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n° 16332Fiche technique15968 caractères15968
Temps de lecture estimé : 10 mn
29/07/14
Résumé:  Je continue la mise en forme de souvenirs glanés au long de mes voyages. Je n'ai jamais su si ce que me m'avait raconté cet homme croisé au soir d'un congrès était réel ou un fantasme. Mais je sais bien ce qu'il appréciait qu'on lui fasse...
Critères:  hh fhh hsoumis facial fellation double hdanus
Auteur : Eurydice Jenkins  (J'écris sur le sexe, j'aime écrire et j'aime le sexe.)            Envoi mini-message
Maîtresse Viviane

La question que je m’étais posée était « Combien de positions un homme peut-il adopter pour se faire doigter le derrière par sa maîtresse ? »

Et quand je dis maîtresse, je l’entends dans les deux sens : maîtresse parce que je la baisais en trompant mon épouse, et Maîtresse parce qu’avec elle j’avais décidé d’explorer les plaisirs de la soumission la plus complète.

Viviane avait donc décidé de répondre à ma question en me mettant le doigt dans le fondement dans toutes les positions possibles, les unes après les autres.

Elle avait découvert presque par hasard que j’étais assez sensible aux caresses très appuyées dans cette région de mon corps. Nous étions nus, couchés, et ses ongles s’étaient aventurés sur mes fesses. Ma réaction, la remontée soudaine de mes reins à la rencontre de ses doigts l’avait amusée. Elle avait laissé courir sa main entre les deux globes, s’était approchée de l’orifice, avait passé un doigt léger sur l’écrou et mon gémissement de plaisir lui avait ouvert des horizons.



Le « oui » enroué qui était sorti de ma gorge l’avait ravie.



Je m’étais alors allongé totalement sur le ventre, jambes et bras écartés, et j’avais relevé mon arrière-train.

Elle avait ri et m’avait pénétré un petit peu, un tout petit peu, du bout du doigt. Mais elle n’était pas allée plus loin, se réservant pour une autre fois et j’avais gémi de frustration lorsqu’elle était ressortie de moi. Mais elle ne s’était pas laissé fléchir, et c’est ce que j’aimais le plus dans notre relation.


À notre rencontre suivante, nous nous étions retrouvés dans l’un de ces hôtels dont les portes s’ouvrent par des digicodes, presque sans personnel. La chambre contenait les habituels deux lits, le lit double en bas, le lit simple au-dessus, une petite salle de bain dans un coin de la pièce, une télévision dans l’autre, et un lavabo surmonté d’un miroir dans le dernier.



Le regard noir qu’elle m’avait lancé à cet instant m’avait fait abandonner toute envie de lui poser d’autres questions. Elle commandait, j’obéissais, je n’avais pas à l’interroger !



J’avais donc retiré tous mes vêtements tandis qu’elle gardait les siens. Être nu devant une femme habillée a son charme. Mais aussi remet les gens à leur place : la Maîtresse, le soumis…



J’avais adopté la position.

Elle m’avait ainsi laissé quelques minutes, sans plus faire attention à moi, puis était arrivée derrière moi. J’avais senti sa main écarter mes fesses, un doigt chercher l’entrée, et elle s’était enfoncée vigoureusement dans mon cul.

J’avais gémi, presque crié sous la sensation double, un petit peu de douleur de me sentir élargi de force mais aussi mais surtout le plaisir délicieux de me sentir pénétré, possédé par son doigt, bien profondément.


Ma femme m’avait parfois, sur mon insistance, appliqué une telle caresse, mais ses doigts étaient fins et sa peur de me faire mal, peut-être aussi sa gêne de faire ce geste n’avaient jamais réussi à me satisfaire.

Là, j’étais comblé. Viviane ne voulait pas savoir si je ressentais de la douleur. Elle me prenait à son goût, à son envie. Et son doigt était exactement du diamètre de mon entrée.

Ma queue qui avait durci pendant l’attente s’était dressée, dure, presque instantanément aux premières approches mais avait aussi presque immédiatement commencé à dégorger son jus sans que je n’en aie plus le contrôle.



L’humiliation d’être ainsi dominé au point de connaître une éjaculation précoce était venue rajouter le point d’orgue à mon plaisir. Bien entendu, Viviane n’avait plus voulu que je la pénètre de ma queue ramollie et avait exigé que je la lèche jusqu’à l’orgasme, sachant bien entendu que je n’étais pas très fan de cette action. Que je n’appréciais pas avant de la connaître. Car depuis, la simple idée de devoir lui embrasser la fente par obligation m’excitait au plus haut point et me faisait goûter à sa mouille comme s’il s’agissait de la plus fine des liqueurs.

Car quand on a décidé d’obéir… on obéit, n’est-ce pas ?

Et elle m’avait ensuite récompensé en m’embrassant amoureusement, sa langue venant chercher sur mes lèvres les traces de ses jus qu’elle semblait apprécier au plus haut point. Je n’oserais jamais lui demander si elle appréciait aussi les femmes, mais cette seule idée de l’imaginer avec une partenaire consentante ou soumise multipliait mon plaisir…


À notre rencontre suivante, son imagination m’avait fait coucher sur le dos. Elle m’avait dit de remonter mes jambes en plaçant mes mains sous mes genoux et m’avait enfoncé son pouce entre les fesses ainsi bien écartées. Là, je n’avais pas joui, apprenant peu à peu à mieux me retenir. Satisfaite, elle m’avait libéré puis, accroupie sur moi, s’était servie de mon sexe dur bien planté en elle pour rechercher son propre plaisir. Lorsqu’elle eut joui, elle me permit de me toucher la queue jusqu’à ce que j’explose sous son regard amusé. Puis elle recueillit mon jus de la main et me la présenta à lécher. J’eus un recul, elle frotta sa paume sur mon visage, étalant les sucs encore chauds puis me saisit les bourses à pleine main. La menace était claire, alors j’ouvris la bouche et, de la langue, je léchais la main aimée de la Maîtresse qui savait si bien alterner douceur et autorité.


Arriva enfin l’occasion sublime par laquelle ma Maîtresse fit de moi son objet, son esclave, et me permit d’atteindre la sommité du plaisir.

Ce jour-là, nous étions chez elle, un honneur, une première ! Elle était satisfaite de son servant, suffisamment pour lui permettre d’accéder au saint des saints, sa chambre.

Et j’étais là, à quatre pattes sur la moquette, nu, le cul tourné vers le haut, et je sentais son doigt qui me fouillait par derrière.



En moins de deux secondes, elle s’était assise devant moi, jambes écartées, sa magnifique chatte totalement épilée et déjà gonflée devant mes yeux.

Mais soudain tout mon corps gela. Qui dont pénétrait mes fesses, puisque Viviane était devant moi à m’offrir sa fente ?

Elle rit.



Le doigt dans mon fondement était compétent, il entrait et sortait, m’écartait un peu la rondelle, pénétrait juste ce qu’il fallait pour me caresser l’intérieur…



Je décollai ma bouche quelques secondes de ses lèvres intimes pour lui répondre :



Je détournai la tête.

C’était un homme qui se tenait derrière moi, l’une de ses mains posée sur mes fesses, écartant les globes, et l’autre, un doigt tendu, me pénétrant.

Ma queue bandée s’effondra. J’essayai de me relever, mais ma Maîtresse fut inflexible



Mais bientôt elle se fatigua, alors elle décida de changer les choses, de rendre la situation plus plaisante… pour elle.



Elle avait raison. À notre dernière rencontre, elle m’avait si bien traité le cul que j’avais de nouveau joui hors de propos. Elle était assise au bord du lit, moi debout devant elle, la queue tendue, presque au niveau de sa bouche. Elle avait saisi mon gland quelques instant entre ses lèvres, m’avait un peu léché, mais, avant de me faire jouir, m’avait dit d’écarter les jambes. Alors elle avait glissé sa main entre mes cuisses et, en remontant, m’avait pénétré de son majeur.

La regarder dans les yeux, me dominant ainsi, alors que je ressentais tant de plaisir était fabuleux. Alors elle avait déposé un léger baiser sur la pointe de mon sexe, sur l’orifice, là où apparaissait la première goutte translucide, et je jouis comme un animal, ne pouvant me retenir, frottant ma queue durcie sur son visage.

Elle ferma les yeux et supporta l’offense sans un mot. Et alors que, calmé, je commençais à me répandre en excuses, elle ne prononça que quelques mots :



Et je dus nettoyer tout son visage avec ma langue et mes lèvres, réabsorbant tout mon jus. Puis, satisfaite, elle m’annonça qu’un jour elle me ferait payer ce manquement aux convenances.

Le jour était venu. Elle me fit m’agenouiller devant cet autre homme. Je ne voyais plus que cette queue dressée devant mes yeux. Je me doutais un peu de ce qui m’attendait mais j’avais encore un espoir d’y échapper.

Mais Viviane était beaucoup plus maligne que moi. Elle ne voulait plus m’y obliger : elle voulait que je le fasse seul…

Alors elle s’agenouilla à côté de moi, me saisit la queue, se mit à me branler et me souffla à l’oreille :



Je sus à l’instant même qu’elle me disait la vérité. Ma femme était vraiment revenue la veille apparemment épuisée. Et elle s’était jetée sous la douche, comme si elle venait de passer trois heures dans une académie de gymnastique. Et le soir, elle avait refusé toute approche de ma part…



Aucun doute, c’était bien ma femme. Le plaisir de savoir qu’elle avait couché avec ma Maîtresse combattait la déception de constater que contrairement à ses promesses répétées, elle ne m’avait pas raconté son expérience. Pourtant, elle me l’avait promis…

Mais l’idée de l’imaginer écartelée sur ce même lit, jointe à la pression de la main de Viviane sur ma queue emporta bientôt toute résistance. La queue devant moi m’attirait. Je me penchais peu à peu.



J’ouvris les lèvres et j’engloutis le mandrin. Pour la première fois de ma vie je tenais le gland d’un autre homme dans ma bouche. Et je savais ce que sucer veut dire… Perdu dans un brouillard de sexe, je le pompais à la force de mes joues, de ma langue, cherchant à lui donner un maximum de plaisir. J’appréhendais autant que je désirais sentir le flot âcre se déverser dans ma bouche.

Mais quand il jouit, je ne pus avaler comme je me l’étais promis. C’était trop pour une première fois et je laissai le sperme ressortir de ma bouche, par vagues, au rythme où crachait sa queue tandis qu’il gémissait de plaisir et que j’entendais, au loin, la voix de ma Maîtresse me dire :



Bien entendu, ma queue à moi avait joui elle aussi, presque simultanément, et Viviane ne perdit pas l’occasion de parfaire ma formation en ramenant de grosses gouttes de plaisir jusqu’à ma bouche, et à me forcer de les lécher.



Et j’avalai…

Ensuite ce fut plus simple. Elle avait atteint ce qu’elle voulait. Elle attendit que nous ayons tous les deux repris un peu de forme, alors elle fit notre nouvel ami se coucher sur le dos, le chevaucha et s’empala sur lui, puis elle m’ordonna de venir la posséder par derrière. Ce que je fis, pénétrant ses fesses avec douceur puis, à sa demande, avec plus de force. Elle gémit de me sentir bien enfoncé en elle.


Mon sexe frottait contre celui de mon partenaire masculin au travers de la fine membrane qui séparait les deux orifices de la femme entièrement possédée. Elle suçait la langue de l’autre homme pour se sentir bien pleine, puis elle se dégagea, nous ordonna de nous embrasser et ce fut lorsqu’elle vit nos deux bouches se joindre et nos langues d’hommes s’emmêler qu’elle se mit à jouir.

Alors tous les deux, emportés, nous la remplîmes simultanément de nos jus.

Puis elle nous libéra.

Je ne revis jamais l’autre homme.


La semaine suivante, Viviane amena ma femme dans son lit et la baisa alors que j’étais caché dans une armoire. Je n’avais pas le droit de me caresser et je dus m’en repartir, après que ma femme ait quitté les lieux, avec dans le sexe une tension presque douloureuse, sous le regard ironique de ma Maîtresse et avec l’ordre de me branler en fantasmant sur un homme.

Ce que je fis, bien entendu.


Depuis, je vis heureux avec ma femme avec qui je partage le plaisir de la soumission à notre Maîtresse commune. Car Viviane nous a fait révéler notre secret l’un à l’autre et se sert de nous pour son plaisir… et le nôtre.

Elle forme maintenant le projet de nous faire avoir un amant commun.

Je suis impatient de le connaître…