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n° 16349Fiche technique20865 caractères20865
Temps de lecture estimé : 13 mn
08/08/14
Résumé:  Estelle a perdu son pari. Je profite de la situation et la soumets à mes délires sexuels.
Critères:  fh fsoumise fgode fsodo jeu
Auteur : Nikooooooooooooo            Envoi mini-message
Jouir en silence



Heureux d’avoir eu raison, je jubile comme un gamin de dix ans dans le salon. Croisant le regard d’Estelle, je lui annonce immédiatement la sentence :



Estelle fait un peu la moue mais accepte sa défaite et se dirige, penaude, vers la salle de bain.

Nos gages sont bien évidemment toujours axés sur le sexe et le plaisir de l’autre. Nous ne manquons jamais d’imagination et avons déjà réalisé des gages comme faire une fellation au cinéma, ne pas porter de sous-vêtements lors d’une balade en ville, mélanger sexe et nourriture, etc.

Mais aujourd’hui j’avais échafaudé autre chose basée sur le contrôle de soi !


Nous vivons au centre d’une ville dans un immeuble au 1er et dernier étage donnant sur une rue passante.


Sans perdre de temps, je pousse la table du salon pour dégager la fenêtre. Je récupère deux chaises de la salle à manger et les positionne devant la fenêtre, côte à côte, écartées d’une cinquantaine de centimètres. Je pose un coussin sur chacune d’entre elle.

Je suis prêt. Je me déshabille entièrement et m’assois sur l’une des chaises et attends ma petite chérie.

Estelle sort de la salle de bain nue, les cheveux mouillés et me rejoint. Elle avance vers moi toute souriante en me voyant nu aussi. Cela la rassure à quelque part ; elle a remarqué les deux chaises et doit se dire que nous allons les utiliser pour expérimenter une nouvelle position.

La pauvre, si elle savait ce que je lui réserve…


Estelle est arrivée à ma hauteur et vient à califourchon sur mes cuisses. Ses bras m’enlacent. On s’embrasse, ses mains me caressent le dos, les cheveux. Je bande déjà mais je reste impassible et la laisse faire. Nos langues s’entremêlent. Elle quitte ma bouche et commence une succession de petits bisous dans mon cou, sur mon épaule. Estelle se lève, s’agenouille devant moi et continue de m’embrasser le torse, le ventre. De ses mains elle écarte mes genoux pour faire apparaître mon érection. Telle un petit chat, elle me donne de petits coups de langue. Elle plaque ma verge dressée contre mon ventre et me lape des testicules jusqu’au gland. Je sens battre l’afflux sanguin dans ma verge tellement je suis excité et dur. Je m’avance jusqu’au bord de la chaise pour lui faciliter le travail ; de sa main délicate elle me masturbe doucement en me regardant droit dans les yeux.

Estelle est heureuse et souriante. Elle a son petit air coquin et est fière de l’effet qu’elle me procure.


Elle me décalotte le gland et caresse ses lèvres avec ; sa langue se pose sur mon bout, et là, d’un coup, elle me prend profondément en bouche. Je lâche un râlement. Sa bouche fait des va-et-vient en même temps que sa main sur mon sexe. Ses joues sont creusées et elle ne cesse de me regarder.

Estelle accentue la pression de sa main sur ma verge et accélère encore. Je stoppe sa main branleuse parce qu’à ce rythme-là je vais jouir dans moins de trente secondes.

Aussitôt elle sort sa langue et vient agacer mon gland ; de son autre main elle caresse les testicules. Cela me calme un peu mais reste terriblement excitant !


Puis sa bouche se referme ma verge gonflée luisante de sa salive, et de sa tête elle reprend son activité. C’est dur de se maîtriser, de ne pas se laisser aller et de se répandre dans sa bouche. Mais je dois reprendre le contrôle et je l’arrête in extremis ; un va-et-vient de plus de sa part et j’éjacule.

Estelle n’a pas l’air de comprendre mon choix ; elle me regarde, surprise, alors qu’elle était prête à recevoir mon sperme au fond de sa gorge.


Je me lève et contourne Estelle pour attraper un tee-shirt que j’avais préparé. Je le lui tends et lui demande de l’enfiler. C’est un simple tee-shirt blanc avec un beau décolleté en V. Elle ne me pose pas de question malgré son étonnement et l’enfile.

II est parfait : sans soutien-gorge, on devine ses tétons pointus à travers, et même la couleur de ses mamelons. Le tee-shirt a légèrement compressé ses seins et laisse apparaître une belle échancrure.

Je lui explique enfin son gage :



Je me mets derrière, la prends par la taille et la guide jusqu’aux deux chaises. J’ouvre le rideau et la fenêtre en grand et lui demande de mette un genou sur chaque chaise. Son premier réflexe est de porter une main sur sa poitrine et l’autre sur son sexe pour cacher sa nudité. Je la force à avancer et elle s’installe à califourchon sur les chaises. Je la fait légèrement basculer en avant, l’obligeant ainsi à s’accouder sur le rebord de la fenêtre. Le haut de son corps est dehors et elle voit le monde extérieur, la foule. Elle offre aussi une vue plongeante de ses seins. La distance entre les deux chaises l’oblige à écarter les cuisses.

Ses fesses sont tendues. Je vois son anus et ses lèvres entrouvertes. J’y passe mon majeur et il ressort humide.


Estelle est en position. Je suis à côté d’elle ; je lui caresse le dos, les cheveux, le visage. Un de mes doigts passe sur sa bouche et tente de s’y introduire. Elle me repousse d’un coup d’épaule, de peur que quelqu’un nous remarque. Ses joues sont rosies, elle a cette sensation d’être complètement nue devant les passants. Que tout le monde peut deviner qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, que son postérieur, son sexe sont nus et exposés. Elle se sent offerte à la vue de tout le monde.


Estelle sait que je vais la triturer, qu’elle me laisse un libre accès à ses deux orifices. Elle sait que je vais abuser de la situation mais qu’elle devra rester l’air impassible pour ne pas se faire remarquer. Elle comprend la perversité de mon gage, elle qui d’habitude est si expressive ne pourra émettre un son, un gémissement, et peut-être même jouir en silence.


J’ai rassemblé tous mes gadgets à pied d’œuvre. Je me mets à genoux devant ses fesses, et c’est avec de l’huile de massage que je vais débuter son supplice. Je m’enduis généreusement les mains d’huile et les pose directement sur ses fesses. J’adore son petit cul rebondi et commence à lui masser les fesses, l’intérieur des cuisses et descends jusqu’au mollets. Estelle est luisante d’huile, mes mains glissent sur sa peau. Je fais et refais mon parcours sur sa croupe, sans jamais toucher à son intimité. Tantôt mes mains l’effleurent, tantôt le contact se fait plus prononcé, ce qui a pour effet d’écarter encore davantage ses lèvres et de mettre encore plus à jour son anus. Je reprends de l’huile de massage et en verse directement. Un petit filet d’huile coule sur son anus et descend jusqu’à ses lèvres.

Je pose ma main sur le haut de ses fesses et tout en restant dans l’axe mon pouce vient se poser sur son anus. Je le fais glisser entre ses lèvres et s’arrête sur son clito. Voilà le premier contact tant attendu qui la fait sursauter et contracter ses petites fesses. J’enchaîne des allers-retours entre son clito et son anus. J’écrase à chaque passage son clito, passe entre ses lèvres et m’arrête sur son anus pour faire le chemin inverse.


Son anus est lubrifié à souhait ; mon pouce pourrait facilement y entrer, mais je ne fais que déformer sa rondelle. Estelle m’accompagne dans mes mouvements en ondulant du bassin. Je vois que sa respiration se fait plus profonde. Je ne fais quasiment plus rien, c’est elle qui se branle toute seule sur mon pouce et accélère encore. Estelle se fige et jouit en silence. Je continue alors d’imprimer de petites rotations avec mon pouce sur son clito tandis que le bout de mon majeur entre dans son anus. Elle se redresse instantanément et descend des chaises pour reprendre le contrôle de la situation.



Je la sermonne en lui demandant de reprendre et de garder sa position accoudée à la fenêtre. Je lui rappelle que c’est son gage et que le jeu ne fait que commencer, et je conclus que le prochain écart de conduite donnera lieu à une punition. Elle pouffe de rire et ne me prend pas du tout au sérieux à l’idée d’être traitée comme une gamine. Je la retourne face aux chaises et une claque sur sa fesse droite la ramène à la réalité. Elle lâche un cri de surprise, me fusille du regard et abdique en reprenant sa position. Je crois qu’elle vient de comprendre que la suite va être un martyre pour elle.


Je m’assois maintenant sous elle et écarte avec mes mains ses petites lèvres pour mettre à nu son clitoris. C’est à cet endroit précis que je vais concentrer mes efforts. C’est avec ma langue que je veux lui donner un nouvel orgasme. Cela devrait être relativement rapide, étant très réceptive et encore excitée de sa première jouissance incomplète. Et cette fois-ci, je veux qu’elle jouisse vraiment, je veux la sentir partir, qu’elle n’ait pas d’échappatoire.


Le premier contact direct de ma langue sur son clitoris l’électrise. Le bout de ma langue titille son clito, le fait rouler. J’embrasse son bourgeon gonflé, je l’aspire. Estelle réagit au quart de tour ; je l’entends inspirer par le nez et souffler par la bouche : elle se concentre sur sa respiration pour essayer de garder le contrôle et oublier tout le reste. Contrairement à tout à l’heure, cette fois-ci elle essaie plutôt d’échapper aux assauts de ma langue. Cela doit faire à peine une minute que je la lèche et son plaisir monte graduellement sans qu’elle ne puisse rien y faire. Je prends un peu de recul et admire son sexe ; j’ai le goût de sa mouille en bouche. Estelle est au bord de l’explosion. Elle se trémousse en silence, je vois des petits doigts de pieds s’agiter.


Je souffle de l’air sur son sexe brûlant et rapproche ma bouche. Ma langue s’écrase sur son clito. L’effet est immédiat : malgré qu’elle garde sa bouche fermée, je peux distinguer de légers gémissements. Estelle s’est à nouveau redressée et je vois sa poitrine se soulever au rythme de sa respiration. Ses mains se sont posées sur son visage comme pour se cacher ; elle essaie de résister, de retarder au maximum l’orgasme. Je me demande si quelqu’un de l’extérieur va la remarquer. Mais déjà un autre cri encore plus aigu franchit sa bouche toujours fermée. Elle se mord le dessus de la main, mais l’orgasme est plus fort que la douleur qu’elle s’inflige. Elle me repousse la tête pour que ma langue ne soit plus en contact avec son clitoris.

Je me lève et l’admire fièrement, le sourire aux lèvres. Estelle me regarde, l’air presque désolé. Ses yeux viennent de se fermer, elle vient d’avoir le déclic.



Estelle reprend avec inquiétude sa position, d’autant plus qu’elle ne voit pas ce qui se trame derrière son dos. Je bande fort tellement la situation m’excite. Je n’ai aucune envie de la faire souffrir physiquement, je veux juste la mettre dans l’embarras et encore la faire jouir. Je lui ai promis une punition et je pense qu’elle est un peu inquiète. Nous n’avons jamais rien fait de tel. À part quelques claques sur ses fesses qu’elle semble apprécier, nos rapports sexuels sont toujours restés assez soft. J’improvise donc et file dans la chambre pour prendre notre plug anal rangé dans l’armoire murale avec nos fringues. Je l’avais acheté il y a quelque temps dans un sex-shop. J’avais flashé dessus parce qu’il est totalement translucide et d’une jolie forme oblongue. Je l’utilise régulièrement pour le grand plaisir d’Estelle. Juste avant de repartir, mon regard s’arrête sur une de ses jupes. Et plus précisément sur une petite ceinture en simili cuir. Je crois que j’ai trouvé sa punition.


Je retourne au salon. Estelle est accoudée à la fenêtre avec les cuisses écartées. Je me saisis du plug et dépose un peu de salive dessus avant de le présenter à son petit trou. Estelle semble rassurée en reconnaissant l’objet que je suis en train d’enfoncer petit à petit dans son anus. Sans doute s’attendait-elle à quelque chose de plus douloureux pour une punition. Je m’amuse à dilater son anus avec le plug. Je le rentre et le sors partiellement avec délicatesse. Je le fais tourner tout en continuant de le faire progresser.

Voilà, il est enfoncé en elle sur la partie la plus large. Je le sors complètement et son anus reste un court instant ouvert avant de se resserrer. Je réitère la manipulation, et quand le plug est à nouveau à l’apogée de sa grosseur, c’est Estelle qui finit d’achever sa mise en place en venant à son encontre.


J’ai une vue magnifique : le plug transparent dilate son anus et dessine un cercle parfait de la taille d’une pièce de deux euros. J’adore. Estelle, comme par défi se dandine et fait rouler ses fesses avec le plug fiché en elle. Je l’entends rigoler et fanfaronner, mais je pense que cela sera de courte durée vu la suite que je lui réserve. Et c’est au premier coup de sa petite ceinture de cuir sur sa fesse gauche que le silence revient.


Mes coups sont dosés et légers, mais suffisants quand même pour entendre un petit claquement. J’alterne fesse droite, gauche, l’intérieur des cuisses, le creux de ses reins. Je patiente avant le prochain impact. Estelle est en attente. Le coup suivant est plus fort et vient lui mordre la fesse droite. Estelle laisse échapper un petit cri et je vois ses fesses se contracter quelques secondes autour du plug.

Encore une fois je me demande si quelqu’un dans la rue a remarqué nos activités. Je prends vraiment du plaisir à la punir ainsi. Je poursuis encore ; mes coups sont de plus en plus forts, et la contraction qu’elle réalise à chaque fois autour du plug me fascine. Estelle lâche un long râle et ses cuisses se mettent à trembler. Je stoppe ; je me suis laissé emporter et pense y être allé un peu fort. Je caresse ses fesses d’une main légère et passe sur les zébrures rouges qu’a laissées la ceinture. Mes mains sont fraîches, comparés à la chaleur que dégage son postérieur. Je n’ose pas lui retirer le plug toujours fiché en elle.


J’aide Estelle à descendre des chaises et viens me coller dans son dos pour lui faire un câlin. Je la serre fort dans mes bras. Je ne sais pas si elle est fâchée ou si elle m’en veut. Je l’embrasse tendrement dans le cou. Je bande toujours et j’ai bien peur que nous allons en rester là. Estelle n’a pas dit un mot, mais je sens ses fesses se frotter à mon pénis. Pourvu qu’elle veuille bien s’occuper de moi, peu importe la façon ; j’aimerais juste jouir. Mes mains viennent soupeser ses seins à travers son tee-shirt. Mes mains descendent, caressent son ventre, le haut de son pubis. Je passe un doigt entre ses lèvres, et à mon grand étonnement je remarque qu’Estelle est complètement trempée.



Je n’en reviens pas ; cette révélation me rend fou d’excitation. Moi qui bande à m’en faire mal, je me faisais du souci alors qu’elle prenait tout simplement son pied en cachette. Le jeu vient de changer : ce n’est plus le plaisir d’Estelle ma priorité, mais le mien. Je pose ma main sur sa joue et la caresse, puis ma main passe dans ses cheveux et j’en saisis une poignée. Je lui redresse la tête et l’oblige à me regarder dans les yeux. De mon autre main je repasse mes doigts sur son sexe trempé. Je lui enfonce deux doigts aussi profondément que possible. La bouche d’Estelle vient de s’ouvrir et elle gémit alors que je continue de fouiller son sexe avec mes deux doigts. Je les lui porte à la bouche et les lui fais lécher un à un.


Je la saisis par les épaules, l’obligeant à s’agenouiller devant moi. Je tiens mon sexe en main et suis à quelques centimètres de son visage. Je me masturbe devant elle. Ses yeux fixent ma verge, Estelle ouvre sa bouche et sort sa langue. Je m’enfonce dans sa bouche et impose mes va-et-vient. Estelle pose ses mains sur mes cuisses pour que je n’aille pas trop profondément dans sa gorge. Mais je prends ses mains et les ramène derrière sa nuque et continue la fellation. Obéissante, Estelle m’offre sa bouche. Estelle m’aspire, ses lèvres pincent ma verge qui coulisse dans sa bouche. Je sens de temps en temps sa langue qui entre en contact avec mon gland. J’accélère encore mais je ne veux pas jouir de cette manière, j’en veux plus.


Je délaisse sa bouche et viens me placer derrière Estelle qui est restée agenouillée, les bras derrière la tête. De mes pieds, je lui fais comprendre qu’elle doit écarter davantage ses cuisses.

Je la fais se pencher en avant et elle se positionne en levrette. J’avais oublié que son plug était toujours dans son anus ; je lui demande de le retirer. Estelle a compris mon intention : elle sait que je vais la sodomiser. Elle sort délicatement le plug de son anus qui reste légèrement ouvert. Estelle prend l’initiative de se réintroduire le plug dans le vagin. Et comme si je n’étais pas encore assez excité, de son autre main elle vient écarter sa fesse. Ses épaules et sa joue sont posées sur le parquet, m’offrant ainsi sa croupe et l’accès total à son anus.



Elle commence alors à se goder en gémissant. Je présente mon sexe à l’entrée de son anus, j’introduis mon gland, et sans ménagement je m’enfonce jusqu’à la garde. Estelle lâche un cri qui résonne dans le salon. Je reste immobile quelques instants et sens l’activité du plug dans son vagin. Je commence une profonde et lente pénétration, faisant coulisser mon sexe sur toute sa longueur. Ses gémissements se sont transformés en râles bruyants et continus. Quand je lui rappelle que la fenêtre est grande ouverte, elle s’auto-bâillonne de sa main libre, l’autre étant toujours affairée sur le plug. Mes coups de boutoir se font plus forts. Je prends appui sur mes jambes, la saisis fermement par les hanches et accélère encore. Le plaisir d’Estelle monte encore d’un cran, la rapprochant d’un nouvel orgasme. Ses fesses claquent sous mon acharnement et son corps est peu à peu projeté en avant. Ses deux mains viennent se plaquer sur sa bouche pour étouffer ses cris qu’elle ne peut contenir.


Son orgasme est violent, tout son corps est pris de soubresauts. Je continue à malmener son anus alors qu’Estelle continue de jouir frénétiquement. Elle crie, elle pleure de plaisir ; c’est une jouissance presque douloureuse qui n’en finit plus. J’éjacule enfin et me fige profondément en elle le temps de me vider.


Je me retire, épuisé par l’effort physique. Son anus reste éhontément ouvert ; du sperme en coule lentement. Elle se retourne sur le dos et je m’allonge à côté d’elle. On se prend la main et on s’observe longuement. Sur ses lèvres se dessine un très beau sourire de satisfaction et d’apaisement.

Vivement le prochain gage…