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n° 16327Fiche technique8001 caractères8001
Temps de lecture estimé : 6 mn
26/07/14
Résumé:  Fantasme sur ma chef.
Critères:  masturbation fh collègues travail voir cunnilingu -totalsexe
Auteur : Pumaka  (homme qui aime voir les femmes)      Envoi mini-message
Ce jour-là

Je l’ai prise par la main et je la dirigeai vers une pièce plus tranquille. Il n’y avait personne sur le chantier aujourd’hui. Mais il se pouvait qu’à chaque instant un ouvrier arrive pour livrer des marchandises. Mais cette idée n’était pas importante à ce moment-là. Le chantier arrivait vers les finitions. Nous étions entrés dans la zone détente.


Elle se serra contre moi, me poussant un peu plus vers l’angle gauche de la pièce jusqu’à ce que nous nous trouvions sous la coupole. Les rayons de lumière inondaient son visage et mettaient en valeur ses formes féminines. Elle était un peu nerveuse mais aussi excitée que moi.


Je mis ma main sur sa jambe. Le tissu de son pantalon noir était si souple que lorsque je montais jusqu’à sa hanche je pouvais sentir ses muscles se contracter puis se détendre. Ma main termina son parcours sur sa fesse. La serrant encore plus contre moi. Je ne savais pas à ce moment si elle allait me gifler ; je continuais à la regarder. Elle était belle. Elle était moins distante que lors de nos dernières rencontres.


Notre relation a toujours été professionnelle. Étant son subalterne, je m’étais retenu ; mais depuis quelque temps, je m’étais surpris à lui prendre la main. Elle ne m’avait jamais repoussé, ni encouragé.


Je regardais ses yeux émeraude. Elle me regardait aussi. Le temps semblait s’arrêter. Je regardais sa bouche, son nez, sa joue. Je sentais le vent qui entrait dans la pièce souffler sur ses cheveux qui venaient caresser mon cou. Elle rompit ce long moment en baissant légèrement la tête, venant m’embrasser le cou. Elle ferma les yeux et vint chercher ma bouche.

Mon excitation montait en même temps que mon érection. Elle devait l’avoir sentie car elle ouvrit les yeux. Nos langues se mélangeaient quand elle reprit l’initiative en levant sa main qui me tenait, me lâchant, puis me reprenant, remontant ainsi ma main vers sa poitrine.


Elle avait des seins de bonne taille qui avaient toujours attiré mon regard. Elle devait l’avoir remarqué. Je saisis l’occasion pour prendre son sein gauche à pleine main, puis je glissai mes mains vers le bas du tee-shirt, et des deux mains j’entrepris de le lui enlever. Son tee-shirt noir laissait paraître un ventre musclé et elle leva les bras, me facilitant l’action.

Une fois enlevé, elle garda un instant les bras levés, et cette fois-ci c’est moi qui l’embrassai au cou. Mes mains s’en allaient vers les attaches de son soutien-gorge. Celui-ci était raffiné, blanc avec un tissu de motifs en relief. Il seyait à merveille à cette poitrine généreuse. En peu de temps il s’ouvrit ; elle passa les bretelles de ses épaules, libérant sa poitrine, laissant voir une ravissante blancheur et un volume parfait.


Sa peau était douce, et mes mains qui avaient retrouvé le chemin de sa poitrine tenaient à chaque bout le téton, qui se durcissait à mon contact. Le toucher me procurait un plaisir fou. Je me pris à les lécher chacun à leur tour, revenant à plusieurs fois. J’aimais son goût. Elle me caressait les cheveux. Fasciné par sa poitrine – il faut dire que je n’avais jamais vu une femme ayant un corps si parfait – je goûtais chaque centimètre avec délectation. Je me mis à en sucer un avec vigueur ; elle soupira de plaisir.

De son côté, elle se mit à enlever également mon tee-shirt à deux mains. Étant courbé, occupé par ces deux merveilles de la nature, elle le monta jusqu’à mes aisselles. Je fis un pas en arrière.


Je me relevai ; elle se tenait devant moi, beauté divine. Elle se mit à rattacher ses cheveux, laissant sa poitrine rougissante de mes baisers témoigner de sa beauté. Je me mis à la regarder dans les yeux pendant que j’enlevais mon pantalon ainsi que mes chaussures. Le sol était légèrement frais. Je lus dans son regard le plaisir de voir mon slip serré par mon sexe en érection. Elle se retourna, je posai mes mains sur ses hanches. J’observais son dos avec les marques de son soutien-gorge ; je glissai mes mains le long de ses reins. Elle se pencha en avant. Déboutonna son pantalon qui laissait paraître son slip blanc. Elle fit descendre son pantalon avec lenteur me laissant une vue sur son fessier bien galbé. Une fois bien penchée, j’en profitai pour lui descendre son slip tanga. Sa chair se fit visible. J’aperçus son sexe rasé, sa vulve légèrement gonflée. Suffisamment coquine, elle écarta les lèvres, faisant apparaître sa caverne déjà suintante.


Elle se releva, glissa de son pied son slip et son pantalon vers le coin de la pièce. Elle se retourna et je pus apercevoir une légère toison blonde sur son sexe rasé. Elle était raffinée dans chaque détail.


Je voulus enlever mon slip, lui montrer ma vigueur ; elle m’interrompit et c’est elle qui fit entrer sa main aux doigts fins dans mon slip, et d’une main victorieuse en sortit mon pénis gorgé de désir. Elle le prit à mi-longueur, descendit jusqu’à la hampe et serra avec force. De mon côté, je posai une main sur sa fesse. Elle me masturba. Elle était satisfaite de ma vigueur et me tira jusqu’au sauna. Elle souriait. À deux mains, je lui caressais la poitrine.


Arrivant au sauna, elle me lâcha le pénis et vint se mettre sur le banc. Elle écarta les jambes, laissant paraître sa légère toison d’or. L’invitation était trop belle. Je me penchai et lui léchai la chatte. Son nectar était un délice. De sa main gauche, elle tenait ses lèvres ouvertes et de l’autre elle me caressait les cheveux. Ma langue parcourait les lèvres et parfois entrait en partie dans cette caverne aux délices. Sa chatte rasée était bel et bien surmontée d’une ligne de poils blonds parfaitement rasés. Elle murmurait de plaisir. Une quantité de nectar plus importante sortant de son vagin m’indiqua qu’elle en prenait plaisir. Mes mains lui tenaient les jambes écartées.


Je me relevai ; de ma main, je saisis mon pénis et le dirigeai vers sa chatte dégoulinante. Je présentai le bout de mon gland, récupérant du jus de son hymen et rentrai d’un coup sec. Elle était chaude et je m’enfonçai jusqu’au fond. Elle ouvrit la bouche et se retint de crier. Je l’ai saisie par la hanche et commençai un va-et-vient de plus en plus rapide. Sa poitrine secouait en tout sens. Je me décidai à le lui en lécher un, puis l’embrassai avec passion. J’augmentai la cadence, mon sexe chauffa et mit le feu dans cette caverne. Elle pinça ses lèvres et ferma quelques secondes les yeux. Elle était belle. Ses joues devinrent plus rouges.


Je sortis d’elle, mon sexe dégoulinant de jus. Elle descendit d’une marche et vint lécher mon pénis. Elle fit le tour du bout, me donnant des décharges électriques jusqu’aux pieds. Puis elle le mit en bouche. Elle le suça tout en l’astiquant d’une main. Je lui caressais la poitrine. Le désir montait. Elle le sortit de sa bouche ; de ses deux mains serrant sa poitrine, je n’eus que le désir de glisser mon pénis entre ses seins. Après seulement deux ou trois allers-retours sur cette peau délicate, je me surpris à jouir. Mon sperme jaillit en grande quantité en plusieurs spasmes. Elle goûta avec délectation les gouttes de mon sperme se trouvant sur son visage et se mit à masser le reste de mon sperme se trouvant sur sa poitrine. Elle se releva avec sa poitrine luisante et m’embrassa. Je la regardai s’habiller. Après un instant, je fis de même. Elle profita du lavabo se trouvant dans la pièce pour remettre son maquillage et sa chevelure en place. Nous sommes sortis de cette pièce pour continuer notre visite.

En nous quittant, elle m’embrassa et d’une main me serra la fesse. Ce jour-là fut le début d’une relation différente entre nous.