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n° 16348Fiche technique57844 caractères57844
Temps de lecture estimé : 33 mn
08/08/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Paris, pendant les vacances, est le lieu rêvé pour draguer les femmes que le travail oblige à rester seules alors que leur famille se dore au soleil. Privilège des femmes actives.
Critères:  fhh ffh 2couples fplusag couple inconnu sexshop boitenuit miroir fellation cunnilingu sandwich hsodo exercice
Auteur : Viona
À nous la liberté !

Petite note de l’auteur pour le corps plus que respectable des Pompiers de Paris :


Toute la partie de mon texte qui fait appel à ces professionnels n’est que pure invention et fantasme, bien que je leur souhaite de telles aventures ; bien sûr, en dehors des heures de service !



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Le monde a bien changé et certains ne s’en sont pas rendu compte.

Les femmes ont envahi le monde du travail, et en plus de leurs compétences s’investissent beaucoup, au point qu’elles accèdent à des postes de responsabilité sans qu’elles abandonnent leur fonction de mère de famille.


Mais qui dit responsabilités dit difficultés pour gérer son absence du travail, surtout pendant les longues vacances scolaires de l’été. Alors tout le monde y met du sien.

Les mères célibataires confient leurs enfants à de la famille, parents et colonies de vacances.

Les femmes mariées s’arrangent aussi avec la famille, mais le mari contribue aussi à l’organisation. Souvent le couple ne conserve que quelques jours de vacances en commun afin que le reste du temps l’autre puisse garder les enfants.


Le résultat, c’est que Paris, en juillet et août, est peuplé de femmes seules. Si les mères célibataires sont habituées à cet état, les autres – femmes mariées ou seulement compagnes – se retrouvent dans une situation qu’elles avaient oubliée. Personne qui attend à la maison. En plus, avec le portable, elles peuvent appeler ou se faire appeler de n’importe où.

Bien sûr, la grande, très grande majorité ne change pas vraiment ses habitudes. Oh, peut-être un ciné, un resto avec une amie ou seule. Elles bossent encore plus, retardant le moment de rentrer chez elles alors que la maison est vide. Les enfants leur manquent. Les maris aussi, certainement. Et si un feu se déclare dans leur ventre, il y a maintenant tant de jouets sexuels qui peuvent les satisfaire sans chercher ailleurs. Les plus coquines peuvent même se faire une liaison vidéo Skype avec leur mari et se caresser mutuellement face à face.

Mais les autres, la toute petite minorité qui se redécouvre libre, qui remarque le regard des hommes alors que la chaleur – eh oui, il peut faire chaud chez nous – leur a fait choisir cette petite robe qu’elles gardent habituellement pour le bord de mer.


Et moi, je suis là. Si le reste de l’année la plupart de mes rencontres se passent grâce aux sites où hommes et femmes se branchent, l’été je redeviens chasseur, séducteur. Les rencontres rapides où chacun sait pourquoi il est là, c’est bien ; mais le seul suspens est « Est-ce un bon coup ? » Mais dans la drague, le plaisir commence aux premières paroles échangées, à la recherche de l’intonation de la voix, du regard qui ne fuit pas et qui est un encouragement.

Celles que je préfère, ce sont les femmes mûres, bourgeoises ou avec une bonne éducation. Si je remporte le gros lot, c’est toujours un moment extraordinaire lorsque la femme réservée, tout en retenue, lâche les vannes de sa sexualité et cherche son plaisir.


Tenez, voyez Charlotte. Elle est là tranquillement assise, un livre à la main, sur ces chaises si particulières du Jardin du Luxembourg. Il est 19 heures ; le soleil est encore fort, mais elle le recherche, le chemisier sage légèrement déboutonné et la jupe remontée pour se découvrir à mi-cuisses. Elle tranche devant ces hommes et ces femmes, touristes ou Parisiens qui concourent à qui aura la tenue la plus légère.

Je suis avec Marine. Marine, c’est une rencontre « Net » avec qui je drague quelquefois. Elle est bi et aime bien m’accompagner. Sa présence est un plus non négligeable, car un couple est toujours plus rassurant pour celles qui ont perdu l’habitude de la liberté.

Moi, je reste en retrait, et c’est Marine qui va au contact. Je suis trop loin, mais je connais les grandes lignes de sa technique.



La femme lève la tête, découvre une jeune femme qui la dérange dans sa lecture. Mais Marine est une belle blonde, correctement habillée, même si ses formes sont bien visibles sous son polo et son short serré. Elle est rassurée : ce n’est pas une de ces jeunes étrangères qui vous importunent et cherchent à détourner votre attention pour vous voler.



La femme accepte.



Voilà, c’est parti.



La femme sourit. En une phrase, Marine vient, par ce compliment indirect, de remettre la lectrice « sur le marché ». Une jeunette la trouve belle ! Mieux : le mot « cul » ramène les choses au niveau fondamental, le sexe.

Elles parlent. Le lien est établi. Marine la fait parler, essayant d’en savoir un peu plus. Surtout, elle considère la femme comme une amie, une confidente, oubliant la différence d’âge, n’hésitant pas à parler d’amants, de sexualité, de ce copain qui doit arriver et qui est un amant merveilleux.

Eh oui, un peu de publicité ne nuit pas.


Lorsqu’elle pense que c’est bon, elle s’arrange pour me faire un signe.

J’arrive. Enlace ma copine. Fais l’homme galant qui demande si sa voisine est une amie, etc., etc.

Moi aussi je mets la femme, Charlotte, « en valeur ». Je cherche son regard, me laisse surprendre alors que je glisse mes yeux dans son décolleté ou au plus haut des cuisses découvertes. Enfin, grand seigneur, j’invite les deux au restaurant, « petit coin de paradis, sympa, dans le quartier des halles ».

Charlotte refuse, bien sûr : « Je vais vous déranger, patati, patata… »

Marine plaisante : « Charlotte, ne me laissez pas seule avec ce satyre. Regardez-le : il ne pense qu’à une chose. Nous ne serons pas trop de deux… »

La phrase est assez équivoque pour être interprétée.

J’insiste : « Ne l’écoutez pas, Charlotte, mais venez. Vraiment, vous me feriez plaisir. » et j’accompagne ces paroles d’un sourire et d’un regard, de ceux qu’un homme réserve à la femme qu’il veut conquérir.


Le repas est simple – surtout ne pas chercher à éblouir une plus riche que soi – mais arrosé. Il fait nuit depuis longtemps lorsque nous sortons du bar à vin. La rue Saint-Denis est juste là. Charlotte est cul et chemise avec Marine. Pendant tout le repas, j’ai frotté sa cuisse contre la mienne, et par moments j’ai même posé une main sans qu’elle ne s’offusque.

Nous l’entraînons dans un sex-shop.



Nous parcourons les allées. Les femmes rient de tous les gadgets exposés, regardant les clients, et elle s’étonne que des couples se promènent pour des achats. Je lui fais visiter une cabine individuelle et une autre pour couple.



Il suffit de monter à l’étage. J’ai, depuis le bar à vin – moment où je suis persuadé que Charlotte est dans le bon trip – réservé une chambre à thème. Il ne restait que Palais des glaces. Le thème me va très bien.

En entrant, Charlotte s’extasie de la déco et de tous ces miroirs. Lorsque je pousse la porte, elle comprend que c’est le moment de prendre une décision. Rien n’est joué ; nous avons déjà eu des échecs retentissants avec des femmes qui jouaient la bourgeoise affranchie et qui se dégonflaient au dernier moment. Marine lui tient la main ; elle doit se sentir protégée.


Il ne faut jamais sous-estimer une femme. Souvent, sur le site Revebebe je lis des récits où un mari, un amant, un compagnon organise, en cachette, des scénarios pour « libérer » sa femme. Improbable, ou alors ils sont tombés sur une femme vraiment innocente. Elles savent, j’en suis certain, et suivent derrière leur visage masqué les tentatives maladroites et prévisibles de ces hommes lourds et patauds.

Tout à l’heure, je demanderai à Charlotte à partir de quel moment elle a découvert notre approche, mais aussi depuis quand elle a pris sa décision. Vous serez étonnés de sa réponse. Mais il reste toujours le risque d’un « sursaut » de dernier moment.



Mais dans cette chambre, tourner le dos ne veut rien dire. Les miroirs sont des révélateurs parfaits.

Personne ne bouge. J’entre dans la douche et lorsque je reviens dans la chambre, nu et curieux, j’y découvre le doux résultat de ces heures de préparation : Marine enlace Charlotte, elles s’embrassent. Charmant spectacle qui me procure un début d’érection. Je m’approche et viens me plaquer contre la femme. Moi aussi je l’embrasse, dans le creux de l’oreille, le cou alors que mes mains se saisissent de ses hanches bien charnues. Elle frissonne et ne se dérobe pas lorsque ma verge dressée se plaque contre ses fesses.


Maintenant, Marine se détache de notre partenaire. Elle va diminuer l’éclairage. Une seule lampe de chevet suffit à nous éclairer et renvoyer nos images à l’infini. Elle revient, et lentement commence l’effeuillage de notre proie. Bouton après bouton le chemisier s’entrouvre, libérant un soutien-gorge d’une blancheur éclatante dont le fin tissu moule la poitrine. C’est moi qui le dégrafe par le petit crochet du dos, faisant remonter mes mains sur la peau moite. Charlotte, les bras le long du corps, nous laisse la dénuder. Sa poitrine est splendide, obus fièrement dressés que la pesanteur ou le relâchement des chairs n’a pas atteints. Ou plutôt que la main du chirurgien a redressés et magnifiés pour notre plus grand plaisir.

Ainsi notre chère Charlotte s’est fait refaire les seins, preuve de l’attention qu’elle prête à son corps. Je ne peux me retenir de venir m’en saisir et de sentir le galbe parfait avec cette pointe qui me chatouille le creux de la main.

Elle gémit. Pendant que Marine s’agenouille pour faire tomber la jupe, Charlotte prend vie et enlève le polo de sa nouvelle amie. Quelques instants plus tard elles sont face à face, attachées par leur bouche gourmande, frottant leurs seins et leur pubis alors que moi je reste observateur, la queue maintenant raide comme un piquet dardé entre les fesses de la femme.



C’est vrai que la chaleur de la journée a fait respirer les corps. Elles me quittent. Je ne suis pas inquiet, la douche est trop petite pour tenir à deux. Elles reviennent, ruisselantes, sourire aux lèvres.

Marine pousse doucement la femme vers le lit et l’y fait asseoir, juste à côté de moi. Sous les yeux de Charlotte, ma copine vient me sucer mais n’oublie pas la femme et glisse une main entre ses cuisses.

Marine est une gourmande et la bite ne lui fait pas peur. Son envie est patente, et la voir me pomper est aussi bon à sentir qu’à voir. La femme ne la quitte pas des yeux, suivant cette tête qui monte et descend sur mon pieu. Mais elle m’abandonne pour saisir une main de Charlotte et lui faire se saisir du mandrin abandonné.


Marine suce maintenant notre conquête qui s’est allongée pour profiter de cette langue, des lèvres et des doigts de celle qui la lutine. La main me branle doucement et va aussi me palper les couilles. De temps en temps, elle la porte à ses lèvres pour ajouter de la salive et toujours garder ma queue grasse qui respire à chaque mouvement lorsqu’elle tire la peau pour couvrir et découvrir mon gland. Elle sait y faire. Combien de queues cette bourgeoise a-t-elle branlées ? Combien d’hommes l’ont ramonée ?

C’est tout le plaisir de la découverte.


Marine s’est redressée et est venue chevaucher Charlotte, lui donnant son minou à lécher. La main m’abandonne pour aller se placer sur les fesses de la cavalière et la guider.

Et les femmes ? Cette bourgeoise a-t-elle eu des aventures lesbiennes ? En tout cas, elle n’est pas perturbée par cette demande car Marine semble apprécier.


Moi, je me lève, attrape une capote pour en recouvrir ma bite bien dure et tendue. Elle est le résultat frappant de toute cette situation, bien plus excitante qu’une rencontre de cul programmée.

Charlotte écarte les cuisses dès qu’elle me sent. Je glisse dans une grotte soyeuse et humide, et entreprends aussitôt de la ramoner. Il faut éteindre rapidement l’incendie dans nos trois corps. Nous aurons tout le temps pour d’autres jeux après, plus délicats, plus réfléchis.

Putain que c’est bon ! Elle est ouverte, et ma queue bouge dans un océan de liquide. Le bruit de mon flux et reflux couvre la délicate attaque de la langue dans le minou et sur le bouton.

Je la bourre un long moment, et manifestement le plaisir que je lui procure est reporté sur Marine. Elle a les yeux fermés, toute concentrée sur son plaisir. Je sais que, pour elle, aucune queue d’homme n’est capable de lui procurer cette lente montée de jouissance que lui apportent les caresses d’une femme. Pourtant elle n’est pas la dernière à se faire mettre avec entrain.


Moi, mon plaisir est aussi dans les positions. C’est puéril et rempli de clichés, je sais, mais j’adore prendre un bourgeoise en levrette, cette position qui véhicule tant de fantasmes. Bien sûr que dans les beaux appartements ils sont comme tout le monde, et le sexe est mieux partagé que l’argent. Mais tout de même…


Je fais comprendre à Marine mon envie. Elle va se coucher un peu plus loin ; je retourne la femme qui rampe spontanément vers les cuisses de sa nouvelle maîtresse et replonge à l’envi pour parfaire son œuvre. Moi je suis, et mon dard retrouve le chemin de cette chatte, que je réalise seulement maintenant bien lisse et épilée. La coquine ! Elle nous a bien dit que son mari est en vacances avec les enfants depuis quinze jours, et ce que j’ai vu c’est une chatte et un cul tout propres et sûrement épilés depuis très peu.

Pour qui ces attentions ? Si cela se trouve, elle se fait baiser tous les jours par un amant attitré, ou mieux par des hommes qu’elle drague. Je vais lui demander plus tard, lorsque son con sera brûlé par ma bite qui va la ramoner longuement.



Putain que c’est bon ! Quoi de plus beau que ces paroles crues et vulgaires dans la bouche d’une femme que vous imaginez « Responsable Marketing », toujours tirée à quatre épingles, avec mari et enfants biens sous tous rapports et pour qui le mot « zut » en public doit être une injure ?

Mieux, cette vulgarité est suivie d’un geste sans équivoque. Des mains qui viennent se saisir de ses fesses pour en ouvrir le sillon et m’offrir une rondelle déjà entrouverte par la traction.



Vous voyez ! L’autre côté du décor. Je suis certain qu’elle ne doit pas parler à son mari de cette façon. À son amant officiel ? Pas sûr. Mais à un mec de passage…

J’adore obéir à ce type d’ordre. En réalité, je ne l’encule pas vraiment à sec. Marine lui a déjà léché le cul, et ma queue est luisante de mouille. Par contre je l’enfile sans délicatesse, d’un coup sec. Ma queue est si raide que je n’ai pas besoin de la maintenir.



Et ce n’est pas fini. Je l’astique bien. Sortant et entrant chaque fois pour bourrer ce cul dont l’œillet se transforme toujours plus en un trou bâillant, obscène, mais si bandant.

Charlotte ne cesse de gémir, accompagnant chacune de mes poussées par un cri qui s’étouffe entre les cuisses de Marine. Marine qui maintient fermement le visage contre sa chatte et qui jouit de ces caresses.


J’ai rempli mon contrat. Lorsque je me retire pour enlever la capote et balancer ma purée sur les reins luisants de sueur, j’abandonne un cul qui suinte la jouissance et un trou qui semble figé pour l’éternité en un gouffre sans fond.


Je pense déjà à la suite. Je sais que dans la table de nuit des objets sont disponibles ; et si je ne trouve pas ce que je veux, il suffit de passer un coup de fil à la réception. Évidemment, dans le sex-shop à l’étage inférieur il y a l’embarras du choix.

Je me vois bien éjaculer dans cette bouche si policée alors que le cul et le con vont être pris par des godes.

Aussi…



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Tous les Parisiens les connaissent. Les bals des Pompiers du 13 et 14 juillet sont des institutions très prisées, en particulier par la population féminine.

Pourquoi ?

Pour moi, deux raisons principales.

La première, c’est l’attrait de l’uniforme. En effet s’y côtoient les soldats du feu avec les militaires, surtout le 14 au soir, alors qu’ils ont participé au défilé.

La seconde, c’est la sécurité. Ces bals sont extrêmement bien encadrés et rares sont les incidents, harcèlements divers dont les femmes seules peuvent être victimes.


Messieurs, vous qui regardez le feu d’artifice avec vos enfants sur la plage, avez-vous pensé que pendant que vous, oui vous, vous sentez coupables de regarder le décolleté ou la trace d’un string sur la femme seule avec ses enfants qui sourient aux vôtres, la vôtre de femme est peut-être sur la grande échelle en train de se faire honorer par un, deux, trois – voire plus si affinités – soldats du feu dont les lances éclaboussent la robe que justement vous lui aviez offerte afin qu’elle se sente jeune et séduisante ?

Vous n’avez pas idée du nombre de capotes que la voirie ramasse le lendemain, du nombre de robes, jupes, chemisiers qui passent chez le teinturier avec ce mot d’excuse si mignon : « Je ne sais pas avec quoi j’ai pu me tacher. »

Mais, heureusement pour le civil que je suis, les uniformes ne sont pas si nombreux, ou ceux qui les portent au goût de certaines. Mon œil aiguisé sait reconnaître celles qui résistent ou ne trouvent pas chaussure à leur pied.


Casernes du centre de Paris. Lieu classieux où la population est naturellement sélectionnée. Que du beau linge. Une police discrète sélectionne la population. « Tenue correcte exigée. »

Seules ou à deux, elles font leur marché. Je remarque une blonde qui passe de bras en bras. Elle change de partenaire à chaque fois. Tout mon art est dans ce mouvement discret qui me fait me retrouver face à elle, lui donnant l’impression de me choisir. Car c’est très important de donner le change. Humblement, je m’avance pour l’inviter



Tout est dit. Elle m’accorde ce qu’elle croit être une faveur. Le jeu commence. Jeu du chat et de la souris. Chacun joue son rôle. Les apparences sont respectées, car malgré la libération des mœurs, les femmes de sa génération – la cinquantaine entamée – n’ont pas pour habitude de draguer ostensiblement. Je fais tout pour la séduire : danse, conversation, un véritable chevalier servant, pas avare de compliments. Mais elle me résiste. Je vois bien que mes efforts sont vains et qu’elle regarde ailleurs. Elle regarde les autres couples. C’est un peu frustrant, mais il ne faut craindre l’échec dans ce que je fais.

Soudain, je comprends. Elle ne regarde pas n’importe qui : elle s’attarde sur un couple, lui pompier en tenue, déjà bien en main par une petite brune plantureuse qui s’accroche à son cou. C’est vrai que ces hommes qui portent l’uniforme d’une unité d’élite respirent la virilité. Ils véhiculent tous les fantasmes, et celui-ci particulièrement. Il fait une tête de plus que la majorité des hommes présents et sa carrure est en proportion.



Je la tire de sa rêverie mais elle acquiesce.



J’insiste :



Et plus discrètement, je susurre à son oreille :



Elle s’écarte de moi, surprise par cette remarque osée, mais mon sourire tout de franchise la rassure.



La musique s’arrête. Je pense que mes chances sont nulles avec cette femme. Pourtant je la sentais bien. Mais ce que je vois me donne une idée.



Sans vraiment écouter sa réponse, je me précipite. J’arrive à me placer à côté du pompier qui fait la queue, sa propre cavalière attendant et le couvant des yeux un peu plus loin.



Ma question le surprend, mais il ne voit aucune malice dans mon regard.



Il regarde dans la direction où la femme m’attend. J’ajoute, en me penchant vers son oreille :



Il me regarde tout en réfléchissant. C’est vrai : qu’a-t-il à perdre ?



Le tutoiement scelle notre accord.

De retour vers ma cavalière, je surveille le couple. Quelques minutes passent, puis ils commencent à bouger alors que le pompier regarde ostensiblement vers nous.

Je prends la femme par la main et je les suis.



Sa résistance faiblit. J’ajoute :



L’homme nous entraîne vers une petite porte sur le côté de la caserne. Nous nous glissons derrière eux en refermant doucement. Une suite de couloirs, un escalier, un palier et ils disparaissent par une porte, là encore laissée entrouverte derrière eux.

Comme deux voleurs, nous regardons. C’est une salle de sport. L’homme n’a pas allumé, mais les grandes vitres laissent largement passer assez de lumière pour que nous les voyions un peu plus loin.


Ils sont déjà en train de se déshabiller, faisant concours du plus rapide. La brune gagne, faisant glisser sa culotte alors que l’homme en est toujours au pantalon, la faute à ses lourdes chaussures. Alors que sa verge apparaît au grand jour, elle trouve déjà en face d’elle une bouche pulpeuse habillée de rouge à lèvres d’un rouge vif et brillant. Quelques secondes de bisous mouillés et le sexe se dresse déjà pour être pompé par la femme. C’est une gourmande et elle s’applique. Si elle ne lui fait pas une vraie gorge profonde, elle en prend assez dans sa gorge pour voir ses joues et son cou se gonfler par la sucette magique. Le reste de la hampe est branlée doucement alors que les belles couilles sont palpées et flattées.


À ce petit jeu, l’homme se laisse faire un long moment mais pourtant il extrait une capote de sa vareuse pour la donner à la femme qui comprend le message et revêt délicatement le pieu luisant de sa protection.

Elle se redresse, face à lui. Nus, la différence de gabarit est encore plus impressionnante. La fille paraît toute petite et fluette devant ce corps d’homme grand et musclé, affichant des muscles manifestement entretenus et aguerris. D’ailleurs le pompier se saisit d’elle telle un mannequin d’entraînement, la soulève pour la plaquer contre son torse. Elle s’accroche à son cou, passe les cuisses autour de sa taille, permettant à l’homme de placer maintenant ses mains sous ses fesses.


La suite est déjà écrite, mais pourtant magnifique à voir. La queue qui se dresse fièrement contre le pubis de l’homme mérite parfaitement le qualificatif de pieu, au-dessus duquel les fesses de la femme laissent encore passer la lumière. Mais là aussi l’obscurité se fait, nous montrant si besoin était que le mouvement descendant provoque le contact. La femme accompagne l’introduction d’un gémissement qui ne cesse que lorsque la bite disparaît entièrement, nous montrant le spectacle étrange des fesses de la femme avec des couilles comme une excroissance étrange et saugrenue.


L’homme se met en marche. Ses mains sous les fesses ne sont plus que des guides rassurants pour la femme enchâssée au plus profond de son vagin et toujours accrochée des bras et des jambes autour de son amant. En quelques pas il atteint ce que je devine être un tapis de course sur lequel il se place, toujours sa cavalière avec lui.

Alors commence ce que je n’aurais pas cru possible, mélangeant l’exploit sportif et l’exploit sexuel. Il commence à marcher, d’abord lentement, puis de plus en plus vite jusqu’à ce qu’il atteigne une petite foulée.

C’est trop surprenant, et j’entraîne ma propre cavalière dans la salle pour nous rapprocher. À quelques pas, l’homme nous voit et nous fait un clin d’œil. Sa partenaire est déjà dans son trip et, les yeux fermés, est toute entière concentrée sur les sensations que cette position si particulière doit lui procurer. Chaque foulée est une secousse que le couple peut amortir ou amplifier avec ses mains.


Je bande comme un âne, et un regard sur ma voisine me montre qu’elle est fascinée par le spectacle. Juste à côté de moi, une table. J’entraîne ma cavalière qui ne quitte pas des yeux le couple et se laisse pousser pour venir s’appuyer contre le bord. Je me place derrière elle et entreprends de la déshabiller sans qu’elle refuse ; au contraire, presque machinalement, elle me facilite la tâche.

Elle est maintenant presque allongée sur le ventre, uniquement appuyée sur les bras pour ne pas perdre une miette de ce qui se passe en face d’elle, d’autant que la femme ne cesse de pousser des petits cris. En une seconde je libère ma queue et la protège d’une capote.

Un instant j’embrasse du regard l’étendue de la scène. Ce couple qui s’active. Ce cul de bourgeoise qu’elle m’offre et que je vois très légèrement bouger comme si elle aussi ressentait la queue du pompier la bourrer. Mais c’est ma queue que je lui apporte. D’un doigt je vérifie – mais j’en aurais mis ma bite à couper que c’était le cas – que le con est humide. J’y glisse ma pointe, pousse, pousse et pénètre dans la grotte secrète de cette Parisienne, digne représentante de ces femmes actives. Je suis accueilli par un long frisson, et un instant elle détourne les yeux du couple pour me dire :



Je m’active, montrant tout mon art, baisant ce vagin bourgeois, caressant les fesses en n’hésitant pas à donner quelques petites claques qui la font sursauter mais pas refuser, guidant sa main afin qu’elle caresse son petit bouton, m’accrochant à ses seins et à ses hanches alors que je glisse en elle comme dans un pot de crème.


La cavalière du pompier ne se sent plus de jouissance. Elle se penche en arrière, lâchant le cou puissant pour venir s’appuyer sur la barre de maintien. Elle hurle son plaisir alors que l’homme contrôle la possession en allongeant ou pas la foulée. C’est fou. Dantesque. Ils vont se casser les reins, mais heureusement elle s’agrippe à nouveau à lui, laissant sa jouissance se dissiper lentement.

Il arrête de courir, ralentit sa marche. Le tapis stoppe. Il en descend, retrouvant la terre ferme pour se diriger vers nous. La femme nous découvre en pleine action, ma partenaire balayée par mes avancées, s’accrochant à la table.

Le couple regarde. Ils sont juste de l’autre côté de la table, toujours chevillés.

Lui se penche, et délicatement place sa cavalière dans la même position que ma bourgeoise, mais à l’opposé. D’un mouvement il réinvestit la chatte un instant libérée et commence aussi son travail de baise.

La position est savoureuse : chaque femme a sous les yeux les fesses de l’autre ainsi que la queue qui disparaît et ressort régulièrement.


Un long moment, nous les baisons et sans même y penser adoptons le même rythme. Les deux femmes gémissent à l’unisson, et c’est bon de les entendre. Ma bourgeoise se lâche et ne cesse de m’encourager. Son ton est populaire, vulgaire, et j’adore. Ma queue la bourre de plus en plus vite et s’enfile profondément entre les fesses qu’elle cambre pour venir à sa rencontre.

À côté, la femme n’en peut plus de cumuler les jouissances, et le pompier donne des signes de faiblesse, poussant les derniers coups dans un corps relâché et épuisé.


Il se retire pour enlever la capote, sans doute pour se libérer sur les reins de sa conquête, mais la mienne que le plaisir submerge crie « Donne, donne ! » La surprise passée, l’homme dirige alors sa queue vers le visage de ma bourgeoise qui se tend vers elle. Et alors qu’une telle perversité m’excite et me fait jouir, la femme accueille sur son visage et dans sa bouche ouverte ce que la lance d’un pompier bien chaud peut cracher sous pression.


Quelques minutes plus tard, notre homme raccompagne sa conquête à la porte de la caserne. Lorsqu’il revient dans la pièce où la bourgeoise et moi sommes restés, nous savons tous les trois que la nuit ne fait que commencer. Avant de descendre, il m’a discrètement demandé s’il revenait avec un ami. J’ai répondu « Plus tard » car moi aussi je veux goûter de nouveau à ce que cette femme peut nous offrir.



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Mais rien n’est jamais identique. Il existe des contre-exemples. Tenez, Vanessa. Ah, Vanessa !

Un lundi soir pourri. Je vais rentrer bredouille. C’est vrai qu’il pleut, mais tout de même, où sont passées les femmes ? Elles devraient toutes être dehors, même celles dont le mari n’est pas en vacances. Un soir de match de foot, de coupe du monde s’il vous plaît, les mecs sont tous devant leur télé.



Je ne l’ai pas vue ni entendue venir, perdu dans mes pensées moroses. La terrasse est quasiment vide ; seuls quelques touristes m’accompagnent dans mon vice et fument tranquillement bien à l’abri de l’averse. Pourtant elle ne passe pas particulièrement inaperçue dans ce bar-tabac populaire. Grande, mince, les cheveux courts à la garçonne, avec une robe toute simple mais que l’on sent de marque. Robe noire sur peau sombre, car c’est une noire.



Bien sûr, je lui en donne. Mais que fait une femme comme elle ici ? Un instant, je pense que c’est une call-girl ou une escort, mais ce n’est pas l’endroit où elle va pouvoir trouver un client assez riche pour se la payer. Pas de doute que ses tarifs soient au max.



Bon prince, je lui propose de lui payer un coup. Après tout, on verra bien. Du fait elle s’installe à ma table et nous commençons à bavarder.

Elle s’est pris la tête avec son mari et est partie sans rien, même pas les clés. Une « histoire de femme » mais n’a pas voulu m’en dire plus. Elle me questionne aussi. Le temps passe. Doucement, sa jambe vient se frotter à la mienne. C’est incroyable, je me fais draguer… Mieux, une main se pose sur ma cuisse et remonte. Mais soudain elle se lève.



Dans la rue, je passe naturellement mes mains autour de ses épaules. Elle se laisse aller, penche sa tête contre moi.



Pas une seconde elle n’hésite et me répond :



Je m’étonne.



Et elle m’entraîne avec un argument frappant. Sa main me caresse les fesses. Après tout, qu’est-ce que je risque ? Je suis bien assez fort pour me défendre, d’autant que dans ses confidences elle m’a parlé d’un vieux mari.

Elle sonne à la porte cochère d’un immeuble Haussmann.



Ascenseur. Dernier étage. Une seule porte sur le palier. Nouvelle sonnette. Il ouvre. La regarde, me voit.



C’est tout ce qu’il dit en reculant pour nous laisser passer.



Il me tend la main comme à une connaissance. Je réponds, par automatisme, tout en constatant le saugrenu de cette situation.

Il n’est pas si vieux que cela : la cinquantaine peut-être ; mais c’est vrai que comparé à la jeunesse de Vanessa, elle peut le dire vieux. Il est en peignoir, de soie s’il vous plaît, pantalon coordonné, pieds nus sur le parquet de chêne.

Elle entre dans le salon, s’affale dans le canapé, tape sur le tissu à côté d’elle pour me montrer ma place.



Je note le tutoiement, mais surtout le ton employé. Le mari ne bronche pas et disparaît pour revenir quelques minutes plus tard, des coupes et une bouteille à la main. Pendant son absence, Vanessa n’est pas restée inactive et s’est emparée de mes lèvres tout en poussant une main aventureuse entre mes cuisses. Lorsqu’il revient, l’homme ne semble pas surpris de retrouver sa femme sur moi.

Je comprends le trip de ce couple. Mari candauliste ou mari soumis, au choix. C’est la première fois que je vais vivre cela et suis impatient de la suite.


Nous buvons, et Vanessa continue de me flatter l’entrecuisse tout en regardant son mari. Celui-ci s’installe dans un fauteuil comme si c’était un grand classique pour lui. Sa femme s’occupe de moi. Veste, chemise, pantalon, slip, tout ne fait que passer rapidement entre ses mains. Elle découvre mon sexe déjà bien raide, excité par cette situation particulière. Comme si elle avait toujours fait ça, elle s’agenouille et m’enfourne sans réticence, verge pourtant chargée des odeurs de la journée.


Le mari n’a d’yeux que pour elle. Il la regarde, amant passif mais heureux de voir sa femme sucer un autre.

Que m’importe. Les rôles ont changé, et c’est bien agréable de se sentir la proie et non pas le chasseur. Il suffit de se laisser faire. Et elle suce bien, bordel ! Ses lèvres roses sont la porte d’un fourreau délicieux, vivant, suçant, léchant, aspirant mon bâton noueux. Sa peau noire tranche sur mon ventre de Parisien qui n’a pas encore profité du soleil. Elle s’active lentement et bruyamment. Nul doute que les bruits de sa bouche qui m’inonde de salive sont destinés au mari qui attend dans son fauteuil, mais dont une main a disparu sous son peignoir. Monsieur doit se branler au spectacle de sa femme pompant un inconnu dans sa propre maison.

Elle se lève, l’appelle.



Il s’exécute, et aussitôt sa verge en érection se montre. Elle s’en saisit, le branle.



Il obéit et descend la simple fermeture Éclair qui la libère. Elle est nue. Aucune lingerie. Elle va draguer les mecs sans rien sous sa robe. Une sorte de mise en condition, j’imagine, afin de pouvoir montrer un aperçu à sa proie si celle-ci hésite.



Il s’agenouille et la lèche.



En deux pas il est vers moi. Sans que je ne réagisse, totalement fasciné par la scène, l’homme se saisit de ma queue avec deux doigts et remplace les lèvres pulpeuses de sa femme par les siennes, minces et fines. Mais si je ferme les yeux, la bouche est gourmande et pas réticente de cette punition. Au contraire, il s’active comme si cela lui plaisait. Jamais je ne m’étais fait sucer par un homme, même un travelo, non pas par refus, mais parce qu’aucune occasion ne s’est présentée.

Même le regard qu’il me lance est excitant.



Il l’ouvre, et toujours obéissant déroule le fin latex jusqu’à la base de ma hampe. Sans autre ordre, il se lève pour céder la place à sa femme. Celle-ci vient me chevaucher, face à moi, et s’enfourne la queue préparée par son mari dans une chatte grasse et humide.


Je suis normalement monté. Je profite de cette remarque pour rassurer les hommes qui s’inquiètent de leur taille, se jugeant trop petits par rapport à leurs amis sous la douche, ou pire, aux étalons dans les vidéos. Croyez-en mon expérience : la taille n’est rien. Par contre, la queue doit être bien dure, et surtout être résistante pour ne jouir qu’une fois la femme satisfaite.


Elle est assise, bien à fond, et je peux maintenant regarder cette femme qui m’a dragué. Fine et svelte, la robe le laissait entrevoir. Les seins généreux et fermes avec des aréoles encore plus sombres sont de toute beauté. Mais le plus beau, le plus délicat, c’est cette peau que mes mains découvrent aux hanches alors que mon regard la parcourt. Une peau noire comme la nuit mais dont le grain est comme de la soie, douce et lisse.


Seules les hanches bougent, décrivant une danse délicieuse qui masse ma queue dans un vagin étroit. Je promène mes mains sur son corps, y traçant des sillons de chair de poule et de frissons que tout homme aime déclencher.

C’est une amoureuse. Ce n’est pas une figurante qui ne répond à la demande de son mari que pour lui faire plaisir. Elle aime cela. Je le sens, je le vois. Sa poitrine se soulève au rythme d’une respiration rapide alors qu’aucun effort ne le demande. C’est juste de l’excitation. Ses seins sont des œuvres d’art, et les tétons des pointes aussi larges que longues. Une paume de la main suffit à les faire vivre. Je vais me redresser pour aller cueillir ces fruits avec mes lèvres, mais c’est elle qui s’allonge sur moi, toujours rivée à mon mandrin.



Il est juste à quelques pas, se repaissant de la femme s’embrochant sur ma queue. Il n’a rien du mari soumis, et son propre dard le précède. Je le vois se placer derrière elle, ouvrir de ses mains le sillon fessier pour y guider sa pointe. Il la promène, cherchant certainement à s’humidifier de sa propre salive abandonnée il y a quelques instants. Son gland touche mes bourses dans sa quête, puis je sens une tension. Il guide maintenant sa queue sur l’anus et pousse de façon continue. Le cul est forcé et le gland vient se heurter à mon propre mandrin.

La respiration de Vanessa me souffle de l’air chaud dans le cou. Elle halète comme une femme qui accouche. Mais ici ce n’est pas un bébé qui sort, mais une bite qui rampe dans son cul, se frottant à la mienne qu’elle repousse pour se frayer un passage. Si son cul est aussi étroit que le con, nos deux bites doivent lui remplir les entrailles. Mais pas un cri, pas une remarque, que de petits souffles et gémissements que l’on peut interpréter comme on veut.

Enfin le mari a rempli sa part de mission : son ventre touche les fesses de sa femme.


Par-dessus le corps que nous possédons, il me sourit. C’est un sourire de conquérant et non pas de soumis. Je comprends que sous la direction supposée de Vanessa, c’est lui en réalité le réalisateur de ce projet avec une mise en scène réglée comme une pendule, et probablement répétée de nombreuses fois. Il envoie sa femme à la recherche d’un candidat pour ses envies. C’est un candauliste confirmé qui ajoute la participation à la vision de sa femme baisée par un autre.


Vanessa se redresse. Elle reprend sa danse, ondulant du bassin sur les deux vits de chair qui la remplissent, puis commence son pistonnage. L’homme et moi ne sommes plus que des bâtons de chair sur lesquels elle se prend. C’est délicieux, beaucoup plus fort que d’être chevauché par une cavalière dont le cul est libre. Chaque fois qu’elle redescend sur nos troncs jumeaux et littéralement soudés, c’est comme la première fois, conduits étroits et pourtant maintenant ruisselants de mouille.

L’homme jouit très vite. Je sens les saccades de sperme qu’il abandonne dans le cul de son épouse, et lorsqu’il se retire, mes couilles sentent la liqueur s’échapper et tomber sur elles.


Il s’installe sur le canapé à côté de moi. Il est aux premières loges pour voir. Vanessa est plus libre de ses mouvements, elle peut amplifier ses va-et-vient, et par instant son agitation est si forte que ma queue retrouve l’air libre. Mais c’est juste l’espace d’une seconde, car queue et chatte semblent se ruer l’une vers l’autre.

Je peux enfin me redresser et aller sucer ces pointes qui me tentent depuis le début et que je n’ai pu que caresser avec mes doigts pour les sentir vibrer. Elles sont encore plus grosses, et j’ai la pensée saugrenue qu’un bébé aurait bien du mal à se saisir du téton et tirer son lait maternel.

Mais c’est autre chose pour moi. Je peux les pincer, les faire rouler sous ma langue, les étirer pour son plus grand plaisir. Je ne connais pas une femme qui ne soit pas ultrasensible des tétons. Certaines atteignent même la jouissance sans que le sexe soit caressé, uniquement par les seins, merveilles de la nature.


Je n’arrive plus à me retenir. Mes couilles sont gonflées et doivent se vider au risque d’exploser. Un dernier effort. Une dernière contraction de contrôle et, et…

Enfin ma partenaire jouit. Un frisson la parcourt tel un tsunami et ses lèvres laissent échapper un « C’est bon, oui… » qui est la meilleure de mes récompenses. Enfin je libère mes vannes. Un torrent se rue et jaillit pour se déverser dans le triste ballon de latex et aller ensuite se glisser entre peau et membrane. C’est ce gonflement de la crème qui monte, associé à la dilatation de la capote qui signale à la femme que l’homme jouit. Bien sûr, certaines secousses et petits cris accompagnent le mouvement. On n’est pas de bois…


Quelques minutes plus tard, nos coupes à nouveau remplies, tous trois sommes côte à côte sur le canapé. L’homme n’est plus éloigné, il est devenu partenaire à part entière.

Vanessa nous joue maintenant le rôle de la soubrette qui, à genoux devant nous, suce nos sexes relâchés. Elle passe de l’un à l’autre, suçant l’un, branlant l’autre. Bien sûr, ni l’homme ni moi ne pouvons rester insensibles à ses arguments. Pas une parole échangée, juste des regards complices entre lui et moi.

Il bande dur. Je bande ferme. Nos outils sont prêts pour un deuxième service. C’est elle qui se charge de me mettre une capote. Étrangement, elle fait de même sur la queue de son mari. Pourquoi ?


Je n’ai pas le temps de réfléchir qu’elle s’installe à genoux sur le canapé et m’offre ses fesses. Aucune ambiguïté : c’est son petit trou qu’elle écarte de ses mains. Il ruisselle encore du jus de son homme. Le pénétrer est un jeu d’enfant. Je glisse dans la crème d’amour dont son mari a tapissé les parois et mon ventre heurte ses fesses avec délice. À nouveau elle ondule du bassin. C’est la reine du massage interne.

Rapidement je la bourre, ravi d’enculer ce cul avec ma queue rose qui tranche sur la peau noire. Quelqu’un caresse mes couilles. Un instant, je pense que c’est Vanessa, mais ses deux mains sont bien en appui sur le canapé. C’est le mari qui me palpe, et ma foi, ce n’est pas désagréable. Il agrandit sa zone d’exploration en caressant les fesses. Là aussi, le touché est délicat et agréable, comme lorsque j’enfile une femme et que ses mains se plaquent sur mes fesses pour m’attirer un peu plus.

Sans vraiment m’en rendre compte, je m’immobilise bien au fond du cul pour me concentrer sur ces caresses.


Maintenant, c’est un visage que je sens contre moi, un souffle chaud, une langue qui explore, des lèvres qui cherchent mes bourses, et toujours les mains, ces mains qui écartent mon sillon pour que, oui… pour qu’il vienne me lécher le cul de sa langue que j’imagine dardée et pointue pour mieux le pénétrer.

C’est étrangement bon. Certaines femmes, assez rares, jouent ainsi avec le cul de leur amant ; j’en ai rencontrées qui glissent aussi un doigt pour renforcer une érection ou ajouter une touche torride alors que je la baise. Mais ici, c’est un homme, le mari de celle que j’encule, et cette situation décuple la sensation.

Vanessa ne bouge pas. Elle sait manifestement ce qui se passe derrière moi. Ce couple, complice dans sa sexualité si particulière, connaît tout de l’autre.


Ohhhhh ! La langue a abandonné la place pour laisser le passage à un doigt. Le mari me sodomise avec un doigt qu’il tourne et vrille dans mon cul, cherchant ma prostate pour la flatter. Je sens ma queue vibrer sous cette caresse, déclenchant une ondulation de mon enculée.

Maintenant il utilise son doigt comme une petite bite qui astique mon cul, le poussant si loin que seuls ses congénères en stoppent l’avancée.

Je gémis. Oui, je gémis de ses caresses qui déclenchent une sensation que je ne connaissais pas. Je suis surpris de ma réaction ; mais après tout, qu’importe la méthode du moment que le plaisir est là. Il ne faut pas beaucoup d’imagination pour comprendre maintenant pourquoi l’homme a aussi revêtu une capote.

Je l’attends, mais le redoute. Jamais une queue n’est passée par ce chemin. Mais c’est comme si l’homme lisait dans mes pensées. Il se relève, adorateur de mes fesses, pour se dresser, mâle puissant. Un liquide froid coule sur moi que des mains étalent largement du haut de mon sillon jusqu’à mes bourses.

Une main sur ma hanche ; l’autre, je l’imagine tenant la bite raide pour la diriger… Voilà je la sens… Je sens le bout rose, cette excroissance que j’avais remarquée assez marquée, comme un champignon qui couvre la tige, venir au contact. La deuxième main se place sur l’autre hanche et alors commence la lente pression de ce que je désire maintenant.


Ahhhhh ! L’anus n’a jamais connu tel monstre ; mais bloqué par le corps de Vanessa qui s’agrippe au canapé, la force triomphe et il cède. Je sens ma corolle s’ouvrir et mes entrailles se remplir lentement de ce bâton marital.

Un dernier coup de reins et me voilà cloué sur sa femme. Mais il se retire déjà. Mon cul ne sait pas ce qu’il veut. Il protestait de se faire prendre. Il s’inquiète d’être déjà abandonné. À nouveau du liquide. À nouveau le dard me pénètre, et déjà tout est plus facile. Plus de douleur, à peine une gêne.


Il commence sa douce musique, le lent pistonnage de mes entrailles. Je suis toujours bien au fond de sa femme, et chaque fois qu’il avance je transmets cette intrusion par mon vit enchâssé et que je sens se gonfler dans le cul si étroit.

Toute délicatesse s’envole, il ne se retient plus et j’aime cela. Il me transforme en maîtresse qu’on encule ; mieux, en pute qui se fait prendre dans une camionnette par un homme qui en veut pour son argent. Je ne connaissais pas cette impression, moi qui suis toujours le maître de mes rencontres, tenant mon rôle d’amant pour faire jouir, mais toujours lucide et maître de mes actes.


C’est un mari qui m’encule, poussant son dard au plus profond de mes entrailles, claquant son ventre contre mes fesses, heurtant mes couilles avec les siennes et produisant ce bruit que je reconnais si bien, celui d’une queue qui glisse dans une chatte, grasse et humide. C’est mon cul qui est ce trou ouvert, gras et humide, que la queue d’un homme pistonne si bien, si fort, me procurant une sensation que j’adore.

Ce n’est pas vraiment du plaisir. Je pense que le plaisir ne vient qu’avec un peu d’expérience, un peu comme la première fois pour une femme.

Mais l’homme semble prêt à jouir. Pourtant il ressort, m’abandonnant. Mais j’entends le bruit caractéristique de la capote arrachée et sens aussitôt sur mon dos et mes reins les traînées chaudes de son sperme. Il reste un moment contre moi ; je l’imagine trayant la dernière goutte pour l’abandonner sur mes fesses. J’aurai été jusqu’à la fin sa pute de service.



Il n’en faut pas plus pour que d’enculé je retrouve mon état d’enculeur. Il veut que je la pistonne. Je la pistonne. Mieux, il lui donne des claques sur les fesses pour m’accompagner. Le mari dominé du début de soirée s’est transformé en dominant, et sa femme ne semble pas s’en plaindre.

Moi aussi je sors ma queue du cul pour regarder le miracle de cette corolle sombre qui reste quelques secondes grande ouverte, montrant son impatience de se faire conquérir à nouveau. J’attends que le muscle commence à se lasser, perdant espoir pour revenir à son état de porte à peine entrebâillée. Alors je replonge, profitant encore et encore de la vision du sphincter qui s’ouvre en étranglant ma queue et la moulant de sa chair.

Je la baise, longuement, montrant toute ma science et l’art de me retenir.



Quel compliment ! Le meilleur ! Celui de l’homme ! Du mari.



Il est temps de me prévenir. Encore quelques coups dans ce cul soyeux et j’allais jouir. Ses désirs sont des ordres. Je m’extrais, non sans abandonner un trou déformé et ouvert, pour enlever ma capote. Aussitôt Vanessa vient à mon devant. Mais nous n’avons pas été assez rapides et le premier jet arrose son visage. Le second et les autres se déversent entre ses lèvres hermétiquement closes autour de ma queue qui vibre à chaque passage du liquide qui se rue.

Elle est magnifique. J’ai un instant l’idée fugitive mais honteuse et bien mal considérée de nos jours, de la maîtresse noire, corps de liane, parfaite connaisseuse de nos désirs d’hommes et toute entière à notre disposition. Mais ce sont des idées d’une autre époque, de ces temps révolus, de fureur et d’injustice où les femmes n’étaient bien souvent que des esclaves sexuelles.


Ce que j’ai sous les yeux, c’est bien mieux. Pas une esclave, mais une partenaire consentante et audacieuse qui se fait une joie de répondre aux désirs de son conjoint. Elle me suce, accompagnant chaque giclée avec sa langue pour la guider dans des lieux secrets. Mon sperme trace des traînées blanches qui coulent lentement de ses yeux vers son menton.

Je suis vidé ; j’ai été pompé jusqu’à la moelle et je suis fier de mon œuvre. Je suis fier aussi de m’être fait enculer pour la première fois, ajoutant ce plaisir inconnu à la liste des autres.

Mon sexe s’échappe de ses lèvres gourmandes et Vanessa se tourne vers son mari.



Vanessa ouvre ses lèvres pour lui montrer un lac de foutre qu’elle pousse de la langue. Il lui ajoute sa cueillette.

Alors, sous mes yeux, le mari et la femme se rejoignent dans un baiser où le partage de ma liqueur semble sceller un peu plus leur complicité.


Je n’ai qu’un seul regret. J’avais proposé de les revoir, mais ils ont refusés : « Jamais deux fois avec le même homme » m’a indiqué le mari.

Je le comprends : un amant attitré pourrait peut-être devenir un concurrent trop envahissant dans ce couple si dépareillé mais pourtant si complice.



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Et vive les vacances… les vôtres, Messieurs, qui nous abandonnez vos épouses afin que nous les consolions !