n° 16352 | Fiche technique | 19009 caractères | 19009Temps de lecture estimé : 12 mn | 11/08/14 |
Résumé: Une jeune femme en rupture de ban d'avec son compagnon part à l'aventure et se retrouve sur la côte basque. Et là, les choses commencent. | ||||
Critères: f ff hotel train soubrette exhib noculotte fmast | ||||
Auteur : Naipas (Retraité, j'écris pour le plaisir et celui des lecteurs.) Envoi mini-message |
Collection : Petits romans |
Je me retournai sur ma couchette et le rythme des roues m’éveilla. J’avais l’impression que le train roulait à une vitesse folle. Je me cachai sous la couette comme pour me protéger d’un danger indéfinissable. Puis lentement, je sortis la tête et regardai autour de moi. Quel était ce pays inconnu ? Où étais-je donc pour être autant secouée ? Horreur ! Le jour était levé et filtrait du store baissé depuis la veille.
—ooOoo—
Je m’étais décidée sur un coup de tête, après une dernière dispute avec mon compagnon. Il m’avait prise par le cou et tenté de m’embrasser de force. Il avait bu et son haleine sentait le vin. Je le repoussai violemment. Il dut me lâcher.
Je ne l’écoutais plus. Il essayait de me retenir et avait fait sauter les bretelles de mon soutif. Il avait raison, je jouissais comme une reine, et maintenant je refusais de l’admettre. Je m’étais débattue comme une mégère. Il n’avait réussi qu’à me laisser des traces sur les épaules. Puis il voulut m’ôter ma petite culotte. Je lui donnai un violent coup de pied dans le bas-ventre. Il se recula en hurlant.
Je lui jetai ses frusques. Il les ramassa, les bourra dans un sac de toile et sortit en claquant la porte. Bon débarras ! J’étais soulagée.
J’avais connu ce cher Philippe dans une discothèque que je fréquentais alors assidûment. Il m’avait immédiatement fait une proposition alléchante pour mon chaton et je m’étais laissée entraîner chez lui. Il avait un engin agréable à recevoir et surtout très endurant, ce qui n’était pas pour me déplaire. La plupart de mes amants ne résistaient pas plus de deux coups, et souvent je me sentais frustrée dans mes envies. Philippe au contraire me faisait jouir quatre ou cinq fois de suite sans que son mandrin ne faiblisse. Il me gratifiait de nombreuses giclées de son jus de couilles épais et odorant. Malheureusement, il avait un caractère difficile et il ne se gênait pas pour aller tremper son chicon dans toutes les chattes qui passaient à sa portée. Je ne suis pas jalouse, mais peu à peu il me délaissait, et après plusieurs menaces je décidai de le larguer. Après une courte hésitation, j’avais retenu une couchette dans le train de nuit vers Biarritz, j’avais empilé des vêtements dans un grand sac et j’étais partie sans un au revoir.
—ooOoo—
Je m’ébroue. Je suis seule dans le compartiment. J’ai l’impression d’avoir dormi comme une souche et je suis tout étonnée de me trouver dans cet endroit insolite, nue sous les draps. Je sens alors une douce chaleur envahir mon corps, et sans m’en rendre compte je laisse mes doigts jouer avec la toison qui orne ma chatte. Mon autre main se pose sur un sein et tout de suite je sens le mamelon se gonfler. Ce réveil calme me rend attentive à moi-même. Mes doigts s’insinuent entre les lèvres de mon sexe, trouvent le clitoris déjà sorti de sa gaine qui pointe sa rondeur comme un appel aux caresses. Le bruit d’une serrure que l’on veut ouvrir interrompt mon mouvement. Je me lève, passe ma robe de chambre et m’approche de la porte.
Je me recouche mais le charme est rompu, et après quelques essais infructueux je me rends compte que mon petit clito refuse de sortir de son étui rose et j’abandonne. Peut-être aurais-je dû ouvrir à ce garçon, mais j’étais trop occupée pour laisser à un autre le soin de me faire descendre dans les profondeurs du plaisir. Je décide donc de me lever. Je fais couler l’eau dans le petit évier et je me regarde dans le miroir avec une légère moue de satisfaction. Comment est-il possible qu’un homme normalement constitué puisse rester de marbre devant mes seins fermes qui tiennent à peine dans une main ? Et mon ventre à peine bombé à hauteur du nombril, qui surmonte une toison châtain clair. Celle-ci ne cache rien de la longue fente ouverte sur deux petites lèvres épaisses, larges, et très visibles. Je me souris en me disant que je n’ai rien à envier à ces soi-disant vedettes du show-business ou à ces mannequins filiformes qui n’ont que leur visage pour attirer les hommes. J’ai les jambes longues et bien galbées, et l’on dit que mes fesses sont faites pour les caresses. Elles sont bien rondes, et l’un de mes anciens amants m’appelait « sa Vénus callipyge », prétendant que j’avais le cul d’une statue grecque. J’arrête car je me sens devenir vaniteuse.
Je fais ma toilette, insistant sur mes seins et ma chatte qui s’ouvre sous mes doigts. Mais trêve de plaisirs, je dois me presser car le train va bientôt arriver à Bayonne et je dois prendre mon petit déjeuner avant Biarritz si je veux encore profiter du luxe du wagon-restaurant. J’enfile une robe légère très courte à mi-cuisses et au décolleté plongeant. Tant pis, je ne mets ni soutien-gorge, ni petite culotte. Au diable la vertu ! Celui qui me surprendra sera bien étonné et, peut-être, ravi. Sait-on jamais. J’ai bien le droit de vivre un peu après cette morne éternité auprès d’un individu falot et vaniteux.
Au wagon-restaurant, je m’installe à une table dans la lumière et je ne fais en m’asseyant aucun effort pour dissimuler mes jambes. Ma robe les découvre presque jusqu’à la fourche poilue. Le garçon me présente la carte, jetant au passage un œil curieux sur mes cuisses bien dégagées. Je les écarte légèrement et je crois apercevoir une petite rougeur lui colorer le visage. Je resserre mes jambes, masquant le petit chat sur le point de s’éveiller. Distraitement, je regarde le paysage défiler, comptant les ondulations que font les fils entre les poteaux téléphoniques. Je sirote mon jus de fruit, touche un peu au pain au chocolat et au croissant, grignote un toast. Je n’ai pas la tête à rire. Ai-je bien fait de fuir comme une voleuse ? Je quitte la table et retourne dans mon compartiment. En arrivant, il me faudra aller à la banque : je suis partie presque sans argent et je dois vivre le temps de décompresser et de trouver un travail. Je m’étends pour réfléchir à ce que je vais faire de ces jours de solitude.
Le train ralentit puis s’arrête. Bayonne. J’ouvre la fenêtre et me penche un peu. L’air frais du matin me fouette le visage et le ciel d’un bleu parfait m’éblouit. Je me sens ragaillardie. Encore un quart d’heure et je serai à Biarritz. Ouf ! Je réalise pleinement que je suis libre. Libre de faire des folies, libre de m’envoyer en l’air à chaque occasion, libre surtout de ne plus penser qu’à moi pendant ce séjour salvateur. Je me prépare et sors mes bagages dans le couloir. Un employé se précipite et s’en empare.
Il repose les bagages, se confond en excuses. Je le remercie d’un sourire. Je me penche vers mon sac, mon geste ouvre largement mon décolleté sur mes seins libres. L’employé jette un coup d’œil furtif, rougit et détourne la tête. Je fais semblant de rien, enjambe ma valise et m’accoude contre la fenêtre du couloir. Je regarde la foule défiler sur le quai. Un coup de sifflet et le train repart lentement. Je regagne mon compartiment, m’allonge sur la banquette de velours vert. Je me sens bien.
Sans m’en rendre compte, je laisse ma main remonter doucement sur ma cuisse, relever ma robe courte et s’arrêter sur ma fourche poilue. Mon médius s’insinue dans ma fente, remonte à la recherche du petit bouton rose. Tiens ! Il est déjà gonflé, et pourtant je ne lui ai encore fait aucune caresse. Mon doigt se mouille de cyprine. Je le porte à ma bouche et le lèche. J’aime ma liqueur ambrée, onctueuse, légèrement salée. Je sens la chaleur monter dans mes reins quand le train ralentit. Vite, je rabats ma robe, me relève et sors dans le couloir au moment où le train s’arrête. Tout de suite, l’employé, qui manifestement m’attendait, se précipite, prend ma valise et mon sac et traîne le tout jusqu’au bout du couloir.
Il me pilote sur le quai jusqu’à la sortie. Un petit air frais me court sur les jambes, et comme je n’ai pas de culotte, il s’infiltre entre mes cuisses. Il fait friser ma toison, rafraîchit la fente échauffée par mes caresses. Je frissonne mais le porteur ne s’en rend pas compte.
Il s’esquive et revient après quelques instants.
Je le gratifie d’un large sourire accompagné d’un joli pourboire. Il me regarde, baisse les yeux vers mon décolleté, rougit un peu et articule difficilement un merci ému. Je monte dans le taxi, ouvrant largement les cuisses, et lui laisse admirer ma chatte béante et humide. Je ferme la portière.
Arrivée à l’hôtel, je m’installe dans une chambre coquette mais simple et sans apparat inutile. Je ferme la porte, dépose mes valises et me rends à la salle de bain. À ce moment, on frappe à la porte. J’ouvre doucement et une jeune femme apparaît.
Elle attend mes ordres, ce qui me donne le loisir de la détailler. Assez grande, l’œil vif, les seins ronds et haut placés, elle porte avec élégance sa tenue de travail. La courte jupe noire à volants découvre les jambes très haut tandis que le corsage blanc se gonfle des seins dont les pointes assez grosses paraissent sous le tissu. Elle m’impressionne par son calme et son sourire.
Elle me suit, ouvre les robinets pendant que je me déshabille rapidement pour entrer dans une grande baignoire ronde où l’on peut facilement se mettre à deux. Je le lui fais remarquer. Elle sourit, reste debout à me regarder. Je saisis le savon et entreprends de me laver en faisant courir mes mains sur ma peau. J’insiste sur mes seins puis descends lentement vers mon sexe que je caresse doucement. La demoiselle ne cesse de me regarder et je me rends compte que mon manège commence à lui faire de l’effet. Elle se mord les lèvres et sa main se pose sur un sein qu’elle se met à caresser d’abord puis à en triturer le mamelon déjà bien gonflé et qui perce à travers le fin tissu de son corsage. Je lui souris et elle me rend mon sourire.
Elle s’esquive, quitte la salle de bain, revient presque aussitôt, ôte ses chaussures et entreprend de me rejoindre. Dans son mouvement, elle écarte largement les cuisses. Elle vient d’ôter sa petite culotte et j’ai tout le loisir d’admirer une légère toison rousse et une longue raie rose vif d’où s’échappent des petites lèvres légèrement violacées. Je détourne mon regard et tente de me concentrer sur mon bain. Peine perdue, ma main s’insinue entre mes cuisses écartées et mes doigts câlinent mon clito qui ne demande qu’à se libérer de sa gaine, avide de caresses.
La jeune fille fait glisser sa jupe puis passer sa blouse par-dessus la tête. Elle m’apparaît nue comme Vénus sortant de l’onde. Quels seins ! Deux jolis pamplemousses surmontés d’un mamelon en forme de cerise. L’envie me prend de les caresser et d’en titiller les bouts. Je résiste à la tentation car je ne suis pas sûre de la réaction de la donzelle. Je me redresse, et toute dégoulinante j’enfile mon peignoir.
Je m’approche d’elle toujours aussi nue, lui prends le visage et pose sur sa bouche mes lèvres humides. Elle m’offre ses seins à sucer mais je m’écarte en souriant après avoir caressé doucement sa chatte humide.
Elle tend la main vers mon entrecuisse. Je l’arrête en souriant.
Elle enfile sa robe, sort en tenant sa petite culotte qu’elle me tend et ferme doucement la porte. Une voix inconnue me parvient.
Je souris et me promets de donner une bonne leçon à ce pauvre garçon qui n’aime pas les femmes. Rapidement, je me rhabille. Je ne mets pas de soutien-gorge car je tiens à sentir mes seins libres. J’ai envie de les faire danser en marchant. Je choisis une robe unie d’un joli bleu roi largement ouverte et très courte. J’enfile un petit string noir transparent qui ne couvre que ma moule tout en s’insinuant entre les lèvres de mon sexe. Un petit coup de vent, et zou, j’ai le cul à l’air ! Je n’ose imaginer l’effet que je ferai dans ce cas. Je descends dans le hall où je croise ma femme de chambre en conversation avec une collègue. Elle se tourne vers moi, me fait un signe de tête. Je réponds à son salut en me dirigeant vers la sortie. Puis je me ravise et m’approche d’elle.
Je tends la main qu’elle saisit doucement. Je regarde Katy. Ses cheveux blonds de nordique brillent sous le lustre du hall. Elle porte une jupe noire aussi courte que celle de Myriam, et son corsage blanc est bien rebondi au niveau de la poitrine. Ses yeux bleus qu’elle plonge dans les miens ont un reflet de grand large. Nous nous serrons la main et je quitte le duo avec un petit picotement entre les cuisses. Je me retourne, et mon regard se fixe sur les fesses de la Danoise. Je jurerais qu’elle ne porte pas de culotte car je ne distingue pas de traces de coutures. Il est vrai qu’un string ne se voit pas, même sous une jupe très serrée. Je me prends à rêver car l’attitude de Myriam dans la chambre m’a quand même un peu excitée, et je regrette presque de n’avoir pas répondu immédiatement à ses avances. Je me promets de me rattraper ce soir.
Je me sens heureuse et libre. Quel changement de climat avec Paris. Ici, on a l’impression de vivre. Est-ce le soleil qui brille et vous chauffe le corps ? Est-ce l’atmosphère de légèreté qui se dégage de ces rues animées où les rires éclatent comme des bulles ? Est-ce la couleur du ciel bleu éclatant ? Je comprends mieux pourquoi cette région est si prisée des amateurs de beauté et de calme. On ne pouvait choisir nom plus approprié. Pourtant Biarritz n’est pas une grande ville. Je suis impatiente d’aller faire un tour dans l’arrière-pays basque. Tiens ! Je vais proposer à Myriam et Katy de m’emmener dans ces petits coins où les amours doivent être aussi chaudes que le soleil. J’ai envie de danser, de courir, de chanter ! Je tournoie, faisant virevolter ma jupette qui découvre mes cuisses jusqu’à la fourche. « Mathilde, la vie est là. À toi d’en profiter au maximum. »