvres autour du gland. Vous pouvez téter le gland durant l’éjaculation. Le sperme peut être avalé à chaque giclée. Vous pouvez aussi attendre la livraison complète et conserver chaque jet en bouche si vous ne craignez pas le goût.

2) Contre la joue : vous permet de ressentir la chaleur du liquide. Cela vous demandera un mouvement de langue et de ressentir le goût pour avaler ou pour recracher.

3) Au contraire de la technique précédente, gobez le sexe au maximum au fond de votre gorge au moment de l’éjaculation. Cette pratique limite le contact du sperme avec la langue ; si vous avalez, vous n’avez pas le goût. Cela nécessite de maîtriser la technique de la gorge profonde.

4) Dans la bouche grande ouverte, langue sortie : votre partenaire contrôle et dirige les jets de sa semence. Les hommes apprécient généralement de visualiser le résultat. Cette technique ne vous permet pas de contrôler les projections de sperme.

5) Hors de la bouche : sur le visage, les seins, une autre partie du corps. Le sperme provoque un picotement s’il est en contact avec les yeux, mais la gêne disparaît rapidement.

6) Dans le creux de vos mains : cette variante a un effet garanti si vous consentez à reprendre le liquide en bouche sans omettre de vous lécher les doigts.

7) Dans un récipient (verre, gobelet, soucoupe) : pour un usage immédiat ou pour conserver au frais.

Sept raisons d’avaler :

1) C’est un moyen de contraception éprouvé.

2) Le sperme est propre ; des études ont montré qu’il contient des éléments psychotropes contre la dépression, du fructose, de la vitamine C et d’autres oligo-éléments comme le zinc et autres vitamines.

3) C’est la cerise sur le gâteau qui permet de qualifier une femme de bonne fellatrice.

4) Écologique et économique : pas de mouchoir, pas d’autres besoins de nettoyage.

5) Un plaisir gustatif à conquérir… Qui n’a pas été rebuté dans sa jeunesse par la saveur d’un aliment ? Les filles, lancez vous : la déglutition s’est révélée excitante pour de nombreuses femmes ayant franchi le pas.

6) Cela prolonge le plaisir de l’homme après l’éjaculation. En effet, le sperme est important pour l’ego de celui qui l’offre ; un dégoût exacerbé pourrait à la longue générer une frustration.

7) En dehors des fellations pratiquées en préliminaire, avaler constitue l’aboutissement et la conclusion logique d’une fellation.

Sept conseils de pro :

1) Salivez ! Bavez abondamment, même. C’est normal, et ça fait partie du jeu. 80% des hommes apprécient les fils de salive, qu’ils associent à votre minou humide.

2) Soignez votre approche visuelle. Jouez le jeu de la caricature : le fantasme de la prostituée atteint le cœur des hommes les plus vertueux. Osez les postures, les accessoires ; ces artifices éprouvés sont à votre discrétion.

3) En pleine action, vous perdez le contrôle ? Rappelez-vous que même en devenant passive, vous resterez accueillante en gardant une bouche ouverte et en sortant votre langue. Laissez votre partenaire y poser sa bite, puis aller et venir.

4) Gémissez ! Hmmmmmm… Les vibrations du larynx en gorge profonde sont ressenties comme celles d’un sextoy. Ces sons vous donnent aussi une attitude stimulante, demandeuse et goulue.

5) À la fin de l’action, laissez à votre partenaire le temps d’apprécier le résultat de votre travail : gardez le sperme en bouche avant d’avaler ou de vous précipiter sur un Kleenex !

6) Pendant la prise en bouche, une règle d’or : évitez tout contact avec les dents ! Jouez avec votre langue en la passant sur le frein (situé sous le gland).

7) La fellation est un jeu pour un plaisir partagé. Hardi, meufs de tous âges et de toutes conditions : jouez pleinement, profitez, abusez, subissez le temps de votre partie ; devenez bourgeoise, infirmière, lapine, soubrette, soumise, chienne, putain… Soyez cochonnes !